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Parrainez un mouton ou une chèvre et soutenez l'agriculture

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Damien Jeannerat et "Zelda" un agneau de la bergerie de Naye (© KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Parrainer un mouton ou une chèvre et du même coup soutenir l'agriculture de montagne, c'est possible en Valais jusqu'à la fin mars. Le projet est porté par la plateforme de soutien EdelAlp qui remporte déjà un franc succès avec le parrainage de vaches d'Hérens.

 

 

Ils sont dix. Six moutons et quatre chèvres. Leurs bobines craquantes et des bribes de leurs histoires figurent sur le site Internet dédié aux actions d'EdelAlp.

On y découvre, par exemple, Petit, un Roux du Valais, une race de mouton particulièrement rare. "Un mâle castré, grand et robuste, mais à ma naissance en février 2019, j'étais si petit que cela m'a valu mon nom! Je tiens une place très spéciale au sein de ma famille, car je prends systématiquement la tête du troupeau, guidant nos déplacements à pied." peut-on lire sur le site.

Même succès pour Flinge, une agnelle "friande de câlins" et pour l'agneau Zelda, né prématurément, privé de mère et encore en vie grâce "aux bons soins" du berger Damien. Quant aux chèvres Gaspar et Mookie, la première ayant perdu un oeil lors d'un éboulement, elles espèrent encore quelques parrains. Inséparables, elles ont été nourries au biberon et ont passé les premiers mois de leur vie dans le salon de la famille Jeannerat, propriétaire de la bergerie.

Brebis laitières et tontes

Parrainer aussi Elsa, Flocon, Chief ou encore Bruno coûte 240 francs. Sur cette somme, l'éleveur perçoit 110 francs.

"Nous utilisons cette aide pour des projets, comme celui d'intégrer des brebis laitières dans notre troupeau. Elle sert aussi à tondre nos moutons une seconde fois dans l'année pour pouvoir offrir la laine à l’association Woolis dont le but est de valoriser et promouvoir la laine valaisanne", détaille Claire Jeannerat.

Avec son mari, ils sont à la tête d'un cheptel de 400 moutons, 120 chèvres, six chevaux et trois vaches, sans oublier les chiens de protection de troupeaux.​ Claire s'occupe plutôt des chèvres, Damien des moutons.

Fête de la transhumance

En contrepartie de leur don, les parrains et marraines reçoivent un certificat et une photo de leurs filleuls, ainsi qu'un cadeau de remerciement d'une valeur de 50 francs. Ils sont aussi invités à rencontrer les bergers et leurs animaux et à participer à des événements, comme la transhumance, pratiquée par les Jeannerat et leurs trois enfants.

Le reste de la somme sert à couvrir la mise en place du concept par EdelAlp. Cette plateforme, créée en 2022 par des étudiants de la Business Team Academy de la HES-SO Valais-Walllis, est gérée depuis l'an dernier par les ex-étudiants Camille Besse et Samuel Balet.

Ma reine de l'été, 3e saison

L'action de parrainage "Ma Bergerie" sera évaluée à la fin de la saison. "Si le succès est au rendez-vous, elle sera reconduite l'an prochain et étendue à d'autres bergeries", précise Samuel Balet.

EdelAlp a déjà rencontré un beau succès avec "Ma reine de l'été", lancée en 2022, et qui permet de parrainer des vaches de la race d'Hérens. La troisième saison est d'ailleurs en préparation et sera lancée en mai avec en vedette quelque 650 vaches sur huit alpages.

Avec Keystone-ATS

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Nemo, l'artiste suisse qui défie les codes à l'Eurovision (VIDEO)

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KEYSTONE/Peter Schneider

Les fans de musique de toute l'Europe s'apprêtent à se donner rendez-vous pour l'Eurovision. Chez les parieurs, un nom porteur d'un message universel se détache. Il s'agit de Nemo, l'artiste suisse non-binaire qui, avec son titre "The Code", s'apprête à représenter la Suisse. J'ai eu le privilège de m'entretenir avec Nemo, ainsi qu'avec Jean-Marc Richard, figure emblématique du concours, afin de discuter de cette chanson, de son impact et des enjeux de ce concours pas comme les autres.

 

« Non, on ne se lasse pas, parce que c'est chaque année différent », commence Jean-Marc Richard, vétéran de 33 Eurovisions. « Et surtout, ce qui est intéressant, c'est que chaque année, la chanson suisse amène quelque chose de nouveau. »

Nemo, originaire de Bienne et résidant en Allemagne, nous offre avec "The Code" une œuvre éclectique et dynamique, mêlant divers styles musicaux. « C'était une de ces situations où je sens qu'il y a deux types de musique à faire, et on ne peut pas vraiment décider dans quel état on va tomber », explique Nemo. « Il y a ce moment quand vous écrivez et que vous pensez à chaque phrase, et puis il y a ce stade où tout se passe en vous, et vous ne pensez même pas à ce que vous créez à ce moment-là, vous le faites, et vous vous demandez après comment c'est venu. »

L'artiste décrit le processus créatif spontané derrière "The Code", né lors d'un camp de la Société Suisse des Auteurs. « C'était ma première fois au camp de la SUISA, et j'ai pensé que j'étais invité là-bas comme auteur... et puis j'ai compris « Ah, ok, donc nous écrivons pour moi? C'est parti ! » Et c'était tellement une bonne expérience que le lendemain, je me suis dit immédiatement « Ok, je vais chanter pour moi tellement c'est amusant! » Et c'est là que the code est arrivé... »

L'Eurovision, au-delà d'être un événement musical, est souvent perçu à travers le prisme de la géopolitique. Jean-Marc Richard souligne l'importance des dynamiques politiques, mais aussi la capacité du concours à transcender ces considérations. « Je pense que c'est une des particularités de l'Eurovision, mais ce qui est intéressant cette année, c'est qu'il y a une telle diversité dans les chansons que finalement, au-delà de cette problématique de géopolitique, je crois qu'on arrivera à se mettre ensemble pour faire un vrai concours avec quelque chose qui nous rapproche les uns des autres. »

Nemo, aborde le concours avec une perspective personnelle, axée sur l'authenticité, sans laisser la politique s'immiscer. « L'unique chose que je peux faire, c'est écrire quelque chose qui est vrai pour moi-même et auquel je me sens profondément connecté. »

 

L'artiste non-binaire parle également de son voyage personnel vers la découverte de soi. « C'était un long processus pour moi... Et c'est un voyage en cours et un beau voyage pour moi parce que cet espace vient avec beaucoup de liberté et beaucoup de joie, beaucoup de sentiment de vraiment confortable dans mon corps pour la première fois. »

Quant à la performance à venir à l'Eurovision, Nemo reste discret sur les détails, mais promet une scénographie à la hauteur de la diversité de sa chanson. « Nous travaillons sur un design différent en ce moment, avec deux designers magnifiques de la Suède qui travaillent sur le costume de scène. Et ça va être... Je l'aime déjà, mais je ne peux pas vraiment dire beaucoup sur ça encore. »

Avec "The Code", Nemo incarne non seulement la diversité musicale, mais aussi un message de tolérance et d'acceptation de soi qui résonne puissamment dans le cœur de l'Eurovision. Un message qui, à n'en pas douter, trouvera un écho auprès des spectateurs du monde entier.

Avec IA

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"Tu t'en sors?" ou comment s'amuser en toute sécurité la nuit

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La Prévention suisse de la criminalité (PSC) organise jusqu'au 28 juin une campagne de prévention nationale pour que la fête se déroule en toute sécurité (photo d'illustration). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Comment faire la fête le soir et rentrer chez soi en toute sécurité. C'est le thème de la campagne nationale de prévention lancée lundi à l'attention des jeunes amateurs de sorties nocturnes. Cette sensibilisation se décline en trois conseils: "think, stay, help".

 

Les fêtes de la nuit sont souvent un "must" pour les jeunes. Mais souvent, elles sont le théâtre d'insultes, de harcèlement, de menaces et de violences physiques pouvant aller jusqu’à de graves infractions comme des viols ou des coups de couteau, souligne dans un communiqué la Prévention suisse de la criminalité (PSC).

La campagne "Tu t’en sors?" vise à ce qu'aucun soir de fête ne vire au cauchemar. Menée en collaboration avec les corps de police cantonaux et municipaux, elle s'adresse à tous ceux qui aiment sortir, soit aux auteurs potentiels, victimes, tiers et témoins.

La campagne donne trois conseils, formulés en anglais: "You better think" (Réfléchis bien), "Stay together" (Restez ensemble) et "Help if you can" (apporte ton aide si tu peux). Concrètement, il s'agit de garder dans la mesure du possible le contrôle sur soi-même, éviter d'être complètement ivre, garder un oeil sur les boissons des uns et des autres, organiser les retours ou aider une personne harcelée ou en détresse. Face à un risque d'escalade, il ne faut pas hésiter à appeler la police au 117.

Sur sa page d'accueil, la PSC rappelle que l'unique responsable d'un acte de violence est celui qui le commet. La victime n'est pas coupable. La campagne nationale sera visible sur des affiches et des dessous de verre. Les actions auront lieu dans des lieux bien fréquentés, jusqu’au 28 juin.

Avec Keystone-ATS

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Entre TikTok et crise médiatique, les jeunes face à l'information

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Image pretexte (© KEYSTONE/Martial Trezzini)

En cette Journée de la liberté de la presse, Viviane, Canadienne de 20 ans en stage chez Radio Lac, nous offre un aperçu de la manière dont sa génération consomme l'information.

"Les jeunes, on s'intéresse encore beaucoup à l'actualité, mais pas nécessairement les mêmes sujets que les autres générations," confie Viviane, soulignant que les thèmes de l'écologie et des questions sociales résonnent particulièrement auprès de sa génération. "C'est sûr que nous, tout ce qui est écologie et même les sujets un petit peu plus sociaux, ça vient vraiment nous toucher."

Viviane vit actuellement à Genève en colocation avec une adolescente de 16 ans qui, selon elle, "aime vraiment l'actualité internationale". De quoi prouver un intérêt générationnel pour les affaires mondiales, allant à l'encontre de l'idée reçue que les jeunes se désintéressent de l'information.

L'ère numérique a transformé la consommation de l'information. Viviane explique que pour elle et ses pairs, l'accès à l'information doit être dynamique et immédiat: "Je n'irai pas m'acheter un journal papier, c'est sûr que non." Elle ajoute, "Je ne regarde pas un téléjournal qui fait 20-30 minutes. L'information, je dois l'avoir de manière dynamique, au bout de mes doigts, je pense surtout à TikTok."

TikTok, avec sa grammaire visuelle et son format concis, est devenu un vecteur d'information clé pour les jeunes. "C'est le réseau social qui nous a donné vraiment un petit peu le déclic de devoir avoir quelque chose de court, concis, rapide, puis dans les médias aussi, il faut que ça soit ça," explique-t-elle.

Le cout de l'information

Cependant, ce modèle pose des défis financiers pour les médias traditionnels, car "ça coûte de faire de l'information, c'est pour ça qu'un bon vieux journal, on le paye et sur TikTok, on ne paye pas". Au Canada, cette problématique a mené à des débats houleux et à l'intervention du gouvernement pour que les géants numériques contribuent financièrement au soutien des médias.

En Suisse, la situation est similaire, avec des cantons qui financent des abonnements pour les jeunes afin de soutenir les médias. La question de la rémunération des contenus de presse par les plateformes numériques est cruciale, et le Canada a connu un blocus où des plateformes comme Facebook ont refusé de payer, bloquant ainsi l'accès aux médias canadiennes.

"Ça vient créer un gros problème d'information, de ressources à l'information et je sais que, oui, les jeunes, on trouve nos nouvelles sur les réseaux sociaux, mais dans les sondages qui sont sortis, ce n'est pas juste nous. Maintenant, le commun des mortels aussi va s'informer par rapport à ça," conclut Viviane.

Le portrait que dresse Viviane de sa génération est celui d'une jeunesse engagée et informée, mais qui se heurte à une crise médiatique et à la nécessité d'adapter les modèles de diffusion de l'information. La liberté de la presse, célébrée aujourd'hui, s'accompagne de défis inédits à l'ère du numérique. De quoi rappeler que la nouvelle application Radio Lac est disponible!

Avec IA

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36 athlètes composeront l'équipe des réfugiés aux J.O. de Paris

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Le lutteur Iranien Iman Mahdavi, membre de l'équipe olympique des réfugiés pour les J.O. de Paris 2024 (AP Photo/Luca Bruno)

36 athlètes venus de 11 pays composeront l'équipe olympique des réfugiés aux JO de Paris. Ceci dans l'espoir d'apporter sa première médaille à cette entité sans équivalent dans le monde sportif, a annoncé le CIO.

 

Emmenés par la cycliste afghane Masomah Ali Zada, qui étudie le génie civil à Lille et participait déjà aux JO 2020 de Tokyo, ces 23 hommes et 13 femmes défileront sur la Seine juste derrière la Grèce, lors de la cérémonie d'ouverture le 26 juillet, devant toutes les autres délégations.

"Cela enverra un message d'espoir aux plus de 100 millions de personnes déplacées dans le monde. En même temps, vous ferez prendre conscience à des milliards de personnes de l'ampleur de la crise des réfugiés", leur a lancé par visioconférence le patron du CIO Thomas Bach.

Choisis parmi les 73 réfugiés bénéficiaires d'une bourse olympique pour préparer les JO de Paris, ces athlètes ont été sélectionnés "avant tout sur les performances sportives", mais aussi pour assurer "une représentation équilibrée" des sports, genres et pays d'origine, selon le CIO.

Venus d'Afghanistan, Syrie, Iran, Soudan, Sud-Souda, RDC, Erythrée, Ethiopie, Cameroun, Cuba et Venezuela, ils vivent dans quinze pays différents - les Etats-Unis, le Canada, le Mexique, le Kenya, la Jordanie, Israël et neuf pays européens, dont la Suisse.

Cette délégation désormais dotée de son propre emblème - un cercle de flèches symbolisant "l'expérience commune" de leurs périples - va concourir dans 12 sports, du judo à l'athlétisme en passant par la natation, le taekwondo, le canoé, la lutte et le tir.

"Pour la première fois" depuis la création de l'équipe olympique des réfugiés, avant les JO 2016 de Rio, "l'une des membres s'est qualifiée par elle-même" sans recevoir d'invitation, a souligné Masomah Ali Zada lors d'un point-presse.

La boxeuse Cindy Ngamba, Camerounaise réfugiée au Royaume-Uni - en raison de la répression pénale de l'homosexualité dans son pays de naissance - représentera donc le principal espoir d'une première médaille pour l'équipe des réfugiés: triple championne d'Angleterre dans trois catégories de poids différentes, elle s'est qualifiée en -75 kg.

Les sélectionnés se rassembleront avant les Jeux pour un camp d'entraînement à Bayeux, comme ils l'avaient fait à Doha avant les JO 2020 de Tokyo.

Le CIO avait annoncé la création d'une équipe olympique des réfugiés en 2015, année marquée par le déplacement de millions de personnes - lié notamment à la guerre en Syrie: absente des Jeux d'hiver, cette délégation avait présenté 10 athlètes aux JO 2016 de Rio, dans trois disciplines, et 29 aux JO 2020 de Tokyo, dans 12 disciplines.

Avec Keystone-ATS

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Défilé et tradition samedi pour les 275 ans des Vieux-Grenadiers

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Des fusiliers de la société des Vieux-Grenadiers de Geneve en vieille ville à l'occasion de la 209e cérémonie de la Restoration de Genève, le 30 décembre 2023 (© KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

L'histoire de Genève s'entremêle avec celle de ses traditions séculaires à l'occasion du 275e anniversaire de la Compagnie des Vieux-Grenadiers. Un spectacle d'envergure s'apprête à défiler sur la cité de Calvin. Le président du comité d’organisation de ce jubilé, Thierry Aeschbacher, était mon invité. 

 

 

C'est avec enthousiasme que Thierry Aeschbacher donne les détails de cette célébration : "Ce week-end marque le premier événement de notre jubilé, c'est un grand défilé dans les rues de Genève." Ce défilé, loin d'être un simple cortège, réunira "à peu près 800 personnes, dont 80 hommes en uniforme et à cheval," précise-t-il.

La traditionnelle prise d'armes annuelle de la compagnie prendra cette fois une dimension exceptionnelle. "On a souhaité le rendre un peu plus festif et surtout un peu plus grand," confie M. Aeschbacher. Le choix de la plaine de Plainpalais comme point de départ n'est pas anodin, cet espace emblématique de la ville accueillera les festivités dès 13h30, avant de sillonner les rues basses pour aboutir à la place de Neuve.

L'inclusion d'une délégation croate, l'Halka, ainsi que la participation de musiciens genevois, notamment les jeunes de Londyne, témoignent de l'ouverture internationale et intergénérationnelle de l'événement. "C'est aussi leur fête," insiste le président, invitant tous les résidents à assister à la prise d'armes officielle prévue à 16h sur la plaine de Plainpalais.

La Société des vieux grenadiers, fondée en 1749, compte aujourd'hui plus de 1000 membres. "C'est une représentation de la société civile. On y retrouve [...] des hommes, mais vraiment issus de toutes les couches socio-économiques," explique M. Aeschbacher. Cette diversité se manifeste à travers les différentes sections amicales qui animent la société, de la pétanque aux cartes, en passant par la viticulture.

La question de la mixité se pose inévitablement, à laquelle M. Aeschbacher répond avec assurance : "C'est historique et traditionnel [...] aujourd'hui vous avez des associations de dames paysannes, on ne va pas leur faire le procès de dire qu'il n'y a pas d'hommes." Il met en avant la diversité politique et sociale de ses membres, citant l'exemple de Robert Kramer, ancien conseiller d'État, membre de la société.

L'accent est mis sur les valeurs de "patrie, famille, amitié" que défend la société, des valeurs traditionnelles célébrées par le défilé. "Ce qu'on défend dans la patrie, c'est les traditions, c'est les valeurs des traditions," affirme M. Aeschbacher. La journée porte ouverte prévue le 15 juin permettra de découvrir l'arsenal et les activités de la société, dissipant tout mystère autour de cette institution genevoise.

Le vin occupe également une place de choix dans les festivités avec une cuvée spéciale créée pour l'occasion. "On a eu l'occasion de les goûter et même si on dit toujours qu'il faut boire avec modération, je peux également vous dire qu'ils sont très bons," recommande le président du comité d'organisation.

Les Genevois sont conviés à ce grand défilé ce samedi, un événement qui s'étirera jusqu'à 23h30, marquant le début des célébrations du 275e anniversaire. Une journée qui s'annonce mémorable, où tradition et convivialité se côtoieront pour le plaisir des petits et des grands.

Avec IA

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