Genève les applaudit sans relâche tous les soirs à 21 heures. Ces professionnels en blouse blanche sont en première ligne de la lutte contre le Covid-19. Le temps d'un cliché, quelques unes des figures de l'hôpital cantonal se sont prêtées à l’exercice du portrait sous l'objectif de Salvatore Di Nolfi, photographe de l'agence Keystone. Découvrez les visages de ces neuf médecins des HUG au coeur de l'action. Saluons à travers eux, ceux et celles qui oeuvrent à leurs côtés, parfois dans l'ombre, pour mener cet héroïque combat.
Le biologiste Pascal Cherpillod (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Pascal Cherpillod a fait ses études de biologie à l’Université de Lausanne en se spécialisant dans les domaines de la biochimie et la biologie moléculaire virale. En 2000, il a obtenu une thèse de doctorat en virologie moléculaire (virus de la maladie de Carré) puis a poursuivi l’étude de certains mécanismes moléculaires de ce virus au Tierspital de Berne. Depuis 2005, il a rejoint le laboratoire de virologie où il est actuellement en charge du Centre National de Référence pour les Infections Virales Emergentes (CRIVE/NAVI).
Pr Laurent Kaiser (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Chef du Service des maladies infectieuses et responsable du laboratoire, FMH maladies infectieuses et FAMH microbiologie. Il a obtenu son diplôme de médecine à la Faculté de médecine de Genève en 1987, puis une spécialisation en maladies infectieuses et en microbiologie clinique.En octobre 2013, il est nommé médecin chef de service des maladies infectieuses et supervise les activités cliniques et académiques grâce à une équipe de nombreux spécialistes compétents dans les domaines phares des maladies infectieuses et de la microbiologie.
Pr Pascal Bonnabry (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Il est pharmacien-chef aux Hôpitaux Universitaires de Genève.
Pr Francois Sarasin (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Il est médecin-chef de service des Urgences des HUG.
Pr Jerome Pugin (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Vice-doyen en charge de la médecine clinique, Jérôme Pugin a été formé comme médecin à la Faculté de médecine de Genève et possède un FMH en médecine interne et en médecine intensive. Il pratique la médecine comme médecin chef de service du service des Soins intensifs des Hôpitaux universitaires de Genève. Il dirige également un laboratoire de recherche au Département de microbiologie et médecine moléculaire, dont la thématique est centrée sur les mécanismes moléculaires de la reconnaissance bactérienne par les cellules immunitaires de l’hôte humain.
Dr Frederique Jacquerioz Bausch (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Médecin cheffe de clinique, Gestionnaire de projets au sein de l'équipe de médecine tropicale et humanitaire.
Dr Anne Iten (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Médecin interniste infectiologue, responsable du programme VigiGerme. Elle est spécialisée sur la prévention de la grippe en milieu hospitalier et a travaillé dans le service prévention et contrôle de l'infection avec le Dr Didier Pittet.
Dr Manuel Schibler (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Il rejoint le laboratoire de virologie le 1er novembre 2013 afin d’orienter son activité vers la virologie clinique, à cheval entre l’interprétation des résultats des analyses et la recherche translationnelle, tout en gardant une activité clinique en maladies infectieuses, et obtient le titre FAMH en microbiologie médicale en 2018.
Pr Alexandra Calmy (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
Alexandra Calmy est médecin interniste, spécialisée en maladies infectieuses (FMH), et titulaire d'un doctorat en recherche clinique sur le VIH / sida obtenu à Sydney, Australie (Prof Andrew Carr, 2005-2008). Elle est actuellement professeure assistante à l’Université de Genève et responsable de la consultation VIH / sida au sein des Hôpitaux Universitaires de Genève. Elle est membre des groupes de travail de l'OMS qui élaborent les recommandations de prise en charge du VIH depuis 2001
Soyez félicités pour cette emoathie tournée vers les r principaux responsables des HUG. Il est bon de mettre en lumière le somnet de la pyramide. Il impirte totefois de ne pas oublier la base de cette même pyramide.
A quand la publication des portraits des centaines de médecins, infirmières, infirmiers aide-soignants , et.c qui méritent ausi notre reconnaissance
Très bien mais les infirmiers ? Les aides-soignants, assc, physio, nettoyeurs, cuisinier, nettoyeurs, magasiniers, laborantins et j’en passe ? Montrer les portraits de responsables de département ou de services oui cela humanise l’hôpital mais où sont les autres forçats de la santé ?
Bravo aux médecins...et les infirmièrs...leurs responsables..ce sont aussi ces professionnels qui font tourner les unités que ce soit en soins intensifs ou dans les services,trop tendance à les ignorer
Dommage justement de ne pas mettre en avant ses personnes de l ombre...ceux qui sont ds les sous sols...cuisiniers...nettoyeurs...etc les professeurs ont régulièrement des articles...et les recherches c est avant qu elles sont utiles pas pendant une pandémie...
L'OFSP se fait épingler par le Contrôle fédéral des finances (CDF) pour des manquements en lien avec l'application informatique sur la vaccination contre le Covid-19. Défaut de transparence des contrats, factures inexpliquées, les négligences sont diverses.
Le CDF a constaté "des manquements et des faiblesses dans le processus d’acquisition et dans le contrôle des contrats et des factures" en lien avec le système de gestion des inscriptions à la vaccination et l'enregistrement des données, révèle l'audit publié lundi.
Parmi les reproches adressés à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), le rapport pointe des factures inexpliquées à hauteur de 2 millions de francs, des conflits d'intérêts et un risque de dépendance vis-à-vis des fournisseurs des prestations, notamment.
L'ensemble des contrats, pour le système lui-même et pour sa maintenance et son développement, portait sur 11,15 millions de francs, auprès de deux fournisseurs.
L'OFSP se défend notamment en invoquant l'urgence qu'il y avait à agir pour suppléer les cantons.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Daniel Koch regrette le confinement des maisons de retraite et la fermeture des frontières décidés pendant la pandémie de coronavirus. Le lockdown de 2020 était en revanche inévitable, indique-t-il jeudi dans la presse alémanique.
"Nous avons été soumis à une forte pression de la part des autres pays. Il est illusoire de croire que l'on peut prendre des décisions de manière totalement autonome dans une telle situation", explique l'ancien délégué de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) au Covid-19 dans une interview accordée aux titres alémaniques du groupe Tamedia.
La décision de fermer les écoles par exemple a été prise sous la pression de l'étranger, selon lui. "Nous voulions en fait laisser les écoles ouvertes, mais lorsque la France a fermé les siennes , il est vite apparu que nous devions suivre", raconte M. Koch. Les fermetures n'étaient pas absolument nécessaires d'un point de vue épidémiologique, "mais elles permettaient bien sûr d'envoyer un message fort".
Fermeture des frontières inutiles
Les droits fondamentaux des personnes vivant en maison de retraite ont en outre été trop fortement restreints lors des interdictions de visites ou de sorties dans les EMS, admet Daniel Koch. Et les fermetures des frontières ont été inutiles, à ses yeux. Le trafic de marchandises a continué malgré tout, des centaines de milliers de chauffeurs de camion franchissant les frontières européennes chaque jour.
Daniel Koch estime en revanche que la Suisse n'a pas réagi trop tard après le début de la pandémie. "Il est vrai qu'au tout début, nous avons sous-estimé la vitesse à laquelle l'épidémie allait se propager en Europe. Mais la Suisse a par exemple été le premier pays à interdire les grandes manifestations", explique-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suite à des soupçons de fraudes avec les tests Covid-19, l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) a ordonné dans un cas le remboursement d'un montant de 1,6 million de francs pour des factures "émises à tort". Dans un autre cas, il a engagé des poursuites pénales.
L’OFSP poursuit résolument l’examen des tests Covid facturés à tort, indique-t-il jeudi. Il a constitué une équipe chargée d’évaluer tous les cas suspects et de récupérer l’argent injustement versé.
Dans le cadre des coûts des tests, l'office a rendu une décision de remboursement de factures "qui ont probablement été établies à tort" pour un montant de 1,6 million de francs. La décision n'est pas encore entrée en vigueur, ajoute le communiqué, qui ne donne aucun détail sur le prestataire concerné.
L'OFSP a en outre engagé des poursuites pénales concernant le règlement des factures relatives aux coûts des tests. D'autres poursuites pénales ne sont pas exclues à l'avenir, ajoute-t-il.
L'OFSP explique avoir aussi effectué des vérifications sur des factures de consultations médicales, qui ont révélé des anomalies dans certains domaines. Un contrôle approfondi auprès "d'un très petit nombre" de fournisseurs montre qu'ils ont facturé une part disproportionnée de la prestation "entretien détaillé entre le médecin et le patient".
Mesures contre les abus
En septembre, le Contrôle des finances a reproché à la Confédération de ne pas avoir pris assez de mesures contre les abus. En 2020 et 2021, la Confédération a financé des coûts de tests à hauteur de 2,7 milliards de francs.
Comme les tests COVID-19 sont pris en charge par la Confédération, l’OFSP s’engage résolument à ce que le contribuable ne subisse aucun préjudice financier dans ce domaine, assure-t-il. Tous les cas suspects seront évalués.
En novembre dernier, les médias avaient révélé que des tests fantômes auraient été facturés à grande échelle dans le sillage de la crise du coronavirus, tandis que l'OFSP travaillait déjà depuis des mois à dépouiller des factures suspectes. L'association de caisses maladie Santésuisse avait estimé les montants en jeu à quelque 20 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les vaccinations (CFV) tablent sur une circulation réduite du coronavirus ces prochains mois. Dès avril prochain, la vaccination sera recommandée uniquement à certaines personnes à risque.
Le risque d'infection individuel et de surcharge du système de santé sera faible ce printemps et cet été, anticipe l'OFSP dans un communiqué diffusé jeudi. Les sous-variants d'omicron en circulation actuellement provoquent des infections plutôt légères par rapport aux variants précédents.
Les personnes sans facteur de risque ne sont presque plus susceptibles de tomber gravement malades. Elles ne sont donc l'objet d'aucune recommandation vaccinale pour le printemps et l'été prochain.
La vaccination reste en revanche recommandée pour les personnes vulnérables, uniquement si leur médecin estime qu'elle est nécessaire sur le plan médical et si l'on suppose qu'elle permettra de renforcer temporairement la protection contre une forme grave de la maladie. La dernière vaccination ou infection doit remonter à au moins six mois.
La vaccination reste également recommandée aux personnes présentant une immunodéficience sévère.
Selon les spécialistes, la vaccination n'a qu'un effet limité sur la transmission des virus actuellement en circulation. Si, contre toute attente, une flambée devait se produire, les recommandations vaccinales seraient adaptées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
L'ancien médecin-chef en infectiologie et hygiène hospitalière à l'hôpital cantonal de Saint-Gall appelle la Confédération à analyser la pandémie de Covid-19 en se basant sur des preuves. Il critique notamment le fait que les jeunes ont reçu un vaccin à peine connu.
La limite d'âge inférieure pour les vaccins contre le coronavirus aurait dû se situer entre 40 et 60 ans, relève Pietro Vernazza dans un entretien diffusé mardi par la Neue Zuercher Zeitung. "Dans une telle situation, on devrait en principe faire preuve de retenue avec les nouveaux médicaments". A ce jour, les données sur les risques font en grande partie défaut, constate-t-il.
Le médecin désormais à la retraite affirme en outre que la Confédération ne veut pas actualiser les mesures prises pendant la crise sanitaire sur la base de connaissances scientifiques. "Cette tâche a été confiée à Patrick Mathys, le collaborateur de l'OFSP [l'Office fédéral de la santé publique, ndlr] responsable de la préparation à la pandémie", dénonce-t-il.
Rétrospectivement, s'il reconnaît avoir "salué avec euphorie" la vaccination contre le Covid-19, il "serait "aujourd'hui plus prudent" et il ne croirait plus "aussi naïvement les données d'autorisation".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Arlette König
8 avril 2020 à 11 h 51 min
Un très grand merci pour votre dévouement à tous.
Pastore Daniel
8 avril 2020 à 13 h 01 min
Soyez félicités pour cette emoathie tournée vers les r principaux responsables des HUG. Il est bon de mettre en lumière le somnet de la pyramide. Il impirte totefois de ne pas oublier la base de cette même pyramide.
A quand la publication des portraits des centaines de médecins, infirmières, infirmiers aide-soignants , et.c qui méritent ausi notre reconnaissance
Thomas
8 avril 2020 à 22 h 51 min
Très bien mais les infirmiers ? Les aides-soignants, assc, physio, nettoyeurs, cuisinier, nettoyeurs, magasiniers, laborantins et j’en passe ? Montrer les portraits de responsables de département ou de services oui cela humanise l’hôpital mais où sont les autres forçats de la santé ?
Alvarez
8 avril 2020 à 23 h 32 min
Bravo aux médecins...et les infirmièrs...leurs responsables..ce sont aussi ces professionnels qui font tourner les unités que ce soit en soins intensifs ou dans les services,trop tendance à les ignorer
Landwerlin
9 avril 2020 à 13 h 32 min
Dommage justement de ne pas mettre en avant ses personnes de l ombre...ceux qui sont ds les sous sols...cuisiniers...nettoyeurs...etc les professeurs ont régulièrement des articles...et les recherches c est avant qu elles sont utiles pas pendant une pandémie...