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Changement d’heure : quels effets sur notre santé ?

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Ce week-end nous passons à l’heure d’été. C’est la même chose chaque année mais chaque année on se pose la même question, est-ce que je recule ma montre ou bien est-ce que j’avance d’une heure ?

Réponse : nous avançons notre montre, à deux heures du matin, plus précisément, nous passerons directement à trois heures.

La même question qui revient chaque année. On a aussi les opposants au changement d’heure qui reviennent avec les mêmes arguments chaque année, que le changement d’heure a des conséquences néfastes sur la santé. On parle de troubles de l'endormissement ou de l'attention, troubles de l’appétit.

On a du mal à se concentrer au travail aussi !

Des difficultés pour se concentrer oui, on est peu à fleur de peau. Alors est-ce que c’est vraiment le cas ou est-ce que ce sont simplement des idées reçues?

Selon Jacques André Romand, médecin cantonal de Genève, il n’y a pas de problèmes médicaux qui sont liés à ce changement d’heure.

Pas de problème de santé certes, après suivant nos horaires de travail c’est vrai que l’on peut ressentir un gros coup de fatigue.

Si on fait des matinales par exemple le fait de se lever une heure plus tôt joue quand même. Pour être moins fatigué il faut, par exemple, se coucher un peu plus tôt les jours avant de changer d’heure.

Mais le changement d’heure pourrait bientôt s’arrêter !

Oui puisqu’en février les parlementaires européens ont demandé à la Commission européenne une évaluation du système qui pourrait aboutir à la suppression du changement d’heure. L’idée ne plaît pas à tous mais cela pourrait devenir une réalité.

Ceux qui sont pour l’abandonner mettent en avant les risques sur la santé.

Autre argument en faveur de l’abandon du changement d’heure, la sécurité routière. Selon une étude américaine, les accidents de la route mortels augmenteraient de 6,5% lors du passage à l'heure d'été. Alors ce n’est pas encore fait mais on pourrait bientôt abandonner ce changement d’heure à voir si on suit la tendance en Suisse après mais cela pourrait bien être possible car le changement d’heure a aussi ses opposants en Suisse.

Un conseil donc se reposer le plus possible dans la semaine qui suit le changement d'heure aussi. Et puis surtout n’oubliez pas aussi de régler vos montres ce week-end !

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International

Les Etats-Unis accusent la Russie d'avoir usé d'un agent chimique

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Une ville dévastée dans l'est de l'Ukraine. (© KEYSTONE/AP)

Les Etats-Unis accusent la Russie d'avoir eu recours à un agent chimique, la chloropicrine, contre les forces ukrainiennes, en violation de la Convention sur l'interdiction des armes chimiques (CIAC), selon un communiqué mercredi du département d'Etat.

En outre, la Russie se sert d'agents anti-émeutes comme "méthode de guerre en Ukraine, également en violation de la convention", ajoute la diplomatie américaine dans ce texte.

"L'utilisation de ces produits chimiques n'est pas un incident isolé et est probablement motivée par le désir des forces russes de déloger les forces ukrainiennes de positions fortifiées et de réaliser des avancées tactiques sur le champ de bataille", écrit le département d'Etat.

"Le mépris permanent de la Russie pour ses obligations au titre de la CIAC s'inscrit dans la même logique que les opérations d'empoisonnement d'Alexeï Navalny et de Sergueï et Ioulia Skripal avec des agents neurotoxiques de type Novichok", poursuit le département d'Etat.

Alexeï Navalny, ancien opposant au président russe Vladimir Poutine, décédé le 16 février, avait été victime d'un grave empoisonnement qu'il avait attribué au Kremlin. L'ancien agent double russe Sergueï Skripal et sa fille Ioulia Skripal avaient été empoisonnés en Angleterre en 2018.

La Russie a déclaré ne plus posséder d'arsenal chimique militaire, mais le pays fait face à des pressions pour plus de transparence sur l'utilisation d'armes toxiques dont il est accusé.

Selon les Instituts nationaux de la santé (NIH), la chloropicrine est un produit chimique qui a été utilisé comme agent de guerre et comme pesticide et qui, en cas d'inhalation, présente un risque pour la santé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Hockey

Lausanne doit digérer, mais se trouve sur la bonne voie

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Geoff Ward a pu oeuvrer dans la sérénité cette saison (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Mardi soir à Zurich, Lausanne a vu sa saison prendre fin au bout du suspense lors de l'acte VII de la finale de National League. Mais le LHC a prouvé qu'il était sur le bon chemin.

Tous les sportifs le disent: "Une finale ne se joue pas, elle se gagne." Mais pour Lausanne, cette finale perdue n'a pas un goût aussi amer que ça. Parce que le club a dû se relever après la gouvernance des années Svoboda.

Après avoir manqué de peu les play-off l'année passée, les Vaudois ont travaillé sereinement sous la houlette de Geoff Ward. Le sexagénaire canadien et son staff ont su mettre sur pied une équipe qui a donné du fil à retordre à Zurich en finale.

Fust et ça fonctionne

Avec une marge de manoeuvre restreinte en raison des nombreux (gros) contrats signés par son prédécesseur, le directeur sportif John Fust a réalisé de l'excellent travail. Le recrutement des deux défenseurs suédois Christian Djoos et Lawrence Pilut s'est révélé être un coup de maître.

La signature du gardien Connor Hughes en provenance de Fribourg également. Même si le Tchèque Simon Hrubec a finalement eu le dernier mot avec notamment deux blanchissages, le Canado-Suisse a été très solide et termine la finale avec plus de 92% d'arrêts.

Et lorsque Hughes s'est blessé durant la saison, les Vaudois n'ont pas paniqué en allant chercher un portier étranger. Ils ont préféré faire confiance à leur jeune gardien Kevin Pasche qui a magnifiquement tenu la baraque.

De très bons attaquants suisses

Autre point qui a permis au LHC de finir la saison à la 3e place et d'avancer dans les play-off, l'émergence des joueurs suisses ou à licence suisse comme Tim Bozon. Le Grison Ken Jäger a, lui, parfaitement complété la ligne de Bozon et Michael Raffl.

Ses 27 points en 51 matches de saison régulière constituent un nouveau record pour lui. Avec 37 points (18 buts) en 50 matches, puis 11 points dont 6 buts en 19 rencontres de play-off, Damien Riat semble quant à lui enfin exploiter son plein potentiel.

Jason Fuchs n'a pas battu son record de points, mais ses 15 buts en saison régulière ont fait énormément de bien à son équipe. Il termine top scorer de sa formation avec 13 points en 19 matches de play-off. Il a inscrit trois buts, dont celui de la 107e minute contre Fribourg lors de l'acte II de la demi-finale.

Mention également au jeune Théo Rochette. Plus discret en finale avec un but en sept parties, le jeune attaquant de 22 ans a réussi la transition chez les pros. Il termine cette saison avec 39 points en 66 rencontres au total.

Un effectif solide

Avec l'entier de sa défense signée jusqu'en 2025, Lausanne a encore un peu de marge, même si John Fust va tenter de conserver ses meilleurs éléments. En attaque, Cody Almond, Michael Raffl, Jiri Sekac et Miikka Salomäki arrivent en fin de contrat. A voir si leur avenir se conjugue toujours avec Lausanne.

La conférence de presse agendée vendredi permettra peut-être d'avoir de plus amples informations quant au contingent vaudois pour la saison prochaine. Celle-ci ne sera en effet pas de tout repos avec la Champions League.

Geoff Ward et son staff essaieront de ne pas faire comme Bienne. Les Seelandais ont eu de la peine à digérer leur défaite au septième match de la finale contre Genève la saison passée, et n'ont dû leur participation aux play-off qu'à un incroyable sprint final, en sortant notamment les Servettiens lors du play-in.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Nouvelles manifestations contre la loi sur l'"influence étrangère"

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La Géorgie est en proie à des manifestations antigouvernementales depuis trois semaines. Mercredi soir, des dizaines de milliers de manifestants sont à nouveau descendus dans la rue. (© KEYSTONE/EPA/DAVID MDZINARISHVILI)

Des dizaines de milliers de manifestants sont à nouveau descendus dans la rue mercredi en Géorgie pour protester contre le projet de loi controversé sur l'"influence étrangère", adopté en 2e lecture par le Parlement malgré la mobilisation massive de ses détracteurs.

Ce pays du Caucase est en proie à des manifestations antigouvernementales depuis le 9 avril, après que le parti au pouvoir, le Rêve géorgien, a réintroduit ce projet de loi perçu comme une entrave aux aspirations de Tbilissi à rejoindre l'Union européenne.

Les députés ont voté mercredi à 83 pour et 23 contre ce texte que le Rêve géorgien compte adopter définitivement d'ici mi-mai, malgré trois semaines de mobilisation dans la rue de ses opposants.

Le texte doit encore passer une troisième lecture et la présidente Salomé Zourabichvili, qui est en conflit avec le parti au pouvoir, devrait y opposer son veto. Le Rêve géorgien dispose cependant d'assez de voix pour pouvoir passer outre.

Comme la veille, les manifestants se sont rassemblés mercredi soir devant le Parlement en brandissant des drapeaux géorgiens et européens, tandis que résonnait l'Ode à la joie, l'hymne de l'UE, a constaté un journaliste de l'AFP.

La police, qui avait la veille dispersé les manifestants à coup de gaz lacrymogène et de balles en caoutchouc, a délogé cette fois avec du gaz poivre et des canons à eau un petit groupe de manifestants qui tentaient de bloquer l'entrée latérale du Parlement. Le reste du rassemblement s'est poursuivi de manière pacifique dans la soirée.

"Leur violence insensée est futile. La manifestation ne fera que s'amplifier car la colère populaire grandit contre notre gouvernement", a commenté l'un des manifestant, Tato Gachechiladzé, 20 ans.

"Garder le cap" vers l'UE

"La Géorgie appartient à l'Europe et nous ne tolérerons pas des lois russes et un gouvernement pro-russe", a-t-il ajouté.

Le texte controversé s'inspire d'une législation russe utilisée par le Kremlin pour réprimer les voix dissidentes.

Le ministère de l'Intérieur a lui assuré que la police avait utilisé "les moyens spéciaux prévus par la loi - gaz poivre et canons à eau - afin de rétablir l'ordre public".

L'Union européenne a condamné la "violence" de la police lors de la nuit précédente durant laquelle des journalistes, dont un photographe de l'AFP, ont été pris pour cible. Une soixantaine de manifestants ont aussi été arrêtés.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué mercredi suivre avec "une vive inquiétude" les manifestations, appelant Tbilissi à "garder le cap" vers l'UE.

Des rassemblements similaires ont eu lieu cette semaine dans tout le pays, notamment à Batoumi, la deuxième ville de Géorgie, et à Koutaïssi, la principale ville de la région occidentale d'Imereti.

Si cette loi est adoptée, elle exigera que toute ONG ou organisation médiatique recevant plus de 20% de son financement de l'étranger s'enregistre en tant qu'"organisation poursuivant les intérêts d'une puissance étrangère".

Le gouvernement assure pour sa part que cette mesure est destinée à obliger les organisations à faire preuve de davantage de "transparence" sur leurs financements.

Une première version du texte avait été abandonné l'année dernière après des manifestations de rue d'ampleur.

Ces troubles surviennent à quelques mois d'élections législatives en octobre, considérées comme un test important pour la démocratie dans cette ex-république soviétique habituée aux crises politiques.

En décembre, l'UE a accordé à la Géorgie le statut de candidat officiel, mais a déclaré que Tbilissi devrait mener des réformes ses systèmes judiciaire et électoral, accroître la liberté de la presse et limiter le pouvoir des oligarques avant que les négociations d'adhésion ne soient officiellement lancées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Fed maintient ses taux, '"absence de progrès" sur l'inflation

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Le président de la Fed, Jerome Powell, a prévenu qu'il faudrait sans doute "plus de temps que prévu" avant d'avoir confiance dans la baisse de l'inflation. (© KEYSTONE/AP/Seth Wenig)

La Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu mercredi ses taux d'intérêt inchangés. Elle fait état de l'"absence de progrès" récents sur le front de l'inflation, mais annonce qu'elle dégonflera moins vite le volume d'actifs à son bilan à partir de juin.

La banque centrale américaine a laissé ses taux au plus haut depuis plus de vingt ans, entre 5,25 et 5,50%, fourchette au sein de laquelle ils évoluent depuis juillet, a-t-elle annoncé dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion.

Cela a pour effet de maintenir à un niveau élevé les taux d'intérêts des prêts immobiliers, des cartes de crédit, des prêts automobiles ... afin d'empêcher les prix de continuer à flamber.

Et le président de la Fed, Jerome Powell, a prévenu lors d'une conférence de presse qu'il faudrait sans doute "plus de temps que prévu" avant d'avoir confiance dans la baisse de l'inflation. Comprendre que les taux resteront élevés plus longtemps.

Il s'est gardé de toute prédiction sur le moment où les taux entameront leur recul, entre crainte de voir les prix flamber de nouveau, et inquiétudes, à l'inverse, que cela ne pèse trop fort sur l'activité économique.

Jerome Powell a toutefois jugé "peu probable que le prochain mouvement sur les taux soit une hausse", la politique monétaire étant selon lui et ses collègues "suffisamment restrictive" sur la durée.

Sur le moment, cela a fait bondir Wall Street.

"Repoussées, pas annulées"

Les marchés, qui étaient pleins d'espoir de voir les taux commencer à baisser en juin, misent désormais plutôt sur septembre ou novembre, selon l'estimation de CME Group.

"Le moment de la première baisse des taux dépendra d'une modération durable de l'inflation", note Nancy Vanden Houten, économiste pour Oxford Economics.

Mais le message est que "les baisses de taux sont repoussées, pas annulées", souligne Krishna Guha, économiste pour Evercore, société de conseil en investissements.

Le Comité de politique monétaire (FOMC) a, dans son communiqué, fait état de l'"absence de progrès supplémentaires" au cours des derniers mois sur le front de l'inflation, pour la voir rejoindre l'objectif de 2%.

La courbe des prix semblait pourtant sur la bonne trajectoire. Mais depuis janvier, elle est repartie à la hausse, à 2,7% sur un an en mars, selon l'indice PCE privilégié par la Fed - celui qu'elle souhaite ramener à 2% -, et à 3,5% selon l'indice CPI.

Dégonfler moins vite le bilan

Malgré ce rebond, la Réserve fédérale marque un début d'assouplissement de politique monétaire: elle a en effet annoncé mercredi qu'elle réduira moins vite à partir de juin, le volume d'actifs à son bilan.

Elle réduira ses actifs en bons du Trésor de 25 milliards de dollars par mois, quand elle sabre actuellement 60 milliards chaque mois.

Le portefeuille de la Fed avait grossi pendant la pandémie, lorsqu'elle massivement acheté des titres, inondant le marché de liquidités pour maintenir le fonctionnement du système financier.

Puis, parallèlement aux hausses de taux destinées à lutter contre l'inflation, elle avait cédé des titres, réduisant son portefeuille de 1500 milliards de dollars.

Le marché de l'emploi américain aussi reste trop tendu au goût de la Fed. Les chiffres officiels d'avril seront publiés vendredi, mais les entreprises du seul secteur privé ont créé 192.000 emplois en avril, selon l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab publiée mercredi.

Pour enfoncer le clou, l'indice du coût de l'emploi s'est montré au premier trimestre bien plus élevé qu'attendu, "suggérant que la décélération des salaires s'est arrêtée, au moins temporairement", indique Krishna Guha.

Le rebond de l'inflation aux Etats-Unis contraste avec l'Europe, où le net ralentissement de l'inflation conduit la Banque centrale européenne (BCE) à envisager une baisse des taux dès juin.

Jerome Powell a par ailleurs rappelé que la Fed est indépendante du pouvoir politique, à six mois de l'élection présidentielle. Le scrutin, qui verra s'affronter le président démocrate Joe Biden, et son prédécesseur républicain Donald Trump, se tiendra la veille d'une réunion du comité de politique monétaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 6, 9, 10, 27, 28 et 33. Le numéro chance était le 5, le rePLAY le 13 et le Joker le 175139.

Lors du prochain tirage samedi, 16,1 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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