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Actualité

Cointrin : plusieurs vols de Swiss annulés

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La situation devrait revenir complètement à la normale dès jeudi (archives). (©KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

Aujourd'hui, au moins sept vols au départ de Genève ont été annulés. Les passagers à destination de Londres, Francfort, Munich ou Pristina, n'ont pas pu décoller de Cointrin depuis le début de la matinée.

Swiss a remis en service 12 appareils, après une inspection complète en raison de problèmes de moteur survenus sur des avions A220, appelés aussi C-Series. Cinq autres avions seront remis en service mercredi après-midi, a indiqué mercredi la compagnie aérienne.

"Les moteurs sont dans un état impeccable", a assuré l'entreprise, après avoir mené une inspection sur 17 appareils. Mardi, Swiss avait temporairement cloué au sol ses 29 appareils de type A220.

Cette mesure est la conséquence d'un nouvel incident avec un avion C-Series/A220 équipés de réacteurs Pratt & Whitney, cette fois lors d'un vol reliant Londres à Genève. L'avion a du atterrir en urgence mardi à Paris suite à un problème de réacteur, selon des informations de plusieurs médias.

Conçus par le canadien Bombardier et repris depuis par son homologue européen Airbus, ces avions représentent près de la moitié de la flotte assurant les vols européens de Swiss. Ces appareils, qui consomment moins d'énergie et peuvent transporter plus de passagers, ont remplacé à partir de 2016 les vieux Jumbolinos.

En tout, Swiss a annulé une centaine de vols, touchant 10'000 passagers. La compagnie a indiqué que les passagers touchés ont été contactés activement, si leurs coordonnées ont été fournis lors de la réservation. Ces passagers pourront être transférés sur d'autres vols aux frais de Swiss ou remboursés.

Retour à la normale prévu demain

Les activités devraient reprendre normalement dès jeudi, a précisé l'entreprise.

D'autres compagnies aériennes sont également affectées. Selon aerotelegraph.com, le vol d'un A220 d'Air Baltic a également dû être annulé.

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Culture

Laurent Cantet, Palme d'or 2008 avec "Entre les murs", est décédé

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Réalisateur discret à la fibre sociale assumée, Laurent Cantet était entré dans la légende de Cannes en 2008 en recevant la Palme d'or pour "Entre les murs". Ici, une image de 2017. (archives) (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Le cinéaste Laurent Cantet, qui avait reçu la Palme d'or en 2008 pour son film "Entre les murs", est décédé jeudi, a annoncé son agent à l'AFP.

"Il est mort ce matin à Paris de maladie", a indiqué Isabelle de la Patellière, confirmant une information de Libération.

Le réalisateur de 63 ans, auteur de neuf long-métrages, travaillait sur un projet de film, intitulé "L'apprenti" qui devait sortir en 2025.

Réalisateur discret à la fibre sociale assumée, Laurent Cantet était entré dans la légende de Cannes en 2008 en recevant la Palme d'or pour "Entre les murs", par le jury présidé par Sean Penn.

Mi-documentaire mi-fiction, ce film d'un budget de 2,4 millions d'euros met en scène un professeur de français, François Bégaudeau (auteur du roman éponyme dont il s'inspire), et des élèves de 13 à 15 ans, aux origines géographiques et sociales multiples, dans un collège parisien.

Le Festival de Cannes a immédiatement réagi jeudi, saluant la mémoire d'un "humaniste acharné, qui cherchait la lumière malgré la violence sociale, qui trouvait l'espoir malgré la dureté de la réalité".

Un cinéaste et scénariste "dont l'oeuvre cohérente et humaniste dessine un cinéma sensible, à fleur de peau et à fleur de société", ajoute le festival. Et pour "Entre les murs", un film "au naturalisme déconcertant".

Très souvent drôle -"J'aime pas les maths, les racistes et Materazzi", lançait Carl, un des personnages d'"Entre les murs" en faisant son auto-portrait-, le film a aussi ses moments émouvants et graves, l'école servant de caisse de résonance aux difficultés et aux inégalités sociales.

Le tournage du film avait été précédé, le temps d'une année scolaire, d'ateliers d'improvisation au collège Françoise-Dolto, dans l'est parisien, où le film a été tourné.

"Plein d'humanité"

Avant cela, Cantet s'était fait remarquer avec le film "Ressources humaines" (1999), sur le monde de l'entreprise et "L'emploi du temps" (2001), inspiré de l'affaire Jean-Claude Romand.

Il était revenu à Cannes en 2017 avec "L'Atelier", dans lequel un groupe de jeunes en insertion effectue un stage d'écriture.

"Le film fait le constat d'un monde peut-être plus dur encore que celui que décrivait 'Entre les murs'. Mais en même temps, j'espère que le film démontre aussi que la parole est importante. Et que les jeunes la maîtrisent plutôt bien", disait alors Laurent Cantet.

Son dernier film "Arthur Rambo", sorti en 2021, se penchait sur la destruction d'une réputation sur les réseaux sociaux.

Il s'inspirait de l'histoire vraie de Mehdi Meklat, un jeune auteur qui avait acquis une notoriété en chroniquant les quartiers défavorisés, avant de tout arrêter face à la découverte en 2017, de tweets antisémites, homophobes, racistes et sexistes.

"Cinéaste fin, discret et plein d'humanité, nullement ébloui par sa Palme d'or, Laurent Cantet réussissait avec précision et sens du rythme ce qu'il y a de plus difficile au cinéma: filmer les conversations, c'est-à-dire la vie", a réagi auprès de l'AFP l'ancien président du Festival de Cannes, Gilles Jacob.

Aux côtés de Pascale Ferran et de Cédric Klapish, il avait fondé en 2015 La Cinetek, plateforme de VOD de films éditorialisée par des cinéastes.

Laurent Cantet a beaucoup collaboré avec Robin Campillo ("120 battements par minute"), qui fut son monteur avant de passer à la réalisation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Menaces d'activistes: Holcim n'ouvrira pas ses portes à Eclépens

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En raison de menaces d'activistes, Holcim renonce à sa journée portes ouvertes du 4 mai à Eclépens (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Holcim renonce à sa journée portes ouvertes du samedi 4 mai à sa cimenterie d'Eclépens (VD). Des menaces d'activistes, qui critiquent l'impact environnemental du groupe, sont à l'origine de cette annulation.

"Nous avons été prévenus d'actions en préparation d'activistes radicaux qui nous ont poussé à prendre cette difficile décision", indique Arthur Got, porte-parole d'Holcim, contacté par Keystone-ATS.

Holcim ne souhaite pas faire d'autre commentaire sur ces menaces qui "se sont malheureusement multipliées ces derniers jours."

Le groupe se trouve sous le feu des critiques des activistes climatiques depuis plusieurs années. A Eclépens, la contestation a culminé entre 2020 et 2021 lorsque la colline du Mormont, où Holcim prélève son calcaire, a été le théâtre de la première Zone à défendre (ZAD) de Suisse.

La sécurité "avant tout"

Pour répondre à ces enjeux environnementaux, l'entreprise a lancé plusieurs projets pour réduire sa production de CO2 (matériaux plus écologiques, recyclage du béton, suppression du pétrole pour alimenter le four d'Eclépens, captage de CO2, etc). Mardi encore, lors d'une visite organisée pour les médias, le cimentier a présenté ses avancées en vue d'une décarbonisation, lui qui souhaite être climatiquement neutre en 2050.

La journée portes ouvertes du 4 mai, la première à Eclépens depuis 2012, visait notamment à montrer ces efforts. La décision d'annuler l'événement, pour lequel Holcim attendait 3000 visiteurs, "va à l'encontre de notre volonté d'ouverture et de dialogue avec toutes nos parties prenantes", regrette l'entreprise. Elle ajoute toutefois que la sécurité de son personnel et des visiteurs "passe avant tout."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Kendji Girac aurait voulu "simuler un suicide" après une dispute conjugale

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Archives (© KEYSTONE/EPA/SEBASTIEN NOGIER)

Kendji Girac, blessé par balle lundi à Biscarrosse (Landes), a expliqué mercredi aux enquêteurs avoir voulu "simuler un suicide" pour faire peur à sa compagne qui menaçait de le quitter après une dispute, a déclaré jeudi le procureur de Mont-de-Marsan Olivier Janson.

Le chanteur "a eu très peur quand il l'a entendue parler de départ, il a eu un moment de panique et a voulu à son tour lui faire peur. En quelque sorte il a simulé un suicide", a déclaré le magistrat en conférence de presse.

"Il a dit assumer ce qu'il a fait tout en le regrettant très fortement, il maintient qu'il s'agit d'une simulation de suicide", a ajouté le procureur. "Je lui ai dit que ces explications lui appartenaient et que le travail judiciaire s'arrêtait, qu'il lui appartenait à lui et sa compagne de trouver les ressources" pour surmonter ce drame, a-t-il fait valoir.

Olivier Janson a laissé entendre qu'il allait classer le volet de l'enquête ouvert pour "tentative d'homicide". "Sauf élément nouveau, cette procédure devrait se terminer par un classement", a-t-il dit, tandis que d'autres investigations seront poursuivies pour "savoir d'où provient cette arme".

Le chanteur, âgé de 27 ans, a été hospitalisé lundi près de Bordeaux après une grave blessure par balle au thorax, dont la trajectoire, passée proche du coeur, a été qualifiée de "miraculeuse" par le procureur. "Il va sûrement mettre plusieurs mois à retrouver la pleine possession de ses moyens", a estimé le magistrat.

"Addiction à l'alcool"

Des analyses ont permis de confirmer que Kendji Girac était fortement alcoolisé, à plus de 2,5 g par litre de sang, et qu'il avait consommé de la cocaïne pendant une soirée et une nuit de fête. "Des tensions sont apparues du fait d'une addiction naissante à l'alcool, sujet qui a généré de grandes tensions dans le couple", a expliqué Olivier Janson.

Le vainqueur de l'émission The Voice 2014 "avait déjà dit dans le passé qu'il allait se mettre une balle ou s'ouvrir la gorge dans le cadre de disputes", selon des propos de sa compagne rapportés par le procureur.

Au fil d'une conférence de presse de plus de 1h30, le magistrat a refermé une à une les autres hypothèses, comme l'intervention d'un tiers.

Une expertise a permis de déterminer que l'hypothèse d'un tir effectué par une tierce personne "n'est pas compatible" avec la disposition des lieux, a déclaré le procureur. Et la thèse d'un accident, soutenue par Kendji Girac au départ de l'affaire, est jugée "impossible" après expertise balistique de l'arme utilisée, dont toutes les sûretés sont "opérationnelles", a-t-il ajouté.

"Un accident, un tir intempestif qui est de manière générale extrêmement peu probable s'agissant d'arme de poing de cette nature, est jugé impossible dans le cas d'espèce", a aussi affirmé le magistrat en conférence de presse. "Toutes les sûretés sont opérationnelles. (...) Un coup ne peut pas partir tout seul", a-t-il fait valoir.

Avec Keystone-ATS

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International

La Chine envoie sa mission spatiale Shenzhou-18

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Les trois astronautes chinois vont notamment essayer de créer un aquarium à bord et d'y élever des poissons en microgravité. (© KEYSTONE/AP/Andy Wong)

La Chine a envoyé jeudi un nouvel équipage vers sa station spatiale Tiangong, dans le cadre d'un programme visant à envoyer des astronautes sur la Lune d'ici à 2030, ont annoncé les médias d'Etat chinois.

Les trois astronautes de la mission Shenzhou-18 ont décollé à bord d'un vaisseau spatial, installé sur une fusée porteuse Longue Marche-2F, du centre de lancement de satellites de Jiuquan, dans le nord-ouest de la Chine, à 20h59 heure locale (14h59 suisses).

Des spectateurs ont applaudi lorsque la fusée a décollé dans le ciel nocturne, selon un journaliste de l'AFP sur place.

Le lancement est considéré comme "un succès complet", a rapporté l'agence d'Etat Chine Nouvelle.

L'équipage est sous le commandement de Ye Guangfu, un pilote de chasse et astronaute qui a déjà fait partie de l'équipage du vaisseau Shenzhou-13 en 2021. Les deux autres astronautes, Li Cong et Li Guangsu, effectuent leur premier voyage dans l'espace.

Ils devraient rester dans la station Tiangong ("Palais céleste") pendant six mois, pour mener des expériences dans "les domaines de la physique fondamentale en microgravité, de la science des matériaux spatiaux, des sciences de la vie spatiale, de la médecine spatiale et de la technologie spatiale", a indiqué l'Agence chinoise des vols spatiaux habités (CMSA).

"Aquarium spatial"

Ils vont également essayer de créer un aquarium à bord et d'y élever des poissons en microgravité, selon l'agence Chine Nouvelle.

"Non seulement les taïkonautes trouveront du plaisir dans cet 'aquarium spatial', mais cela pourrait ouvrir la voie pour que leurs homologues à l'avenir puissent bénéficier de poissons nutritifs issus de leurs propres élevages en orbite", a indiqué Chine Nouvelle.

Ils mèneront également des expériences sur des drosophiles et des souris", a indiqué un chercheur cité par l'agence de presse.

Tiangong est le projet emblématique du programme spatial chinois, qui a fait atterrir des rovers robotisés sur Mars et sur la Lune et a permis à la Chine de devenir le troisième pays à mettre des êtres humains en orbite.

Tiangong, dont la construction a été achevée en 2022, devrait rester en orbite terrestre basse, entre 400 et 450 kilomètres au-dessus de la planète, pendant au moins 10 ans. Des équipes de trois astronautes se relaient.

Le nouvel équipage remplacera celui de la mission Shenzhou-17, qui a été envoyé vers la station en octobre.

Le président Xi Jinping a donné un coup d'accélérateur au "rêve spatial" de la Chine. La deuxième économie mondiale a injecté des milliards de dollars dans son programme spatial militaire afin de rattraper les Etats-Unis et la Russie.

Pékin a pour objectif d'envoyer un équipage chinois sur la Lune d'ici à 2030 et prévoit de construire une base sur la surface lunaire.

La Chine est exclue de la Station spatiale internationale depuis 2011, date à laquelle les Etats-Unis ont interdit à la NASA de collaborer avec Pékin. La Chine a alors développé son propre projet de station spatiale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Portugal célèbre le 50e anniversaire de sa démocratie

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Le Portugal fête jeudi le cinquantenaire de la Révolution des OEillets, un coup d'Etat sans effusion de sang. (© KEYSTONE/AP/Ana Brigida)

Le Portugal fête jeudi le cinquantenaire de la Révolution des OEillets, un coup d'Etat sans effusion de sang mené par de jeunes officiers pour mettre fin à 48 ans de dictature et 13 années de guerres coloniales.

Point d'orgue de centaines d'initiatives étalées sur plusieurs semaines, la journée de jeudi a débuté par une cérémonie militaire sur une grande place du centre de Lisbonne, en bordure de l'estuaire du Tage.

Elle sera conclue par un événement rassemblant le président portugais, le conservateur Marcelo Rebelo de Sousa, et ses homologues des pays africains devenus indépendants après l'avènement de la démocratie: l'Angola, le Mozambique, la Guinée-Bissau, le Cap-vert et Sao Tomé et Principe.

M. Rebelo de Sousa a toutefois créé la surprise en amont de cette occasion, en soulevant la question d'éventuelles réparations coloniales.

"Nous sommes responsables de ce que nous avons fait là-bas. (...) Il faut payer les coûts", a-t-il dit mardi soir lors d'une rencontre informelle avec la presse étrangère à Lisbonne.

Cette position s'est aussitôt heurtée à l'opposition du nouveau gouvernement de droite issu des élections du mois dernier. "C'est un sujet toxique" et "inopportun", a affirmé une source gouvernementale citée par l'hebdomadaire Expresso.

Lors de la "session solennelle" organisée jeudi au Parlement, le président n'a pas évoqué sa suggestion, qui a été ignorée par la gauche mais très critiquée par la droite.

"Fier de l'histoire"

Le leader d'extrême droite André Ventura a été le plus virulent, en accusant M. Rebelo de Sousa d'avoir "trahi les Portugais". "Payer quoi? Payer à qui? (...) Moi je suis fier de l'histoire de ce pays", a-t-il dit.

Les célébrations de l'avènement de la démocratie au Portugal interviennent cette année dans un contexte marqué en outre par une nouvelle percée électorale de l'extrême droite, le parti "Chega" ("Assez") ayant renforcé son rang de troisième force politique du pays avec 18% des voix.

Selon une enquête publiée la semaine dernière, la moitié des personnes interrogées a estimé que le régime autoritaire renversé en 1974 avait davantage d'aspects négatifs que positifs, mais un cinquième d'entre elles a affirmé le contraire.

En tout cas, 65% de l'échantillon a considéré que la révolution du 25 avril était l'événement le plus important de l'histoire du Portugal, loin devant l'adhésion à l'ancêtre de l'Union européenne en 1986, ou la fin de la monarchie en 1910.

"La motivation principale était de régler le problème de la guerre coloniale", a rappelé à l'AFP le colonel à la retraite Vasco Lourenço, président de l'Association 25 avril héritière du "mouvement des capitaines" qui a organisé le soulèvement.

"J'avais 20 ans et le 25 avril a évité que je sois envoyé à la guerre, donc ça été très important pour moi", a témoigné, ému, Manuel Lima, un retraité assistant à la parade militaire de jeudi matin.

"Beaucoup d'héroïsme"

La Révolution des OEillets a été baptisée ainsi car la population, qui s'est aussitôt rangée du côté des putschistes, a distribué ces fleurs du printemps à certains soldats qui les ont plantés dans le canon de leur fusil.

"Ce seront surtout les images prises ce jour-là qui vont transformer l'oeillet rouge en symbole de la Révolution du 25 avril et qui finira par donner une vision romantique, poétique à un acte qui tenait beaucoup de l'héroïsme, même si cette révolution a été particulièrement pacifique", explique l'historienne Maria Inacia Rezola, en charge du vaste programme de commémorations.

Pendant les années de plomb marquées par le slogan du dictateur Antonio Salazar - "Dieu, patrie, famille" -, le Portugal est resté "un pays pauvre, arriéré, analphabète et isolé du reste du monde", décrit-elle.

Après des mois de tension qui ont failli dégénérer en guerre civile, la période révolutionnaire s'est refermée le 25 novembre 1975 avec une intervention militaire du général Antonio Ramalho Eanes, devenu l'année suivante le premier président démocratiquement élu du Portugal et présent jeudi au Parlement.

Autre personnage clé de l'époque, le socialiste Mario Soares a remporté les premières élections libres au suffrage universel, organisées le 25 avril 1975 pour former l'assemblée constituante qui a rédigé l'actuelle loi fondamentale du pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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