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Un Escape Game depuis son canapé? C'est possible!

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Le monde semble s'être arrêté depuis le début de la propagation du nouveau Coronavirus. Cependant, certaines sociétés de divertissement font preuve d'imagination pour continuer d'exister.
Aujourd'hui, dans "La fièvre des réseaux sociaux", nous vous présentons l'alternative qu'à trouver un Escape Game pour se digitaliser et proposer une nouvelle expérience à ses utilisateurs.

La fièvre des réseaux sociauxEscape game digital

Un Escape Game, c'est quoi?

Pour rappel, un Escape Game ou jeu d’évasion est une activité qui se pratique en équipe. Les participants sont enfermés dans une salle à thème et doivent chercher des indices, résoudre des casse-têtes et des énigmes afin de réussir à en ressortir en moins de 60min.

Afin de pouvoir continuer ce genre d’activité la société suisse Escape World a créé un Escape Game à faire depuis chez soi, depuis son canapé et 100% gratuit. Et ça commence dès lundi 6 avril!

Comment c’est possible ?

Cet Escape Game qui a pour nom “Mission Delta” se déroulera sur la page Facebook d’Escape World ou sur leur site internet. Les internautes pourront, dès lundi, incarner des agents de liaison qui aideront l’agent de terrain “Delta”. Ils résoudront ainsi des énigmes qui permettront à cet agent de terrain d’évoluer et d’avancer dans ses missions.
Ce lundi 6 avril une première mission sera en ligne sous forme de vidéo qui se stoppera avec une énigme.
Les internautes pourront alors répondre à celle-ci en commentaire, quand il y aura suffisamment de bonnes réponse et après 2-3 jours, une nouvelle vidéo apparaîtra avec la réponse de la première énigme ainsi que la suite de l’aventure et une nouvelle énigme. Les vidéos apparaitrons au fur et à mesure avec à chaque fois une nouvelle énigme à résoudre.

Si vous n’êtes pas là pour la première mission pas de soucis vous pouvez intégrer le jeu en cours de retour ou alors reprendre depuis le début en allant pas voir les réponses des énigmes qui ont déjà été postées et ainsi rattrapé votre retard.

Le but est de divertir les personnes en confinement, mais également de faire découvrir le monde de l’Escape Game à des personnes qui ne connaissaient pas cette activité. Cela peut être fait seul ou à plusieurs, certaines énigmes seront évidentes d’autres bien moins. De quoi bien faire travailler vos têtes.

Un teaser est de cette nouvelle aventure 100% digitale est disponible et d'autres informations arriveront prochainement sur le Facebook d'Escape World.

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Genève

La formation de Pierre Maudet accède au Grand Conseil

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Pierre Maudet et sa liste sont en passe de remporter leur pari dimanche à l'élection au Grand Conseil. La formation Libértés et justice sociale obtient dix sièges au Parlement (archivent). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Pierre Maudet et sa liste sont en passe de remporter leur pari dimanche à l'élection au Grand Conseil genevois. La formation Libértés et justice sociale obtient 10 sièges au Parlement, selon les résultats anticipés. Le MCG et l'UDC se renforcent.

Pour l'heure, le MCG décroche 14 sièges (+3), tandis que l'UDC en obtient 13 (+5). Les perdants sont le PLR, avec 23 sièges (-5 sièges), les Verts, avec 14 sièges (-1), et le Centre, avec 9 sièges (-3). De son côté, le PS conserve ses 17 sièges.

Les Vert'libéraux décrochent 6,37% des voix, à quelques encablures du quorum fixé à 7% des voix pour siéger. Comme pressenti, l'extrême gauche, divisée, quitte le Grand Conseil. Ensemble à Gauche obtient 3,43% des suffrages et la Liste d'Union populaire, 2,98%.

Ces résultats se basent sur le vote par correspondance, utilisé par plus de 90% des électeurs. A ce stade, le taux de participation s'élève à 33,81%, contre 38,77% en 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Rachat de CS par UBS: la solution "la moins mauvaise" (Jean Studer)

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Jean Studer, président de la BCN et ancien président du conseil de banque de la BNS, dit avoir vu des signes "inquiétants" en automne dernier concernant la situation de Credit Suisse (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La reprise de Credit Suisse (CS) par UBS représente la solution "la moins mauvaise", selon Jean Studer, président de la Banque cantonale neuchâteloise (BCN) et ancien président du conseil de banque de la BNS. Il dit aussi avoir vu des signaux préalables "inquiétants".

Des signes montraient déjà "une situation compliquée" pour CS en automne dernier, estime M. Studer, dans une interview publiée dimanche sur le site Internet du Temps. Et de citer "les fuites de capitaux, une culture problématique, notamment marquée par des placements hasardeux ou la filature d'un cadre supérieur, les changements rapprochés de direction et de manière générale une fébrilité qui faisait qu'on parlait trop souvent en mal de Credit Suisse".

Malgré les tentatives de rassurer de ses responsables, les clients les croyaient de moins en moins, poursuit-il. "Cette fragilité n'a fait que s'aggraver lors des turbulences bancaires survenues aux Etats-Unis."

Le président de la BCN a présagé la reprise de CS par UBS lors d'une réunion avec ses homologues des banques cantonales latines le 10 mars. Les autres ont estimé que la première banque de Suisse n'avait "aucun intérêt à le faire". "Je me suis alors dit qu'ils avaient peut-être raison."

Pas la mission de la BNS de reprendre le CS

Jean Studer estime aussi que ce n'était pas la mission de la Banque nationale suisse (BNS) de reprendre sous son aile le CS avant de le revendre. La solution retenue est donc "la moins mauvaise", compte tenu des structures et de l'activité mondiale de la banque et de l'urgence de la situation. M. Studer ne se prononce pas en détail sur la nouvelle taille d'UBS, même s'il reconnaît que "le secteur bancaire est déjà démesuré par rapport à la grandeur de la Suisse".

Si la BNS devait voler au secours de cette nouvelle UBS, il faudrait se poser la question de sa capacité à remplir ses autres missions, selon lui: "Quelle serait, au niveau international, la crédibilité d'une banque centrale dont le bilan exploserait, alors qu'il est déjà très élevé? Serait-elle vraiment toujours à même de lutter contre l'appréciation du franc 'quoi qu'il en coûte'?"

Renforcer la Finma

Concernant la réglementation "trop grand pour faire faillite", M. Studer trouve qu'elle est pertinente pour une banque systémique en difficulté. Mais on n'a pas le temps de mettre en place ces règles "lorsqu'il y a une chute brutale de la confiance dans un gros établissement bancaire".

Jean Studer ne jette pas la pierre à l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma). "Il n'est pas facile d'agir pour un régulateur, car celui-ci est conscient que toute intervention significative de sa part ne peut qu'aggraver cette perte de confiance".

Il reconnaît toutefois que la Finma n'a pas assez de pouvoir face aux banques d'importance systémique. Il imagine un régulateur spécifique pour ces établissements, avec plus de personnel et de compétences. "Mais jusqu'où aller dans cet exercice?", se demande-t-il, s'interrogeant sur l'ampleur de la responsabilité à donner à l'Etat.

Garanties de l'Etat

Jean Studer estime qu'il y aura toujours une pesée d'intérêts à faire en la matière. Toujours offrir une garantie de l'Etat "n'est pas forcément le meilleur moyen pour rendre attentifs les établissements bancaires à leurs responsabilités". S'il y en a une, il faut alors en fixer les conditions d'exercice, ses conséquences sur la conduite des affaires et la gestion, ainsi que sa rémunération.

Le président de la BCN voit aussi un autre problème lié à la garantie étatique: "il n'y a plus de grand écart avec le caractère public d'un tel établissement, comme l'ont plusieurs banques cantonales". Celles-ci tirent d'ailleurs profit de la situation actuelle: une partie des clients de CS se tournent vers elles.

Au-delà des aspects financiers et des garanties de la Confédération, Jean Studer estime que la Suisse doit réfléchir sur sa relation avec sa place financière, qui était jusque-là "connue pour ses performances, sa stabilité et sa crédibilité".

Des principes mis à mal avec le droit d'urgence décrété, même si l'opération s'est faite de manière "relativement ordonnée" et qu'il est "vraisemblable" que tout autre pays démocratique aurait réagi de la même manière. "L'image d'une Suisse à la stabilité légendaire" s'en trouve écornée.

Le Parlement aussi doit mieux appréhender ce qu'est la place financière helvétique, avec ses avantages et ses risques. La création d'une commission d'enquête parlementaire, actuellement discutée, pourrait permettre cela.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Deux sortants en tête pour le Conseil d'Etat genevois

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Selon les résultats anticipés, la PLR Nathalie Fontanet arrive en tête du premier tour de l'élection au Conseil d'Etat genevois. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, la PLR Nathalie Fontanet arrive en tête dimanche au 1er tour de l'élection au Conseil d'Etat, devant le socialiste Thierry Aprothéloz. La PLR Anne Hiltpolt est troisième, suivie du Vert Antonio Hodgers. Pierre Maudet pointe en cinquième position.

Selon ces résultats anticipés, la magistrate verte sortante Fabienne Fischer et la socialiste Carole-Anne Kast arrivent en sixième et septième position, avec quasiment le même nombre de voix. Le MCG Philippe Morel les suit de près.

A ce stade, le Centre perd son siège: les deux nouveaux candidats, Delphine Bachmann et Xavier Magnin, sont respectivement neuvième et dixième. L'UDC Lionel Dugerdil s'intercale entre les deux, tandis que son colistier Michael Andersen est douzième.

Les résultats anticipés se basent sur le vote par correspondance qui correspond à plus de 90% des bulletins rentrés. Pour l'heure, le taux de participation s'élève à 33,81%. Il était de 38,77% au premier tour de l'élection au Conseil d'Etat en 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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🔴 live: suivez en direct les résultats de l'élection au Grand Conseil

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Dimanche 2 avril, les genevois sont appelés aux urnes pour l'élection au Grand Conseil.

Retrouvez tous les résultats de cette élection en temps réel sur Radio Lac et suivez notre émission spéciale en direct d'Uni Mail de 12h à 19h.

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Genève

🔴 live: suivez les résultats du premier tour de l'élection au Conseil d'Etat

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Ce dimanche, les genevois sont appelés aux urnes pour le premier tour de l'élection au Conseil d'Etat.

Retrouvez tous les résultats de ces élections en temps réel sur Radio Lac et suivez notre émission spéciale en direct d'Uni Mail de 12h à 19h.

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