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Il y a 2 ansle
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Deux suspects d'agression contre un proche de Navalny arrêtés
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Il y a 2 heuresle
19 avril 2024Le président lituanien a annoncé vendredi que deux personnes soupçonnées d'avoir agressé Leonid Volkov, un proche allié du défunt opposant russe Alexeï Navalny, en mars dernier à Vilnius, ont été arrêtées en Pologne.
Attaqué le 12 mars à coups de marteau devant son domicile à Vilnius, M. Volkov, âgé de 43 ans et ex-bras droit de l'opposant russe mort en prison Alexeï Navalny, avait dû être brièvement hospitalisé.
Les services de renseignement lituaniens, qui ont rapidement évoqué une attaque probablement "organisée par la Russie", ont ensuite soupçonné qu'elle avait été perpétrée par quelqu'un recruté au niveau local.
Expulsion prévue
"Deux personnes soupçonnées d'avoir agressé le chef de l'opposition russe Leonid Volkov sont détenues en Pologne", a déclaré vendredi le président lituanien Gitanas Nauseda à la presse.
Le chef de l'État a ajouté que les détenus, dont l'identité n'a pas été révélée, allaient être expulsés vers la Lituanie, mais sans autres détails.
M. Nauseda a indiqué qu'il avait discuté de cette affaire avec son homologue polonais Andrzej Duda et a remercié Varsovie pour son "excellent travail".
Leonid Volkov "heureux"
Leonid Volkov s'est aussitôt déclaré "heureux" de cette annonce. "Je ne connais pas encore d'autres détails, mais je peux dire que j'ai vu avec quelle énergie et quelle persévérance la police lituanienne a travaillé sur cette affaire au cours du mois dernier, et je suis très heureux que ce travail ait porté ses fruits", a écrit l'opposant russe sur le réseau Telegram.
"Nous connaîtrons bientôt les détails. J'ai hâte de les connaître!", a-t-il ajouté. Aucun commentaire du côté polonais n'a été disponible dans l'immédiat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nissan réduit ses prévisions annuelles de bénéfices
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Il y a 2 heuresle
19 avril 2024Nissan a abaissé vendredi par surprise ses prévisions de résultats pour son exercice 2023/24 venant de s'achever le 31 mars. Le constructeur automobile japonais invoque le déclin de ses ventes en volume et une hausse des coûts.
Le groupe anticipe désormais un bénéfice net annuel de 370 milliards de yens (2,17 milliards de francs), contre un objectif précédent de 390 milliards de yens.
Cela reviendrait néanmoins à une hausse toujours très significative par rapport à son exercice précédent (+66,7%).
Nissan a aussi réduit sa prévision de bénéfice opérationnel annuel, passée de 620 à 530 milliards de yens (+40,5% sur un an), et n'attend plus qu'un chiffre d'affaires de 12.600 milliards de yens, soit 400 milliards de yens de moins par rapport à son précédent objectif.
Son chiffre d'affaires devrait ainsi avoir progressé d'environ 19% sur un an.
Ses ventes en volume sur son exercice écoulé ont atteint 3,44 millions de véhicules, a encore annoncé Nissan, soit moins que son dernier objectif en la matière (3,55 millions d'unités), qu'il avait pourtant abaissé début février à l'occasion des résultats de son troisième trimestre (octobre-décembre).
Nissan souffre notamment en Chine de la concurrence devenue redoutable des constructeurs locaux, qui comme BYD excellent par ailleurs dans les véhicules électriques à des prix très compétitifs.
Le constructeur, allié au français Renault, a aussi raté la vague des véhicules hybrides en Amérique du Nord (sa technologie "e-Power" dans ce domaine n'a pas encore été déployée dans cette zone), ce qui a freiné la croissance de ses ventes dans cette région.
Nissan doit publier ses résultats annuels définitifs le 9 mai.
Fin mars, le groupe s'est fixé des objectifs de moyen terme ambitieux: il compte notamment vendre quelque 4,5 millions de véhicules dans le monde en 2026/27, soit plus d'un million d'unités de plus que sur l'exercice écoulé, tout en améliorant significativement sa rentabilité.
"Nissan adoptera des modes de collaboration plus efficaces avec ses fournisseurs" pour réaliser ce plan, a assuré vendredi le constructeur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Politique
Les opposants à la vaccination lancent leur campagne sur TikTok
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Il y a 1 heurele
19 avril 2024"Mon corps, mon choix!": c'est avec ce slogan que les partisans de l'initiative "Pour la liberté et l'intégrité physique" lancent leur campagne en vue de la votation du 9 juin. Le mouvement Mass-Voll a choisi la plateforme TikTok pour se démarquer.
Au lieu d'une conférence de presse "démodée", Mass-Voll a diffusé une vidéo d'une minute via ce média social. De nombreuses actions, vidéos, flyers et affiches sont prévus, précise jeudi le mouvement dans un communiqué.
"Ton corps n'appartient qu'à toi. L'intégrité physique est un droit humain. Une évidence qui n'est pas encore réalité en Suisse", avancent de jeunes femmes du mouvement dans la vidéo. "En 2024, le droit fondamental à l'autodétermination ne peut plus être remis en discussion."
L'initiative revendique le droit fondamental de pouvoir disposer de soi-même sans qu'il n'en résulte des désavantages professionnels ou sociaux ou qu'une amende ne soit infligée. L'initiative demande que chacun ait la liberté de déterminer lui-même ce qui doit être injecté ou implanté dans son corps.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Musique
Ecoutez le nouvel album de Taylor Swift, promis à tous les records
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Il y a 1 heurele
19 avril 2024La reine de la pop Taylor Swift a sorti vendredi un nouvel album. C'est le onzième opus de la chanteuse américaine de country devenue mégastar mondiale, fracassant les records les uns après les autres.
"Tout est juste dans l'amour et la poésie... Le nouvel album THE TORTURED POETS DEPARTMENT (Le cercle des poètes torturés, ndlr) est disponible maintenant", a-t-elle écrit sur Instagram.
La star avait annoncé sa sortie en février lors de la cérémonie de remise des Grammy Awards, les prestigieuses récompenses américaines de la musique où elle a remporté pour la quatrième fois le trophée du meilleur album de l'année. Depuis, celle qui est aussi la reine de la communication a annoncé pas moins de 4 éditions différentes que ses millions de fans peuvent acheter, chacune avec un titre bonus différent, avant d'annoncer dans la nuit que ce nouvel opus est en fait un double album. Pas de quoi échauder fans qui ont déjà commandé chaque version promise par l'artiste. Radio Lac vous propose de découvrir ce nouvel opus, dans sa version complète.
En amont de la sortie, les "Swifties" ont tenté de déceler dans chaque publication de la star des indices sur ce qui les attend. Parmi les éléments connus: l'album contient des collaborations avec le groupe de rock britannique Florence + The Machine et le rappeur américain Post Malone, qui l'accompagne sur le premier morceau "Fortnight" (deux semaines).
"Je suis une très grande admiratrice de Post (Malone) de par sa qualité d'auteur, ses expérimentations musicales et ces mélodies qu'il compose et qui restent dans votre tête pour toujours", a écrit jeudi la chanteuse sur Instagram. "J'ai eu l'occasion de voir cette magie prendre vie quand nous avons travaillé ensemble sur +Fortnight+", a-t-elle ajouté, annonçant la sortie d'un clip vidéo tard vendredi.
A 34 ans, Taylor Swift est devenue en début d'année la première artiste à devenir milliardaire grâce aux seuls revenus tirés de sa musique.
Un ex, du rap et du rock
Parmi les théories circulant sur ce nouvel album: "The Tortured Poets Department" s'épancherait sur l'ex de la chanteuse, l'acteur britannique Joe Alwyn. Le nom de l'opus serait d'ailleurs tiré d'une discussion de groupe nommée "The tortured man club" ("Le club de l'homme torturé", en français) que le comédien tenait avec Paul Mescal et Andrew Scott, deux autres acteurs.
La liste des morceaux, 16 dans la première mouture annoncée, donne déjà quelques indices: "So Long, London" (Au revoir Londres), "I Can Fix Him (No Really I Can)" (Je peux le changer, non vraiment je peux) et "The Smallest Man Who Ever Lived" (L'homme le plus petit qui n'ait jamais existé) - un homme anglais semble effectivement impliqué dans l'affaire.
Revenir, sans prendre de gants, sur ses anciens compagnons est d'ailleurs devenue une tradition pour Taylor Swift, chanson après chanson.nL'actuel élu est la star du football américain Travis Kelce, récent victorieux du Super Bowl. Et pour lui, le nouvel album "est incroyable".
Avec sa nouvelle victoire aux Grammy en février, Taylor Swift a fait mieux que des légendes américaines de la musique comme Frank Sinatra, Paul Simon ou Stevie Wonder.
Près de 20 ans après s'être lancée, rien ne semble devoir l'arrêter.
Sa tournée mondiale, "Eras Tour", devrait engranger un total de deux milliards de dollars de recettes après avoir déjà brisé l'année dernière le plafond symbolique du milliard, une première dans l'histoire de la musique.
Trois semaines après Beyoncé
La native de Pennsylvanie écrit des chansons dès son adolescence et fait ses débuts dans la capitale de la country, Nashville avant de s'éloigner progressivement de ce style si américain et de grimper dans les classements. En 2018, elle quitte le label Big Machine et rejoint Universal, sans les droits de ses précédents albums. En réenregistrant ses premiers disques pour en reprendre le contrôle, elle réussit à convaincre ses fans et l'industrie musicale, un tour de force de plus pour cette artiste incontournable de la culture populaire américaine.
Avec notamment 283 millions d'abonnés sur Instagram, elle est si influente au sein de la jeunesse américaine que le monde politique se prend à imaginer l'impact qu'elle pourrait avoir sur l'élection présidentielle de novembre, même si elle prend rarement la parole à ce sujet.
Son nouvel album a atterri sur les plateformes trois semaines après celui d'une autre icône américaine: Beyoncé et son "Cowboy Carter." Le nouvel opus de la chanteuse, aux riches influences country, pourrait se glisser comme concurrent pour les prochains Grammy. Avec peut-être, aussi, le nouvel album d'une autre star: Billie Eilish sort "Hit Me Hard and Soft" le 17 mai.
Mais toutes ces artistes si riches et influentes insistent à chaque occasion: c'est la musique qui compte. Ce dernier album, a récemment déclaré Taylor Swift, "m'a rappelé qu'écrire la musique, c'est ce qui me fait tenir debout".
Avec Keystone-ATS
International
Sur demande de Pékin, Apple retire les applications WhatsApp et Threads en Chine
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Il y a 1 heurele
19 avril 2024Apple a retiré WhatsApp et Threads de sa boutique d'applications en Chine à la demande des autorités, rapporte vendredi l'agence Bloomberg qui cite le groupe américain Meta, propriétaire des deux programmes visés.
La Chine surveille étroitement ses médias et son internet, soumis à une stricte réglementation et une censure des contenus qui présentent la politique de l'Etat sous un mauvais jour ou sont de nature à créer de l'agitation.
De nombreux sites (Google, Youtube...), applications et réseaux sociaux étrangers (X, Instagram, Facebook...) sont ainsi inaccessibles sans outils informatiques comme des réseaux privés virtuels (VPN) permettant de contourner les blocages.
"L'administration chinoise du Cyberespace (CAC) a ordonné le retrait de ces applications en raison de préoccupations en matière de sécurité nationale", a indiqué Apple dans un communiqué, cité par l'agence d'information financière Bloomberg.
"Nous sommes tenus de respecter les lois des pays dans lesquels nous sommes présents, même si nous ne sommes pas d'accord", ajoute le texte. Apple n'avait pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire de l'AFP.
Indisponibles
La messagerie instantanée WhatsApp et le réseau social Threads, concurrent de X (ex-Twitter), appartiennent toutes deux au groupe américain Meta, qui a renvoyé l'AFP vers Apple pour un commentaire. Sollicités par l'AFP, ni le régulateur chinois de l'Internet (CAC) ni le ministère de l'Industrie et des Technologies, qui supervise également en Chine l'internet, n'ont répondu dans l'immédiat.
Vendredi, WhatsApp et Threads étaient indisponibles sur la version chinoise de l'App Store, la boutique virtuelle d'Apple où se téléchargent les applications. Elles restent cependant téléchargeables sur des App Store situés hors de Chine continentale.
Les produits Apple, de l'iPhone à l'iPad, sont immensément populaires en Chine, l'un des principaux marchés du groupe américain hors des Etats-Unis.
La marque à la pomme s'est toujours abstenue de prendre position sur des sujets sensibles ou de froisser le pouvoir chinois. Son PDG a été plusieurs fois reçu par de hauts responsables, tel un chef d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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