Rejoignez-nous

Actualité

Un test Covid négatif pour entrer en Suisse

Publié

,

le

Les personnes non vaccinées ou non guéries du Covid-19 qui veulent entrer en Suisse devront se soumettre à un test (archives). (© KEYSTONE/APA/APA/ROLAND SCHLAGER)

Les vacanciers non vaccinés ou non guéris du Covid-19 qui veulent entrer en Suisse devront présenter patte blanche. Le Conseil fédéral veut introduire dès le 20 septembre l'obligation de présenter un test négatif.

Cette décision fait suite aux discussions de l'été et à la progression de l'épidémie suite aux retours de vacances, a expliqué le ministre de la santé Alain Berset. En prévision des vacances d'automne, il est nécessaire "d'identifier les personnes qui rentrent infectées de l'étranger et de les isoler".

Deux variantes ont été mises en consultation mercredi jusqu'au 14 septembre. La première mise sur des tests répétitifs. Les voyageurs non immunisés et non vaccinés devront présenter un test négatif à leur entrée en Suisse, et ce peu importe leur provenance. Après quatre à maximum sept jours, ils devront se soumettre à un second test en Suisse. Le résultat devra être transmis au canton. Les frais seront à la charge des voyageurs.

La deuxième variante mise en consultation prévoit, à la place d'un deuxième test, une quarantaine de dix jours. Cette dernière pourra être écourtée après sept jours sur présentation d'un test négatif.

Amendes

Dans les deux cas, les vacanciers devront remplir le formulaire de voyage passenger locator form. Celui-ci sera exigé pour toute entrée sur le territoire, que ce soit en voiture, en train, en avion, en bateau, en vélo ou à pied.

Seuls les frontaliers, les enfants de moins de seize ans, les passagers en transit et au transit de marchandises seront exemptés. Ce ne sera pas le cas pour les personnes qui traversent la frontière pour faire des courses.

Afin de faire respecter les règles, les contrôles seront intensifiés, mais toutes les personnes qui entrent sur le territoire ne pourront pas être contrôlées, a ajouté M. Berset. Des amendes pourront être prononcées.

Certificat étendu

Dans cette optique, le Conseil fédéral propose d'étendre l'accès au certificat Covid pour les personnes vaccinées à l'étranger. Celles qui ont été vaccinées avec un produit reconnu par l'Agence européenne des médicaments et qui ont leur domicile en Suisse ou qui veulent entrer en Suisse pourront obtenir un certificat suisse.

Actuellement, seuls les certificats des pays qui ont adhéré au certificat Covid numérique de l'UE sont compatibles avec le système suisse. La consultation dure jusqu'au 14 septembre.

Pays à risque

Par ailleurs, le gouvernement renonce à la liste des pays à risque tenue par l'Office fédéral de la santé publique. Elle n'est plus adaptée pour suivre la dynamique du variant Delta. La liste du Secrétariat d'Etat aux migrations est quant à elle maintenue.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Suisse

Holcim a accru sa rentabilité, malgré la vigueur du franc

Publié

le

Exprimé à taux de change constants, l'Ebit récurrent de Holcim a progressé de 17,1% sur un an, sa croissance organique s'inscrivant elle à 16,3% (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Holcim a accru sa rentabilité au 1er trimestre, malgré le déclin de ses ventes, sur lesquelles la vigueur du franc a pesé. Le géant zougois des matériaux de construction a vu son résultat d'exploitation (Ebit) récurrent bondir de 7,8% à 532 millions de francs.

Exprimé à taux de change constants, le résultat d'exploitation avant intérêts et impôts ('Ebit) récurrent a progressé de 17,1% sur un an, sa croissance organique s'inscrivant elle à 16,3%, écrit jeudi Holcim.

Le chiffre d'affaires a lui diminué de 2,4% à 5,59 milliards de francs, affichant toutefois une progression de 3,4% en devises locales et demeurant stable en termes organiques.

Alors que le chiffre d'affaires s'est révélé inférieur aux attentes des analystes, l'Ebit récurrent les a dépassées. Sondés par l'agence AWP, les analystes avaient anticipé des revenus de 5,65 milliards de francs et un Ebit récurrent de 510 millions.

Evoquant la suite de l'exercice, la direction confirme ses attentes pour 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Santé

Nestlé: ventes en recul au premier trimestre

Publié

le

Alerte Info (© )

Le géant alimentaire Nestlé a enregistré des ventes en baisse de 5,9% à 22,1 milliards de francs au premier trimestre 2024. L'entreprise veyveysane a néanmoins vu sa croissance organique progresser de 1,4%. Le groupe confirme ses objectifs de croissance d'environ 4%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats

Continuer la lecture

Culture

Malala critiquée pour une comédie musicale produite avec Clinton

Publié

le

La militante des droits des femmes, Malala Yousafzai, 26 ans, est louée à travers le monde (archives). (© KEYSTONE/AP Invision/VIANNEY LE CAER)

La Pakistanaise Malala Yousafzai, prix Nobel de la paix, est sous le feu des critiques dans son pays natal après une publicité réalisée pour une comédie musicale sur les suffragettes qu'elle produit avec Hillary Clinton.

Sur X, anonymes et commentateurs lui reprochent d'être apparue à Broadway aux côtés de l'ex-secrétaire d'Etat américaine - sous le mandat de laquelle des frappes de drones ont tué des civils au Pakistan - et de ne pas se prononcer sur la guerre à Gaza, y voyant un "deux poids, deux mesures".

Si Malala Yousafzai, 26 ans, est une militante obstinée des droits des femmes louée à travers le monde, les cercles islamistes et une partie importante de l'opinion publique pakistanaise voient en elle un "agent des Etats-Unis" créé pour corrompre la jeunesse. Après la première représentation de "Suffs", le cercle des critiques semble s'être élargi à des figures du féminisme au Pakistan.

"J'ai défendu bec et ongle Malala toutes ces années mais, là, je ne la suis pas. C'est vraiment difficile de la défendre depuis six mois", écrit ainsi la militante Leena Ghani, en référence à la guerre lancée par Israël à Gaza en réponse à l'attaque meurtrière du Hamas sur son sol le 7 octobre.

"J'admire Malala depuis 2011", affirme l'éditorialiste Mehr Tarar sur X, mais "sa collaboration théâtrale avec Hillary Clinton -qui défend le soutien infaillible de l'Amérique au génocide des Palestiniens- est un vrai coup à sa crédibilité comme défenseuse des droits humains".

"Tu nous as laissés tomber"

Mme Clinton a dit soutenir la guerre contre le Hamas et rejeté des appels au cessez-le-feu à Gaza. Elle a aussi réclamé la protection des civils dans le petit territoire contrôlé par le mouvement islamiste depuis 2007.

"Quelle déception Malala, tu nous as laissés tomber", écrit de son côté la professeure et militante féministe Nida Kirmani. De nombreuses voix au Pakistan ont accusé Malala Yousafzai de ne pas avoir exprimé sa solidarité avec les Palestiniens. La jeune femme avait pourtant précédemment publiquement condamné la mort de civils à Gaza et réclamé un cessez-le-feu.

Le New York Times rapporte qu'elle portait un pin's rouge et noir pour la première représentation de "Suffs", un signe de soutien au cessez-le-feu. Après ces critiques, la jeune femme a affirmé mardi sur le réseau social X son soutien aux habitants de Gaza et condamné la guerre menée par Israël.

"Je veux qu'il n'y ait aucune confusion quant à mon soutien à la population de Gaza", a écrit Malala Yousafzai. "Nous n'avons pas besoin de voir davantage de cadavres, d'écoles bombardées et d'enfants affamés pour comprendre qu'un cessez-le-feu est urgent et nécessaire".

"J'ai condamné et je continuerai à condamner le gouvernement israélien pour ses violations du droit international et ses crimes de guerre", a-t-elle ajouté. La jeune fille originaire de la verdoyante vallée de Swat, dans le nord-ouest du Pakistan, avait été blessée par balle au visage en 2012 par des islamistes.

Soignée en urgence en Grande-Bretagne, elle est ensuite devenue un symbole mondial de résistance à l'extrémisme religieux et la porte-voix des filles privées d'instruction, puis en 2014 la plus jeune prix Nobel de la Paix de l'histoire. Depuis qu'elle a été attaquée, elle n'est revenue que deux fois dans son pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

L'Arizona inculpe des collaborateurs de Trump

Publié

le

L'ancien avocat personnel de Donald Trump, Rudy Giuliani, figure parmi les personnes inculpées (archives). (© KEYSTONE/AP/Matt Rourke)

L'Etat américain de l'Arizona a inculpé 18 personnes dans le cadre d'une tentative d'inverser les résultats de l'élection présidentielle de 2020 en faveur de Donald Trump. C'est ce qu'a déclaré mercredi le procureur général de l'Etat.

Parmi les personnes inculpées, les médias américains citent Rudy Giuliani, l'ancien avocat personnel de l'ex-président Donald Trump. Les accusations font état d'un complot visant à attribuer des grands électeurs - dont un certain nombre permettent tous les quatre ans d'élire un nouveau président - à Donald Trump dans cet Etat remporté de peu par Joe Biden en 2020.

Le procureur général de l'Arizona, un Etat clé pour l'élection de novembre, a fait savoir que 11 républicains locaux étaient concernés par les inculpations, ainsi que sept autres personnes en dehors de l'Etat.

Selon le Washington Post, parmi ces sept personnes figurent l'ancien chef de cabinet de la Maison Blanche de Donald Trump, Mark Meadows, les avocats Jenna Ellis et John Eastman, le conseiller de campagne Boris Epshteyn, ainsi que Rudy Giuliani, ancien avocat personnel de Donald Trump.

L'ancien président n'a pas été inculpé mais a été désigné comme co-conspirateur non inculpé, selon le Washington Post. Joe Biden avait gagné cet Etat du sud-ouest avec un peu plus de 10'000 voix d'avance sur le milliardaire mais de nombreux responsables du parti républicain ont considéré, sans preuve, qu'il y avait eu fraude et que Donald Trump avait gagné l'Arizona.

Malgré la défaite de Trump dans cet Etat aux paysages désertiques, ses représentants ont néanmoins signé des documents attestant de sa victoire. Après le Michigan, la Géorgie et le Nevada, l'Arizona est le quatrième État à engager des poursuites contre des personnes ayant tenté de former une liste alternative de grands électeurs.

M. Meadows, M. Giuliani, Mme Ellis et M. Eastman ont tous été inculpés en Géorgie, aux côtés de Donald Trump dans ce qui est probablement le plus explosif des quatre procès au pénal auxquels il est confronté. Ces nouvelles inculpations tombent alors que Donald Trump est à nouveau candidat à la Maison Blanche face au président Joe Biden et qu'il continue d'affirmer sans fondement qu'il a gagné en 2020.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Une quinzaine de groupes pour le Festival de blues de Crissier

Publié

le

Le festival veut explorer deux siècles de Blues (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Jeff Roberson)

La quatorzième édition du Blues Rules Crissier Festival se tient les 7 et 8 juin prochain à Crissier, près de Lausanne (VD). Seize groupes seront à l'affiche, pour l'essentiel des Etats-Unis et de Suisse.

Sous le mot d'ordre "retour aux racines", le festival veut explorer deux siècles de Blues et les multiples influences qui le définissent. Huit groupes américains seront à l'affiche, quatre groupes suisses et quatre groupes venant du reste du monde (Colombie, France, Canada), indiquent les organisateurs mercredi soir dans un communiqué.

Le Blues est sans conteste lié aux esclaves africains envoyés aux Etats-Unis, mais on y trouve aussi beaucoup d'influences caribéennes, hispaniques et amérindiennes, rappellent les organisateurs. Depuis, cette musique n’a pas cessé d’évoluer, collant à son époque et inspirant toutes les musiques actuelles.

Le Blues Rules Crissier Festival proposera donc différents styles à son public, des rythmes amérindiens jusqu'au punk blues, en passant par le Fife and Drum, le Blues rural, le cajun, le zydéco, le Jug Band, le R'n'B ou le rap.

Parmi les artistes présents, figureront notamment le duo père-fils Twice as Good, récompensé par des prix prestigieux, les "gardiens de la tradition" Rising Star Fife and Drum Band, ou le "passeur de connaissances" John Primer. La lauréate du Swiss Blues Award 2024, Justina Lee Brown, sera également de la partie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture