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Santé

Primes maladies 2024: Les astuces pour faire baisser la facture

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Une facture fictive de primes maladie. (© KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)
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Avec l'annonce des augmentations de nos primes d'assurance maladie, à retrouver ici, Radio Lac vous propose quelques astuces.

(© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Comment les assurés peuvent économiser selon les experts

Selon les experts, les ménages suisses peuvent atténuer l'augmentation attendue des primes d'assurance-maladie. Il serait possible d'économiser des centaines de francs par mois.

Si les assurés changent par exemple de prestataire d'assurance maladie et choisissent le modèle d'assurance le plus avantageux, ils peuvent amortir quelque peu le "choc", avertit ainsi par exemple le service suisse de comparaison en ligne Moneyland.ch.

Moneyland ainsi que le service de comparaison Comparis conseillent en outre aux assurés adultes de toujours choisir la franchise la plus élevée (2500 francs) ou la plus basse (300 francs) auprès de leur caisse maladie. "Une franchise qui se situe entre ces deux valeurs n'est pas rentable d'un point de vue financier".

Malgré la flambée des primes et les possibilités d'économie, seul un assuré sur trois change d'assurance maladie, comme le montre un récent sondage de la plateforme de comparaison Hellosafe. Selon ce sondage, la prime moyenne en 2023 pour l'assurance de base était de 377 francs par personne et la franchise moyenne de 1304 francs.

(©KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI))

Résilier en courrier A Plus ou par lettre recommandée

L'annonce ce mardi des primes maladie 2024 fait réfléchir sur l'opportunité de changer d'assurance ou non. Le cas échéant, l'OFSP recommande d'adresser sa lettre de résiliation en recommandé ou en courrier A Plus (suivi électronique des envois).

Les caisses-maladie ont jusqu'au 31 octobre pour informer les assurés des primes qui les attendent en 2023. Qu'il trouve une prime meilleur marché ou qu'il souhaite simplement changer de caisse-maladie, tout assuré est en droit de le faire.

Le délai pour l'annonce du changement auprès de la caisse-maladie est fixé au 30 novembre. L'Office fédéral de la santé publique (OFSP), dans un fascicule, conseille d'effectuer la démarche au plus tard quinze jours avant l'échéance et de s'annoncer dans le même temps auprès de la nouvelle caisse.

Il n'est pas nécessaire d'obtenir une offre de la nouvelle assurance avant de migrer.

L'affiliation à la caisse que l'on quitte ne devient effective qu'au moment où la nouvelle a signifié à l'ancienne que la personne concernée est assurée auprès d'elle sans interruption de sa protection contractuelle.

Une personne assurée ne peut changer de caisse que si elle n'a pas de dettes auprès de celle-ci à la fin de l'année en cours.

En cas de résiliation de l'assurance de base, la caisse-maladie n'a pas le droit d'exiger que l'assuré résilie aussi une éventuelle couverture complémentaire qu'il pourrait aussi avoir auprès d'elle.

Pour les complémentaires, les délais de résiliation diffèrent généralement et sont contenus dans les dispositions générales du contrat.

Le site de calcul des primes de l'OFSP, www.priminfo.ch, permet d'obtenir une vue d'ensemble des offres et des primes des diverses caisses. Et de voir s'il vaut la peine ou non d'en changer.

(© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Soyez prévenu, les primes maladie devraient à nouveau bondir l'an prochain

Le ministre de la santé Alain Berset a annoncé pour la dernière fois de sa carrière le montant des primes d'assurance maladie. Après une hausse de 6,6% cette année, les experts s'attendent à une nouvelle flambée des primes en 2024.

Selon les données de l'association des assureurs-maladie Santésuisse, les coûts de la santé ont augmenté de 7,9% au premier semestre 2023. Les coûts par assuré ont atteint 2240 francs dans l'assurance de base obligatoire, soit une hausse de 6,4% par rapport à l'année précédente. Le fait que l'augmentation par tête soit inférieure à celle des coûts totaux s'explique par la croissance démographique.

Comme les primes sont fixées au niveau cantonal, les augmentations de coûts particulièrement fortes dans les cantons d'Uri (13,3%) et de Berne (10,5%) laissent présager les hausses de primes les plus importantes dans ces cantons. Santésuisse s'attend à une explosion des primes de 8 à 9%.

La directrice de Santésuisse Verena Nold a clairement fait savoir dans des interviews que les assureurs ne pourraient pas éviter des augmentations de primes supérieures à la moyenne en 2024. Selon elle, les caisses maladie ne pourront pas amortir la hausse en raison de la réduction de leurs réserves voulue par le politique.

L'augmentation des coûts de la santé ainsi que la mise en œuvre de l'initiative sur les soins ont contribué à une hausse plus importante des coûts.

Avec Keystone-ATS

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Santé

Le Conseil fédéral veut assurer l'approvisionnement médical

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Les pénuries touchent surtout les analgésiques, les antibiotiques et les vaccins (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La population suisse doit bénéficier d'un approvisionnement médical sûr. Pour le Conseil fédéral, l'initiative sur la sécurité de l'approvisionnement n'est pas assez efficace. Il proposera donc un contre-projet direct d'ici l'été.

L'initiative "Oui à la sécurité de l'approvisionnement médical", lancée par un comité citoyen formé notamment de médecins, de pharmaciens et de droguistes, entend agir contre la pénurie de médicaments importants et de matériel médical. Actuellement, environ 1000 différents produits font défaut en Suisse. La pandémie de Covid-19 a aussi révélé que du matériel important n'était parfois plus livrable pour les laboratoires.

Ces problèmes s'expliquent principalement par la pression massive exercée durant des années sur les prix des médicaments, selon le comité d'initiative. Ces produits ne pouvaient plus être fabriqués en Suisse ou dans les pays européens. Mais même en période normale, les entreprises concernées ne sont pas des fournisseurs fiables. Il est donc urgent d'agir, car la sécurité de la population est menacée.

Préoccupations partagées

Le Conseil fédéral partage ces préoccupations, indique-t-il mercredi. Mais l'initiative n'est pas suffisamment ciblée. Le contre-projet direct vise les domaines où il est le plus urgent d'agir et où l'effet est le plus marqué. Il s'agit notamment des médicaments bon marché et fréquemment utilisés, comme les analgésiques, les vaccins et les antibiotiques.

Le contre-projet, qui doit être présenté d'ici l'été, donne plus de compétences à la Confédération.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève se dote d'un pôle de soins neurologiques et psychiatriques

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Une vue d'un scanner a résonance magnétique (IRM) lors d'une démonstration, lors de la signature de la convention au pole d'intelligence artificielle (AI) pour les soins, et la neuromodulation la sante au Campus Biotech, ce vendredi 14 février 2025 a Genève. Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), le Département de la sante et des mobilités (DSM) et le Wyss Center for Bio and Neuroengineering signent une convention tripartite pour créer un pole de référence en intelligence artificielle pour les soins, la sante et la neuromodulation. Ce partenariat a pour objectif d'améliorer significativement les traitements et la prévention des troubles neurologiques et psychiatriques. (KEYSTONE/Martial Trezzini)

Un pôle de compétences pour le traitement avancé des troubles neurologiques et psychiatriques va voir le jour à Genève. Situé sur le Campus Biotech, dans le bâtiment qui abritait l'ancien siège de la société Merck Serono, ce centre promet d'utiliser toute la puissance de l'intelligence artificielle au service des patients.

Une convention jetant les fondements de ce pôle a été signée vendredi entre les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), le département genevois de la santé et des mobilités (DSM) et le Wyss Center for Bio and Neuroengineering. Ce partenariat est inédit, a indiqué le directeur général des HUG Robert Mardini.

Il s'agit d'une avancée majeure pour le canton de Genève, a souligné, de son côté, le conseiller d'Etat genevois Pierre Maudet. Le pôle va avoir un rôle d'aimant pour la recherche, la formation de spécialistes, l'intelligence artificielle dans la santé. Aux yeux du magistrat, cette approche préfigure "l'hôpital du futur".

La concentration des compétences et des équipements de dernière génération en un seul lieu augmentera les chances de trouver un traitement personnalisé pour chaque patient, grâce à des solutions novatrices. Une nouvelle ère de soins neurologiques s'ouvre à Genève, a noté la docteure Roma Vuarier, du centre Wyss.

Intelligence artificielle

L'utilisation de l'intelligence artificielle permettra d'analyser quantité de données et aidera à anticiper certaines pathologies ou contribuera à éviter à des maladies de s'aggraver. Cet outil permettra aussi de libérer du temps qui pourra être consacré par le personnel soignant aux contacts humains avec les patients.

Le pôle occupera 1000 m2 du Campus Biotech. Fondé par l'Université de Genève, l'EPFL et l'homme d'affaires et mécène Hansjörg Wyss, le Campus Biotech fonctionne à la manière d'un incubateur spécialisé dans les neurosciences et les neurotechnologies. Le lieu héberge plusieurs jeunes pousses prometteuses et des appareils de pointe.

Le dispositif mis en place au Campus Biotech complètera l'actuelle consultation de santé cérébrale et mentale des HUG. Il permettra notamment l'accueil de personnes souffrant d'épilepsie, de dépression, de troubles du sommeil. Des gens ayant été victime d'un AVC ou d'un traumatisme crânien.

Le pôle devrait être pleinement opérationnel dès 2028. Il recevra, alors, environ un millier de patients par année.

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Environnement

Vin: le Bordelais connaît sa plus faible récolte depuis 1991

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Le Bordelais s'inquiète du risque de surtaxes douanières aux Etats-Unis, son premier marché à l'export en termes de valeur en 2024 (archives). (© KEYSTONE/AP/ERIC RISBERG)

Le vignoble de Bordeaux, premier vignoble AOC de France, a connu en 2024 sa plus faible récolte depuis 1991.

Ce, en raison de l'arrachage subventionné de parcelles et de faibles rendements liés aux conditions météorologiques, a-t-on appris vendredi auprès de l'interprofession.

Selon les chiffres publiés par l'administration des douanes, les vignerons bordelais ont produit 3,3 millions d'hectolitres l'an dernier, contre 3,8 millions en 2023, soit une chute de 14% de la production.

Cette forte baisse s'explique notamment par le rétrécissement de 103'000 à 95'000 hectares du vignoble, via deux plans d'arrachage successifs qui ont ramené la surface cultivée à son plus faible niveau depuis 1985, loin des 125'000 hectares cultivés au début des années 2000.

Il y a eu aussi l'impact du gel, du mildiou, un champignon ravageur causé par les précipitations abondantes du printemps, ou encore de la coulure, maladie qui entrave la fécondation des fleurs apparue avec les pluies de juin. Ces conditions ont affecté le rendement des vignes, à 35,1 hectolitres à l'hectare contre 37,2 en 2023.

Le Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) espère toutefois que cette petite récolte remédie en partie à la surproduction qui a frappé le Bordelais ces dernières années, en permettant de vider les chais et de faire remonter le prix du vin en vrac.

"Ça devrait arithmétiquement arriver dans les mois ou dans les années qui arrivent", estime Christophe Chateau, directeur de la communication du CIVB.

"L'année dernière, on a commercialisé 3,5 millions d'hectolitres et on en a produit 3,3 millions. Donc, si l'on vend plus que ce qu'on produit, ça veut dire qu'on est dimensionné pour répondre (à la demande), voire qu'on va puiser dans nos stocks et donc arithmétiquement les prix vont remonter", explique-t-il à l'AFP.

Reste une interrogation autour du marché américain, premier marché à l'export en valeur pour le Bordelais (340 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2024) face au risque de surtaxes douanières qui pèse sur le secteur viticole depuis le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

"Il y a un sujet qu'on ne connaît pas, c'est comment va se passer la commercialisation", dit Christophe Chateau. "Si Trump met une taxe de 25% sur les vins français aux Etats-Unis, les ventes là-bas vont baisser et donc le déséquilibre va perdurer."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Les "puffs" interdites en France

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DR Radio Lac

Stop aux cigarettes électroniques jetables: le Parlement français a approuvé jeudi l'interdiction des "puffs", ces dispositifs en vogue notamment chez les jeunes qui sont friands de leur prix modique et leurs arômes diversifiés.

Parfum menthe, glace à la fraise, pastèque ou chocolat; "packaging" attrayant; coût abordable mais risque avéré de dépendance... Les "dispositifs de vapotage à usage unique", plus communément appelés "puffs", vont bientôt disparaître des lycées, collèges et rues.

Après une Assemblée nationale unanime la semaine dernière, le Sénat a approuvé l'interdiction par un vote à main levé, point d'orgue d'un parcours de plus de deux ans au Parlement. Le rapporteur Khalifé Khalifé (LR) a dénoncé un "marché qui cible sans vergogne les jeunes enfants avec un marketing décomplexé".

Un pas vers la génération sans tabac

"C'est une étape supplémentaire vers cette génération débarrassée du tabac (...) Et c'est un ministre à la santé cardiaque précaire qui vous le dit", a salué pour le gouvernement le ministre des Relations avec le Parlement Patrick Mignola, voyant également dans ces cigarettes électroniques jetables "un véritable fléau environnemental".

La France est donc en passe de devenir le deuxième pays européen, après la Belgique, à interdire leur commercialisation sur son territoire, une dynamique également suivie par le Royaume-Uni qui a annoncé leur interdiction à la vente d'ici juin.

"C'est une grande victoire dans un double combat que nous menions: le combat écologique contre les batteries polluantes en lithium de ces 'puffs', et le combat sanitaire pour nos collégiens ciblés par cette consommation qui devient de plus en plus dangereuse", se satisfait Francesca Pasquini (Génération.s).

Saluant une "avancée majeure", la Ligue contre le cancer a appelé dans un communiqué à "aller plus loin en interdisant les nouveaux produits et dérivés de la nicotine".

"Contournements"

Dans le détail, le texte interdit la vente et la distribution en France des dispositifs "pré-remplis avec un liquide et ne pouvant être remplis à nouveau, qu'ils disposent ou non d'une batterie rechargeable".

Tout en saluant une "décision importante sur le plan de la santé publique et de l'environnement", le Comité national contre le tabagisme (CNCT) s'inquiète de "contournements déjà anticipés par les fabricants qui continuent à mettre sur le marché des cigarettes électroniques ciblant les jeunes par la multiplicité de leurs arômes et qui demeurent jetables à l'issue d'un nombre très limité de recharge".

Francesca Pasquini se dit convaincue que l'exemple français, basé sur un accord transpartisan au Parlement, pourra inspirer nombre de voisins.

En France, 15% des adolescents âgés de 13 à 16 ans ont déjà consommé ces "puffs" et, parmi eux, 47% déclarent avoir commencé leur initiation à la nicotine par ce biais, selon une enquête BVA pour Alliance contre le tabac en 2023.

Les parlementaires engagés dans cette loi ont également appelé le gouvernement à tenir ses engagements sur l'interdiction prochaine d'un autre produit, les "pouches", ces sachets de nicotine à usage oral.

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Santé

Nestlé voit ses ventes et ses bénéfices reculer en 2024

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Nestlé compte sur son programme d'économies de 2,5 milliards de francs d'ici à fin 2027 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Nestlé affiche des revenus et une rentabilité en baisse l'an dernier, plombé par la faiblesse de la conjoncture et de la demande du consommateur. Le groupe veveysan n'en relève pas moins son dividende et maintient ses objectifs pour l'année en cours.

Le chiffre d'affaires a baissé de 1,8% en glissement annuel à 91,35 milliards de francs, annonce la multinationale jeudi dans un communiqué. La croissance organique s'est inscrite à 2,2%, tandis que la croissance interne réelle (RIG), autrement dit le volume des ventes, s'est élevée à 0,8%, alors qu'elle était négative un an plus tôt (-0,3%).

Le café a une nouvelle fois été un vecteur majeur de la croissance, qui s'est accélérée au deuxième semestre, passant de 0,1% à 1,4%. Les confiseries et les produits pour animaux de compagnie y ont également contribué. Par région, elle a été portée par les marchés émergents et l'Europe.

Le résultat opérationnel courant récurrent a reculé de 2,2% à 15,70 milliards de francs et la marge afférente atteint 17,2% contre 17,3% précédemment. Le bénéfice net s'est contracté de 2,9% à 10,88 milliards.

Ces résultats reflètent sensiblement les attentes du consensus. Les analystes sondés par AWP anticipaient des recettes de 91 milliards de francs, un résultat d'exploitation ajusté de 15,5 milliards et une marge afférente de 17%. La croissance organique était attendue à 2,1% et la RIG à 0,7%.

Le flux de trésorerie libre s'est amélioré de 2,5% à 10,67 milliards. Les actionnaires se verront proposer à l'assemblée générale du 16 avril un dividende relevé à 3,05 francs par action, contre 3,00 francs un an plus tôt.

Economies de 300 millions

Au chapitre tant attendu des perspectives, Nestlé escompte pour 2025 une croissance organique des ventes améliorée, indique la direction sans préciser de chiffre, tandis que la marge opérationnelle sous-jacente devrait atteindre 16%.

"Nous disposons d'une feuille de route claire pour accélérer la performance et nous préparer pour l'avenir", assure Laurent Freixe, aux commandes du groupe depuis septembre. Nestlé compte notamment sur son programme d'économies de 2,5 milliards de francs d'ici à fin 2027 annoncé en novembre et qui a déjà permis de réduire les coûts de 300 millions. Les économies devraient totaliser 700 millions cette année, puis 1,4 milliard en 2026.

En parallèle, la multinationale prévoit d'investir dans la publicité et le marketing, à hauteur de 9% du chiffre d'affaires d'ici à la fin de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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