En unihockey, les phases qualificatives pour les championnats du monde féminin ont eu lieu la semaine dernière dans différents endroits du globe. La Suisse n’était pas engagée puisque qualifiée d’office en tant que pays hôte, les Championnats du monde ayant lieu à Neuchâtel en décembre prochain.
Ces qualifications permettent souvent à des équipes nationales moins bien classée de se mesurer à ce qui se fait de mieux. A l’image de l’équipe de France, 27e mondial sur 34 au classement de la fédération international qui s’est retrouvée dans le groupe du Danemark, 10e, la Norvège, 9e et surtout de la Suède, meilleure équipe du monde et détentrice du record de nombre de victoires en championnat du monde. Amélia Gabriel, l’une des deux gardiennes de l’équipe de France, est franco-suisse et joue en club avec l’équipe féminine du UHC Genève.
Deux entraînements par semaine, des matches toutes les 3 semaines, le rythme n’est pas le même que celui vécu la semaine passée avec son équipe nationale. Comme premier match, les Françaises ont qui plus est directement joué la Suède avec un score lourd puisqu’elles ont perdu 61-0. En tant que joueuse amatrice, Amélia Gabriel n’a pas réalisé tout de suite qu'elle avait face à elle les meilleurs joueuses du monde.
Amélia Gabriel
Gardienne de l'équipe de France
Amélia GabrielGardienne de l'équipe de France
Amélia GabrielGardienne de l'équipe de France
61-0, c’est un score lourd, c’est même un record pour le unihockey féminin. Plusieurs médias ont relayé l’information mais pour la gardienne de l’équipe de France Amélia Gabriel, qui a encaissé 24 buts face aux Suédoises, le score n'est pas le plus important.
Amélia Gabriel
Gardienne du UHC Genève
Amélia GabrielGardienne du UHC Genève
Amélia GabrielGardienne du UHC Genève
Le match face à la Suède était le premier de trois rencontres disputées dans le groupe puisque les Françaises affrontaient en suite le Danemark et la Norvège. Alors comment celle qui défend d’habitude les buts du UHC Genève s’est reconcentrée pour les matchs qui arrivent. Amélia Gabriel
Amélia Gabriel
Gardienne de l'équipe de France
Amélia GabrielGardienne de l'équipe de France
Amélia GabrielGardienne de l'équipe de France
"Même encore maintenant, je n'arrive pas à réaliser"
A titre personnel, la gardienne de l’équipe de France et du UHC Genève a vécu un véritable chamboulement. Des matchs le dimanche matin avec des vestiaires à partager avec plusieurs équipes, elle a tout d'un coup mis le pied dans le monde professionnel avec des titres de meilleures joueuses décernés, les hymnes avant les rencontres, un physio à disposition, des demandes d’interview, bref un autre monde qui a mis des étoiles plein les yeux d’Amélia Gabriel.
Amélia Gabriel
Gardienne de l'équipe de France
Amélia GabrielGardienne de l'équipe de France
Amélia GabrielGardienne de l'équipe de France
Au final, avec 3 défaites en 3 matchs, la France ne sera pas du voyage à Neuchâtel en décembre prochain. Quant à Amélia Gabriel, elle retrouve son club genevois pour une nouvelle manche du championnat ce dimanche.
Amélia Gabriel (3e depuis la droite) a été nommée meilleure joueuse pour la France face à la Norvège / Piotr Matusewicz - IFF
La 64e édition du Concours Hippique International de Genève (CHI) qui s'est terminé en apothéose par la victoire de l'Américain Kent Farrington dans le Grand Prix a attiré 49'200 spectateurs durant les 5 jours de compétition à Palexpo.
La soixante-quatrième édition du Concours Hippique International de Genève (CHI) a tenu toutes ses promesses sur le plan sportif comme celui du succès populaire: 49'200 spectateurs ont accouru à Palexpo durant les cinq jours de compétition. Avec une fin en apothéose qui a vu la victoire de l'Américain Kent Farrington, numéro un mondial.
Les Suissesses sont les nouvelles championnes du monde de unihockey. Elles ont remporté l'or mondial en battant la République tchèque, nation organisatrice, dimanche à Ostrava (2-0).
C'est la deuxième fois que l'Equipe de Suisse monte sur le toit du monde depuis la création du Championnat du monde féminin en 1997. Elle avait déjà décroché l'or en 2005 à Singapour.
Au lendemain de sa victoire historique contre l'imbattable Suède en demi-finale (6-3), la sélection d'Oscar Lundin a encore signé un exploit pour vaincre les Tchèques. Ces dernières avaient pourtant remporté le premier duel entre les deux nations lors de la phase de groupes.
Un but a longtemps suffi au bonheur aux solides Helvètes. Il est venu de la canne de Céline Stettler, qui a trouvé la faille à la 13e minute d'un tir accompagné. Pas irréprochable sur le coup, la gardienne tchèque ne gardera sans doute pas un souvenir impérissable de cette finale perdue devant son public.
Héroïque Lara Heini !
Les Tchèques ont exercé une forte pression durant toute la partie pour tenter d'égaliser. En vain... Elles ont systématiquement buté sur la gardienne helvétique Lara Heini. Les Suissesses ont été héroïques pour tenir, avant d'assurer leur succès dans la cage vide, à 38 secondes de la sirène finale, grâce à leur capitaine Isabelle Gerig.
Cette édition du Mondial aura permis aux Suissesses de laver l'affront subi il y a deux ans à Singapour, où elles n'étaient pas parvenues à monter sur le podium pour la première fois depuis 2011. On se souviendra aussi du tournoi tchèque comme celui où elles ont mis fin à l'hégémonie suédoise. Même les Scandinaves, nonuples championnes du monde en titre, n'ont pas su résister à cette remarquable équipe de Suisse.
Ludovic Magnin est-il un entraîneur en sursis ? Tout l’indique après le nouveau faux-pas du FC Bâle, tenu en échec au Parc Saint-Jacques par un Lausanne-Sport réduit à 10 à l’heure de jeu.
Une semaine après une victoire miraculeuse à Winterthour, ce partage des points contre les Vaudois fragilise encore la position du successeur de Fabio Celestini. Il souligne aussi combien le FCB ne possède plus aujourd’hui la moindre marge contre n’importe quelle équipe. Et ce nul ne lèse pas vraiment les Rhénans dans la mesure où ils n’ont pas bénéficié de réelles occasions de but après l’expulsion de Beyatt Lekoueiry qui avait été introduit à la pause.
Avec ce troisième 0-0 de rang, Lausanne a eu la confirmation que sa défense était de fer en cette fin d’année. Peter Zeidler se félicitera bien sûr de la solidarité sans faille de ses joueurs qui ont terminé la rencontre à neuf avec le rouge de Brandon Soppy à la 95e et de ce point qui pourrait compter dans la lutte pour le top-6. A condition de bien conclure l’année dimanche prochain lors de la réception de Lucerne.
Jocelyn Gourvennec loin du compte
Si le Lausanne-Sport a témoigné d’un esprit de corps remarquable, le Servette FC a, en revanche, dévoilé bien des fragilités à Lugano. Battus 4-2 après avoir été menés 3-0 à la... 24e, les Grenat ont été trop vulnérables en défense, à commencer par leur gardien Joël Mall qui endosse une certaine responsabilité sur l’ouverture du score d’Antonio Papadopoulos à la 5e minute.
La formation la plus décevante de la Super League a ainsi concédé sa 8e défaite de la saison pour se retrouver à 8 points de la barre. A la tête de l’équipe depuis la 4e journée, Jocelyn Gourvennec est loin d’avoir fait des miracles...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Kent Farrington a remporté dimanche le Grand Prix du CHI de Genève, pour la deuxième fois de sa carrière. Le meilleur Suisse se nomme Jason Smith, qui a terminé cinquième à l'issue du barrage.
Avec Greya, le cavalier de Chicago a réussi le deuxième sans-faute le plus rapide lors du barrage décisif qui a réuni huit couples. Il a devancé l'Irlandais Shane Sweetnam et le Belge Thibeau Spits pour remporter son deuxième GP à Genève après sa victoire en 2017.
Dans le camp suisse, la surprise est venue de Jason Smith, l'Ecossais de naissance évoluant désormais sous les couleurs helvétiques. L'ancien protégé de Pius Schwizer a signé deux sans-fautes avec Picobello, mais il a terminé le deuxième parcours avec trois secondes de plus que Farrington.
Une faute fatale à Guerdat
Le Jurassien Steve Guerdat, qui faisait son retour au plus haut niveau ce week-end à Palexpo après son opération du dos, n'a pas réussi à atteindre le barrage. Le triple vainqueur de l'épreuve (2006, 2013 et 2015) a commis l'irréparable avec Dynamix sur l'antépénultième obstacle du premier parcours.
Le résultat a été le même pour le Zurichois Martin Fuchs (L&L Lorde), deux fois vainqueur du prestigieux Grand Prix genevois (2019 et 2021). La Soleuroise Barbara Schnieper (Canice) a elle aussi fait tomber une barre lors de son passage.
Les autres Suisses en lice, Géraldine Straumann (5 points), Gaëtan Joliat (8), Edouard Schmitz (12) et Alain Jufer (12), ont terminé plus loin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Moins de trois jours après un succès de prestige face à Lille, les Young Boys ont enchaîné. Les Bernois ont battu le FC Lucerne 2-0 au Wankdorf sans toutefois toucher au génie.
Les Young Boys ont marqué par Christian Fassnacht (20e), auteur de son 11e but de l’exercice, et par Darian Males (58e), lequel a bénéficié d’un service en or d’Alvyn Sanches, pour effacer en quelque sorte le couac de dimanche dernier à Tourbillon. Dans les rangs lucernois, cette troisième défaite de rang traduit les limites d’une équipe trop vulnérable dans les deux surfaces.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats