Le célèbre pull-over de laine rouge avec des moutons blancs et un noir, porté par Diana Spencer en 1981 peu après ses fiançailles avec le prince Charles, va être mis en vente fin août. C'est ce qu'a annoncé samedi la maison d'enchères Sotheby's.
Il fait partie des lots proposés aux enchères consacrées aux icônes de la mode organisées sur internet par Sotheby's à New York entre le 31 août et le 14 septembre.
Le lainage assez enfantin baptisé "Black sheep" (mouton noir) est estimé entre 52'300 et 91'600 dollars (entre 46'100 et 80'700 francs) Il a été créé par les stylistes Sally Muir et Joanna Osborne, qui avaient fondé trois ans plus tôt leur marque "Warm and Wonderful".
Quelques semaines après que Diana avait été photographiée portant ce pull, elles avaient reçu un courrier du palais de Buckingham expliquant que la future princesse de Galles l'avait abîmé et souhaitait savoir s'il leur était possible de le réparer ou de le remplacer.
Elles ont confectionné un nouvel exemplaire pour lequel elles ont reçu une lettre de remerciement de la part du secrétaire particulier de la jeune femme.
En 1983, Diana, désormais princesse de Galles, l'avait de nouveau enfilé en l'associant notamment à un élégant jean blanc.
Près de quarante ans plus tard, le responsable de la marque Rowing Blazers, Jack Carlson, a proposé un partenariat aux deux stylistes d'origine et déposé un brevet pour le dessin afin de pouvoir le reproduire pour sa propre ligne.
Une employée de Sotheby's contemple le fameux pull de Lady Dina avant la vente aux enchères (AP Photo/Frank Augstein)
Réaction "extraordinaire"
La réaction des consommateurs a été "extraordinaire", selon Sotheby's, qui y voit l'illustration de l'immortalité du goût de Diana et de son influence sur la culture populaire.
Quand au premier pull abîmé de Diana, il n'avait pas été réparé et expédié à quelqu'un d'autre comme les stylistes le pensaient. En mars 2023, Joanna Osborne l'a retrouvé dans une boîte en cherchant un vieux patron dans son grenier.
"Après un examen approfondi de l'état, des dégâts sur la manche et moult comparaisons avec les photographies de 1981, Sotheby's a confirmé qu'il s'agissait du pull original porté par la princesse Diana il y a plus de 40 ans", a assuré la maison d'enchères.
Le pic de la banquise de l'Arctique est cette année le plus bas jamais enregistré depuis le début de la surveillance par satellites, a annoncé jeudi un observatoire américain de référence.
La banquise de l'Arctique, qui se reforme en hiver, a atteint cette année une taille maximale de 14,33 millions de kilomètres carrés, soit moins que le précédent record inférieur établi à 14,41 en 2017 selon le National Snow and Ice Data Center (NSIDC).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Le constructeur automobile italien Ferrari a annoncé jeudi son intention de répercuter sur ses prix de vente aux Etats-Unis l'imposition de fortes taxes sur les voitures importées annoncée par Donald Trump.
Ferrari justifie "l'ajustement" de sa politique commerciale "sur la base des informations préliminaires disponibles concernant l'introduction de droits de douane sur les importations de voitures de l'Union européenne aux Etats-Unis".
A l'exception des séries 296, SF90 et Roma, pour lesquelles "les termes commerciaux resteront inchangés quelle que soit la date d'importation", à partir du 2 avril, date théorique d'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane américains, "les nouvelles conditions d'importation se reflèteront partiellement dans le niveau de prix, avec une hausse de maximum 10%", a indiqué le fabricant de voitures sportives de luxe dans un communiqué.
Le président américain a annoncé qu'il imposerait 25% de droits de douane additionnels sur les voitures fabriquées en dehors des Etats-Unis, ainsi que sur les pièces détachées qui composent les véhicules assemblés sur le sol américain.
Cette annonce inquiète nombre de constructeurs automobiles européens, dont Ferrari qui, en 2024, a réalisé près d'un tiers de son chiffre d'affaires aux Etats-Unis (1,6 milliard de francs), en y écoulant 3452 voitures.
Cependant, le groupe italien "devrait être en mesure de répercuter les hausses de droits de douane assez facilement sur sa clientèle haut de gamme et de partager le fardeau avec les concessionnaires", selon les analystes de RBC Capital Markets.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Le groupe de médias britannique Sky a annoncé jeudi qu'il envisageait de supprimer environ 2000 postes et de fermer trois centres de service client au Royaume-Uni sur dix, dans le cadre d'un plan de transformation.
"Nous transformons notre entreprise pour offrir un service client plus rapide, plus simple et plus numérique", a indiqué un porte-parole de l'entreprise dans une déclaration transmise à l'AFP.
Ces quelque 2000 suppressions d'emplois représentent 7% des salariés du groupe spécialisé dans la production et la diffusion télévisée, propriété de l'américain Comcast, qui dispose de 24 millions de clients dans six pays européens, dont le Royaume-Uni, l'Allemagne ou l'Italie.
L'entreprise reçoit actuellement 25 millions d'appels de ses clients européens chaque année, un chiffre qui devrait diminuer au cours des prochaines années, selon Sky News, qui fait partie du groupe.
Sky estime que si ses clients souhaitent toujours parler à un conseiller par téléphone en cas de problème technique, la majorité préfère effectuer ses tâches quotidiennes, comme payer une facture ou gérer leurs contrats, par le biais d'interactions numériques, via une application ou un service de messagerie.
Le groupe compte aussi investir plusieurs millions de livres dans un nouveau campus dédié au service client à Livingston, en Ecosse.
Sky avait déjà annoncé l'an dernier la suppression de 1000 postes au Royaume-Uni, alors que le basculement des services par satellite vers le numérique signifie qu'il a besoin de moins de techniciens spécialisés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Le parquet financier a requis jeudi à l'encontre de Nicolas Sarkozy une peine de sept ans de prison et de 300'000 euros d'amende, ainsi que cinq ans d'inéligibilité. L'ancien président de la République a accueilli ces réquisitions le visage pétrifié.
Contre ses anciens ministres et "hommes de main" Claude Guéant et Brice Hortefeux, l'accusation a demandé des peines de respectivement six et trois ans de prison, assorties d'amende, estimant qu'ils l'avaient aidé à "nouer" un pacte de corruption avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi pour qu'il finance sa campagne présidentielle 2007.
Au cours des 12 semaines d'audience, "c'est un tableau très sombre d'une partie de notre République qui s'est dessiné", a lancé le procureur Sébastien de la Touanne en abordant la dernière ligne droite du réquisitoire.
S'en prenant à Nicolas Sarkozy, il a dénoncé une "quête effrénée de financement" pour satisfaire une "ambition politique dévorante", et prévenu que "seule une peine d'emprisonnement et d'amende ferme" sera "en mesure de protéger la société", et en outre de "le priver de certains droits civiques".
Nicolas Sarkozy a "contesté les faits" et "ne semble pas prendre la mesure de la gravité des atteintes à la probité" qui lui sont reprochées, a ajouté le magistrat, rappelant qu'il a déjà été condamné. C'est son cinquième procès en cinq ans.
Sarkozy dénonce "l'outrance"
L'ancien président de la République a dénoncé "l'outrance de la peine réclamée" au procès des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.
Soutenant que les "principes fondamentaux du droit pénal" sont "bafoués depuis 13 années", il a estimé que "la fausseté et la violence des accusations et l'outrance de la peine réclamée" ne visaient qu'à "masquer la faiblesse des charges alléguées". "Je continuerai donc à me battre pied à pied pour la vérité, et à croire dans la sagesse du tribunal", a-t-il aussi écrit dans ce communiqué publié sur ses réseaux sociaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) demande la libération de l'une de ses infirmières enlevées en 2018 en Somalie. Une vidéo de celle-ci a circulé jeudi sur les réseaux sociaux.
"Le CICR confirme avoir vu la vidéo récente dans laquelle notre collègue Sonja Nientiet plaide pour sa libération", a affirmé à Keystone-ATS le porte-parole de l'organisation, Christian Cardon. "Nous l'analysons actuellement. Nous sommes profondément préoccupés par sa santé, et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer sa libération en toute sécurité", dit-il.
Dans cette vidéo d'un peu plus de cinq minutes, dans laquelle seul son visage peut être vu sous le vêtement qu'elle porte, cette Allemande demande à son pays et à ses proches d'oeuvrer pour sa libération. Les indications qu'elle donne sur un récent attentat contre le président somalien Hassan Cheikh Mohamoud laissent penser que cette vidéo date de cette semaine.
L'attentat a été revendiqué par les shebab, des combattants liés à Al-Qaïda, qui affrontent depuis plus de 15 ans le gouvernement somalien. "Nous avons continué à demander que Sonja soit libérée immédiatement, sans condition et en bonne santé", a encore précisé le porte-parole du CICR, ajoutant également que l'institution met tout en oeuvre pour qu'elle soit relâchée.
Pour l'organisation, la vidéo est "difficile à regarder". Mais elle permet aussi de se raccrocher à une possible libération. Et en revanche, le porte-parole ne souhaite pas donner d'indication supplémentaire sur le rapt et ses circonstances, ni sur d'éventuels contacts éventuels avec les ravisseurs.
Cette collaboratrice avait été enlevée en mai 2018 dans les bureaux de l'organisation à Mogadiscio. Des Somaliens travaillant pour le CICR avaient alors expliqué à l'AFP que les ravisseurs étaient entrés par une porte à l'arrière et avaient emmené l'infirmière dans un véhicule.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats