Techno
Des arbres artificiels anti-pollution à Londres
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Il y a 12 mois,le
Le monde de demain : à Londres, une solution novatrice pour lutter contre la pollution de l’air…
La capitale anglaise a installé des arbres artificiels pour absorber la pollution atmosphérique. C’est le bien nommé quartier de Waltham Forest, au nord de Londres, qui a vu fleurir récemment 3 murs végétaux de 4 mètres de haut et 3 de large, 3 « City Tree » qui ont été installés près d’un arrêt de bus, près d’une autoroute et à une intersection très fréquentée.
Les murs sont en fait composés de 1600 pots de mousse qui absorbent donc la pollution de l’air, comme le feraient 275 vrais arbres. En substance : c’est la mousse et les plantes qui éliminent la poussière, le dioxyde d’azote et les particules de gaz présents dans l’air.
Et ils sont autonomes grâce à un système d’irrigation, des capteurs et une alimentation assurée par des panneaux solaires et des batteries embarqués. Ajouter un banc au pied du mur végétal et vous avez un mobilier urbain utile. Utile mais pas donné : il faut compter 22 500 euros par murs.
C’est une 1ère ?
Des installations similaires sont en phase de test actuellement à Paris et Amsterdam. Mais ces 3 nouveaux murs végétaux à Londres sont en tout cas les premiers à être permanents.
Autre particularité : ils disposent également d’un système de surveillance intégré qui vérifie les niveaux de pollution, la température de l’air et la qualité de l’eau.
Genève
Une montre genevoise, en acier 100% recyclé et durable
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Il y a 7 joursle
13 janvier 20212 jeunes onésiens lancent leur propre marque de montre
Son nom: “ID Genève”. Elle fait la part belle aux matériaux recyclés, durables et locaux.
On découvre leur 1ère collection avec Benoît Rouchaleau.
Leur campagne de financement participatif: ici.
Actualité
La start-up vaudoise ClearSpace va nettoyer l’espace en 2025
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Il y a 2 moisle
3 décembre 2020L’agence spatiale européenne (ESA) a signé mardi un contrat avec la start-up suisse ClearSpace pour la première mission au monde d' »enlèvement » d’un débris spatial. Elle ouvre ainsi la voie vers un nouveau marché de dépollution de l’orbite terrestre.
Il s’agira de la première mission au monde de nettoyage en orbite, a précisé l’ESA. Pour l’agence spatiale, qui compte 22 Etats membres, c’est aussi une première, car « jamais nous n’avions confié un contrat d’une telle ampleur à une petite start-up », a précisé à l’AFP Eric Morel de Westgayer, en charge de l’industrie et des achats à l’ESA.
Plus de 40’000 objets
En près de 60 ans d’activité spatiale et plus de 5500 lancements, environ 42’000 objets de plus de 10 centimètres gravitent autour de la Terre, formant un nuage de déchets composé de fusées anciennes, de morceaux de satellites restés en orbite après explosion ou de satellites entiers qui ne sont plus opérationnels, entre autres. Un chiffre édifiant expliqué par Luc Piguet, CEO et Co-fondateur de ClearSpace:
Entreprise dérivée de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), ClearSpace a recueilli des contributions d’une vingtaine de sociétés venant de huit pays membres de l’ESA (Suisse, République tchèque, Allemagne, Royaume-Uni, Pologne, Suède, Portugal et Roumanie).
La start-up construira un satellite nettoyeur de 500 kilos, qui évaluera dans un premier temps la vitesse de Vespa. Il devra ensuite capturer sa cible, en l’encerclant de ses quatre « tentacules », pour la désorbiter. Vespa se désintègrera ensuite dans l’atmosphère, avec son satellite nettoyeur. Les explications de Luc Piguet, CEO et Co-fondateur de ClearSpace:
Ce contrat de services, d’un montant total de 100 millions d’euros, dont 86 millions (93 millions de francs) investis par l’ESA, partira en 2025 et aura pour cible un morceau d’une ancienne fusée européenne Vega. Le débris appelé Vespa (Vega Secondary Payload Adapter), qui pèse 112 kilos, a été laissé en 2013 en orbite basse, à 800 km de la Terre. Mais pourquoi avoir choisi ce débris en particulier ? La réponse de Luc Piguet:
Marché encore vierge
Confier à ClearSpace cette première mission dans un marché encore vierge était « une manière de lui mettre le pied à l’étrier, et nous espérons qu’en faisant la démonstration de la faisabilité technique, nous permettrons à ce marché de se développer », a poursuivi le responsable de l’ESA, qui veut également « montrer l’exemple » en matière de dépollution spatiale.
Créée en 2018 par des experts de l’étude des débris spatiaux – ClearSpace a été sélectionnée parmi douze candidats. « Nous sommes très fiers que notre spin-off Clearspace ait été choisie par l’ESA pour sa première action de nettoyage », a indiqué le président de l’EPFL Martin Vetterli, cité dans un communiqué de l’agence spatiale.
La première sortie opérationnelle est prévue en 2025 après un lancement depuis la base de lancement de Kourou en Guyane française. La mission ClearSpace-1 fait partie du programme ADRIOS de l’ESA, visant à développer des services en orbite pour les satellites tel que le ravitaillement, la réparation ou les manœuvres orbitales. Des partenaires industriels et hautes écoles suisses seront également de la partie.
ATS/Tom Monaci
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Genève expérimente un bar à café technologique et écologique
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Il y a 3 moisle
5 novembre 2020Un bar à café sans contact, ni déchet
A l’heure du coronavirus, des distances sociales et de la limitation des contacts, la machine à café de Mia et Noa se démarque depuis quelques semaines à Chêne-Bourg: Elle est à la fois technologique et écologique… Présentation avec Benoît Rouchaleau.
Genève
Une start-up genevoise facilite les prises de RDV pour les tests Covid
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Il y a 3 moisle
3 novembre 2020Le Covid-19 accélère la télémédecine
C’est une des conséquences directes du Coronavirus, la télémédecine est en plein essor avec la pandémie et les mesures de semi-confinement.
Et en la matière, la start up genevoise OneDoc tire son épingle du jeu… Les explications de Benoît Rouchaleau.
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Le monde de demain: une station de recharge électrique intelligente
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Il y a 6 moisle
24 juillet 2020Un projet de borne de recharge, nouvelle génération, pour les voitures électriques, c’est le monde de demain…
Si les véhicules électriques peinent encore à se démocratiser sur les routes suisses, cela tient en partie au prix d’achat, toujours très onéreux, mais aussi au manque de bornes de recharges à disposition. Une nouvelle piste est creusée par la start up zougoise Start Me qui a développé une station de recharge électronique compacte et intelligente qui peut s’installer chez vous ou à votre bureau: Elle s’appelle Pico et elle est fournie avec un système de charge complet qui tient compte du réseau électrique auquel elle est connectée pour éviter toute surcharge. Vous pouvez également le partager avec vos voisins, vos employés ou d’autres usagers en déterminant simplement qui, quand et à quel prix de facturation. Parce que sa particularité, c’est qu’elle se connecte au cloud via WIFI ou les réseaux cellulaires, ce qui signifie que vous pouvez vous connecter, surveiller et contrôler la station à tout moment, depuis n’importe où et en temps réel, grâce à son compteur d’énergie miniaturisé intégré et son système d’identification de voiture automatique. Et la recharge est paramétrable directement depuis son smartphone.
Est-ce que la station a des chances de voir le jour?
Elle est encore en phase de financement participatif mais le courant passe visiblement puisque la campagne a attiré 40% de fonds de plus que l’objectif initial. Plus de 70 000 francs ont ainsi déjà été collectés, via une centaine de contributeurs. L’ambition est de parvenir à la commercialiser en 2021.
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