Rejoignez-nous

Actualité

Echec de l'initiative sur les entreprises

Publié

,

le

Malgré une campagne offensive, les partisans de l'initiative "pour des entreprises responsables" n'ont pas obtenu la majorité des cantons (archives). (©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'initiative "pour des multinationales responsables" a fait les frais de la règle de la double majorité. Malgré 50,7% de "oui", le texte qui voulait imposer des règles strictes aux entreprises a été rejeté par plus de la moitié des cantons.

Seuls huit cantons et demi se sont montrés favorables à l'initiative populaire "Entreprises responsables – pour protéger l’être humain et l’environnement". Le texte a ainsi passé la rampe dans tous les cantons romands, à l'exception du Valais, qui le rejette par 56% des voix. Le Jura l'a plébiscité avec 68,7% de "oui", suivi de Neuchâtel (64,6%), Genève (64,2%), Vaud (59,8%) et Fribourg (56,6%).

Berne a accepté par 54,6% des voix, avec même près de 61% de "oui" dans le Jura bernois et à Bienne. Les habitants de Bâle-Ville ont soutenu le texte à 61,9% de voix, les Zurichois à 52,8% et les Tessinois, à 54,2%.

En Suisse alémanique, les cantons avec de grands centres urbains n'ont pas réussi à faire la différence. Le rejet le plus fort est venu de cantons conservateurs comme Nidwald, Schwyz et Appenzell Rhodes-Intérieures, avec plus de 65% de refus.

Lucerne (56%), St-Gall (57,7%), Glaris (52,9%) et les Grisons (54,2%), où les opposants à l'initiative avaient renforcé leur campagne au cours des dernières semaines, ont aussi refusé le texte, faisant pencher la balance.

Au final, quelque 1,299 million de personnes ont glissé un "oui" dans l'urne. Environ 1,261 million de personnes ont voté "non".

Contre-projet

Cet échec ouvre la voie à l'entrée en vigueur du contre-projet indirect élaboré par le Parlement. L'initiative populaire exigeait des sociétés qui ont leur siège en Suisse de veiller au respect des droits de l'homme et des normes environnementales internationalement reconnues. Ces sociétés auraient dû effectuer ces contrôles pour leurs activités en Suisse, mais aussi pour celles à l'étranger.

Les multinationales auraient répondu des dommages causés par leurs filiales, mais pas pour les actions de leurs fournisseurs. De grands groupes comme Glencore, Syngenta ou Lafarge-Holcim étaient visés. Si une violation était commise par l’une de leurs filiales à l’étranger, la maison-mère en aurait été tenue responsable, à moins qu'elle ne démontre qu'elle a fait preuve de la diligence requise pour prévenir le dommage.

Règles moins sévères

Le contre-projet indirect ne va pas aussi loin. Adopté par une majorité de centre-droit à l'issue d'une longue bataille au Parlement, cette alternative ne réglemente pas explicitement la responsabilité de la maison-mère pour les entreprises contrôlées à l’étranger. Elle n'introduit pas de nouvelles normes, mais prévoit de nouvelles obligations.

A l'avenir, les entreprises concernées devront rendre un rapport annuel sur leur politique dans le domaine des droits de l’homme et de l’environnement. Elles devront aussi faire preuve d’un devoir de diligence en matière de travail d’enfants et de minerais de la guerre.

En cas d’infraction aux nouvelles obligations de rendre compte des risques que font courir leurs activités commerciales à l’étranger, une amende allant jusqu’à 100'000 francs est prévue.

Longue campagne

L'initiative, déposée en octobre 2016, était soutenue par 130 organisations non gouvernementales, d'aide au développement, de défense des droits de l'homme et de l'environnement. Les initiants ont lancé l'offensive bien avant que la date de la votation ne soit fixée avec des bénévoles engagés dans près de 450 comités régionaux.

Partout, sur les balcons, les fenêtres ou dans les jardins, les banderoles orange pour des multinationales responsables ont fleuri. Les sondages ont longtemps donné l'avantage à l'initiative.

Du côté des partis, la gauche l'a soutenu en bloc, alors que les autres partis se sont montrés plus partagés. Le PVL recommandait le "oui", mais sans faire l'unanimité auprès de tous ses membres. L'UDC et le PLR étaient contre, bien que plusieurs voix dissidentes se soient fait entendre.

Le centre était encore plus divisé. Le PBD recommandait le "oui". Le PDC y était opposé, avec là aussi plusieurs parlementaires et les jeunes du parti soutenant le texte.

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Genève

Troisième campagne pour abolir les violences sexistes et sexuelles

Publié

le

Le canton et la Ville de Genève lancent leur 3e campagne contre les violences sexistes et sexuelles, du 13 au 30 novembre (image d'illustration) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le canton et la Ville de Genève lancent la 3e édition de la campagne "Violences sexistes et sexuelles: finissons-en!". Plusieurs évènements sont prévus dès jeudi et jusqu'au 30 novembre. Ils mettent l'accent sur la responsabilité collective.

"Aujourd'hui encore, en Suisse comme ailleurs, le sexisme tue", ont rappelé le canton et la Ville de Genève dans un communiqué. Ateliers d'auto-défense, création d'un fanzine ou encore diffusion de podcasts sont au programme de cette campagne qui s'inscrit dans le cadre de la Journée internationale pour l'élimination des violences sexistes et sexuelles du 25 novembre.

La table ronde "Soumission chimique et violences sexuelles: enjeux et décryptage" lancera le coup d'envoi jeudi au Groove. Un évènement qui marquera aussi le lancement du projet de Team Car professionnelle de l'association We can dance it "pour une fête plus inclusive, plus sûre et plus solidaire".

"Tous concernés"

L'enquête Iceberg, publiée cette année par le Bureau de promotion de l'égalité et de prévention des violences, a permis de mesurer "la part invisible" des violences. Au cours de leur vie, 36% des femmes et 44% des personnes LGBT ont été confrontées à une violence sexiste, sexuelle ou LGBTIQ+phobe sur leur lieu de travail. A la suite de quoi une femme sur dix a déjà quitté son emploi à Genève.

"Que l'on en soit victime, témoin ou même auteur, les violences sexistes et sexuelles nous concernent toutes et tous", a indiqué Nathalie Fontanet, magistrate de tutelle du bureau, citée dans le communiqué. Et le maire de la Ville de Genève Alfonso Gomez de souligner: "dans ce cadre, les hommes ont un rôle actif à jouer".

Une cérémonie organisée par l'association Soroptimist clôturera la campagne le 30 novembre aux Bains des Pâquis. Une mise à l'eau de lanterne y est prévue en hommage aux victimes de féminicides en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Accident d'un avion-cargo aux Etats-Unis: UPS immobilise ses MD-11

Publié

le

L'appareil a explosé en percutant des entreprises situées près de l'aéroport à près de 5 km de l'aérogare (archives). (© KEYSTONE/AP/Phil Speck)

Le transporteur américain UPS a annoncé avoir immobilisé sa flotte d'avions-cargos MD-11 "par mesure de précaution", après un accident qui a fait cette semaine 14 morts dans le Kentucky, dans le centre-est des Etats-Unis.

"L'immobilisation est appliquée immédiatement. Nous avons pris cette décision sur recommandation du fabricant de l'avion", a indiqué la société de livraison et de logistique dans un communiqué mis en ligne vendredi soir.

Un avion McDonnell Douglas MD-11, à destination d'Hawaï, s'est écrasé mardi, peu après son décollage de l'aéroport international Muhammad Ali de Louisville, alors qu'un de ses moteurs s'était détaché après avoir pris feu.

L'appareil a explosé en percutant des entreprises situées près de l'aéroport. Trois membres d'équipage se trouvaient à bord de l'avion qui a terminé sa course à près de 5 km de l'aérogare.

14e victime décédée

Le gouverneur du Kentucky, Andy Beshear, a annoncé tard vendredi la mort d'une 14e victime. "Veuillez prier pour ces familles, la communauté de Louisville et tous ceux affectés par cet événement terrible", a-t-il déclaré sur X.

L'avion, rempli de plus de 140'000 litres de carburant pour son vol long-courrier, a évité de justesse une grande usine d'assemblage de véhicules Ford qui emploie environ 3000 personnes.

Des images aériennes du site de l'accident ont montré une longue traînée de débris tandis que les pompiers aspergeaient d'eau les flammes.

Boîtes noires

Todd Inman, membre du Conseil national de la sécurité des transports (NTSB), a déclaré cette semaine que les enquêteurs avaient retrouvé l'enregistreur de données de vol et l'enregistreur de conversations du cockpit. Ces boîtes noires doivent être analysées à Washington.

L'accident serait le plus meurtrier de l'histoire d'UPS. Son principal hub, Worldport, se trouve à Louisville, où l'entreprise emploie des milliers de personnes.

La société a indiqué qu'elle avait mis en place des plans de contingence "pour garantir (qu'elle puisse) continuer à fournir un service fiable" alors que les MD-11 représentent 9% de sa flotte. Selon le NTSB, l'avion a été construit en 1991 et avait été modifié pour devenir un avion cargo.

Le géant de la livraison FedEx a également immobilisé sa flotte de MD-11 pendant qu'il passe en revue sa sécurité, selon des rapports des médias américains.

En plein shutdown

L'accident a eu lieu au milieu du plus long blocage budgétaire ("shutdown") de l'histoire des États-Unis, et le secrétaire aux Transports Sean Duffy avait averti cette semaine d'un "chaos total" dans les airs en raison d'un manque de personnel de contrôle aérien.

Un millier de vols ont ainsi été annulés vendredi dans les aéroports américains et environ 700 annulations ont été annoncées pour samedi. Mais Todd Inman a déclaré que le NTSB n'avait pas été informé de pénuries de personnel à l'aéroport de Louisville au moment de l'accident.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Genève

La Genevoise Delphine Bachmann critique la position de son parti

Publié

le

La position du Centre sur les accords Suisse-UE inquiète la conseillère d'Etat genevoise Delphine Bachmann (archive). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Pour la ministre genevoise de l'économie Delphine Bachmann, la position nuancée de son parti, le Centre, sur les accords bilatéraux Suisse-UE est "une erreur stratégique". Elle plaide pour un soutien en faveur de ces accords "nécessaires pour Genève, deuxième canton exportateur".

"La prise de position 'oui, mais' ne représente pas la majorité de l’opinion du parti, et on a besoin d’avoir un message fort pour gagner", déclare Delphine Bachmann dans un entretien publié samedi dans le Temps. Si le Centre soutient ces accords sur le fond, il demande des améliorations ciblées de politique intérieure en matière d'immigration et de contrôle démocratique.

Le président du parti Philipp Matthias Bregy avait déclaré dans les médias que cet accord ne l'emballait pas, mais qu'il était essentiel de maintenir des relations avec l'UE qui reposent sur des règles claires. Des nuances qui ne plaisent pas à Delphine Bachmann. "Avoir un discours hésitant ne nous aidera pas à faire campagne", a-t-elle souligné.

La conseillère d'Etat estime que les cantons ont aussi leur mot à dire. "En particulier un canton comme Genève dont la prospérité s’est construite sur la relation avec ses partenaires extérieurs", souligne-t-elle. Et de rappeler que "Genève a besoin de main-d’½uvre", en insistant sur la croissance qui fait la prospérité et la réussite de la Suisse.

La cheffe du Département de l'économie, de l'emploi et de l'énergie (DEE) estime que son parti devrait se positionner rapidement par le biais d'une assemblée des délégués, comme l'ont déjà fait d'autres partis, à l'instar du PLR. "L’économie a besoin de réponses maintenant. On doit lui envoyer un message fort et rassurant: en Suisse, le cadre est stable et va le rester", insiste Mme Bachmann.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse Romande

Deal: les Vert'libéraux vaudois veulent s'inspirer du Portugal

Publié

le

C'est en 2001 que le Portugal a décriminalisé le cannabis et les drogues dures, devenant ainsi le premier pays européen à adopter une approche de santé publique à l'égard de leur consommation (photo symbolique). (© Keystone/AP/ARMANDO FRANCA)

Pour sortir du cercle vicieux du deal de rue, les Vert'libéraux vaudois veulent s'inspirer du modèle portugais, qui a décriminalisé toutes les drogues en 2001. L'idée de la motion déposée cette semaine au Grand Conseil par le député David Vogel est de considérer les consommateurs non plus comme des criminels à envoyer en prison, mais comme des malades qu'il faut prendre en charge.

"Face à une situation qui déborde dans nos rues vaudoises, il est temps d'oser une politique du courage: la motion 'Du bad trip au bon plan' propose de compléter et moderniser la politique des quatre piliers en plaçant l'accompagnement personnalisé au coeur de l'action", ont indiqué les Vert'libéraux dans un communiqué.

"Au Portugal, la création de commissions de dissuasion a permis de coordonner les acteurs sociaux, médicaux et policiers, pour réduire efficacement la consommation à moyen terme, réinsérer les personnes touchées, faire baisser la mortalité chez les toxicomanes et faire des économies substantielles dans la gestion publique", explique le parti vaudois.

"La politique de la drogue doit, si possible, éviter une approche idéologique stérile. Il faut s'inspirer de ce qui fonctionne chez nos voisins et l'appliquer. S'ils y arrivent, pourquoi n'y arriverions-nous pas?", affirme le motionnaire David Vogel.

Portés par "des recherches solides" et le constat "d'une urgence sociale", les Vert'libéraux vaudois proposent via cette motion la mise en place d'un projet pilote inédit en Suisse romande. "Il ne faut pas uniquement nous baser sur la répression sans accompagnement individualisé. En complément de la répression, il nous faut améliorer la prévention et la prise en charge individualisée afin d'essayer de maîtriser concrètement la situation sur le terrain".

Résultats probants

C'est en 2001 que le Portugal a décriminalisé le cannabis et les drogues dures, devenant ainsi le premier pays européen à adopter une approche de santé publique à l'égard de leur consommation. Si ni l'usage ni la possession pour un usage personnel sont illégaux, le trafic et le commerce de stupéfiants restent, eux, interdits.

La loi datant de 25 ans n'abroge pas les sanctions pour possession de stupéfiants, mais les reclasse comme infractions administratives plutôt que pénales. Elle a surtout marqué une rupture avec les politiques punitives traditionnelles. Au lieu d'être condamnés donc, les consommateurs sont dirigés vers un traitement thérapeutique et peuvent bénéficier d'un soutien à long terme.

Concrètement, la peine privative a été remplacée par la participation obligatoire à une formation encadrée par des "Commissions pour la dissuasion de la toxicomanie". Celles-ci sont organisées au niveau régional et composées d'un avocat, d'un travailleur social et d'un professionnel de santé. Leur principe est basé sur la prévention, les soins et la réinsertion sociale.

Selon plusieurs rapports et études, le taux de décès liés à la drogue a chuté depuis 2001 au Portrugal. Il était en 2024 cinq fois plus faible que la moyenne de l'Union Européenne (UE).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Genève

L'Université de Genève ouvre ses portes pour comprendre le diabète

Publié

le

L'Université de Genève ouvre ses portes lors de la Journée du diabète jeudi, pour mieux comprendre cette maladie métabolique. Il sera possible d'observer des cellules à insuline au microscope (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

A l'occasion de la Journée du diabète jeudi, les chercheurs et cliniciens de la Faculté de médecine de l'Université de Genève (UNIGE) ouvrent leurs portes. Le public pourra mieux comprendre le métabolisme de cette maladie et les dernières avancées scientifiques à son sujet.

De 09h30 à 18h00, une douzaine de présentations expliqueront au public les rôles des différents organes dans la maladie métabolique ou pourquoi l'horloge biologique influe sur son évolution, indique l'UNIGE dans un communiqué. Les chercheurs présenteront aussi les nouveaux traitements en développement et donneront l'occasion aux curieux d'observer des cellules à insuline au microscope.

Le Centre de compétence suisse 3R tiendra aussi un stand pour expliquer comment il est possible de remplacer les expériences sur les animaux dans la recherche sur le diabète. Ceci grâce à la création de mini-organes à partir de cellules en laboratoire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

GenèveIl y a 2 heures

Troisième campagne pour abolir les violences sexistes et sexuelles

Le canton et la Ville de Genève lancent la 3e édition de la campagne "Violences sexistes et sexuelles: finissons-en!". Plusieurs...

InternationalIl y a 2 heures

Accident d'un avion-cargo aux Etats-Unis: UPS immobilise ses MD-11

Le transporteur américain UPS a annoncé avoir immobilisé sa flotte d'avions-cargos MD-11 "par mesure de...

GenèveIl y a 3 heures

La Genevoise Delphine Bachmann critique la position de son parti

Pour la ministre genevoise de l'économie Delphine Bachmann, la position nuancée de son parti, le...

Suisse RomandeIl y a 3 heures

Deal: les Vert'libéraux vaudois veulent s'inspirer du Portugal

Pour sortir du cercle vicieux du deal de rue, les Vert'libéraux vaudois veulent s'inspirer du...

GenèveIl y a 3 heures

L'Université de Genève ouvre ses portes pour comprendre le diabète

A l'occasion de la Journée du diabète jeudi, les chercheurs et cliniciens de la Faculté...

CultureIl y a 4 heures

Les dessins naturalistes s'invitent aux Naturéum à Lausanne

Les dessins naturalistes s'invitent au Naturéum (Muséum cantonal des sciences naturelles) à Lausanne. Jusqu'au 19...

CultureIl y a 7 heures

Vol au Louvre: "les bijoux seront retrouvés", réaffirme Macron

Le président français Emmanuel Macron a répété vendredi lors d'un déplacement au Mexique que les...

GenèveIl y a 9 heures

Servette accueille Thoune, l'étonnant leader de Super League

Le Servette FC défie Thoune, le suprenant leader de Super League, samedi à Genève (20h30)....

SportIl y a 9 heures

Le rythme infernal du LS va encore s'accélérer

Le Lausanne-Sport enchaîne les rencontres à un rythme effréné depuis le début de la saison....

CultureIl y a 12 heures

Nouvelle-Zélande: décès du réalisateur Lee Tamahori

Le Néo-Zélandais Lee Tamahori, remarqué avec "L'âme des guerriers" avant de réaliser des films d'action...