Rejoignez-nous

Actualité

Dans la peau d'une entrepreneuse à la Journée mondiale des Chambres de commerce

Publié

,

le

400 entrepreneurs et 20 chambres de commerces régionales et internationales, notamment les chambres sino-suisses et franco-suisses. C'est ce que propose la CCIG pour la Journée mondiale des Chambres de commerce, ou "Chambers'Day". A cette occasion, nous avons suivi une entrepreneuse, Carole Haddad, au coeur de cet événement. 

Des stands, des conférences et des entrepreneurs. Voilà ce que l'on pouvait trouver ce mardi à l'occasion du "Chambers'Day", qui s'est tenu à l'hôtel Kempinski, au bord du lac. Mis en place par la Chambre de commerce et d'industrie de Genève (CCIG), il s'agit d'un événement destiné à rassembler différentes Chambres de commerces. Et c'est également dans cet esprit d'échange qu'est venue Carole Haddad, qui a lancé une société spécialisée dans la "communication digitale expérientielle". Un concept commercial qui cherche à créer chez le consommateur une expérience qui fait appel aux émotions, de sorte à le toucher de "manière différente".

Carole HaddadEntrepreneuse, Onemillionclaps

Entrepreneuse 

Si Carole Haddad est là, c'est avant tout pour échanger avec des nouvelles personnes et voir ce qui se passe dans les coulisses du monde entrepreneurial. Attentive, elle n'exclut pas de percer certains secrets.

Carole HaddadEntrepreneuse, Onemillionclaps

Pour elle, l'aspect humain de cet événement est primordial. Elle se réjouit du fait de pouvoir rencontrer des personnes en chair et en os, alors qu'elle est - au quotidien - bien souvent confrontée aux e-mails et aux appels par téléphone.

Carole HaddadEntrepreneuse, Onemillionclaps

Organisateurs satisfaits 

Les 400 entrepreneurs ont répondus présents, aussi, du côté des organisateurs, on se réjouit. Le directeur général de la CCIG - Vincent Subilia - rappelle que ce sont vingt-cinq Chambres de commerces qui sont réunies sous l'égide de la CCIG. Pour lui, l'exercice est réussi.

Vincent Subilia Directeur général, CCIG

Pour Vincent Subilia, l'objectif de cet événement est de rappeler que les Chambres de commerce sont souvent perçues comme un partenaire privilégié par les entrepreneurs genevois, et plus largement suisses. Le directeur général considère également que Genève est la capitale de la gouvernance économique mondiale, de par sa concentration d'acteurs dans ce domaine.

Vincent Subilia Directeur général, CCIG

Rendez-vous "face-to-face" 

Promouvoir l'entreprise, développer et entretenir le réseau genevois: les entrepreneurs présents viennent aussi faire des affaires. A cet effet, il est possible de s'entretenir en face à face, lors d'entretiens de quinze minutes avec une société. C'est justement ce qu'attend Gérald Bornand, directeur d'une entreprise genevoise spécialisée dans l'événementiel.

Gérald Bornand Directeur d'une entreprise d'événementiel

 

Plus d'informations sur le site internet de la CCIG.

 

 

 

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Hockey

Cody Almond: "J'ai entendu ma femme crier depuis son canapé"

Publié

le

Cody Almond a marqué le 3-0 pour Lausanne (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Lausanne s'est offert le droit de disputer mardi à Zurich un acte VII forcément décisif. Et si Damien Riat a inscrit un doublé samedi, Cody Almond a marqué en rendant en plus une très belle copie.

Dans la colonne des tirs des joueurs lausannois, on voit un 8. Antti Suomela sans doute? Perdu, Cody Almond. Auteur du 3-0, le numéro 89 a encore eu d'autres occasions de saler l'addition. Mais même avec un seul but, le Canado-Suisse affichait logiquement un très large sourire.

Parce que Lausanne a joué un deuxième tiers de rêve. "C'est un sentiment incroyable, juge Cody Almond. Parfois ça entre, parfois pas, mais on doit toujours garder confiance et tenter notre chance. On a gagné un immense momentum durant ces vingt minutes et peut-être qu'on a un peu levé le pied inconsciemment."

Lever le pied ou comment se faire peur inutilement. Alors que Zurich, mené 5-0, était dans les cordes, les Vaudois ont laissé leur adversaire y croire à nouveau en les laissant revenir à 5-3. Comment l'expliquer? "Je pense peut-être que dans ta tête, tu es tiraillé en te disant qu'il faut conserver de l'énergie pour le prochain match. Mais on sait bien que c'est une équipe très dangereuse et on a vu qu'ils sont revenus assez vite et qu'il a fallu se regrouper."

Une paternité qui donne des ailes

Papa pour la deuxième fois, déjà buteur lors de la victoire 5-2 mardi dernier, Cody Almond est sur un petit nuage. A croire que la paternité réussit aux Canado-Suisses puisque la veille, c'est Tanner Richard qui a marqué avec l'équipe de Suisse contre la Lettonie. "C'est cool ça, je ne savais pas pour Tanner, avoue Almond. Je ne vais pas vous mentir, c'est incroyable. Je pense que je pouvais entendre ma femme crier depuis son canapé. Peut-être mon bébé aussi, enfin je n'espère pas trop (il sourit). C'était vraiment un moment spécial devant nos fans à cet instant de la finale dans un sixième match."

Et donc voilà le septième match qui se profile, celui que tous les joueurs rêvent de gagner en étant gamin. Pour la troisième fois en trois ans, la finale va donc se décider au bout du suspense. "J'ai l'expérience des septièmes matches, mais pas en finale, note Almond. Après, ce n'est pas franchement différent d'une autre partie. Tout est simplement magnifié et le moindre petit détail compte. On sait ce qu'on doit faire. Evidemment, ce sera dans une patinoire où il est très difficile de s'imposer, mais nous n'avons pas encore joué notre jeu là-bas, donc il faudra le faire mardi et donner la meilleure version de nous-mêmes."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Sport

Christian Constantin: "L'arbitre 12e homme de Lugano"

Publié

le

Une soirée à oublier pour Christian Constantin et le FC Sion. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

"Les deux équipes avaient chacune leur douzième homme ce soir. Nous avec le public, Lugano avec l’arbitre !" Avec son sens de la formule, Christian Constantin a tapé dans le mille.

Personne ne peut, en effet, comprendre la décision de l’arbitre sur l’action de la 49e minute. Urs Schnyder est bien la seule personne dans le stade qui a vu une faute de Cristian Souza sur Ousmane Doumbia. "Il devrait laisser sa place à des plus jeunes et cesser de fausser la compétition, fulmine Christian Constantin. Il croit avoir tout le temps raison. Il ne doute jamais. Ce soir, sa tâche était de sécuriser la rencontre. Il n’y est pas parvenu. Bien sûr, il n’y avait pas la VAR. Mais je veux rappeler que la saison dernière la VAR avait laissé les joueurs de Winterhour jouer avec les mains dans leur surface. Alors..."

Le président du FC Sion a compris que cette demi-finale était pliée à 2-0. "Nous aurions dû faire le break d’entrée sur l’action de Dejan Sorgic, regrette-t-il. Après, Lugano a bénéficié d’une certaine réussite pour mener à la pause. Mais sans ce penalty, nous aurions pu poursuivre sur la lancée de la première période. On aurait vu un vrai match de foot..."

Chrstian Constantin se félicite bien sûr du soutien populaire derrière son équipe. "Le public était présent. Il était aussi en attente. Et à la fin, il est parti malheureux », conclut-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Hockey

Lausanne s'offre un septième match pour le titre

Publié

le

Jason Fuchs (à gauche) fête son but du soir, le 4-0, en compagnie de son coéquipier Joël Genazzi. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Lausanne aura droit à une finalissima pour le titre mardi à Zurich. Les Vaudois ont brillamment remporté l'acte VI de la finale des play-off de National League samedi à domicile en battant Zurich 5-3.

Damien Riat l'avait prédit jeudi dernier après le match. Il avait donné rendez-vous aux journalistes mardi à Zurich pour l'acte VII, imaginant déjà la victoire des siens samedi à Malley. Car ce Lausanne Hockey Club est décidément incroyable. Le dos au mur, les Lions de Malley ont offert un match fou aux 9600 spectateurs présents dans la patinoire, ainsi qu'aux 1000 personnes présentes dans les cinémas juste à côté.

Toujours battus à Zurich lors des tiers médians dans cette finale, les Lausannois ont cette fois pris leur revanche de manière éclatante en inscrivant quatre buts et en chassant le portier Simon Hrubec après le 4-0 de Jason Fuchs. Mais les Vaudois avaient construit leur succès bien avant. Antti Suomela a mis la première pierre à l'édifice en ouvrant le score en power-play à la 5e.

Une ligne étincelante

Au cours de la deuxième période, c'est la ligne Riat-Fuchs-Kovacs qui s'est mise en évidence. A la 27e, Damien Riat a pu battre Hrubec pour un 2-0 qui a encore davantage libéré les Vaudois et crispé les Zurichois. A la 33e, Cody Almond - par ailleurs excellent - a marqué le troisième, histoire de récompenser le travail si précieux de la quatrième ligne. Deux minutes plus tard, Jason Fuchs chassait donc Hrubec en signant la quatrième réussite des Vaudois.

Le trio s'est encore signalé à deux reprises durant ce deuxième vingt avec un but de Fuchs annulé pour une obstruction sur le gardien et le 5-0 de Riat sur une très belle passe de Kovacs. Piqués au vif, les hommes de Marc Crawford ont répondu en réduisant le score en toute fin de période par Chris Baltisberger. Avec l'énergie du désespoir, les Lions alémaniques ont repris des couleurs avec des buts de Kukan (43e) et Malgin (49e).

A noter que la glace n'était pas optimale pour cette partie. La "faute" à l'équipe de Suisse en visite la veille pour un match de préparation au Mondial face à la Lettonie. Pour satisfaire aux exigences des sponsors de la sélection, il a fallu ajouter deux centimètres de glace avec des autocollants placés sur ceux du LHC. Mais au final, cela ne restera qu'une péripétie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Sport

Un chef-d'oeuvre et un cadeau envoient Lugano en finale

Publié

le

Zan Celar transforme ce penalty inexistant pour classer l'affaire. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La finale de la Coupe de Suisse du 2 juin à Berne ne sera pas romande. Malgré le soutien de 15'000 supporters, le FC Sion est tombé à Tourbillon devant un FC Lugano plus clinique que jamais.

Battus 2-0, les Sédunois ont tout perdu juste avant et juste après la pause. A la 45e minute, les Tessinois ouvraient le score sur une action magnifique : centre d’Ousmane Doumbia vers Zan Celar, lequel remisait sur Yanis Cimignani pour une reprise de volée imparable. Le gaucher français de 22 ans gardera sans doute toujours en mémoire cette réussite qui a ouvert les portes d’une troisième finale de rang pour le FC Lugano, titré en 2022 face au FC St. Gall mais battu l’an dernier par les Young Boys.

Le deuxième but luganais, un penalty transformé par Celar à la 51e, doit, en revanche, beaucoup à l’incompétence d’Urs Schnyder. Comment l’arbitre a-t-il pu voir une faute de Cristian Souza sur Doumbia à alors que c’est plutôt l’Ivoirien qui s’est comporté d’une manière illicite sur cette action ? Sans la VAR pour effacer cette erreur, les Sédunois n’avaient plus les yeux que pour pleurer. Menés 2-0 face à une équipe qui n’a perdu aucun de ses dix derniers matches, ils se sont retrouvés devant une mission impossible. Comme gravir l’Everest en tongs.

La belle entame sédunoise

Sion a tout de même eu sa chance dans cette demi-finale. Les protégés de Didier Tholot avaient, en effet, réussi une superbe entame. A la 3e minute, Ami Saipi devait sortir le grand jeu sur une frappe de Dejan Sorgic. Ali Kabacalman (5e), Ilyas Chouaref (7e) et Théo Berdayes (10e) devaient également se procurer des situations intéressantes face à des Luganais qui ronronnaient sans doute un peu trop. Mais au fil des minutes, les Tessinois ont su imposer leur jouerie pour forcer la décision. On a le sentiment qu’ils n’avaient vraiment pas besoin du coup de pouce de l’arbitre pour plier l’affaire.

Le FC Sion n’a pas tout perdu en ce dernier samedi d’avril. Les deux points égarés par le FC Thoune à Nyon les aideront à digérer cette élimination. Le faux pas de la formation de l’Oberland les place devant une voie royale vers la promotion directe. Vers la Super League où la VAR est de mise.

Ce dimanche, le Servette FC se déplace à Winterthour pour la seconde demi-finale. Les Genevois espèrent mettre fin à une longue attente de 23 ans. Ils ont joué et gagné leur dernière finale en 2001.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Le président sud-africain célèbre les succès de 30 ans de pouvoir de l'ANC

Publié

le

Pour Cyril Ramaphosa, "l'Afrique du Sud est aujourd'hui infiniment meilleure qu'elle ne l'était il y a 30 ans" (archives). (© KEYSTONE/AP/Themba Hadebe)

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a célébré samedi les succès de l'Afrique du Sud depuis l'accession au pouvoir de l'ANC il y a 30 ans. Il s'exprimait un mois avant des élections où le parti au pouvoir pourrait pour la première fois perdre la majorité absolue.

"L'Afrique du Sud est aujourd'hui infiniment meilleure qu'elle ne l'était il y a 30 ans", a affirmé M. Ramaphosa dans un discours prononcé à l'occasion de la "Journée de la liberté" à Pretoria. Cette journée marque les 30 ans de la démocratie après la fin du régime de l'apartheid.

Les Sud-Africains sont appelés aux urnes le 29 mai pour renouveler leur Parlement, qui désignera le prochain président. Agé de 71 ans, le chef de l'Etat en a profité pour énumérer les améliorations apportées par l'ANC, en difficulté dans les sondages.

"Nous avons poursuivi la réforme agraire, distribuant des millions d'hectares de terres à ceux qui en avaient été dépossédés par la force", a-t-il déclar. "Nous avons construit des maisons, des cliniques, des hôpitaux, des routes, des ponts, des barrages et bien d'autres installations. Nous avons apporté l'électricité, l'eau et l'assainissement à des millions de foyers sud-africains."

Corruption et économie

Mais selon un sondage Ipsos publié vendredi, le parti au pouvoir, qui avait obtenu plus de 57 % des voix lors des dernières élections nationales en 2019, est tombé à un peu plus de 40%. S'il obtenait moins de 50%, l'ANC serait contraint de trouver des partenaires de coalition pour rester au pouvoir.

L'ANC voit sa popularité s'éroder en raison d'une image entachée par les affaires de corruption et un climat socio-économique morose. Début avril, l'ex-présidente du Parlement et figure du parti au pouvoir Nosiviwe Mapisa-Nqakula avait ainsi été arrêtée et inculpée de treize chefs de corruption et blanchiment.

Cyril Ramaphosa a reconnu samedi l'existence de ces problèmes, mais a dénoncé ses détracteurs comme étant des personnes qui "ferment les yeux" volontairement. "Nous avons fait beaucoup de progrès et nous sommes déterminés à en faire beaucoup plus", a-t-il lancé.

"Des cauchemars"

"Ils nous ont promis des rêves, mais ils ne nous ont donné que des cauchemars", a de son côté accusé John Steenhuisen, chef du principal parti d'opposition, l'Alliance démocratique (DA), dans un discours. "La véritable liberté n'est possible que lorsque vous avez un emploi qui vous permet de répondre aux besoins de votre famille et de construire un avenir meilleur".

Selon le sondage d'Ipsos, l'Alliance recueillerait près de 22% des suffrages. Les Combattants de la liberté économique (EFF, gauche radicale) devraient recueillir 11,5% des voix, devant le parti uMkhonto we Sizwe (MK, 8,4%), dirigé par l'ex-président Jacob Zuma.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture