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Revue de presse de ce dimanche 21 octobre

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Le nombre d'hospitalisations pour concommation excessive d'alcool ou de drougues est un peu au-dessus de la moyenne suisse dans les cantons romands, Fribourg fermant la marche (archives). (©KEYSTONE/EDI ENGELER)

Course au Conseil fédéral, coût des naturalisations et réhabilitation des objecteurs de conscience sont quelques-uns des sujets abordés par la presse dominicale suisse:

SonntagsZeitung/SonntagsBlick/NZZ am Sonntag: Le président du parti démocrate-chrétien, Gerhard Pfister, répète dans la SonntagsZeitung, le SonntagsBlick et la NZZ am Sonntag qu'il ne veut pas succéder à la conseillère fédérale Doris Leuthard, qui se retire à la fin 2018. Malgré les appels d'autres partis, il refuse d'être le candidat du dynamitage. "J'exclus une candidature", déclare le conseiller national de Zoug, âgé de 56 ans. "Dans le cas improbable" d'une élection "contre mon gré" au Conseil fédéral le 5 décembre, "je déclarerais probablement que je ne pourrais pas accepter l'élection et que l'Assemblée fédérale devrait choisir un candidat officiel du PDC". Le président des démocrates-chrétiens voit derrière les appels persistants à sa candidature les "traits d'une campagne" visant à disqualifier le parti ou à déstabiliser la direction de la formation un an avant les élections.

Le Matin Dimanche liste, lui, le très grand nombre de papables ayant renoncé aux deux postes vacants après les démissions de Mme Leuthard et du ministre de l'économie, le PLR Johann Schneider-Ammann. Si une candidature peut leur permettre un regain de notoriété, elle peut aussi leur coûter très cher, explique le journal, citant les exemples du conseil d'Etat genevois Pierre Maudet (PLR), dont l'exposition médiatique a poussé les journaux alémaniques à parler de ses déboires dus à son voyage controversé à Abou Dhabi et à exiger son départ, et de la conseillère nationale vaudoise Isabelle Moret (PLR), qui a perdu en crédibilité à Berne après sa campagne pour la succession à l'ancien conseiller fédéral Didier Burkhalter. Le politologue Andreas Ladner reconnaît que la société est devenue plus exigeante avec les élus.

Naturalisation moins chère à Lausanne

Le Matin Dimanche: Monsieur Prix a décidé de se pencher sur les fortes disparités entre cantons dans les coûts facturés aux candidats à la naturalisation suisse, rapporte Le Matin Dimanche. "Nous avons déjà entamé une étude", explique dans le journal Beat Niederhausen, suppléant du surveillant des prix. "Nous avons demandé les montants aux capitales de chaque canton. Nous regarderons ensuite quelles sont les procédures et les raisons de telles différences", ajoute-t-il. Selon la loi, les émoluments doivent couvrir uniquement les frais. A Fribourg, qui a les émoluments les plus élevés en Suisse romande, il faut compter entre 1800 et 3000 francs pour obtenir la nationalité suisse, alors qu'à Lausanne, qui se trouve à l'opposé, la procédure coûte entre 550 et 850 francs. Fribourg justifie le montant élevé par un nombre de candidats au passeport suisse plus faible. La capitale vaudoise applique, quant à elle, un forfait fixe pour chaque candidat.

Zentralschweiz am Sonntag/Ostschweiz am Sonntag: La conseillère nationale Lisa Mazzone (Verts/GE) a déposé une initiative parlementaire demandant au Conseil fédéral d'annuler les condamnations prononcées contre 12'000 objecteurs de conscience entre 1968 et 1996, rapportent Zentralschweiz am Sonntag et Ostschweiz am Sonntag. Elle veut, déclare-t-elle dans le journal, que la Confédération leur rende justice. Depuis 1996, les hommes refusant de servir dans l'armée peuvent effectuer un service civil à la place. Auparavant, un tel refus était passible de prison. La proposition de Mme Mazzone est mal reçue dans le camp bourgeois. "Il n'y a rien à réhabiliter", rétorque le conseiller aux Etats Josef Dittli (PLR/UR), également président de la commission de politique de sécurité du Conseil des Etats. Les jugements ont été rendus conformément à la législation de l'époque, poursuit-il. En 2000, le Conseil national avait déjà rejeté une proposition similaire du PS. Le Conseil fédéral craignait à l'époque qu'une réhabilitation n'entraîne des prétentions financières.

Le Matin Dimanche/SonntagsZeitung: Le canton de Bâle-Ville arrive largement en tête du nombre d'hospitalisations dues aux substances addictives, telles que l'alcool ou les drogues, révèlent Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung, citant une étude de l'Observatoire suisse de la santé. Dix-sept hospitalisations pour 1000 habitants y ont été enregistrées en 2016, soit quatre fois plus qu'à Zoug, Appenzell Rhodes-Intérieures ou Nidwald, qui ferment la marche. Les valeurs recensées en Suisse romande sont au-dessus de la moyenne suisse, qui se situe à 8,9 hospitalisations pour 1000 habitants. Jura, Valais, Genève et Vaud en compte dix et Neuchâtel neuf. Seul Fribourg est en dessous, avec huit hospitalisations. Bâle explique ce résultat par des pratiques différentes en matière de codage des traitements.

Vaccination pour endiguer les encéphalites à tique

NZZ am Sonntag: Après un nombre record de cas d'encéphalite à tique enregistré en 2018, les autorités suisses envisagent d'étendre leur recommandation de vaccination à des cantons entiers, voire à l'ensemble de la Suisse, affirme la NZZ am Sonntag, reprenant une information déjà diffusée en septembre. L'objectif est d'empêcher que le nombre de méningo-encéphalites verno-estivales soit aussi élevé l'année prochaine, explique dans le journal Mark Witschi, chef de secteur à l'Office fédéral de santé publique (OFSP). Au moins 344 personnes ont été infectées cette année par une méningite virale après une piqûre de tique, soit 30% de plus qu'en 2017. Les symptômes vont de la fièvre à la perte de conscience, en passant par de graves maux de tête, des douleurs permanentes aux membres et la paralysie. Dans de rares cas, ils peuvent déboucher sur la mort. En juin, un chasseur argovien de 73 est décédé après une piqûre de tique.

SonntagsBlick: Le ministère public de Bâle-Ville a ouvert une enquête pénale contre des pirates africains, qui ont enlevé l'équipage du navire MV Glarus opérant sous pavillon suisse, indique le SonntagsBlick, citant un commissaire de police. Le bateau ayant un pavillon suisse, le droit suisse s'applique à la prise d'otages, qui est donc considérée comme une infraction commise en Suisse, explique le policier. Comme Bâle est le port d'attache de tous les navires suisses de haute mer, le ministère public bâlois a été saisi de l'affaire. Sept Philippins, un Croate, un Bosnien, un Slovène, un Ukrainien et un Roumain sont retenus captifs depuis un mois. Les pirates exigent une rançon. Des négociations sont en cours.

Source ATS

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Jeux olympiques

Au LAD d'Epalinges, plongée au coeur de l'analyse du dopage

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Un collaborateur du LAD, le Laboratoire suisse d'Analyse du Dopage, analyse des echantillons A et B contenant de l'urine dans le laboratoire antidopage (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A Epalinges, le Laboratoire suisse d'analyse du dopage (LAD) examine chaque année près de 20'000 échantillons d'urine et de sang. Pour ses 35 ans, il a ouvert exceptionnellement ses portes aux médias.

Cet institut affilié au CHUV a ouvert exceptionnellement ses portes aux médias à l'occasion de ses 35 ans et à l'approche des Jeux olympiques de Milan-Cortina, qui promettent des mois d'activité intenses.

Le parking de cet immeuble situé à deux pas du terminus du M2, sur les hauteurs de l'agglomération lausannoise, est un habitué des livraisons. Le rez-de-chaussée du bâtiment est occupé par une célèbre enseigne de bricolage. Mais c'est un autre type de colis que reçoivent quotidiennement les employés en blouse blanche occupant le deuxième étage: des échantillons d'urine et de sang.

Les agences antidopage et les fédérations sportives qui organisent leurs propres contrôles confient à des laboratoires les prélèvements biologiques réalisés sur les athlètes. Ces flacons scellés sont anonymisés. Seul le sport pratiqué et le genre sont connus. Ils sont généralement expédiés au laboratoire le plus proche après le contrôle. Cela n'empêche pas le LAD de recevoir des prélèvements en provenance de 107 pays différents, comme l'explique Tia Kuuranne, la directrice finlandaise de l'institut.

"Oeuvrer à l'équité sportive"

A leur arrivée à Epalinges, les prélèvements passent d'abord par le laboratoire de réception, où l'on vérifie leur intégrité pour s'assurer qu'ils n'ont pas été manipulés. Ils sont ensuite aliquotés - c'est-à-dire séparés en plusieurs petits échantillons.

Dans un coin de la salle, une machine remplit des petites fioles d'un liquide jaunâtre à la teinte plus ou moins prononcée. "C'est un automate", précise un collaborateur du LAD. "Il est bien plus fiable qu'un humain pour ce genre de tâche. Il ne peut faire que ce qu'on lui demande, mais il fait toujours ce qu'on lui demande."

La formation des employés du laboratoire lausannois est variée. Ici se croisent pharmaciens, chimistes, biologistes et techniciens en analyses biomédicales. Mais tous partagent la même vision d'un "sport propre". "Si on peut oeuvrer à l'équité sportive, c'est positif", souffle l'un des chercheurs.

Une analyse rigoureuse

Une fois préparés, les échantillons sont envoyés à l'étage inférieur, dans l'une des bruyantes "salles des machines", chacune étant dédiée à une "famille" de substance: les stimulants dans l'une, les stéroïdes anabolisants dans l'autre. Là, ils sont glissés dans d'imposants spectromètres de masse capables de détecter des centaines de métabolites, révélant ainsi les traces potentielles de substances prohibées par l'AMA.

Des centaines de graphiques - un pour chaque métabolite - sont ensuite rigoureusement analysés par les collaborateurs du LAD. "Elles passent toujours devant quatre yeux, ceux d'un technicien et d'un responsable", indique Raul Nicoli, l'un des scientifiques du laboratoire.

2% d'échantillons positifs

Après l'analyse, le LAD garde les échantillons pendant trois mois avant de les détruire, sauf si l'autorité ou la fédération - à qui l'échantillon appartient - demande de le conserver plus longtemps. "Cela peut servir si la technologie progresse au point d'être capable de détecter des substances plusieurs années après le test", explique la directrice.

C'est pourquoi le LAD stocke dans ses frigos plus de 100'000 échantillons congelés. Parmi les fioles de forme et de taille différentes, un collaborateur s'empare d'un imposant flacon. "Celui-là est américain, ils font toujours plus compliqué", s'amuse-t-il.

Comme l'indique la lettre inscrite sur sa surface, il s'agit d'un échantillon "B". Lors d'un contrôle, l'athlète doit en effet remplir deux récipients et seul celui marqué d'un "A" est ouvert à l'analyse. Si le test est positif - environ 2% des 20'000 tests réalisés chaque année au LAD le sont -, l'athlète peut exiger une contre-analyse à partir de l'échantillon "B".

Dans ces situations, l'athlète - ou son avocat - est invité à assister à l'ouverture du deuxième échantillon, pour s'assurer qu'il s'agit bien de son prélèvement et que tout se fait dans les règles. Certains contrôlés positifs ont ainsi déjà arpenté les couloirs du LAD d'Epalinges. "C'est assez courant, glisse le directeur administratif du laboratoire, qui ne révèlera évidemment aucun nom. Mais de notre expérience, la contre-analyse confirme systématiquement le résultat initial."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

USA: revers judiciaire pour Trump

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Letitia James ne pourra pas être poursuivie. (© KEYSTONE/AP/John Clark)

Le parquet fédéral a tenté en vain jeudi d'obtenir une nouvelle inculpation de la procureure générale de l'Etat de New York, Letitia James, cible déclarée de la vindicte du président américain Donald Trump, rapportent plusieurs médias américains.

La justice avait annulé la semaine dernière deux inculpations téléguidées par Donald Trump, contre Letitia James et contre l'ex-directeur du FBI James Comey, considérant comme illégale la désignation par l'exécutif de la procureure qui avait engagé ces poursuites.

Un grand jury, commission de citoyens investie de pouvoirs d'enquête, a cette fois refusé jeudi de délivrer un nouvel acte d'accusation contre Letitia James présenté par d'autres représentants du parquet, rapportent plusieurs médias citant des sources proches du dossier, dont CNN.

Le ministère de la Justice pourrait essayer de nouveau d'obtenir une inculpation dans les prochains jours, selon les mêmes sources.

Donald Trump a maintes fois exprimé pendant sa campagne électorale sa volonté de prendre sa revanche sur tous ceux qu'il considère comme des ennemis personnels.

James Comey, 64 ans, est devenu en septembre la première de ces personnalités à être inculpée depuis son retour au pouvoir, avant Letitia James, 67 ans, visée le mois suivant pour fraude au prêt bancaire.

En septembre, Donald Trump avait publiquement fait pression sur la ministre de la Justine Pam Bondi pour obtenir leur inculpation.

Mme James avait fait condamner Donald Trump à une amende de près d'un demi-milliard de dollars en février 2024. Cette condamnation pour fraude a été annulée en août par une cour d'appel de l'Etat de New York, qui a estimé cette amende "excessive", une décision dont elle a fait appel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Meurtre d'un patron d'assurance US: l'arrestation en questions

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Luigi Mangione est passé devant la cour criminelle, à Manhattan. (© KEYSTONE/AP/Curtis Means)

La défense de Luigi Mangione, accusé d'avoir tué de sang-froid le patron du plus gros assureur de santé américain en 2024, s'est attardée jeudi sur les conditions de son arrestation, guettant des erreurs dans la conduite des policiers.

Les avocats de cet homme de 27 ans tentent depuis plusieurs jours dans une audience préliminaire à New York de faire annuler des preuves recueillies au moment de son interpellation ainsi que ses premières déclarations aux forces de l'ordre, dénonçant des erreurs de procédure.

L'enjeu est de taille: c'est au moment de son arrestation dans un McDonald's de Pennsylvanie qu'il a été trouvé porteur d'un pistolet muni d'un silencieux, correspondant aux douilles retrouvées sur les lieux du meurtre, et d'un carnet dans lequel il exprimait son hostilité au secteur de l'assurance santé.

Brian Thompson, 50 ans, PDG du premier assureur santé du pays United Healthcare, a été abattu le matin du 4 décembre 2024 dans une rue de Manhattan, en plein coeur de New York, alors qu'il sortait de son hôtel.

Jeudi à l'audience, un an exactement après le meurtre, le tribunal a visionné des images montrant les policiers interrogeant dans le McDonald's le suspect sur son identité, les raisons de sa présence dans cette région rurale et pour savoir s'il avait été à New York.

"Je ne sais pas ce que vous fabriquez, les gars, je vais juste attendre", leur répond-il notamment après leur avoir donné une fausse identité, continuant de manger nonchalamment, des chants de Noël en fond sonore.

Les défenseurs du jeune homme, devenu pour certains le symbole de la colère des Américains contre leur système d'assurance santé, reprochent notamment aux enquêteurs d'avoir commencé à l'interroger sans lui signifier ses droits.

A la barre, l'un des policiers, Tyler Frye, a en outre reconnu que les membres des forces de l'ordre ont continué à lui poser des questions alors qu'il leur a dit qu'il refusait de leur répondre.

Pour le moment, aucune date n'a été arrêtée pour un procès de Luigi Mangione, dont les passages au tribunal sont systématiquement accompagnés de la présence de supporters, le plus souvent des jeunes femmes.

Dans le cadre de cette procédure pour meurtre menée au niveau de l'Etat, il encourt la prison à perpétuité. Il risque par ailleurs la peine de mort dans une autre procédure au niveau fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Réseaux sociaux: pression à la minceur sur les jeunes filles

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Les médias sociaux mettent la pression sur les jeunes en Suisse (image symbolique) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les jeunes Suisses ressentent une pression sur leur apparence à travers les contenus des réseaux sociaux. Selon un nouveau rapport, les filles sont davantage influencées que les garçons.

Les filles de 12 à 19 ans ont ainsi beaucoup plus intériorisé les idéaux de minceur que les garçons, relève le rapport Jamesfocus publié vendredi. A l'inverse, les garçons ont plutôt tendance à adopter des idéaux corporels musclés.

Les résultats se basent sur les réponses de plus de mille jeunes âgés de 12 à 19 ans et issus des trois régions linguistiques de Suisse.

Selon le rapport, l'intériorisation d'images idéales de musculature n'a pas eu d'influence sur l'estime de soi des jeunes. En ce qui concerne les idéaux de minceur, l'image est différente: les jeunes aspirant fortement à être minces ont une estime de soi significativement plus faible.

Recommandations de l'algorithme

Ce constat pourrait notamment s'expliquer par des expériences différentes sur les réseaux sociaux: ce que voient les jeunes sur ces plateformes est en effet très individualisé en raison des recommandations algorithmiques. Il est possible que les filles soient plus souvent en contact avec des contenus mettant fortement l'accent sur l'apparence physique, supposent les auteurs de l'étude.

En grandissant, les jeunes accordent par ailleurs une plus grande importance sociale aux idéaux de beauté dominants. Les 16-19 ans sont plus enclins à approuver des affirmations telle que "il est très important d'avoir une bonne apparence si l'on veut obtenir quelque chose dans notre société" que les 12-13 ans. Mais parallèlement, l'estime de soi des jeunes augmente également avec l'âge.

Les auteurs de l'étude soulignent qu'il est important d'aider les enfants et les adolescents à adopter un comportement critique vis-à-vis des idéaux de beauté de la société. Les idéaux de minceur étant intériorisés très tôt, les mesures de prévention ne devraient pas attendre l'adolescence pour être mises en place.

Le rapport fait partie de l'étude James, réalisée par la Haute école zurichoise des sciences appliquées (ZHAW), sur mandat de Swisscom. L'enquête est réalisée tous les deux ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Xamax contre Yverdon en quarts, Sion à GC

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Ludovic Magnin et Bâle iront à St-Gall en quarts de finale de la Coupe de Suisse (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le tirage au sort des quarts de finale de la Coupe de Suisse offre un derby entre Xamax et Yverdon. Sion affrontera GC dans l'un des deux duels de Super League.

L'autre rencontre opposant deux clubs de l'élite sera St-Gall face au tenant du titre, Bâle. Quant au dernier match, il verra le Stade Lausanne-Ouchy accueillir Lucerne.

Les quarts de finale se dérouleront entre le 3 et le 5 février 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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