Rejoignez-nous

Actualité

Alain Geiger : "On a frappé un grand coup, c'est clair"

Publié

,

le

Le Servette FC d'Alain Geiger a frappé un grand coup mercredi (©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Challenge League s'est peut-être bien décidée ce mercredi soir. En battant 2-0 Lausanne, Servette a fait un grand pas vers la promotion.

Constraste évident, mais logique en zone mixte de La Pontaise. D'un côté, les Lausannois, pestant sur la tenue de la rencontre. De l'autre, les Servettiens, forcément heureux, se félicitant à coup de grosses accolades. "On a frappé un grand coup, c'est clair", a asséné Alain Geiger, à peine frigorifié. Servette compte désormais 13 points d'avance sur son vis-à-vis et peut entrevoir presque sereinement la Super League.

Mais l'entraîneur des Genevois joue encore la carte de la prudence: "Nous devons rester dans notre logique de prendre match après match. A chaque fois, nous voulons simplement prendre les trois points, car nous savons que gagner est un précieux trésor dans ce championnat. Nous ne sommes jamais à l'abri de perdre des points. Mais pour l'instant, cela nous sourit bien."

Même le froid et la neige ne sont pas parvenus à freiner Servette. "Nous nous sommes mieux adaptés que Lausanne, se félicite Geiger. Nous avons privilégié les attaques rapides. Et malgré les conditions, nous avons réussi à faire les choses vite." Et avec un minimum de justesse, comme sur le 2-0 décisif de Kastriot Imeri, dont la volée a fait mouche.

Pour les Grenat, ce succès va compter. "Nous sommes contents parce que nous avons gagné un derby, assume le coach. C'est aussi une référence pour l'équipe, car, par le passé, elle a souvent connu l'échec dans de tels matchs. Et peu importe les circonstances et la manière, nous y sommes parvenus." Les approximations de ce match ne seront en effet qu'un épiphénomène dans la saison genevoise. Servette a déjà largement prouvé être avant tout une équipe dominatrice.

Source ATS

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

Eboulement de Blatten: 320 millions de francs de dégâts

Publié

le

La plupart du temps, les assurés ont subi un dommage total occasionné soit directement par l’éboulement, soit par les inondations qui ont suivi (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'éboulement survenu le 28 mai à Blatten (VS) a provoqué pour 320 milions de francs de dégâts, selon une estimation du Pool suisse pour les dommages naturels. La majeure partie des dégâts (260 millions) porte sur des dégâts aux bâtiments et aux biens meubles.

La plupart du temps, les assurés ont subi un dommage total occasionné soit directement par l’éboulement, soit par les inondations qui ont suivi, indique mardi l'Association suisse d'assurance (ASA) dans un communiqué.

Les 60 millions de francs restants viennent compenser des pertes d’exploitation et rembourser des véhicules à moteur. Ces prestations sont dues au titre d’assurances complémentaires et ne relèvent pas de l’assurance obligatoire en cas de dommages causés par les forces de la nature; elles ne peuvent donc pas être compensées par le Pool pour les dommages naturels, souligne l'ASA.

Selon elle, les premiers versements ont déjà été effectués. Les assureurs privés ont promis une aide "diligente et sans formalités administratives" à la population sinistrée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Au moins 14 morts à Kiev dans des frappes russes

Publié

le

Le maire de Kiev Vitali Klitschko avait averti au début de la nuit que des drones russes se dirigeaient vers Kiev "depuis trois directions", demandant aux habitants de ne pas quitter leurs abris (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Efrem Lukatsky)

Des frappes aériennes russes qui ont ciblé Kiev dans la nuit de lundi à mardi ont fait au moins 14 morts, dont un Américain, ont annoncé les autorités ukrainiennes. Il s'agit d'une des attaques au bilan le plus lourd depuis le début de la guerre en Ukraine.

Au total, "27 sites dans différents districts de la capitale ont été la cible de tirs ennemis cette nuit. Parmi eux se trouvent des immeubles résidentiels, des établissements éducatifs et des infrastructures critiques", a déclaré le ministre de l'Intérieur ukrainien, Igor Klymenko.

"Le bilan des morts a été porté à 14. Quarante-quatre personnes ont été blessées à Kiev. Six autres ont été blessées à Odessa", a-t-il précisé sur Telegram. Le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko avait fait état plus tôt d'au 14 morts à Kiev, précisant que des recherches étaient en cours pour retrouver des victimes potentielles dans les décombres.

"Dans le district de Solomianski, un citoyen américain de 62 ans est décédé dans une maison située en face de l'endroit où les médecins portaient assistance aux blessés", a précisé le maire de la capitale ukrainienne Vitali Klitschko mardi sur Telegram.

"Attaque combinée"

Le maire de Kiev avait averti au début de la nuit que des drones ennemis se dirigeaient vers la ville "depuis trois directions", demandant aux habitants de ne pas quitter leurs abris.

Le chef de l'administration militaire de la ville de Kiev, Timour Tkatchenko, a de son côté indiqué qu'une "attaque combinée" de "missiles et des drones" russes avaient provoqué "des incendies dans plusieurs zones" de la capitale.

La ville portuaire d'Odessa a aussi subi des attaques. "Treize personnes ont été hospitalisées. Des gens pourraient être piégés sous les décombres", a déclaré le gouverneur de la ville du sud de l'Ukraine Oleg Kiper.

Les autorités russes ont de leur côté annoncé des restrictions temporaires de vol sur les quatre aéroports de Moscou.

Le chef de cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, a dénoncé sur Telegram de nouvelles frappes russes sur "des immeubles résidentiels à Kiev. La Russie poursuit sa guerre contre les civils."

Les récents pourparlers de paix entre Moscou et Kiev sont bloqués, alors que les deux camps campent sur leurs positions, très éloignées. Moscou a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par Kiev et les Européens, tandis que l'Ukraine a qualifié d'"ultimatums" les demandes russes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

La Suisse, pays le plus compétitif du monde, selon une étude

Publié

le

Il n'y en a point comme nous, cette année, assure l'IMD à l'issue de son classement mondial de la compétitivité. (archive) (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

La Suisse s'est hissée cette année à la première place du classement mondial de la compétitivité établi par l'institut lausannois IMD. Elle doit cette performance à sa structure politique stable en période de turbulences géopolitiques ainsi qu'à la force du franc.

En prenant cette première place du podium mondial de la compétitivité, après avoir gagné une place par rapport à l'an dernier, la Suisse vient devancer Singapour et Hong Kong, montre l'étude menée par IMD.

Viennent ensuite le Danemark, les Emirats arabes unis, Taïwan, l'Irlande, la Suède, le Qatar et les Pays-Bas. Le Qatar fait son entrée dans le "top 10" en raison des réformes du marché du travail et d'une infrastructure financière solide, tandis que l'Irlande (7ème) et les Pays-Bas (10ème) perdent un peu de terrain, "notamment en raison de la baisse de la productivité."

Si le Danemark et la Suède maintiennent leur position grâce à leur excellence en matière d'infrastructures et de cohésion sociale, ces pays sont également confrontés à des coûts opérationnels élevés et à des contraintes liées au marché du travail. Quant aux Etats voisins de la Suisse, ils ne sont classés que 19ème en ce qui concerne l'Allemagne, 26ème pour l'Autriche, alors que la France et l'Italie prennent respectivement la 22ème et 43ème place.

Avec Taïwan (6ème), la Malaisie (23ème) et les Philippines (51ème), les pays asiatiques continuent eux de progresser "grâce à leurs investissements dans l'avenir numérique", soutient la version 2025 du rapport annuel, qui se base sur 170 ensembles de données différents accessibles au public dans le monde entier ainsi que sur des entretiens avec plus de 6000 décideurs économiques.

Améliorer les systèmes de retraite

Les pays dotés d'une monnaie forte, comme la Suisse, se retrouvent en tête, "parce que, contrairement à ce que beaucoup pensent, c'est un signe de force", explique le directeur de recherche, Arturo Bris, professeur à l'IMD. Selon l'étude, une monnaie forte reflète des fondamentaux économiques solides, tels que la confiance des investisseurs, une gouvernance stable et l'existence d'entreprises exportatrices à forte valeur ajoutée qui résistent aux pressions sur les prix.

Autre argument en faveur du territoire helvétique: son consensus économique et politique, qui crée la stabilité, ainsi que ses infrastructures. "Les dix économies leaders disposent toutes de cadres institutionnels solides, d'infrastructures robustes et de modèles de gouvernance adaptables. Cela est nécessaire pour rester compétitif dans le monde fragmenté d'aujourd'hui, où les risques de change sont devenus une priorité stratégique à côté de la protection des besoins nationaux", souligne M. Bris.

Par contre, la Suisse n'a pas encore entièrement convaincu en matière de compétitivité économique, prenant la 6ème place pour l'efficacité de ses entreprises, et la 13e place pour ce qui a trait à sa compétitivité macroéconomique.

Les pays qui allient force institutionnelle et développement inclusif sont en mesure de résister aux chocs externes sans succomber à la fragmentation interne, observe l'étude. "Par conséquent, les décideurs politiques et les dirigeants d'entreprise doivent considérer l'efficacité du gouvernement non pas comme un idéal de gouvernance, mais comme une condition pratique pour maintenir la résilience économique et l'attractivité des investissements dans les années à venir", argumente-t-elle.

Le rapport avance que la Suisse doit notamment améliorer et diversifier son accès aux marchés étrangers, garantir une réglementation économiquement efficace et favorable aux entreprises, renforcer la concurrence dans les secteurs nationaux et améliorer la viabilité des finances publiques et des systèmes de retraite.

Il estime par ailleurs que les critères traditionnels de la compétitivité - stabilité macroéconomique, environnement favorable aux entreprises et infrastructures de qualité - sont toujours nécessaires, "mais ne suffisent plus". "Les dirigeants les plus efficaces d'aujourd'hui complètent ces facteurs par des compétences numériques, la gestion de la transition écologique et l'utilisation d'approches sophistiquées pour renforcer la résilience".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

International

Conflit Israël-Iran: Trump a quitté prématurément le G7

Publié

le

Le président américain Donald Trump va quitter prématurément le sommet du G7. (© KEYSTONE/AP/Suzanne Plunkett)

Donald Trump a quitté en hélicoptère lundi soir le sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt qu'initialement prévu, afin de se consacrer selon la Maison Blanche au conflit entre Israël et l'Iran, selon des journalistes sur place

Le président américain a toutefois signé juste avant ce retour précipité pour Washington un communiqué commun dans lequel les chefs d'Etat et de gouvernement du groupe appellent à une "désescalade" au Moyen Orient tout en affirmant le droit d'Israël à "se défendre" et en déclarant que l'Iran ne devra "jamais" pouvoir se doter de l'arme nucléaire.

"A cause de ce qui se passe au Moyen-Orient, le président Trump va partir ce soir après le dîner" avec les autres dirigeants du sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt que prévu, avait annoncé lundi sa porte-parole Karoline Leavitt sur X.

Le président américain, dont le séjour dans les Rocheuses canadiennes devait se prolonger jusqu'à mardi en fin de journée et se conclure par une conférence de presse, "rentre à Washington pour s'occuper de nombreux sujets importants", a-t-elle déclaré par ailleurs dans un court communiqué.

Cette annonce vient peu après que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement.

Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.

Il est par ailleurs resté évasif lundi sur la question d'une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël.

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive, Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes contre sa télévision nationale et plusieurs autres cibles.

Egalement depuis le Canada, le président français Emmanuel Macron a lui averti que vouloir renverser le régime iranien par la force serait une "erreur stratégique", en appelant à "cesser" les frappes contre les civils, que ce soit en Iran et en Israël.

Le départ prématuré de M. Trump ignifie par ailleurs que la rencontre bilatérale prévue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'aura pas lieu, et que les Européens n'ont guère eu le temps de le convaincre de durcir les sanctions sur le pétrole russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran

Publié

le

Cette capture d'écran est issue d'une vidéo diffusée par la télévision d'Etat iranienne. Elle montre le siège de la télévision nationale en flammes, après une attaque de drône israélien. (© KEYSTONE/AP)

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive mardi, alimentant les craintes d'escalade de la part des grandes puissances. A tel point que Donald Trump appelle à "évacuer Téhéran immédiatement".

Malgré les appels à la fin des hostilités émis par la communauté internationale, les deux ennemis jurés ne montrent aucun signe d'apaisement dans la confrontation militaire qui les oppose depuis vendredi, quand Israël a lancé une offensive sans précédent contre l'Iran avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de la bombe atomique.

Après une nouvelle vague de frappes israéliennes qui a touché la télévision nationale iranienne, les deux pays ont activé dans la nuit leurs systèmes de défense anti-aérienne et les capitales étrangères semblent se préparer à une poursuite de l'escalade.

La Chine, via son ambassade, a pressé ses ressortissants à quitter Israël au plus vite tandis que les Etats-Unis ont annoncé déployer des "ressources supplémentaires" au Moyen-Orient pour y renforcer leur "dispositif défensif", selon le ministre de la Défense Peter Hegseth.

Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, a mis le cap à l'ouest et prend la direction du Moyen-Orient, selon le Pentagone.

"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré Donald Trump, qui va quitter le sommet des pays riches du G7 prématurément, dès lundi soir, pour se consacrer à l'évolution du conflit.

"L'Iran aurait dû signer l''accord' quand je leur ai dit de signer. Quel dommage et quel gâchis de vies humaines", a tempêté le président républicain, qui avait relancé récemment les négociations avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien, sur son réseau Truth Social.

Mais la République islamique s'est retirée de ces pourparlers en raison des attaques israéliennes et sa riposte continue. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont annoncé une "neuvième salve d'attaque combinée de drones et missiles (qui) se poursuivra sans interruption jusqu'à l'aube".

Télévision d'Etat attaquée

Les sirènes d'alerte ont retenti à deux reprises mardi à l'aube dans plusieurs points d'Israël, notamment dans le nord, après que l'armée a annoncé avoir "identifié des missiles lancés depuis l'Iran vers le territoire de l'Etat d'Israël". Mais dans les deux cas, les habitants ont été autorisés à quitter les abris quelques instants plus tard.

Selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts depuis vendredi.

Du côté iranien, les frappes israéliennes, qui ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés depuis vendredi, selon un bilan officiel établi dimanche.

Trois secouristes du Croissant-Rouge iranien ont été tués lundi à Téhéran dans un bombardement durant leur travail, a annoncé l'organisation. Et les émissions de la télévision publique iranienne ont été brièvement interrompues par une attaque israélienne contre son bâtiment.

Cette attaque s'est produite alors qu'une présentatrice critiquait vivement Israël à l'antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d'elle.

Téhéran a condamné "un acte ignoble et un crime de guerre", et a appelé deux chaînes de télévision israéliennes à évacuer leurs locaux.

Changer "la face du Moyen-Orient"

Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé lundi. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l'exception de quelques épiceries, et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux stations-service.

Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin "était en rupture de stocks d'eau".

Lors d'une conférence de presse télévisée lundi, Benjamin Netanyahu a affirmé qu'Israël était en train de changer "la face du Moyen-Orient".

"Nous avons éliminé les responsables de la sécurité de l'Iran parmi lesquels trois chefs d'état-major, le commandant de l'armée de l'air et deux chefs des services de renseignement. Nous les éliminons un par un", s'est-il vanté.

Dans plusieurs interviews à des médias internationaux, le Premier ministre israélien a également lancé un appel au peuple iranien pour qu'il se soulève contre la "tyrannie" et estimé qu'assassiner le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mettrait "fin au conflit".

"Arrêter la guerre"

Au G7, le président français Emmanuel Macron a estimé que vouloir changer le régime en Iran par la force serait une "erreur stratégique" et a jugé "absolument essentiel que toutes les frappes qui se font de part et d'autre contre des infrastructures énergétiques, administratives, culturelles et encore plus contre la population civile cessent".

"Si les États-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose", a également déclaré le dirigeant français, alors que Donald Trump avait assuré dans la soirée qu'un "accord" allait être trouvé. "A ce stade, de manière objective, rien ne me laisse espérer que dans les prochaines heures les choses bougent".

Sur X, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi s'est demandé si le président américain Donald Trump "prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d'arrêter la guerre". "Il suffit d'un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu'un comme Netanyahu", a-t-il écrit.

Ce conflit a éclaté au moment où l'Iran et les Etats-Unis prévoyaient une nouvelle séance de négociations à Oman sur le nucléaire iranien dimanche.

Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l'arme nucléaire, l'Iran dément et défend son droit à enrichir de l'uranium afin de développer un programme nucléaire civil.

Israël affirme avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a cependant affirmé qu'il n'y a "pas d'indication d'attaque" contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d'enrichissement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

EconomieIl y a 1 heure

Eboulement de Blatten: 320 millions de francs de dégâts

L'éboulement survenu le 28 mai à Blatten (VS) a provoqué pour 320 milions de francs de dégâts, selon une estimation...

InternationalIl y a 2 heures

Au moins 14 morts à Kiev dans des frappes russes

Des frappes aériennes russes qui ont ciblé Kiev dans la nuit de lundi à mardi...

SuisseIl y a 2 heures

La Suisse, pays le plus compétitif du monde, selon une étude

La Suisse s'est hissée cette année à la première place du classement mondial de la...

InternationalIl y a 6 heures

Conflit Israël-Iran: Trump a quitté prématurément le G7

Donald Trump a quitté en hélicoptère lundi soir le sommet du G7 au Canada, un...

InternationalIl y a 7 heures

Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive...

CultureIl y a 8 heures

USA: le principal médecin de Matthew Perry va plaider coupable

Le médecin de Matthew Perry, la star de la série "Friends", avant sa mort par...

InternationalIl y a 9 heures

Netanyahu appelle les Iraniens à se lever contre "la tyrannie"

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a lancé un appel lundi au peuple iranien pour...

GenèveIl y a 10 heures

Le Centre Genève lance Xavier Magnin dans la course

Le Centre Genève lance Xavier Magnin pour l'élection complémentaire au Conseil d'Etat, qui aura lieu...

SuisseIl y a 11 heures

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce...

SuisseIl y a 14 heures

L'omission de prêter secours en cas de viol reste non punissable

Ne pas porter secours à une personne victime d'un viol restera non punissable. Contre l'avis...