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Ecoles fermées en raison du Coronavirus: parents et enfants réagissent

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Toutes les écoles seront fermées dès lundi en Suisse - pour trois semaines - pour faire face au coronavirus. Une décision prise par le Conseil fédéral, qui précise qu'un service minimum d'accueil sera tout de même organisé dans les crèches et les écoles primaires. 

Plus d'école pendant trois semaines pour endiguer la propagation du coronavirus. La décision est tombée ce vendredi après-midi, annoncée par le Conseil Fédéral et reprise par le Conseil d'Etat genevois. Concrètement, la présence des élèves n'est plus requise jusqu'au 4 avril (8 avril pour Genève), seul un service d'accueil "sous condition" sera garanti pour les plus jeunes.

Parents 

Mais comment les parents perçoivent-ils ces mesures? Natalia, mère d'un enfant de 7 ans à l'école Hugo de Senger, pense que la "fermeture" de l'école est une bonne chose. Pour elle, il s'agit là d'une mesure nécessaire pour protéger la population. Pour ce qui est de la garde, son horaire lui permettra de s'occuper de son enfant les après-midis.

NataliaMère d'un élève de 7 ans

Elèves 

A la tête du Département de l'instruction publique (DIP), la conseillère d'Etat Anne-Emery Torracinta précise que si l'enseignement n'aura pas lieu, un service minimum sera tout de même garanti. Pour ce qui est du secondaire II et du cycle d'orientation, les cours pourront continuer grâce à un système à distance. Du côté des élèves, lorsqu'on leur demande ce qu'ils vont faire pendant ces trois semaines à la maison, la plupart imaginent des vacances, sans travail. Mais ce n'est pas le cas de tout le monde.

Elèves

Et pourtant, aucun des enfants croisés ne redoute l'ennui. Ils se disent prêts pour ces trois semaines.

Elèves

Conscients du risque, la plupart des élèves estiment que ces mesures sont nécessaires.

Elèves

 

 

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International

Mis en examen, Arnaud Lagardère se démet de son mandat de PDG

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Arnaud Lagardère a été mis en examen lundi, soupçonné d'avoir puisé dans les comptes de ses sociétés pour financer son train de vie et ses dépenses personnelles pendant plusieurs années (archives). (© KEYSTONE/AP/REMY DE LA MAUVINIERE)

Arnaud Lagardère, dirigeant du groupe du même nom, a abandonné mardi ses mandats exécutifs, dont celui de PDG, a annoncé l'entreprise. Il avait été mis en examen lundi dans le cadre d'investigations sur le financement de dépenses personnelles par ses sociétés.

"Dans le cadre de sa mise en examen, une mesure provisoire d'interdiction de gérer a été prononcée à l'encontre de M. Arnaud Lagardère, mesure qu'il conteste et contre laquelle il va faire appel, mais qui le contraint néanmoins à se démettre de ses mandats exécutifs au sein du groupe", a indiqué Lagardère dans un communiqué.

Les membres du conseil d'administration "se réuniront très prochainement" afin de "prendre toutes les dispositions provisoires" pour assurer la gouvernance du groupe, "en attendant la possibilité pour Arnaud Lagardère d'en reprendre la direction effective".

Le groupe Lagardère a été racheté fin novembre par le géant des médias Vivendi, contrôlé par la famille du milliardaire Vincent Bolloré. L'ancien empire aéronautique et médiatique avait été bâti par Jean-Luc Lagardère, le père d'Arnaud. Ce dernier en a hérité à la mort du premier en 2003.

Il possède un réseau très profitable de boutiques dans les gares et aéroports (enseignes Relay, magasins Duty Free), des salles de spectacle célèbres (Casino de Paris, Folies Bergère...), des médias (Europe 1, le Journal du dimanche...), ou encore le numéro un français de l'édition, Hachette Livres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Air France-KLM creuse sa perte au 1er trimestre

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Une partie de la faible performance est attribuée à des dédommagements aux passagers pour annulations ou retards de vols (archives). (© KEYSTONE/AP/ARMANDO FRANCA)

Air France-KLM a creusé sa perte au premier trimestre, affecté par la hausse des coûts, les tensions géopolitiques et la chute des recettes du fret, a annoncé mardi l'entreprise, en renforçant ses mesures d'économies dont un gel d'embauches pour certains personnels.

A 522 millions d'euros contre 344 millions lors des trois premiers mois de 2023, la perte nette part du groupe de l'ensemble franco-néerlandais est plus importante qu'attendue par les analystes financiers, même si la période s'avère traditionnellement faible pour les compagnies aériennes basées en Europe.

Malgré cette perte représentant plus de la moitié du bénéfice annuel record de 2023 (934 millions d'euros), la société a maintenu ses objectifs financiers annuels, forte de solides réservations pour la pointe estivale.

Entre janvier et mars, elle s'est félicitée d'avoir transporté 6,2% de passagers de plus qu'à la même époque de 2023, soit 20,8 millions, et vu ses recettes par voyageur progresser, pour un chiffre d'affaires total en hausse de 5,1% à 6,7 milliards d'euros.

Mais comme au quatrième trimestre 2023, qui s'était soldé par une perte nette, Air France-KLM n'a pas réussi à tirer profit de la hausse de la fréquentation.

Eléments d'explication: la hausse des coûts a grevé le résultat opérationnel de 243 millions d'euros, entre une augmentation des prix des pièces de rechange, des difficultés d'approvisionnement et un accord salarial chez KLM chiffré à 50 millions d'euros.

Plus inhabituel, 50 autres millions ont été consacrés à des dédommagements aux passagers touchés par des retards ou des annulations de vols.

Celle-ci a aussi souffert de "l'affaiblissement du marché du fret", après une période d'euphorie pendant la crise sanitaire. Ce volet d'activité a aussi été perturbé par la mise en place d'un nouveau système informatique.

Le "cargo" a ainsi grevé le résultat opérationnel de 157 millions d'euros sur un an, plus que les 144 millions gagnés grâce à un allègement de la facture de kérosène.

Benjamin Smith, directeur général du groupe cité dans le communiqué, a reconnu "un début d'année difficile, marqué par des tensions géopolitiques persistantes": guerre en Ukraine et espace aérien russe fermé, interdisant les routes les plus courtes vers l'Asie, vols suspendus vers trois pays du Sahel (Burkina-Faso, Mali et Niger) et guerre entre le Hamas et Israël.

Alors que les coûts unitaires du groupe ont encore augmenté de 4% au premier trimestre, Air France-KLM persiste à viser une croissance de ceux-ci de seulement 1 à 2% sur l'exercice 2024.

Cela passera en particulier par un "gel des embauches de personnel administratif et non opérationnel", outre l'arrivée d'appareils neufs, plus économiques, dans la flotte, a expliqué le groupe, qui a confirmé ses autres objectifs annuels dont une hausse de 5% de sa capacité en sièges entre 2023 et 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Volkswagen en panne de demande au 1er trimestre

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Les livraisons de véhicules ont reculé de 2% sur un an (archives). (© KEYSTONE/AP/George Walker IV)

Le premier groupe automobile européen Volkswagen a enregistré au premier trimestre une baisse de 21,6% de son bénéfice net sur un an, à 3,71 milliards d'euros (3,63 milliards de francs), attribué à la faiblesse de ses livraisons de voitures.

"Des volumes de ventes plus faibles", le choix des clients pour les modèles les moins rentables ainsi que "l'augmentation des coûts" sur un an ont affecté les résultats, a indiqué le groupe mardi dans un communiqué.

C'est mieux cependant que ce que prévoyaient les analystes sondés par l'outil d'analyse financière Factset, qui tablaient sur un bénéfice de 3,34 milliards d'euros au premier trimestre 2024.

Son chiffre d'affaires a légèrement baissé, de 1%, à 75,46 milliards d'euros.

La forte augmentation du chiffre d'affaires des services financiers du groupe "compense largement la baisse dans le secteur automobile", précise le groupe dans son communiqué.

Les livraisons de véhicules du groupe aux dix marques ont baissé de 2% par rapport au premier trimestre 2023.

En outre, les modèles vendus ne sont pas les plus rentables.

Les livraisons de Porsche, la marque de luxe du groupe, ont baissé de 4% au premier trimestre sur un an. Celles de Audi, du segment premium, ont diminué de 4,5%, tandis que les livraisons de voitures des marques Volkswagen (+5,7%), Skoda (+5,2% et Seat/Cupra (+10,6%%), moins chères et moins rentables, ont augmenté.

Les résultats trimestriels de Porsche publiés vendredi avaient donné un avant-goût de cet affaiblissement, avec un bénéfice en chute de 34% pour la marque de luxe à 926 millions d'euros.

Le groupe maintient néanmoins ses prévisions inchangées pour l'année 2024, s'attendant toujours à un chiffre d'affaires en hausse de 5% et à une rentabilité entre 7 et 7,5%.

Volkswagen pourra compter sur l'amélioration des prises de commandes, "encourageantes" ces derniers mois, qui devraient avoir un impact positif au deuxième trimestre, a expliqué Arno Antlitz, directeur financier du groupe.

"Les défis découleront notamment de la situation économique, de l'intensité croissante de la concurrence, de la volatilité des marchés des matières premières, de l'énergie et des changes, ainsi que des exigences plus strictes en matière d'émissions", selon le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Genève

Des enquêteurs spécialisés dans la maltraitance animale à Genève

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Depuis un an, une enquêtrice spécialisée en maltraitance animale fait partie des rangs de la police genevoise. KEYSTONE - EPA - GUILLAUME HORCAJUELO

Depuis un an, une enquêtrice spécialisée en maltraitance animale fait partie des rangs de la police genevoise. Elle est épaulée dans sa tâche par deux inspecteurs du SCAV, le Service de la consommation et des affaires vétérinaires. Retour sur cette collaboration qui regroupe des passionnés des animaux.

En ce mardi 30 avril, c’est la journée mondiale des vétérinaires. 

Un métier que tout le monde connaît et qui suscite l’admiration, souvent des enfants. Les vétérinaires soignent et protègent nos animaux.  

Mais d’autres professions sont également chargées de s'assurer du bien-être animal. A Genève, depuis un an, la police cantonale compte dans ses rangs une enquêtrice spécialisée en maltraitance animale: Florence Courbat. Elle est rattachée à la brigade équestre depuis février 2023. Engagée à la brigade des mœurs, elle travaillait depuis 2015 en parallèle sur des affaires de maltraitance animale. 

Dans sa mission, elle est épaulée par le SCAV, le Service de la consommation et des affaires vétérinaires. Le SCAV a deux inspecteurs rattachés au secteur prévention des animaux, dont Charles Viladent. Lui et son collègues sont chargés de traiter les conditions de détention des animaux (de compagnie et de rente), les cas de maltraitances (actives ou passives), le manque de soins et les négligences. 

Cette collaboration entre ces deux services permet de couvrir une affaire sur son volet administratif et pénal.

Les précisions de Florence Courbat, enquêtrice spécialisée en maltraitance animale à la police cantonale genevoise: 

Depuis un an Florence Courbat est dédiée à 100% à la maltraitance animale, une arrivée qui a changé le travail des inspecteurs du SCAV. Charles Viladent:

Des affaires qui peuvent être difficiles émotionnellement et qu’il faut savoir gérer.  Charles Viladent:

Heureusement ces histoires peuvent parfois bien se terminer. Florence Courbat:

Genève compte au niveau pénal une vingtaine de plaintes par an.

Pour rappel, si vous êtes témoins de maltraitance sur un animal, vous pouvez contacter le SCAV ou la police cantonale de Genève. 

Pour en savoir plus, retrouvez l'interview croisée de Florence Courbat et Charles Viladent ci-dessous:

 

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Suisse

Straumann sourit à nouveau au premier semestre

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Straumann table sur une croissance organique de 10% pour cette année (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le fabricant d'implants dentaires et d'instruments chirurgico-dentaires Straumann a vu ses recettes augmenter sur les trois premiers mois de 2023, au-delà des prévisions. Cela, en raison notamment d'une surperformance dans la région d'Asie-Pacifique.

Durant la période sous revue, le chiffre d'affaires réalisé s'est élevé à 643,8 millions, en hausse de 8,1% sur un an, informe dans un communiqué mardi la multinationale bâloise.

En termes organiques, soit ajustée des effets de change et d'acquisition, la croissance s'est élevée à 15,1%, précise le groupe.

Par région, les recettes en Asie-Pacifique ont bondi de 63,7%, à 130,8 millions. "La Chine se distingue par sa croissance organique exceptionnelle, portée par la poursuite d'une forte croissance dynamique et une base de comparaison faible", souligne la société.

Les autres zones ont connu une croissance du chiffre d'affaires plus modérée, avec une hause de 5,2%, à 283,9 millions, en Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) et de 3,7%, à 177,8 millions en Amérique du Nord. Les chiffres publiés par le groupe rhénan s'inscrivent au-delà des projections du consensus AWP, qui tablait sur un chiffre d'affaires de 628 millions de francs et une croissance organique de 13,5%.

Pour la suite de l'exercice, la direction de Straumann confirme ses objectifs, qui sont de générer cette année une croissance organique près de 10%, et dégager une marge opérationnelle de 24% à 25%. Le groupe reste persuadé qu'il continuera à gagner des parts de marché dans son marché global estimé à plus de 19 milliards de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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