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Une voiture électrique qui va faire grand bruit

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Photo by KML from Pexels

benoit rouchaleauLe monde de demain

Le monde de demain : veaux, vaches et klaxons... 

Vous connaissez l’un des problèmes des véhicules électriques : c’est qu’ils ne font pas de bruit. C'est très reposant mais c’est dangereux, parce qu’on ne les entend pas s’approcher. A tel  point que dès septembre 2020, les voitures électriques devront émettre du bruit en dessous de 20 km/h pour la sécurité des piétons.

Le groupe Tesla, leader en la matière, a trouvé une solution... peut-être pas la meilleure mais c’est une solution : le patron du groupe Elon Musk, a annoncé que les clients du Model 3 de la Tesla pourront bientôt choisir le son du klaxon de leur voiture électrique, mais aussi le bruit qu’elle émet lorsqu’elle circule à basse vitesse.

Quels seront les sons à dispositions ?

 Déjà, il faut savoir que l’idée s’inspire d’un film du célèbre groupe d’humoristes britanniques Monty Python. Vous vous en souvenez peut-être, dans le film : Sacré Graal, le Roi Arthur parcourt l’Angleterre sur un cheval imaginaire dont les galops sont reproduits par des noix de coco que l’assistant du Roi frappe les uns contre les autres.

Et bien parmi le catalogue des bruits possibles : il y aura donc le galop de cheval, mais également des bruits de chèvre ou encore le bruit du vent... Et, mieux ou pire, les clients pourraient même télécharger leur propre son...A vérifier quand même la pertinence de l’idée sur la durée, quand les bruits de chèvres croiseront les chevaux au galop à un carrefour. On n’avait pas besoin de ça en plus, c’était déjà la jungle sur la route...

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Techno

Infomaniak partage les bonnes pratiques contre les cyberattaques

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A l'heure où toutes nos données, y compris les plus sensibles sont en ligne, la notion de sécurité en ligne est de plus en plus prégnante. Un plug-in non mis à jour ou une erreur de code ne sont que quelques-uns des exemples qui laissent la porte de votre site, et de votre base de données, ouverte aux pirates. Il est donc impératif de maintenir votre site sécurisé non seulement pour protéger vos utilisateurs, mais aussi pour préserver la confiance et la fidélité de vos clients. Ensemble, découvrons quelques notions ainsi que des moyens simples et accessibles dans un monde numérique où les menaces sont omniprésentes mais souvent invisibles, grâce à l’expertise de Thomas Jacobsen, porte-parole d’Infomaniak.

Maintenir votre site à jour

Dans le monde numérique actuel, la sécurité des sites web est une préoccupation majeure pour les développeurs, les entreprises et les utilisateurs. Pour créer son site en ligne, de nombreux outils WYSIWYG (What You See Is What You Get, où l'on voit instantanément le résultat) ont vu le jour. Simples et ludiques, ils ne demandent aucune connaissance particulière. Cependant, il ne faut pas oublier que votre site doit suivre les avancées technologiques, tant en matière de design que de fonctionnalités sous le capot. Infomaniak utilise une solution appelée « Patchman Security Scanner », que Thomas Jacobsen décrit comme un "gardien numérique", un outil de sécurité automatisé qui détecte et corrige les vulnérabilités connues sans intervention manuelle.

Ce logiciel fonctionne en scannant les CMS populaires tels que WordPress, Joomla et Drupal, identifiant les failles de sécurité telles que les logiciels malveillants, les scripts de porte dérobée et les vulnérabilités de plugins ou de thèmes obsolètes. Lorsqu'une menace est détectée, Infomaniak applique automatiquement des correctifs sans perturber le fonctionnement du site, ce qui permet aux propriétaires de sites de se concentrer sur leur activité principale tout en maintenant un haut niveau de sécurité.

Thomas insiste sur l'importance de cette automatisation: "Patchman Security Scanner est essentiel pour maintenir la sécurité sans nécessiter une surveillance constante par l'utilisateur. Cela offre une tranquillité d'esprit inestimable, sachant que les menaces les plus courantes sont gérées efficacement." Cependant, il avertit que cette solution n'est pas une solution miracle. Les utilisateurs doivent rester informés et appliquer les meilleures pratiques de sécurité, telles que la mise à jour régulière des systèmes et l'utilisation de mots de passe forts. S'assurer que les technologies utilisées sont à jour, voir toujours en service n'est pas négligeable non plus.

Il est important de reconnaître que la sécurité est un processus en plusieurs étapes. La technologie complète les efforts de sécurisation des utilisateurs, qui commencent par un bon mot de passe et des outils à jour, mais ne remplace pas la nécessité d'une stratégie de sécurité globale.

Par ailleurs, la migration vers le cloud a transformé la façon dont les particuliers et les entreprises gèrent leurs données et services. Cependant, cette transition apporte de nouveaux défis de sécurité. Pour Thomas Jacobsen: "Le cloud est puissant, mais il introduit des risques spécifiques tels que les accès non autorisés et les fuites de données."

À n’en pas douter, ce journaliste de TV5 Monde n’avait pas reçu de formation adéquate car, en 2015, il avait laissé traîner des mots de passe sur une feuille durant une interview! (Capture d'écran)

Activer la confidentialité et la sécurité des données

Pour garantir la protection de ses données personnelles, il est impératif d'adopter des mots de passe forts et uniques pour chaque service en ligne. L'utilisation d'un gestionnaire de mots de passe, tel que l'outil ouvert BitWarden recommandé par Thomas, facilite cette tâche en sécurisant et en centralisant l'accès à vos comptes.

Les mots de passe faibles sont le talon d'Achille de la sécurité en ligne. L'adoption de l'authentification à deux facteurs (2FA) ajoute une couche supplémentaire de protection en demandant aux utilisateurs de fournir deux types de preuves d'identité avant d'accéder à leur compte. Cela rend les attaques par force brute ou les vols d'identifiants nettement plus difficiles.

Il est également sage de privilégier des prestataires qui placent la vie privée et la sécurité au cœur de leurs préoccupations. Contrairement aux géants du Web, souvent plus vulnérables en raison de leur complexité et de leurs interdépendances qui peuvent accroître les risques de failles de sécurité, des solutions telles que kSuite Infomaniak offrent une alternative sécurisée, moins exposée aux attaques de hackers de par leur moindre visibilité et leur utilisation spécialisée par les entreprises. En somme, une stratégie de sécurité en ligne efficace repose sur la combinaison de mots de passe robustes, de l'authentification à deux facteurs, et du choix judicieux de prestataires dédiés à la protection de vos données.

Savoir où sont vos données et qui peut y accéder

Saviez-vous que si vos informations sont sur un serveur localisé ou traitées par un logiciel américain, le gouvernement des États-Unis peut y avoir accès? C’est entre autres pour cela que la souveraineté numérique et le choix des technologies qui favorisent l'indépendance et la sécurité sont des préoccupations croissantes. "Opter pour des solutions stockées et développées en Suisse et des fournisseurs qui respectent la vie privée est une condition essentielle pour garantir le contrôle et la souveraineté de ses données", rappelle Jacobsen.

En outre, la responsabilité légale et la conformité avec des réglementations telles que le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) ou la Loi sur la Protection des Données (LPD) en Suisse sont des aspects auxquels les entreprises ne peuvent échapper.

Les coûts associés à la réparation des dommages, à la récupération des données, à la gestion de la réputation et à la perte de clientèle se chiffrent parfois en millions, sans compter que le non-respect des normes de protection des données peut entraîner des amendes. Il convient d'appréhender la sécurité de vos données et de votre site aussi bien sous forme préventive qu'en tant qu'investissement stratégique pour la santé financière à long terme d'une entreprise.

Pour cela, il existe des solutions de création de site, de gestion de documents et d’échange de fichiers clés en main, dont nous parlerons à la fin du mois.

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Techno

Payer pour utiliser Facebook ou Instagram, ça change quoi?

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KEYSTONE - RICHARD DREW

Payer pour utiliser Facebook ou Instagram sans publicité, c’est possible depuis quelques semaines contre une dizaine de francs par mois.  

Etes-vous prêts à payer pour utiliser Facebook ou Instagram?

Depuis début novembre, vous avez forcément eu ce message qui vous propose de ne plus voir apparaître de publicité sur le fil d’actu de vos réseaux sociaux. Oui mais à une condition: payer. Environ une dizaine de francs par mois. 

Alors il est toujours possible d’utiliser les plateformes du groupe Meta gratuitement, mais les données personnelles des utilisateurs sont collectées et utilisées pour afficher de la publicité ciblée. 

Vincent Bifrare est co-fondateur de Donuts Communication, une agence spécialisée dans la communication digitale à Genève. Il a testé cette version payante, qu'a-t-il constaté?

Vincent BifrareCo-fondateur de Donuts Communication

En réalité Meta a toujours collecté nos données personnelles à des fins publicitaires. 

Cet abonnement est en fait une mise en conformité du groupe américain à la législation européenne. 

Alors concrètement, ça veut dire quoi? Vincent Bifrare:

Vincent BifrareCo-fondateur de Donuts Communication

Est-ce que tous les réseaux sociaux vont devenir payants?

Vincent BifrareCo-fondateur de Donuts Communication

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Suisse

Bientôt une identité numérique "e-ID" en Suisse

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En plus des documents papier, nous pourrons utiliser une "e-id" (Archive © KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La nouvelle identité électronique (e-ID) sera étatique, facultative et gratuite. Elle pourrait être en place dès 2026. Le Conseil fédéral a adopté mercredi le message en ce sens.

La nouvelle identité électronique (e-ID) émise par la Confédération permettra de prouver son identité de manière simple, sûre et rapide. Quiconque dispose d'une carte d'identité ou d'un passeport suisse, ou encore d'un titre de séjour pour étranger, pourra demander l'obtention d'une e-ID, en ligne ou auprès du service des passeports. Une possibilité demandée en procédure de consultation.

Il sera possible de s'en servir sur Internet, par exemple pour demander un extrait du casier judiciaire, un permis de conduire, une attestation de résidence. Mais aussi dans le monde physique via une application sur smartphone, par exemple pour prouver son âge en achetant de l'alcool.

Une précédente tentative avait largement échoué devant le peuple en 2021. La gestion par des privés et la centralisation des données en étaient les principaux écueils.

"Le refus populaire a constitué une véritable opportunité", a dit Elisabeth Baume-Schneider, ministre de la justice, devant les médias à Berne. Le Conseil fédéral a tiré les leçons. "La loi a été repensée de A à Z", notamment sur les questions essentielles de la sécurité et de la protection des données.

Comme un portefeuille

Concrètement, toute personne souhaitant se munir d'une e-ID devra télécharger une application, qui fonctionne comme un portefeuille. Il devra ensuite demander une e-ID auprès de Fedpol.

Pour ce faire, il devra scanner sa carte d'identité, son passeport ou son titre de séjour. Une vérification filmée en temps réel est ensuite prévue. Après vérification, Fedpol émettra une e-ID, ce qui devrait prendre quelques minutes. Les données sont les mêmes que celles sur une carte d'identité et qui sont déjà en main de Fedpol, à quoi s'ajoute le numéro AVS.

Les données resteront en possession de l'utilisateur. Ce dernier peut choisir quelles données il livre, lors d'un achat par exemple. "On pourra par exemple indiquer que l'on est majeur sans donner sa date de naissance exacte", précise Mme Baume-Schneider.

La Confédération exploitera l'infrastructure nécessaire. Elle fournira l’application pour smartphone, qui sera aussi pleinement accessible aux personnes en situation de handicap. Contrairement à ce que prévoyait l’avant-projet, ce ne sont pas les cantons mais la Confédération qui fournira une assistance technique aux utilisateurs.

Pas une obligation

Toutes les démarches auprès de la Confédération qui pourront se faire virtuellement, avec présentation de l’e-ID, pourront continuer de se faire physiquement. "On doit pouvoir vivre dans le monde réel sans se préoccuper d'une e-ID", a insisté Elisabeth Baume-Schneider.

En même temps, toutes les autorités suisses seront tenues d'accepter l'e-ID comme document d'identité valable si elles acceptent le principe d'une preuve électronique de l’identité.

Le Conseil fédéral propose en outre que l’infrastructure technique mise en place pour exploiter l'e-ID puisse aussi servir pour d’autres types de preuves électroniques et qu’elle soit ouverte tant aux autorités cantonales et communales qu’aux acteurs du secteur privé.

Il sera ainsi possible de faire également usage de cette infrastructure pour établir et utiliser des documents tels que des diplômes, des billets pour des manifestations culturelles ou des cartes de membre. Ce type de document, qui existe aujourd’hui surtout sur papier ou sous forme de fichier PDF, pourrait alors être géré sur le smartphone de l'utilisateur.

La loi est formulée de telle manière qu’elle ne dit rien sur les technologies à employer. Il sera ainsi plus facile à la Confédération d’adapter les systèmes choisis en fonction des évolutions techniques et sociales. Enfin, ces systèmes répondront aux normes internationales, de sorte que l’e-ID puisse à l’avenir être utilisée aussi à l’étranger.

182 millions

Les coûts de mise en oeuvre pour la période 2023-2028 se montent à 182 millions de francs. Les frais d'exploitation à partir de 2029 sont estimés à environ 25 millions de francs par an.

Le Conseil fédéral estime que l’e-ID pourrait être disponible à partir de 2026. Pour tenir ce délai, il a déjà engagé les travaux de mise en place.

Avec Keystone-ATS

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Suisse

Nous gardons notre smartphone quasiment 3 ans

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En Suisse, les jeunes remplacent leur smartphone au bout d'un peu moins de trois ans. Selon un nouveau rapport, ils conservent donc leur téléphone près d'un an de plus que lors de la dernière enquête en 2016.

Alors qu'en 2016, un appareil était remplacé en moyenne après 1,9 an, il était utilisé pendant environ 2,7 ans en 2022, comme le montre le rapport JAMESfocus publié mercredi par la Haute école zurichoise des sciences appliquées (ZHAW) et Swisscom. Plus de 1000 jeunes âgés de 12 à 19 ans ont été interrogés dans le cadre de ce sondage.

Les adolescents utilisent ainsi leur smartphone plus longtemps que les adultes, a fait savoir la ZHAW. La durée moyenne parmi la population adulte est d'environ deux ans.

Des différences ont été constatées selon la région linguistique. En Suisse alémanique, les smartphones sont utilisés un peu plus longtemps (2,8 ans) qu'en Suisse romande (2,5 ans) et au Tessin (2,3 ans).

Une différence a également été observée en fonction de l'origine des jeunes: les adolescents suisses remplacent leur smartphone en moyenne un peu plus tard (après 2,8 ans) que les jeunes du même âge sans passeport suisse (après 2,3 ans).

Davantage d'appareils d'occasion

Selon le rapport, la proportion d'appareils d'occasion est plus élevée chez les jeunes (18%) que chez les adultes (7%). Et 42% des jeunes ont déjà fait réparer leur smartphone, contre 7% seulement des adultes.

Pour la ZHAW, les résultats montrent que la durabilité est devenue plus importante pour les jeunes. Toutefois, elle n'est pas la première priorité dans ce domaine.

Selon l'étude, pour la majorité des jeunes (73%), les caractéristiques techniques, comme la qualité de l'appareil photo ou la capacité de stockage, comptent parmi les critères les plus importants lors du choix d'un appareil. Le deuxième critère est le prix.

En troisième position, on trouve, à une certaine distance, la marque, suivie de près par la durée de vie de la batterie. Le design ou l'apparence de l'appareil fait partie des trois caractéristiques les plus importantes pour un quart des jeunes. La pertinence de l'apparence a donc diminué. En 2016, ce critère était encore d'une importance capitale pour près de la moitié des jeunes.

Le fait que le smartphone ait été fabriqué dans des conditions de travail équitables n'est un critères pertinent que pour moins d'un dixième des jeunes. En 2022, 99% des jeunes de 12 à 19 ans possédaient leur propre téléphone portable.

Avec Keystone-ATS

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International

Après ChatGPT, OpenAI lance ses robots conversationnels

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Archives (© KEYSTONE/AP/MICHAEL DWYER)

Moins d'un an après le lancement phénoménal de l'interface d'intelligence artificielle (IA) générative ChatGPT, la start-up OpenAI a présenté lundi ses dernières innovations pour rendre sa technologie plus performante et moins chère pour les développeurs.

"Le 30 novembre dernier nous avons discrètement mis en ligne une première version de ChatGPT, à des fins de recherche. Et ça c'est plutôt bien passé", a plaisanté Sam Altman, le patron de l'entreprise.

"Nous avons désormais environ 100 millions d'utilisateurs actifs toutes les semaines", a-t-il ajouté sur scène à San Francisco, lors d'une conférence retransmise en ligne en direct.

Le succès sans précédent de ChatGPT et les inquiétudes que suscite l'IA générative ont propulsé le jeune dirigeant (38 ans) sur le devant de la scène en 2023, d'auditions parlementaires à des entretiens avec des chefs d'Etat.

Robots conversationnels

Lundi, il a réitéré sa confiance dans la capacité de l'IA à l'avenir à donner des capacités émancipatrices à chacun, "à une échelle que nous n'avons jamais vue auparavant".

"Nous serons en mesure de faire plus, de créer plus et d'avoir plus", a-t-il assuré. "Au fur et à mesure que l'intelligence (artificielle) sera intégrée partout, nous aurons tous des superpouvoirs à la demande."

Car OpenAI a lancé lundi les "GPT" : les utilisateurs peuvent désormais créer des chatbots personnalisés, sans coder. "Les GPT peuvent par exemple vous aider à apprendre les règles de n'importe quel jeu de société ou à enseigner les mathématiques à vos enfants."

Ces robots conversationnels sont fondés sur les modèles de langage d'OpenAI (la technologie de base de l'IA générative) et sur les instructions et documents ajoutés par le créateur du chatbot (comme les règles d'un jeu).

Largement considérée comme une révolution comparable à l'avènement d'internet, et popularisée par ChatGPT, l'IA générative permet de produire textes, images et sons sur simple requête en langage courant.

2 millions de développeurs

Pour de nombreux observateurs, elle va permettre de créer des agents d'IA personnalisés, qui aideront les humains dans leurs vies personnelles et professionnelles.

Outre les GPT, les annonces d'OpenAI s'adressaient principalement aux plus de 2 millions de développeurs qui se servent de ses technologies pour créer des applications.

Sam Altman a présenté "GPT-4 Turbo", un nouveau modèle qui peut prendre plus de contexte en considération lors des requêtes, et a accès à internet jusqu'en avril 2023 (au lieu de 2021).

L'interface de programmation d'application (API) gagne en capacités multimédia (vision informatique, voix, etc). Et les tarifs d'utilisation des modèles baissent.

"Nous espérons que vous reviendrez l'année prochaine, car ce que nous avons lancé aujourd'hui paraîtra bien pittoresque par rapport à ce que nous sommes en train de créer pour vous", a promis Sam Altman.

Avec Keystone-ATS

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