Malgré une défaite initiale face à Toggenburg (2-3), les volleyeuses de Châtelaine croient en ses possibilités. La venue du NUC est, pour elles, l'occasion de démontrer leurs qualités.
A l'occasion de la deuxième journée de Ligue Nationale A féminine, Genève Volley jouera sa première rencontre à domicile de la saison face au Neuchâtel Université Club. Un sacré défi pour l'équipe genevoise qui a renouvelé son effectif avec notamment l'arrivée de quatre Américaines (les centrales Lauren Page et Liesl Engelbrecht, l'ailière Anna Marie Church ainsi que l'opposée ou diagonale Lindsey Calvin). Malgré ces renforts, les joueuses de Châtelaine se sont pris les pieds dans le tapis lors de la reprise du championnat face à Toggenburg (néo-promue en LNA), un adversaire direct dans la lutte pour le maintien dans l’élite.
Les volleyeuses de Châtelaine pourront également compter sur le retour d'Ewine Guscetti (20 ans) de retour après une saison aux Etats-Unis où elle a étudié au State College of Florida. Elle revient sur son expérience Outre-Atlantique.
Pour l'assistante-coach Fabia Gnaedinger, la jeune passeuse est appelée à jouer un rôle important dans son équipe, même si c'est sa première saison au plus haut niveau helvétique.
Après cette saison qui l'a fait mûrir, elle se réjouit de son retour dans son club formateur. L'occasion pour elle de découvrir la LNA. Reste à savoir si la formation entraînée par Ludovic Gruel est plus forte que les saisons précédentes.
Vendredi (20h) face au Neuchâtel Université Club, leur tâche s’annonce autrement plus difficile. Mais l’équipe-phare du canton possède néanmoins quelques atouts pour créer la surprise face aux championnes de Suisse en titre :
Reste que les Neuchâteloises semblent déjà très en forme après leur victoire sur Kanti Schaffhouse (3-1) lors de la première journée de championnat. Ewine Guscetti et ses coéquipières sont averties.
Fabia Gnädinger: "Viser la lune pour atterrir sur les étoiles !"
Au-delà du match contre le NUC, Genève Volley vise le maintien en LNA. Mais ce n'est qu'un objectif minimal avec le secret espoir de viser plus haut et pourquoi décrocher une participation à une Coupe d'Europe.
Après cinq saisons à Sm'Aesch Pfeffingen, Andreas Vollmer se réjouit de relever un nouveau défi avec Genève Volley (KEYSTONE/Georgios Kefalas/archives).
Aïda Shouk n'entraînera plus les volleyeuses de Châtelaine; Andreas Vollmer, ex-Sm'Aesch Pfeffingen succède à la coach lausannoise.
C'est un changement de cap radical que vit Genève Volley. Après deux ans sous la houlette d’Aïda Shouk (40 ans) (qui a pris la succession de Ludovic Gruel juste avant les play-outs qui ont précédé la période covid), les volleyeuses de Châtelaine auront un nouvel entraîneur. Et c'est une pointure qui débarque: Andreas Vollmer (55 ans), ancien coach de Sm’Aesch Pfeffingen, succède à la coach assistante de l'Equipe de Suisse. Un revirement étonnant dans la mesure où la collaboration avec l'ex-passeuse de la sélection helvétique semblait acquise ou presque.
Une augmentation de budget substantielle a egalement permis la venue de ce coach que Patrick Tran qualifie de "Pep Guardiola ou Carlo Ancelotti du volleyball helvétique".
Les responsables de Genève Volley attendent aussi des retombées favorables permettant de faire évoluer le club vers une plus grande professionnalisation.
L'effectif connaîtra beaucoup de changement avec notamment le départ de la centrale vaudoise Tryphosa Oseghale qui vit et travaille à Lausanne. Le technicien allemand a fait part de ses exigences au sujet du recrutement. De ce fait, une passeuse étrangère devrait être engagée prochainement.
Pour mémoire, "Andi" Vollmer a été l’entraîneur principal de plusieurs équipes de Ligue Nationale A (LNA): Kanti Schauffhouse, Volley Franches-Montagnes et Sm’Aesch Pfeffingen. Avec les joueuses de Bâle-Campagne, il s'est hissé en finale des play-offs cette saison face au Neuchâtel Université Club (défaite 1-3). Cet été, il dirigera la sélection hongroise parallèlement à sa charge de coach avec Genève Volley.
Mené dans la finale des play-offs face à Amriswil, Chênois doit gagner trois des quatre matches de la série pour conserver son titre de champion de Suisse.
Champion de Suisse, Chênois a entamé la défense de son titre national par une défaite à Amriswil (0-3) samedi dernier. Et la suite s’annonce tout aussi difficile face à une équipe thurgovienne qui s’est passablement renforcée depuis l’année dernière. Nettement battus (20-25, 17-25, 20-25), les banlieusards genevois ont pêché à la réception lors du premier acte. Un problème récurrent à corriger rapidement.
Les banlieusards genevois auront fort à faire pour conserver leur titre de champion de Suisse: ils sont dans l'obligation de gagner trois des quatre matches restant à jouer dans la série. Cependant, Tom Liot l'autre passeur français de Chênois croit fermement aux chances de la formation genevoise.
Joana Heidrich et Anouk Vergé-Dépré disputeront les huitièmes de finale du tournoi olympique de Tokyo.
Les championnes d'Europe 2020 sont assurées de terminer à l'une des deux premières places du groupe A grâce à leur succès obtenu en deux manches face aux Néerlandaises Katja Stam et Raisa Schoon (22-20, 21-18).
Heidrich/Vergé-Dépré affichent deux succès en deux parties, tout comme les Canadiennes Sarah Pavan/Meliassa Humana-Paredes qu'elles affronteront jeudi pour leur dernier match de poule. Un succès face aux championnes du monde 2019 leur permettrait de remporter ce groupe et de bénéficier d'un tableau plus favorable.
Joana Heidrich et Anouk Vergé-Dépré sont revenues de loin face à Katja Stam/Raisa Schoon. La Zurichoise et la Bernoise ont ainsi dû effacer cinq balles de set de manière consécutive dans la première manche! Menées 15-20, elles ont empoché sept points d'affilée, le dernier sur un contre de Joana Heidrich.
Heidrich/Vergé-Dépré, qui avaient eu besoin de trois sets pour vaincre Julia Sude/Karla Borger lors de la 1re journée, ont cette fois-ci pu s'imposer en deux sets. Elles ont à nouveau parfaitement géré le "money time" dans la deuxième manche, remportant cinq des six derniers points après s'être retrouvées menées 16-17.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le libero argentin Facundo Santucci (en noir) est venu en renfort pour permettre à Dejan Radic et Chênois de tirer le maximum de leur potentiel lors de la phase finale du championnat.
Un sacré défi attend Chênois en demi-finales des play-offs de LNA face à Schönenwerd: une double confrontation au lieu d'une série au meilleur des cinq matches. Une formule qui ne laisse aucune place à l'erreur...
Les demi-finales des play-offs de Ligue Nationale A se poursuivent toujours. Car si Amriswil s’est qualifié aux dépens du Lausanne Université Club (3-0 dans la série), la seconde demi-finale opposant Chênois à Schönenwerd n’a pas encore livré son verdict. Et pour cause. Le coronavirus est passé. Un de ses membres ayant été infecté, la formation soleuroise s’est retrouvée en quarantaine.
Schönenwerd cloîtré
Cloîtrés chez eux, les joueurs de Schönenwerd n’ont pu reprendre l’entraînement que mercredi. Alors que les volleyeurs de Chêne poursuivaient leur préparation sans interruption. Reste à savoir si c’est un avantage.
Pour éviter trop de retards dans le calendrier, la série a été réduite à deux matches. En cas d’égalité sur ces deux rencontres, un set décisif départagera les prétendants à la finale. Une formule couperet qui met la pression sur les joueurs mais les volleyeurs de Chêne y ont déjà été confrontés.
Pour relever ce défi, les volleyeurs de Chêne bénéficient toutefois de l’apport d’un nouveau joueur : Facundo Santucci. nous dit ce qu’il pense de cette formule.
Ayant raté la qualification pour les play-offs, les volleyeuses de Châtelaine oscillent entre déception et volonté de continuer à construire une équipe pour la saison prochaine.
Classée à la neuvième et avant-dernière place au terme de la saison régulière de Ligue Nationale A féminine, Genève Volley ne jouera pas les play-offs. Après un bon mois de décembre, les Genevoises ont perdu chacune des cinq rencontres jouées depuis le début de l’année, elles ratent ainsi l’objectif avoué pour cette saison à savoir une place parmi les 8 premières.
Très déçue, leur coach Aïda Shouk nous dit ce qui a manqué à son équipe pour réussir de meilleures performances.
Covid, fermeture des salles de force sans oublier les nombreuses blessures, rien n’a joué en leur faveur. Un poste-clé a été particulièrement touché celui de libero. En l’absence de la titulaire du poste c’est la toute jeune Alyssa Aveni qui a dû tenir la baraque.
Projetons-nous à présent sur la suite à savoir la saison prochaine. Arrivant en fin de contrat, Aïda Shouk ne sait pas encore si elle sera encore à la tête de l’équipe à la reprise l’automne prochain. Elle nous parle cependant du plus gros chantier qui attend les volleyeuses de Châtelaine.
Place à présent aux play-outs ou plutôt aux rencontres de classement. Les joueuses d’Aïda Shouk affronteront la formation de Val de Travers détentrice de la lanterne rouge dans une série au meilleur des trois matches. Une série sans enjeu puisque l’équipe occupant la dernière place de LNA ne sera pas reléguée à l’issue de cette saison. Quoi qu'il en soit, Genève Volley a remporté de justesse la première de ces rencontres face aux joueuses des montagnes neuchâteloises (3-2).