La Tribune de Genève et Le Temps ont révélé mercredi que la vice-présidente du conseil d'administration des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) est l'épouse d'un haut cadre de l'Office cantonal de la santé. Un risque de conflit d'intérêts existe.
Le Conseil d'Etat genevois n'était pas informé de ce lien lorsqu'il a nommé l'administratrice, a indiqué mercredi devant les médias la présidente du gouvernement, Nathalie Fontanet. L'examen de la situation doit se faire en amont par le département concerné. Dans le cas présent, il s'agit du Département de la santé et des mobilités (DSM).
Lors d'une nomination, les liens d'intérêts d'une personne ne sont pas connus de l'exécutif. Ils sont transmis après coup à la Chancellerie par la personne nommée afin de pouvoir les rendre publics si une demande est faite, a expliqué en substance la conseillère d'Etat.
Le cas des HUG a été discuté par le gouvernement, une fois connu le lien entre la vice-présidente du conseil d'administration et le haut fonctionnaire, a précisé Mme Fontanet. L'exécutif a été rassuré par les garanties données par le conseiller d'Etat Pierre Maudet, en charge du DSM, sur la recherche d'une solution.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jm
27 juin 2024 à 23 h 29 min
Les consommateurs de crack ne sont pas systématiquement des personnes sans emploi etc. Pour ma part, mon proche avait un poste à responsabilité et gagnait plus de 7500.- par mois, un travail, une femme, des enfants. Il est tombé dedans et je n'ai rien vu venir. Ca peut être un banquier qui prend de temps en temps de la coke puis ne gère plus du tout ses consommations... il perd pied, il perd tout petit à petit et forcément il se retourne vers le crack qui est moins cher.
Ca peut arriver à n'importe qui ! Classe aisée classe moyenne ou pauvres....
Protégeons les jeunes en faisant un max de prévention. Car les dealers attendent leurs nouveaux clients déjà fortement alcoolisés aux sorties de boîte de nuit... une prise une taff et la vie bascule ! Et dans tout ça c'est bien triste de ne jamais prendre en compte la famille qui sont les victimes collatérales.... femme enfants abandonnés...
Je ne souhaite ça à personne vraiment. Cette descente aux enfers... devoir mettre à la porte le père de ses enfants qui a été complètement transformé par le produit... et ça date de 2017...... messieurs dames vous êtes en retard....
Aucun professionnel formé et capable de nous aider.... et que soit disant ça n'existait pas à Genève..... pas tousbles consommateurs passent par le quai 9.... bcp sont invisibles mais bien présent.. . Que fait la prison pour maintenir le sevrage et le travail de reinsertion ? Le serpent qui se mord la queue et ça coûte cher à la société !
Quid des familles abandonnées qui perdent tout ?
Attention aux jeunes car ça se fume et donc assez banal...