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Politique

Mathilde Mottet choisie à la tête des Femmes socialistes

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Mathilde Mottet a été élue samedi après-midi à la coprésidence des Femmes socialistes. Elle remplace Martine Docourt (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Valaisanne Mathilde Mottet, 28 ans, a été élue samedi coprésidente des Femmes socialistes suisses. Elle siégera aux côtés de Tamara Funiciello (BE). Mathilde Mottet succède à Martine Docourt qui se retire après six ans à ce poste,.

Les 170 membres réunies en assemblée à Zurich l'ont préférée à la Vaudoise Laurie Willommet. Mathilde Mottet, élue au conseil communal de Monthey (VS), a été jusqu'à juin 2023 vice-secrétaire générale de la Jeunesse socialiste suisse (JS).

Elle souhaite renforcer les Femmes socialistes en Suisse romande et créer un front féministe uni, a indiqué le parti dans un communiqué. "Dans cette coprésidence du PS Femmes, j'aimerais qu'ensemble nous fassions un pas de plus vers la chute du patriarcat", a-t-elle indiqué.

La Valaisanne s'est fait connaître pour ses actions provocatrices. Le 1er août 2023, jour de fête nationale, elle avait publié sur Instagram une image d'elle faisant un doigt d'honneur au drapeau suisse. Ce geste lui avait valu des dizaines de messages d'insultes et de menaces.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Bombardements à Rafah, après la prise par Israël d'une zone tampon

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L'armée a dit jeudi avoir visé 50 cibles à travers la bande de Gaza ces derniers jours, notamment ici à Rafah. (© KEYSTONE/EPA/HAITHAM IMAD)

Des tirs d'artillerie intenses et des bombardements ont frappé jeudi la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où l'armée israélienne a annoncé contrôler une zone tampon stratégique entre le territoire palestinien et l'Egypte.

En dépit de l'indignation internationale soulevée par un bombardement meurtrier dimanche d'un camp de déplacés à Rafah, l'armée israélienne poursuit ses frappes et son offensive terrestre dans la ville surpeuplée. L'opération a été lancée le 7 mai pour, selon elle, éliminer les derniers bataillons du Hamas.

Après avoir débuté des opérations dans l'est de la ville, elle a progressé vers l'ouest, entraînant l'exode en trois semaines d'environ un million de personnes, selon l'ONU, pour la plupart des déplacés à nouveau sur les routes vers des zones déjà surpeuplées du territoire assiégé.

50 cibles visées

L'armée a dit jeudi avoir visé 50 cibles à travers la bande de Gaza ces derniers jours. Des tirs d'artillerie ont eu lieu à Zeitoun, dans le sud-est de la ville de Gaza (nord), selon des journalistes de l'AFP.

Les forces israéliennes ont aussi visé Beit Lahia et le camp de Jabalia, selon des témoins. L'armée a dit avoir essuyé une attaque à Jabalia, précisant qu'un avion avait frappé des combattants, en tuant deux.

A Rafah, des témoins ont fait état de bombardements intenses par l'artillerie et de tirs dans le centre et l'ouest de la ville. Un journaliste de l'AFP a observé la fuite de nombreuses personnes du secteur ouest, où au moins quatre corps ont été emmenés à l'hôpital Nasser après un bombardement, selon cet établissement.

Le conseiller israélien à la sécurité nationale Tzachi Hanegbi a affirmé mercredi que la guerre pourrait se poursuivre "encore sept mois", afin d'atteindre l'objectif de détruire le mouvement islamiste palestinien, auteur de l'attaque du 7 octobre en Israël.

"Tuyau d'oxygène"

L'armée israélienne a annoncé mercredi soir avoir pris le contrôle "ces derniers jours" du couloir de Philadelphie, une zone tampon de 14 kilomètres de long qui borde la frontière égyptienne le long du sud de la bande de Gaza, près de Rafah.

"Le couloir de Philadelphie servait de tuyau d'oxygène au Hamas, par lequel il faisait transiter régulièrement des armes vers la bande de Gaza", a déclaré le porte-parole de l'armée israélienne, Daniel Hagari.

"Infrastructure souterraine terroriste"

Il a ajouté que l'armée avait "découvert une infrastructure terroriste souterraine sophistiquée à l'est de Rafah d'une longueur d'un kilomètre et demi à une centaine de mètres du passage" entre l'Egypte et la bande de Gaza.

L'Egypte a démenti l'existence de tunnels sous la frontière, affirmant qu'Israël cherchait ainsi à justifier son offensive à Rafah.

Les deux pays se renvoient par ailleurs la responsabilité du blocage de l'acheminement de l'aide humanitaire par le poste-frontière de Rafah, seul point de passage entre le territoire et l'Egypte, depuis que l'armée israélienne en a pris le contrôle, du côté palestinien, début mai. Ce point de passage est crucial pour l'entrée de l'aide dont la population de Gaza a désespérément besoin.

Appel à une conférence de paix

A Pékin pour un forum réunissant la Chine et des pays arabes, le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a appelé jeudi à empêcher tout déplacement de Gazaouis "par la force". Le président chinois Xi Jinping a quant à lui plaidé pour l'organisation d'une "conférence de paix élargie" pour mettre fin au conflit, affirmant que la justice ne devait "pas être absente pour toujours".

Le ministère de la Santé du Hamas à Gaza a en outre appelé jeudi à l'ouverture de tous les points de passage, notamment pour "faciliter l'évacuation des malades et blessés".

A Genève, le CICR et la Fédération internationale des sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) se sontdit "outrés" par le décès de deux membres du Croissant-Rouge palestinien mercredi lorsque l'ambulance dans laquelle ils se trouvaient a été atteinte par une frappe à l'ouest de Rafah. Ils ont de nouveau appelé à protéger le personnel de santé.

Elections exigées

En Israël, le parti de centre-droit de Benny Gantz, membre du cabinet de guerre, a déposé jeudi un projet de loi pour dissoudre le Parlement et tenir des élections anticipées. Le Likoud (droite), le parti de Benjamin Netanyahu, a répliqué qu'un tel scénario signifierait "une capitulation face aux pressions internationales et un coup fatal aux efforts visant à libérer nos otages".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Deuxième jour de délibérations du jury au procès Trump

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Donald Trump a l'interdiction de quitter le tribunal durant toutes les délibérations. (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE / POOL)

Les douze jurés qui ont entre leurs mains le sort judiciaire de Donald Trump poursuivaient jeudi au tribunal de Manhattan leur quête d'un verdict au premier procès pénal d'un ancien président des Etats-Unis. L'accusé a de nouveau dénoncé "un tribunal de pacotille".

En arrivant à la cour pénale de Manhattan, qu'il a interdiction de quitter pendant toutes les délibérations, le candidat républicain à la présidentielle de novembre a accusé son adversaire, le président démocrate Joe Biden, d'avoir orchestré le procès.

"Je veux simplement dire que c'est un jour très triste pour l'Amérique (...) Tout est truqué", a-t-il ajouté, alors qu'il sera jugé par des citoyens de New York tirés au sort et sélectionnés par la défense et l'accusation.

Depuis mercredi, ces sept hommes et cinq femmes plongés depuis six semaines dans cette affaire aux enjeux extraordinaires, ont commencé à délibérer à huis clos dans une salle du tribunal. Après quelques heures de travail, ils ont demandé à pouvoir réentendre des extraits de certains témoignages, ainsi que les instructions du juge Juan Merchan, ce que le magistrat a commencé à faire jeudi matin.

Dans la salle d'audience, Donald Trump écoute en silence. Derrière lui a pris place l'un de ses fils, Eric.

Un saut dans l'inconnu

Après des débats durant lesquels il a souvent été question de sexe, d'argent et de conquête du pouvoir, les jurés doivent répondre à une question: Donald Trump s'est-il rendu coupable de 34 falsifications de documents comptables, destinées à cacher un paiement de 130'000 dollars à l'actrice de films X Stormy Daniels pour éviter un scandale sexuel à fin de sa campagne présidentielle de 2016?

Une réponse positive ferait basculer la campagne présidentielle américaine de 2024 dans un scénario inconnu. Donald Trump pourrait faire appel et quand même se présenter le 5 novembre face à Joe Biden, mais avec une casquette lourde à porter, celle d'un condamné en justice.

S'il était reconnu coupable, le juge prononcerait la sentence dans plusieurs semaines, probablement avant le 5 novembre. La peine peut aller, en théorie et au maximum, jusqu'à quatre ans de prison, mais le magistrat peut décider aussi d'une sanction plus légère, comme une peine de prison avec sursis probatoire, voire de simples travaux d'intérêt général.

Le délibéré des jurés peut prendre plusieurs jours. Il leur faudra être unanimes pour déclarer Donald Trump coupable ou non coupable. Cette affaire n'est que l'un des quatre dossiers dans lesquels le républicain est inculpé. Mais le procès à New York sera probablement le seul à être jugé avant la présidentielle du 5 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Genève

Ville de Genève: Natacha Buffet-Desfayes candidate du PLR

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Natacha Buffet-Desfayes sera la candidate du PLR pour l'élection au Conseil administratif de la Ville de Genève (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La section municipale du PLR a désigné Natacha Buffet-Desfayes comme candidate pour l’élection au Conseil administratif de la Ville de Genève lors de son assemblée générale mercredi soir. La députée a obtenu 50 voix contre 21 au conseiller municipal Pierre de Boccard.

Le PLR Ville de Genève compte sur cette enseignante, actuelle cheffe de groupe PLR au Grand Conseil, engagée depuis 20 ans en politique pour reconquérir le siège perdu en 2012 à l'exécutif, a indiqué jeudi le parti, revenant sur une information de plusieurs médias.

La députée de 41 ans fera campagne seule au premier tour. Pour le deuxième tour, tout reste ouvert, a déclaré Maxime Provini, président du PLR Ville de Genève, interrogé par Keystone-ATS.

Avant d'être élue au Grand Conseil en 2018, la PLR a siégé treize années au niveau municipal, à Corsier d'abord, puis en Ville de Genève. Elle avait déjà été candidate au Conseil administratif en 2015.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La socialiste Christina Kitsos est maire de Genève pour un an

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Dès samedi et pour un an, Christina Kitsos sera la maire de la Ville de Genève. La magistrate socialiste, qui a été élue en 2020, accède à cette fonction pour la première fois (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Dès samedi et pour un an, Christina Kitsos sera la maire de la Ville de Genève. La magistrate socialiste, qui a été élue en 2020, accède à cette fonction pour la première fois. Elle a décidé de placer son année de mairie sous le thème de "Ce qui nous lie".

Christina Kitsos, qui dirige le département de la cohésion sociale et de la solidarité, estime qu'il est impératif de renforcer les liens sociaux, de repenser les rituels et de créer un sentiment d'appartenance. Elle prévoit des rencontres dans les quartiers et la mise à disposition d'équipements permettant des échanges intergénérationnels, a indiqué jeudi la Ville de Genève.

Mme Kitsos succède à la centriste Marie Barbey-Chappuis. Le socialiste Sami Kanaan accède à la vice-présidence.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Israël: le parti de Gantz veut dissoudre le Parlement

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Benny Gantz et son parti veulent que les Israéliens retournent aux urnes (archives). (© KEYSTONE/AP/J. Scott Applewhite)

Le parti de Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien, a déposé jeudi un projet de loi pour dissoudre le Parlement et la tenue d'élections anticipées. Une demande rejetée par le Likoud, du premier ministre Benjamin Netanyahu.

Le parti de l'Union nationale (centre-droit), membre du gouvernement d'urgence, a "déposé une proposition de loi de dissolution de la 25e Knesset (Parlement, NDLR). Ceci fait suite à la demande du chef du parti Benny Gantz d'aller de l'avant dans le cadre d'un large accord en vue de la tenue d'élections avant le mois d'octobre, un an après le massacre", selon un communiqué du parti.

Le Likoud (droite) a réagi, affirmant que "la dissolution du gouvernement d'union est une récompense pour (le chef du Hamas à Gaza) Yahya Sinouar, une capitulation face aux pressions internationales et un coup fatal aux efforts visant à libérer nos otages".

Le parti de l'Union nationale s'est joint au gouvernement Netanyahu peu de temps après l'attaque nédite menée par le Hamas sur le territoire israélien le 7 octobre, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Benny Gantz et Gadi Eizenkot, tous deux anciens chefs de l'armée, sont depuis membres du cabinet de guerre.

Les prochaines élections législatives sont prévues pour octobre 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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