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À Genève, rentrée scolaire inquiétante à l'école d'assistant socio-éducatif

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Image d'illustration. KEYSTONE/Gaetan Bally

Syndicat et enseignants ont dénoncé ce mercredi les conditions de la rentrée scolaire pour les apprentis qui commencent la formation d'assistant socio-éducatif. Manque de collaboration et de concertation, problèmes d'organisation et baisse de la qualité de l'enseignement sont notamment pointés du doigt. Une situation connue des directions de l'enseignement secondaire II et du Centre de formation professionnelle dès le mois de juillet. 

"Des conditions de rentrée honteuses"! Voilà les mots utilisés par le syndicat SIT et les enseignants qui dénoncent les conditions de rentrée scolaire pour les apprentis qui commencent la formation d'assistant socio-éducatif (ASE) à Genève: convocations tardives, élèves non convoqués, étudiants envoyés au mauvais endroit ou encore des salles de cours sans équipements et parfois pas nettoyées. Une situation qui remplit de honte cette enseignante à l'école d'assistant socio-éducatif (ECASE) qui a souhaité rester anonyme.

Enseignante à l'Ecole d'assistant socio-éducatif

Ce contexte tendu était prévu de longue date avec le déménagement et la réorganisation des locaux réalisée durant l'été, mais aussi un nouveau plan de formation fédéral et une réforme de la filière plein temps entrés en vigueur le 30 août.

Trop de changements

Ce nouveau plan de formation demande aux enseignants de modifier l'intégralité des cours sur la forme et sur le fond et qui concerne les élèves de première année. Mais le personnel s'est rendu compte cet été que cette réorganisation qui ne devait toucher que les élèves de première année touche finalement également les élèves de deuxième et de troisième année. Les enseignants ont ainsi du refaire l'intégralité de leurs cours.

Cette nouvelle ordonnance a impacté les horaires des professeurs. Ils ont eu la surprise de constater que certains cours n'étaient pas donnés par les bonnes personnes. Ainsi, l'attribution des cours pour l'année scolaire a été faite selon une logique purement administrative et organisationnelle sans tenir compte des compétences, des contenus, des spécificités et de l'expérience des enseignants. Une situation jugée absurde par le syndicat et le personnel pour qui il y a eu trop de changements en même temps.

Enseignante à l'Ecole d'assistant socio-éducatif

 

Décisions managériales problématiques

Le personnel enseignant et le SIT ont proposé des rocades pour modifier ces répartitions mais la direction du centre de formation professionnelle a refusé toute discussion. Ce manque d'écoute et de collaboration est l'un des plus gros problèmes aux yeux du syndicat et des enseignants puisque cela se traduit par des problèmes majeurs d'organisation. Ils regrettent que la directrice du centre et la doyenne en poste actuellement n'aient jamais enseigné.

Enseignante à l'Ecole d'assistant socio-éducatif

Syndicats et enseignants doivent rencontrer le 29 septembre prochain la direction de l'enseignement supérieur et la direction de l'ECASE avec plusieurs requêtes. D'abord un suivi accru de la direction générale du Secondaire II sur la situation actuelle, un appui supplémentaires en terme administratif et une meilleure prise en compte du point de vue des enseignants par la direction générale de l'enseignement secondaire II et la direction du centre de formation professionnelle .

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International

Chine: exportations en baisse pour la première fois en huit mois

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Les exportations chinoises ont reculé de 1,1% sur un an en octobre, baissant pour la première fois depuis février, dans une période de regain des tensions commerciales avec les États-Unis, ont indiqué les douanes chinoises vendredi. (© KEYSTONE/AP/ANDY WONG)

Les exportations chinoises ont reculé de 1,1% sur un an en octobre, baissant pour la première fois depuis février, dans une période de regain des tensions commerciales avec les États-Unis, ont indiqué les douanes chinoises vendredi.

Ces chiffres sont plus défavorables que les prévisions d'économistes interrogés par l'agence Bloomberg, qui tablaient sur une augmentation de 2,9% sur un an.

Les importations ont quant à elles augmenté de 1% sur la même période, ont précisé les douanes. C'est également en deçà des prévisions des mêmes économistes qui misaient sur une hausse de 2,7%.

La période concernée correspond à un nouvel accès de crispation commerciale entre les deux plus grandes puissances économiques mondiales, avec l'annonce au début du mois d'octobre de nouvelles restrictions chinoises sur les exportations relatives aux stratégiques terres rares. En représailles, le président américain Donald Trump avait annoncé des droits de douanes supplémentaires de 100%, sans toutefois être passé à l'acte par la suite.

Un sommet entre le président américain et son homologue chinois Xi Jinping le 30 octobre en Corée du Sud a ensuite débouché sur des mesures de détente réciproques.

Avant cela, les exportations chinoises vers les États-Unis ont augmenté de 1,8% en octobre par rapport à septembre, selon les données rendues publiques vendredi, alors qu'elles avaient augmenté de 8,6% en septembre par rapport à août.

Les importations en provenance des États-Unis ont quant à elles reculé de 11,6% entre septembre et octobre, d'après les douanes chinoises.

Moteur grippé

Les exportations font depuis des années office de moteur de l'économie chinoise, avec une consommation domestique obstinément languissante comme l'ont montré fin octobre les chiffres des ventes de détail qui, à 3% sur un an en septembre, ont affiché leur rythme de croissance le plus faible depuis novembre 2024.

Au même moment, la Chine annonçait un ralentissement de la croissance au troisième trimestre: +4,8% sur douze mois, soit sa progression la plus faible depuis un an.

Les exportateurs chinois avaient pris les mois précédents leurs dispositions pour anticiper l'augmentation des droits de douanes américains, rappelle dans une note Zhiwei Zhang, économiste chez Pinpoint Asset Management.

"Cette pratique d'anticipation semble avoir fini par s'atténuer en octobre", ajoute-t-il.

"La guerre commerciale étant suspendue pendant un an, les exportations devraient se normaliser", présage-t-il en faisant référence aux mesures annoncées par Chinois et Américains à la suite du sommet Xi-Trump, comme la baisse ou la confirmation de la suspension de droits de douanes.

"Maintenant que la dynamique des exportations s'affaiblit, la Chine doit davantage miser sur la demande intérieure", prévient Zhiwei Zhang.

Le Parti communiste au pouvoir énonce la nécessité de "stimuler fortement la consommation" dans son récent projet de plan quinquennal définissant les grandes orientations du pays pour 2026-2030.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Pourquoi le secteur automobile européen traverse "un ouragan"

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Le patron de Mercedes, Ola Källenius, évoque "une transformation comme on en voit tous les 100 ans, dans un environnement balayé par un ouragan force 5". Tandis que Marylise Léon, à la tête de la CFDT, a qualifié le moment d'"historique" et de "charnière", devant la presse cette semaine également. (© KEYSTONE/EPA DPA/JULIAN STRATENSCHULTE)

Profits et ventes en berne, marché de la voiture électrique décevant, concurrence de la Chine et "sur-réglementation" de la part de Bruxelles: le secteur automobile européen est "à un moment charnière" de son existence, selon ses acteurs.

Lors de la Journée de la filière auto, organisée cette semaine à Paris par la Plateforme automobile (PFA, le lobby des constructeurs et équipementiers français), les dirigeants ont tous ou presque sonné le tocsin: "Le sol se dérobe sous nos pieds" (Luc Chatel, président de la PFA), "notre industrie vit un tournant, avec un risque de décrochage" (François Provost, patron du groupe Renault), "l'Europe décline" (Antonio Filosa, Stellantis) etc.

Pourquoi cette crise?

Sans forcément tomber dans les prédictions les plus noires, dirigeants mais aussi syndicalistes et ONG environnementales sont d'accord sur les bouleversements en cours.

Le patron de Mercedes, Ola Källenius, évoque "une transformation comme on en voit tous les 100 ans, dans un environnement balayé par un ouragan force 5". Tandis que Marylise Léon, à la tête de la CFDT, a qualifié le moment d'"historique" et de "charnière", devant la presse cette semaine également.

De fait, le marché automobile n'a pas retrouvé ses niveaux d'avant Covid. Les ventes de véhicules neufs en Europe ont reculé de quelque 3 millions d'unités en Europe en 2024 par rapport à 2019, à 10,6 millions. Pour la France seulement, la chute est de 22% (2,21 millions d'unités en 2019, 1,72 million en 2024).

Olivier Hanoulle, expert automobile au cabinet Roland Berger, explique le sentiment du secteur par trois facteurs: voiture électrique, protectionnisme américain et montée en puissance de la Chine. "L'Europe doit accomplir la transition vers la voiture électrique la plus rapide du monde. Les Chinois ont démarré bien avant nous, sans viser la fin du moteur thermique en 2035, et les Etats-Unis", dirigés par Donald Trump, "s'électrifient lentement", relève-t-il.

L'échéance 2035?

L'UE prévoit pour 2035 l'interdiction des voitures thermiques et hybrides neuves, une mesure phare du Pacte vert européen (Green Deal) acté en mars 2023 malgré les réticences allemandes. Une clause de revoyure est prévue pour 2026 mais, sous la pression des industriels qui espèrent un assouplissement des textes, la Commission devrait annoncer des décisions courant décembre.

"Les risques qui pèsent aujourd'hui sur l'industrie européenne" résultent "d'un choix politique et dogmatique, et non pas technologique", a asséné mardi Luc Chatel, président de la PFA.

Les consommateurs n'achètent pas de véhicules électriques car ils sont trop chers, arguent des acteurs de l'industrie. Il faut donc autoriser les voitures hybrides rechargeables (moteur thermique et batterie électrique) et les agrocarburants pour après 2035. Et limiter "le tsunami de normes sur la sécurité et la décarbonation", selon François Provost, le patron de Renault.

2035 a été choisie afin d'avoir un parc automobile 100% vert en 2050, année de la neutralité climatique (une voiture dure en moyenne 15 ans), a rappelé Christophe Périllat, directeur général de l'équipementier Valeo, selon qui "le défi climatique n'a pas changé". Mais les "concessions automobiles sont vides" et il faut donc "introduire de la flexibilité" pour relancer le marché.

Et les prix des voitures?

Ils ont augmenté de 24% pour les véhicules neufs en France entre 2020 et 2024, indique une étude de l'Institut Mobilités en transition, publiée en mai. Selon ses analyses, "l'électrification" ne représente que 6 points de ces 24%, de même que l'inflation des coûts. La moitié de la hausse s'explique par des augmentations de marge et des montées en gamme.

Une "SUVisation" des modèles proposés, qui rendent inaccessibles les véhicules neufs à la classe moyenne, note Thomas Uthayakumar, de l'ONG Fondation pour la nature et l'Homme. "Les constructeurs ont cyniquement abandonné les voitures abordables au profit des plus chères", "aux dépens des PME implantées sur le sol français", et "malgré les aides publiques largement distribuées", abonde Marylise Léon.

"Des voitures très grosses, très chères, très équipées" qui ont boosté les profits des constructeurs auto au tournant des années 2020, s'agace Diane Strauss, de l'ONG Transport & Environnement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

La Chine met en service son troisième porte-avions

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Photo satelllite du porte-avion Fujian. (© KEYSTONE/AP/Planet Labs PBC)

La Chine a mis en service son troisième porte-avions lors d'une cérémonie en présence du président Xi Jinping, marquant un jalon crucial dans la modernisation de sa marine face aux Etats-Unis, a rapporté l'agence Chine Nouvelle vendredi.

Le Fujian, bien plus moderne et plus puissant que ses deux prédécesseurs, est équipé d'un système de catapulte qui lui permet de propulser une plus grande variété d'avions, et offre un meilleur rayon d'action que ses prédécesseurs, selon cette source.

Le seul autre porte-avions actuellement équipé de ce système est le Gerald R. Ford, de la marine américaine.

Après la cérémonie de mise en service qui s'est tenue mercredi sur l'île tropicale de Hainan (sud), "Xi Jinping est monté à bord du Fujian (...) et s'est informé du développement des capacités de combat du système de porte-avions ainsi que de la construction et l'application du système de catapultage électromagnétique", a rapporté Chine Nouvelle.

Le Fujian, à propulsion conventionnelle (et non nucléaire), est le plus grand et le plus avancé des porte-avions chinois.

La Chine dispose de deux porte-avions en service actif: le Liaoning, acheté à l'Ukraine en 2000, et le Shandong, premier porte-avions à avoir été construit en Chine, mis en service en 2019.

Mais ils n'ont pas le degré de technicité du Fujian: dépourvus de catapultes, ils sont équipés d'une rampe de type "tremplin", qui ne permet pas aux avions de décoller avec autant de puissance. Cela les contraint à emporter moins d'armes et de carburant.

Engagé dans une rivalité navale avec Washington en mer de Chine méridionale et autour de Taïwan, Pékin reste toutefois sensiblement derrière les Américains en termes de capacité de projection, soulignent la plupart des analystes

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Valais: le futur abbé de Saint-Maurice veut restaurer la confiance

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Le chanoine Alexandre Ineichen, actuel recteur du College de Saint-Maurice, sera le nouvel abbé en 2026. Il entend restaurer la confiance. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Futur abbé de Saint-Maurice, le chanoine Alexandre Ineichen prendra ses fonctions en début d’année 2026. Dans une interview accordée au Nouvelliste, il affirme vouloir restaurer la confiance et promet des réformes à l'abbaye.

Elu par ses pairs et validé dans sa future fonction par le pape Léon XIV, Alexandre Ineichen se sait attendu au tournant, dans le climat de défiance qui prévaut après la publication du rapport Aubert. Ce dernier avait, pour rappel, mis en lumière des années de violences sexuelles permises voire favorisées au sein de l'abbaye.

"La recherche de confiance, d’unité et d’authenticité" constitueront les premiers objectifs d'Alexandre Ineichen. "Je ne viens pas avec un programme politique ou une stratégie précise. Mais avec le souci de retisser les liens: entre les chanoines, avec les fidèles, avec tous ceux qui, de près ou de loin, se sentent liés à l’abbaye. Il faut retrouver un climat serein où la vie religieuse puisse se déployer pleinement", pose le futur abbé sans entrer dans les détails ni fixer un agenda.

Il convient toutefois: "Des actions concrètes seront entreprises. Le plan d’action du rapport Aubert va être repris. Il y a, par exemple, cette commission de conseil en gouvernance qui est sur le point de voir le jour. Cette entité nous permettra de bénéficier d’un regard extérieur sur nos pratiques afin d’en corriger les potentiels travers".

Alors que le quotidien valaisan lui rappelle que le rapport Aubert suggère une "reconnaissance publique de responsabilité", M. Ineichen s'engage à favoriser le dialogue entre l'institution et les victimes: "Mais il faut que cela convienne et soit adéquat, surtout pour les victimes. La confiance se bâtit aussi par des actes concrets, en particulier envers les victimes", prévient-il.

Un laïc dirigera vraisemblablement le collège

Conscient que les dérives du passé font ombrage aux perspectives d'avenir, le chanoine estime qu'"une image est toujours récupérable. Elle est l’effet d’une cause. Je travaillerai sur ces causes".

Recteur du collège de Saint-Maurice depuis 19 ans, le chanoine tient pour acquis qu'il sera remplacé par un laïc: "une fois que je serai parti, il ne restera plus qu’un seul chanoine professeur dans l’établissement. Une page historique va donc se tourner", convient-il avant d’ajouter: "la volonté est de donner un nouveau souffle à l’établissement. Si une forte personnalité externe au collège est candidate, elle aura toute notre attention. Dans tous les cas, on analysera l’ensemble des postulations pour choisir la meilleure", promet-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Gaza: une force internationale sera bientôt déployée, dit Trump

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Donald Trump a dit qu'une force internationale sera "très bientôt" déployée à Gaza. (© KEYSTONE/AP/Jacquelyn Martin)

Donald Trump a affirmé jeudi qu'une force internationale serait déployée "très bientôt" à Gaza. Une annonce faite au lendemain de celle d'un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU destinée à soutenir le plan de paix du président américain.

"Très bientôt. Ça va arriver très bientôt. Et ça se passe bien à Gaza", a répondu Donald Trump à une question d'un journaliste sur le déploiement annoncé d'une telle force dans le territoire palestinien, qui fait face à une situation humanitaire toujours très précaire près d'un mois après l'entrée en vigueur d'une trêve entre Israël et le Hamas.

"On a plusieurs pays qui se sont portés volontaires pour intervenir en cas de problème avec le Hamas, par exemple, ou pour tout autre problème", a-t-il ajouté lors d'un échange avec la presse en marge d'une rencontre diplomatique à la Maison Blanche avec des dirigeants d'Asie centrale.

Les Etats-Unis ont présenté mercredi à des pays partenaires un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU destinée à soutenir le plan de paix de Donald Trump à Gaza, incluant le déploiement d'une force internationale.

L'ambassadeur Mike Waltz a réuni mercredi les dix membres élus du Conseil ainsi que plusieurs partenaires régionaux (Egypte, Qatar, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Turquie), selon la mission américaine à l'ONU, notant que cela témoignait du "soutien régional" à ce texte.

Selon des sources diplomatiques, plusieurs pays ont déjà évoqué être prêts à participer à cette force de stabilisation (ISF), notamment l'Indonésie, mais tiennent à un mandat du Conseil de sécurité pour effectivement déployer des troupes dans le territoire palestinien.

Cette force est prévue dans l'accord qui a conduit à un fragile cessez-le-feu le 10 octobre, après deux ans de guerre dévastatrice déclenchée par l'attaque du Hamas.

Selon les termes de cet accord, elle sera composée d'une coalition en majorité composée de pays arabes et musulmans, et déployée à Gaza pour y superviser la sécurité à mesure que l'armée israélienne s'en retirera.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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