Genève-Servette s'est fait plaisir et a fait plaisir mardi aux Vernets face à Kloten. Après un premier tiers décévenant, les Grenat ont su accélérer pour s'impose finalement 5-1. Prochain match pour le GSHC vendredi à Lugano.

Toujours pas de retour de Tanner Richard (prévu vendredi si tout va bien) ni de Thédore Lennström (prévu dans 1 semaine) aux Vernets. A ces absences viennent s'ajouter la suspension de Daniel Winnik. Le Canadien a été puni pour un match pour avoir manqué de respect au corps arbitral lors de la rencontre face à Zoug.

Avec ces absences, et malgré la qualité de l'effectif sur la glace, le premier tiers de la rencontre est pauvre en actions dangereuses et en buts. Seuls les Zurichois, sur une belle action de rupture, trouve la faille et mener au score.

La réaction genevois s'est faite attendre mais est arrivée de belle manière en deuxième période. Avec une confiance retrouvée, les Grenat ont su marquer 4 buts dans le tiers médian. Des buts tombés tous de forte belle manière, des buts qui font toujours du bien à la confiance. Le troisième tiers a aussi été celui de la domination genevoise. Impuissants, les banlieusards zurichois n'ont pu que constater lorsque Vincent Praplan a pu marquer le 5e but genevois.

On le dit depuis quelques rencontres, Genève-Servette va mieux et ce genre de match de vient que confirmer ce ressenti. Même si l'opposition n'était pas la plus élevée de la ligue, ce genre de victoire ne peut que lancer des Genevois qui remontent à proximité du top 6 du championnat. Ne reste que le plus dur à présent: gagner à l'extérieur, pourquoi pas dès vendredi face à Lugano ?

Genève-Servette commence à aller mieux mais ne gagne toujours pas à l'extérieur! Les Genevois se sont inclinés 2-1 après tirs aux but  dimanche soir face à Zoug. Des Genevois qui retrouvent petit à petit leur verve. Prochain match mardi aux Vernets face à Kloten. 

Malade vendredi, Arnaud Jacquemet est le seul retour dans l'alignement genevois. En face, Zoug est au complet. Mais coté zougois, les situations spéciales sont à la peine, la dernière alémanique a avoir été sacrée championne de Suisse enregistre le pire powerplay et le deuxième pire boxplay. L'occasion de le vérifier s'est vite présentée puisqu'après 4 minutes de jeu, les Zougois n'ont pu concrétiser durant une minute lors d'un 5 contre 3. Le premier but est quand même tombé pour les locaux sur un puck mal dégagé par Marco Maurer. Mais dans le jeu et dans l'attitude, Genève-Servette va mieux.

Confirmation dans le tiers médian. Après avoir encaissé respectivement 3, 5 et 4 buts lors de ses trois derniers tiers médian disputé sur la route, les Genevois n'encaissent aucun but à Zoug. Mieux, au terme d'une longue séquence de domination ce sont les Grenat qui ont pu égaliser après un petit solo de Simon Le Coultre. Sans briller, les Servettiens sont revenus au score. Si cette phrase ferait tâche dans la saison 2022-2023 des champions en titre, elle fait beaucoup de bien au GSHC version 23-24.

Le troisième tiers est beaucoup plus calme avec beaucoup d'erreurs de part et d'autres. Coté genevois, Robert Mayer est impérial dans ses goals, au bon souvenir de sa demi-finale monstrueuse contre ces mêmes zougois.

C'est finalement aux tirs au but que le verdict est tombé en faveur de Zoug. A noter que les 4 tireurs genevois n'ont pas fait mouche dans la séance de penalties. Genève-Servette devra continuer sur cette lancée mardi face à Kloten.

Jouer simple, marquer des buts et faire des points, telles étaient les trois missions de Genève-Servette pour la réception de Rapperswil samedi aux Vernets. Mission réussie puisque Genève-Servette s'impose 4-1 contre Rapperswil-Jona. Les Genevois restent donc invaincus à domicile avec 3 succès en 3 matchs.  

Toujours pas de Lennström ni de Richard dans l'alignement. A ces absences s'ajoute celle de Jacquemet, malade. Avec 6 défenseurs et 14 attaquants, Genève-Servette devait réagir après la nette défaite de mardi face à Davos. "On sera toujours là" et "Relève la tête champion !" ont été les deux messages envoyés par le Parterre Nord avant la rencontre, preuve que le GSHC n'est pas seul dans sa torpeur.

Les Genevois vont rapidement ouvrir le score avec un but tombé en powerplay après 2 minutes et 1 seconde jeu grâce à Daniel Winnik qui a pu reprendre son propre rebond. Le tiers fut ensuite assez médiocre, Rapperswil n'arrivant pas à installer son jeu et Genève encore trop imprécis.

Deuxième tiers réussi

A l'extérieur, Genève rate ses deuxième tiers cette saison (3 buts pris contre Lausanne, 5 contre Fribourg et 4 contre Davos), samedi les Grenat ont été capables d'accélérer le jeu et de tenir bond face aux assauts saint-gallois grâce aussi à très bon Gauthier Descloux dans les buts genevois. Trois jours après avoir inscrit ses deux premiers points en grenat, Henrik Haapala a ouvert cette fois sur compteur but sur une superbe passe de Vincent Praplan. 2-0, des Grenat convaicants, et si ce tiers était le premiers d'une bonne série ?

Troisième tiers solide

Le troisième tiers n'est vieux que de 2'30'' quand les Grenat peuvent inscrire le 3e grâce à Marco Miranda sur un très beau travail préparatoire de Giancarlo Chanton. Un suspens qui est revenu avec la réduction du score saint-galloise à 15 minutes du terme du temps réglementaire. La fin de la rencontre sera en faveur des Saint-Gallois, omniprésents devant Gauthier Descloux impérial entre ses deux poteaux. Le 4-1 tombé dans la cage vide scelle l'issue de cette rencontre. Pas le match du siècle, mais comme on le repète: "qu'importe  la manière, c'est le résultat qui compte".

Les Grenat devront maintenant confirmer que ce jeu peut être reproduit à l'extérieur également. L'occasion est toute trouvée: le GSHC se rend à Zoug dimanche soir. Un déplacement qui sent bon la poudre.

Genève-Servette a repris une baffe mardi sur la patinoire du HC Davos. Dans les Grisons, les Genevois s'inclinent 7-2 après avoir à nouveau manqué leur deuxième tiers. Sur la route, Genève a donc encaissé 20 buts lors de ses 3 derniers matchs.

On ne change pas qui gagne enfin! L'alignement servettien était en tout point similaire à celui proposer samedi face aux Ajoulots. Pas d'alternance dans les buts, pas de retour de Richard ou Lennström non plus, la même équipe que samedi.

Cette semaine, il n'y aura pas de notes artistiques sur la manière utilisée par Genève (il n'y en a pas d'habitude non plus vous me direz). Le proverbe "qu'importe la manière, il n'y a que le résultat qui compte" n'aura jamais été aussi vrai pour des Grenat toujours privés de succès à l'extérieur cette saison.

Deuxième tiers encore raté

Le premier tiers de la rencontre illustre à merveille ce proverbe (poncif ?). Après avoir concédé l'ouverture du score aux Davosiens, les Servettiens ont su égalisé grâce à Valtteri Filppula sur une des rares actions dangereuses des Genevois de la période. Résultat, 1-1 après 20 minutes, un score qui laisse présager une suite de match intéressante.

Et elle le sera, durant 10 minutes en deuxième tiers. Entre deux Teemu Hartikainen a eu le temps d'inscire son premier but de la saison et permettre aux Grenat de mener 2-1 avant l'égalisation tombée sur une déviation malheureuse de Josh Jooris dans son propre but. Dès lors, le le traditionnel trou noir genevois du tiers médian a refait irruption. Après en avoir encaissé 3 face à Lausanne mardi, 5 face à Fribourg vendredi, les Genevois ont complété le tiercé avec 4 buts encaissés lors du tiers médian. Une mauvaise habitude sur la route que les Servettiens doivent oublier au plus vite. Après 40 minutes, le GSHC est donc mené 5-2 sans sembler montrer de signe de révolte.

Encore 7 buts encaissés

Le troisième tiers n'aura été que du remplissage comme lors des deux rencontres précédentes sur la route. Genève-Servette n'a pas réagi et, plus inquiétant, n'a pas montré de réaction d'orgueil de la rencontre. Le sixième puis le septième n'ont rien changé, les Grenat encaissent 7 buts pour leur deuxième déplacement consécutif, une statistique honteuse, même pour un champion en titre dans le dur.

Avec l'état de forme dégagé, chaque match sera difficile pour les Genevois. La réception de Rapperswil vendredi aux Vernets puis le déplacement à Zoug dimanche s'apparentent autant à des matchs compliqués qu'à de nouvelles claques si les Servettiens ne sont pas plus appliqués et solidaires en défense.

Trois jours après la baffe reçue à Lausanne, le Genève-Servette HC en a reprise une vendredi face à Fribourg-Gottéron pour son deuxième derby romand de la semaine. Les Grenat s'inclinent 7-1 sans n'avoir rien montré avec notamment 5 buts encaissés dans le tiers médian.

Toujours pas de Théodore Lennström et de Tanner Richard sur la feuille de match pour cette quatrième rencontre du championnat. En revanche, Henrik Haapala est bien sur la feuille de match. Le Finlandais, qui a signé un contrat jusqu'au 24 octobre, complétait la ligne 100% finlandaise avec Sakari Manninen et Teemu Hartikainen. Parmi la réaction, attendue, après la déconfiture face à Lausanne, le coaching staff a apporté quelques changements dans son alignement. Dans les buts, c'est Gauthier Descloux, excellent après son entrée mardi à Lausanne, qui prend place.

Comme mardi, Genève-Servette débute bien la rencontre, se créant même quelques occasions sur les buts de Reto Berra. Comme mardi, le premier but n'est pas tombé en faveur des Genevois. Comme mardi, ce but a eu comme effet de faire les Genevois dans une torpeur insoluble. Le seul but genevois est tombé sur une déviation involontaire d'un Fribourgeois suite à un tir servettien.  A 2-1 après 20 minutes, l'espoir était encore de mise.

Mais le pire était à venir puisque les Servettiens, réduits au rang de spectateurs, ont encaissé 5 buts dans le deuxième tiers sans montrer de réaction d'orgueil. Symbole du naufrage, la pénalité de match de Noah Rod pour une charge incorrecte sur Mauro Jörg. Comme face à Lausanne, le troisième tiers n'aura été que du remplissage.

Il ne s'agit pas de là de pointer du doigt un ou deux joueurs qui sont encore en "rodage", le naufrage est collectif et c'est peut-être le plus rassurant: l'entier du groupe doit se réveiller. Il ne s'agit pas non plus de céder à la panique malgré les claques qui se suivent, la saison n'est vieille que de 4 matchs. Mais les choses doivent rapidement changer.