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Europa League : Succès poussif du FC Zurich

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Kololli marque le penalty de la victoire (©KEYSTONE/EPA/KATIA CHRISTODOULOU)

Le FC Zurich a réussi son entrée dans le groupe A de l'Europa League, du moins sur le plan comptable. A Nicosie, il a battu l'AEK Larnaca 1-0 grâce à un penalty transformé par Kololli à la 61e.

Face à cette formation chypriote n'alignant au coup d'envoi qu'un seul joueur né sur l'île, le FC Zurich n'a pas enthousiasmé, tant s'en faut. On retiendra donc principalement le résultat dans la colonne des impressions positives. Parce que pour le reste, cela a été laborieux...

Sous la houlette de Marchesano et Kololli essentiellement, les protégés de Ludovic Magnin ont réussi quelques actions prometteuses en première période, mais sans parvenir à trouver la faille. Le FCZ a souvent été pénalisé par un manque de précision dans la dernière passe, ou par des frappes manquant de puissance. Aligné en pointe, le jeune Odey a alterné le bon et le moins bon.

Les Zurichois ont par contre généralement bien contenu leurs adversaires. Ceux-ci ont peiné à se montrer dangereux même si Palsson a contré Giannou in extremis à la 23e. L'expérience des joueurs - sept trentenaires dans le onze de départ - n'a pas caché un certain déficit physique du côté de Larnaca.

Le FCZ a davantage été en difficulté après la pause, les Chypriotes mettant plus de conviction et de tranchant dans leurs actions. Brecher sauvait en sortant bien devant Trickovski (56e).

Le tournant de la partie arrivait à l'heure de jeu. Un centre de Marchesano était touché par le coude d'un défenseur, et l'arbitre désignait le point du penalty. Malgré la réaction des Chypriotes, le FCZ tenait bon jusqu'au coup de sifflet final, malgré l'expulsion de Pa Modou à la 84e.

Dans l'autre rencontre du groupe, le Bayer Leverkusen, pourtant mené 2-0 après une demi-heure, s'est imposé 3-2 en déplacement contre Ludogorets Razgrad. Havertz a marqué deux fois pour les Allemands.

Source ATS

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Suisse

Ikea mise sur le rebond en 2026 d'un marché encore patraque

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Ikea a eu "une période très intense" d'expansion géographique ces dernières années, explique le chef d'entreprise. Entre 2010 et 2025, la marque s'est implantée dans 19 nouveaux pays. (© KEYSTONE/AP/JEFF CHIU)

Confronté à la baisse des dépenses d'ameublement, le numéro un mondial Ikea table sur une amélioration du marché en 2026, confie à l'AFP Jon Abrahamsson Ring, un de ses hauts dirigeants.

L'enseigne aux 45 milliards de chiffre d'affaires annuel garde le cap des prix bas et continue de miser sur ses points de vente physiques malgré le boom des achats en ligne, explique le dirigeant d'Inter Ikea, société qu gère entre autres le concept et les produits de la marque.

De passage en France début février, M. Abrahamsson Ring est venu visiter le principal magasin parisien, situé dans le centre commercial Italie Deux.

Ouvert en septembre dernier pour remplacer celui de la Madeleine, déjà en plein coeur de la ville, il accueille 11'000 visiteurs par jour en moyenne.

La France est le troisième marché de l'enseigne, après l'Allemagne et les États-Unis.

Sur le territoire, le marché du meuble a reculé de 5,1% en 2024, selon l'Institut de prospective et d'études de l'ameublement.

Pour le dirigeant, que ce soit en France ou ailleurs, ces deux dernières années, il n'y a pas de différence: "les dépenses d'ameublement ont diminué dans l'ensemble de nos 63 marchés".

Un environnement "difficile" et qui devrait le rester en 2025, dans lequel Ikea a réussi à maintenir ou gagner des parts de marché, selon M. Abrahamsson Ring. Pour autant, "nous attendons 2026 avec impatience", lance-t-il.

Maintenir des prix abordables

L'année prochaine devrait marquer le retour de la croissance dans le secteur, qu'ils ont décidé de placer sous le signe des cuisines, dit-il.

Dans le magasin de la capitale, les cuisines exposées sont de taille modeste. "Si nous étions à Munich, à Seattle ou ailleurs, nous présenterions des cuisines beaucoup plus grandes", explique-t-il.

Le spécialiste des meubles en kit s'adapte à ses lieux d'implantation. Or, à Paris, les prix sont élevés et l'espace manque.

A la suite de la pandémie de Covid-19 la marque avait annoncé une hausse sensible de ses prix pour faire face à une chaîne d'approvisionnement très perturbée et donc plus coûteuse. Fin 2023, l'entreprise non cotée en Bourse a entrepris de les abaisser à nouveau, une aubaine pour la fréquentation de ses magasins, mais pas pour son chiffre d'affaires.

Pour maintenir des prix abordables, Ikea cherche à faire du volume en maintenant des coûts fixes, notamment grâce à "un assortiment (de références) très serré", explique le patron.

La marque propose environ 10'000 produits. La bibliothèque Billy s'est par exemple vendue en 140 millions d'exemplaires depuis son lancement en 1979. Au Mexique, en Chine ou ailleurs, elles sont partout les mêmes.

Expansion géographique ralentie

Si la France est un marché historique de la marque, plusieurs pays comme le Chili, la Colombie et les Philippines ne sont entrés dans son giron que récemment.

Ikea a eu "une période très intense" d'expansion géographique ces dernières années, explique le chef d'entreprise. Entre 2010 et 2025, la marque s'est implantée dans 19 nouveaux pays.

"On ralentit un peu maintenant", dit-il.

Parallèlement, l'enseigne continue de se développer sur ses marchés existants, dont l'Europe au premier plan, qui concentre "la majorité absolue" des ventes.

Et cela ne se fera pas sans l'ouverture de nouveaux magasins, même si les ventes en ligne ont bondi en quelques années, affirme-t-il.

L'e-commerce a compté pour 26% du chiffre d'affaires total de l'enseigne lors de son exercice fiscal 2024 qui se termine en août, contre 7% en 2019. Quant à ses magasins, ils ont accueilli 899 millions de visiteurs sur la même période, un chiffre en hausse selon M. Abrahamsson Ring.

"Nous constatons que 92% de nos clients utilisent les deux canaux. Ils sont assis chez eux, ils font des recherches en ligne et ils vont dans un magasin parce qu'ils veulent s'asseoir sur un canapé, s'allonger sur un lit, toucher quelque chose et, peut-être, parler à un vendeur", raconte-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Royaume-Uni: l'inflation repart à la hausse en janvier, à 3%

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Après un plus bas en trois ans en septembre, à 1,7%, l'inflation était remontée en octobre (2,3%) puis en novembre (2,6%), avant de redescendre légèrement en décembre (2,5%). (© KEYSTONE/AP/LEFTERIS PITARAKIS)

L'inflation est repartie à la hausse en janvier au Royaume-Uni, à 3% sur un an, un rebond supérieur aux attentes qui s'accompagne d'une croissance atone, plaçant la Banque d'Angleterre et le gouvernement travailliste dans une position délicate.

Ce chiffre publié mercredi par l'Office national des statistiques (ONS) est sensiblement supérieur aux anticipations des analystes consultés par Bloomberg, qui tablaient sur une hausse de 2,8%.

Il s'explique, selon l'économiste à l'ONS Grant Fitzner, "par une diminution moins importante que d'habitude des tarifs aériens à cette période de l'année" et par la hausse du coût des aliments et des boissons non alcoolisés.

De nouvelles règles de TVA sur les écoles privées, qui entraînent depuis janvier une hausse des frais de scolarité, contribuent également à ce rebond.

Après un plus bas en trois ans en septembre, à 1,7%, l'inflation était remontée en octobre (2,3%) puis en novembre (2,6%), avant de redescendre légèrement en décembre (2,5%).

"Je sais que des millions de familles ont encore du mal à joindre les deux bouts. C'est pourquoi nous allons plus loin et plus vite pour stimuler la croissance économique", a déclaré mercredi la ministre des Finances Rachel Reeves dans un communiqué, sans réagir au chiffre en lui-même.

Cette hausse met un peu plus la pression sur la dirigeante car elle s'inscrit dans un contexte économique morose: le produit intérieur brut britannique n'a progressé que de 0,1% au quatrième trimestre, après une croissance nulle au troisième.

Le gouvernement du Premier ministre Keir Starmer, qui place la relance de l'activité comme sa priorité absolue, est sous pression depuis la présentation fin octobre de son budget - constitué d'une forte hausse des cotisations patronales ainsi que d'emprunts exceptionnels pour investir - qui n'a pas convaincu les entreprises.

Les Britanniques ont subi de plein fouet une hausse des prix très élevée ces dernières années, qui a culminé à 11,1% en octobre 2022, poussant la Banque d'Angleterre (BoE) à relever son taux directeur dès la fin de l'année 2021.

Constatant le ralentissement de l'inflation ces derniers mois, la banque centrale britannique a fini par concéder deux baisses de son taux en 2024, puis une nouvelle début février.

Son président Andrew Bailey a encore insisté mardi lors d'une conférence à Bruxelles sur sa volonté d'adopter une approche "graduelle" et "prudente" dans les futures baisses. "Nous faisons face à un pic temporaire de l'inflation", a-t-il affirmé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, en visite à Fukushima

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Rafael Grossi a rencontré le ministre des affaires étrangères japonais Takeshi Iwaya. (© KEYSTONE/AP)

Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi s'est rendu mercredi sur le site de la centrale nucléaire japonaise accidentée de Fukushima. Tokyo vient d'approuver un plan énergétique prévoyant un retour à l'énergie nucléaire.

L'AIEA supervise les efforts déployés par le Japon pour démanteler la centrale de Fukushima Daiichi (nord-est), accidentée lors du tremblement de terre et du tsunami en mars 2011. La pire catastrophe nucléaire depuis Tchernobyl avait provoqué la mort de 18'000 personnes.

M. Grossi est arrivé au Japon mardi, le jour où Tokyo a adopté un plan visant à accroître la dépendance à l'égard de l'énergie nucléaire dans l'optique de répondre à la demande croissante en énergie des usines d'intelligence artificielle.

"Au moment où le Japon s'engage dans un retour graduel de l'énergie nucléaire dans son mix énergétique, il est important que cela soit fait avec une sécurité totale et avec la confiance de la société", a-t-il déclaré après une réunion avec le ministre japonais des affaires étrangères.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Le Conseil fédéral opposé à l'initiative pour la démocratie

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L'initiative pour la démocratique a été déposée le 21 novembre dernier par l'"action quatre quarts" (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le Conseil fédéral ne veut pas d'une naturalisation facilitée. Il a refusé mercredi l'initiative populaire "Pour un droit de la nationalité moderne (initiative pour la démocratie)", sans lui opposer de contre-projet.

L'initiative, déposée par l'Action Quatre Quarts, demande que la naturalisation soit possible après cinq ans de séjour légal en Suisse, indépendamment de l'autorisation d'établissement. Les conditions doivent être des connaissances de base d'une langue nationale et l'absence d'actes criminels graves.

Actuellement, la loi exige au moins dix ans de domicile en Suisse dont trois sur les cinq ans ayant précédé le dépôt de la demande pour les titulaires d'un permis C. L'initiative prévoit encore la législation dans le domaine de la naturalisation relève à l'avenir de la compétence de la Confédération.

Cela constitue une atteinte aux compétences des cantons et au caractère fédéraliste de la procédure de naturalisation, estime le gouvernement. Il présentera son message d'ici fin novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le Conseil fédéral ne veut pas interdire l'expérimentation animale

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L'initiative pour interdire l'expérimentation animale avait réuni plus 127'000 paraphes. Le Conseil fédéral la rejette et ne veut pas de contre-projet (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les expériences sur des animaux ne doivent pas être interdites en Suisse. Le Conseil fédéral a rejeté mercredi une nouvelle initiative populaire sur ce sujet, sans prévoir de contre-projet.

Le texte exige que les expériences sur les animaux ainsi que l'élevage et le commerce d'animaux destinés à de telles expériences soient interdits. Il provient d'une association alémanique, "Initiative pour l'interdiction de l'expérimentation animale CH", qui avait déposé plus de 127'000 signatures en novembre dernier.

Le comité estime que les expériences faites sur les animaux représentent une méthode de recherche insuffisante, non seulement sur le plan éthique mais aussi sur le plan scientifique. Ce sont 95% des médicaments déclarés appropriés lors de l'expérimentation animale qui ne fonctionnent pas chez l'être humain, selon lui.

Graves conséquences

Une telle interdiction aurait de graves conséquences, notamment en termes de santé, car l’expérimentation animale reste aujourd’hui la seule option dans de nombreux domaines de la recherche, estime le Conseil fédéral dans un communiqué. Cela rendrait par exemple impossible la réalisation de projets de recherche importants, comme le développement de nouveaux médicaments et de traitements contre le cancer ou les maladies neurologiques, cardiovasculaires et autres.

De plus, cela affaiblirait considérablement la Suisse en tant que pôle économique, scientifique et de formation. Cela freinerait des innovations médicales majeures, compromettant à long terme à la compétitivité de la Suisse.

Réglementation stricte

Le Conseil fédéral reconnaît qu’il est important de protéger les animaux utilisés dans le cadre de la recherche. Mais il préfère miser sur une réglementation stricte ainsi que sur la recherche d'alternatives, notamment par le biais du Centre de compétence suisse 3R. Ce principe vise à remplacer (replace) l'expérimentation animale en vue de réduire la souffrance animale (refine) et le nombre d'animaux utilisés (reduce).

Selon des chiffres récents de l'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires, la science a utilisé en 2023 près de 600'000 animaux pour des expériences, soit une augmentation de 1,6% par rapport à l'année précédente. Dans 60% des cas, les animaux de laboratoire ont subi des contraintes, dont 28% dans des expériences du degré de gravité 1 et 2, et 5% pour le degré de gravité 3, le niveau le plus élevé.

Depuis 1985, le peuple suisse a déjà rejeté quatre initiatives populaires visant à interdire à divers degrés l'expérimentation animale, la dernière en 2022 à près de 80%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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