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Santé

DSM-Firmenich confie sa production d'extraits de levures à Lesaffre

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L'union l'an dernier du chimiste satignote Firmenich et de son homologue néerlandais DMS a donné lieu à un réexamen du portefeuille du nouveau groupe argovien ainsi formé. (archive) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le géant argovien des arômes et parfums DSM-Firmenich cède au spécialiste français de la fermentation Lesaffre ses activités dans le domaine des extraits de levures, jusqu'ici intégrées au sein de l'unité Goût, texture et santé.

Conditionnée à l'approbation des autorités compétentes, l'opération doit être bouclée avant la fin de l'année.

La transaction, pour un montant maintenu sous le sceau de la confidentialité, s'inscrit dans le cadre d'un programme de désinvestissement subséquent de la fusion l'an dernier entre le genevois Firmenich et le néerlandais DSM. Un nombre non quantifié d'employés de DSM-Firmenich passera sous la bannière de Lesaffre.

Le site de production d'extraits de levures de DSM-Firmenich à Delft, au nord de Rotterdam, continuera à fournir Lesaffre jusqu'à fin 2025, avant d'être démantelé. Le groupe hexagonal a convenu d'assurer une alimentation continue tant de l'unité Saveurs de DSM-Firmenich que des clients actuels du site de Delft.

Le contrat prévoit aussi un partenariat technologique pour le développement de nouveaux produits,

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Bayer plombé par l'agrochimie au 3e trimestre

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Le chimiste allemand Bayer a engagé en 2023 une vaste restructuration, visant notamment à réduire les postes d'encadrement pour réaliser 2 milliards d'économies annuelles à partir de 2026. (archives) (© KEYSTONE/DPA/THOMAS BANNEYER)

Le géant allemand de l'agrochimie et de la pharmacie Bayer est resté dans le rouge au troisième trimestre avec une perte nette de 4,18 milliards d'euros, plombé par d'importantes dépréciations au sein de sa division agrochimie, a-t-il indiqué mardi.

Le groupe de Leverkusen a souffert d'une dépréciation nette de 4,09 milliards d'euros (3,8 milliards de francs) dans l'agrochimie, "principalement liée à des pertes de valeurs sur des actifs incorporels" de cette division, selon un communiqué.

Entre juin et septembre, les ventes du groupe ont légèrement augmenté de 0,6%, à 9,97 milliards d'euros mais ont souffert des "difficultés sur le marché agricole".

Le chiffre d'affaires recule de 3,6% dans l'agrochimie, à 3,99 milliards, particulièrement à cause des baisses de vente de produits à base de glyphosate (-19,1%), accusés de provoquer le cancer et source de nombreux procès contre Bayer.

En revanche, la division des médicaments sur ordonnance a progressé de 2,3% à 4,51 milliards d'euros, toujours porté par ses médicaments phares Nubeqa et Kerendia.

Les ventes de produits de soins personnels ont grimpé de 5,7%, pour s'établir à 1,41 milliard d'euros, notamment grâce au dynamisme de la cardiologie et la dermatologie.

Bayer avait accusé une perte nette de 34 millions d'euros au deuxième trimestre 2024 après être resté dans le vert pendant deux trimestres.

Pour 2024, le géant allemand a confirmé ses prévisions de ventes mais a revu à la baisse plusieurs objectifs "compte tenu de l'évolution plus faible que prévue du marché agricole".

Pression sur les prix

Le groupe s'attend désormais à générer un bénéfice avant intérêts et impôts, dépréciations et amortissements et éléments spéciaux (Ebitda) compris entre 10,4 et 10,7 milliards d'euros, au lieu de précédentes estimations entre 10,7 et 11,3 milliards d'euros.

Dans le détail, la marge opérationnelle de la division agrochimie a été rabotée à un intervalle de 18 à 20%, contre 20 à 22% précédemment.

En 2025, "les défis réglementaires supplémentaires et les pressions sur les prix de nos produits génériques devraient peser sur nos activités de protection des cultures", prévient le groupe dans le communiqué.

Le chimiste a engagé en 2023 une vaste restructuration visant notamment à réduire les postes d'encadrement pour réaliser 2 milliards d'économies annuelles à partir de 2026.

Dans ce but, il a supprimé 3200 postes au premier semestre 2024 et devrait en supprimer à peu près autant d'ici la fin de l'année.

D'ici 2026, l'entreprise veut aussi "juguler significativement la menace des procès liés au glyphosate", assurait en septembre Matthias Berninger, directeur des affaires publiques de Bayer, au journal Rheinischen Post.

Le groupe reste empêtré dans des milliers de procédures judiciaires aux Etats-Unis à cause du Roundup, herbicide phare de Monsanto racheté par l'Allemand en 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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la journée finit bien

Une conférence pour comprendre l'impact de l'IA en pédiatrie

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Gustavo Fring via Pexels

La révolution numérique continue de bouleverser le monde de la médecine, y compris la pédiatrie. Une conférence essentielle pour les parents, les professionnels de santé et le grand public se tiendra demain mardi 12 novembre à 18h à la Maison de l’enfance et de l’Adolescence et sera diffusée en ligne. Elle explorera les nouvelles avancées de l’intelligence artificielle (IA) dans le diagnostic pédiatrique. L'un des intervenants, le Pr Alain Gervais, était mon invité, en deux parties.

 

Le professeur Alain Gervais, médecin-chef du service d’accueil et d’urgence pédiatrique et chef de département de la femme, de l’enfant et de l’adolescent aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), souligne l’impact croissant de l’IA en médecine. « La quantité de données médicales double tous les 73 jours, et il devient impossible pour un cerveau humain de tout assimiler. Grâce à sa puissance computationnelle, l’IA permet de traiter une quantité d’informations que même un expert ne pourrait gérer seul », explique le professeur.

Loin de remplacer les médecins, l’IA agit comme une assistance, surtout dans des domaines comme la radiologie et la pathologie, où elle est capable de repérer des fractures ou d’analyser des échantillons avec une précision accrue. En pédiatrie, bien que l’IA soit encore en phase de recherche, les avancées sont prometteuses. Selon le professeur Gervais, « nous sommes particulièrement intéressés par les applications de l’IA dans l’analyse des sons pulmonaires et respiratoires pour affiner les diagnostics pédiatriques ».

Un impact sur le quotidien des familles

Un des aspects de cette technologie est son potentiel de décentralisation des soins, offrant aux parents et aux professionnels de proximité, comme les infirmières et pharmaciens, des outils pour mieux diagnostiquer. « Imaginez qu’une infirmière ou un pharmacien soit équipé d’un dispositif d’IA capable d’analyser des symptômes comme l’asthme chez l’enfant. Cela pourrait éviter bien des déplacements aux urgences », avance le professeur. Il souligne également que, même si l’IA peut aider, elle ne remplace pas l’intervention humaine, mais l’enrichit et l’étaye.

Cependant, la mise en place de l’IA en médecine soulève des questions de sécurité et de régulation. Contrairement aux médicaments, l’IA ne fait pas encore l’objet de processus d’approbation aussi stricts, mais une réglementation se met progressivement en place. « Avant que tout nouvel appareil ou logiciel puisse être utilisé en milieu hospitalier, il doit prouver son efficacité, sa sécurité et sa pertinence clinique », rappelle le professeur Gervais.

Sur place ou en ligne

Mardi 12 novembre, aux côtés du professeur Gervais, le professeur Christian Lovis, médecin-chef du service des sciences de l’information médicale aux HUG, apportera également son expertise. Que vous soyez parents, professionnels de santé ou simplement curieux des avancées technologiques, cette conférence promet d’offrir un aperçu de ce que pourrait être la médecine de demain. Pour en savoir plus, rendez-vous à la Maison de l'Enfance et de l'Adolescence ou connectez-vous via ce lien et participez aux échanges sur l’avenir du diagnostic pédiatrique à l’ère de l’intelligence artificielle.

Avec IA

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Santé

Fort de Chillon: un concours pour les 150 ans du général Guisan

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La forteresse est cachée en face du Château de Chillon, de l'autre côté de la route (photo d'illustration) (© KEYSTONE/MAXIME SCHMID)

Le Fort de Chillon à Veytaux (VD) invite les écoles suisses à participer à un concours pour célébrer les 150 ans de la naissance du général Guisan. Il souhaite ainsi encourager les élèves "à explorer la vie, les choix militaires et les décisions stratégiques" du commandant de l'armée suisse durant la Seconde Guerre mondiale.

Les classes sont invitées à transmettre leurs créations sous forme de présentations, peintures, sculptures, chansons, poèmes ou vidéos. Les oeuvres retenues seront présentées dans une exposition temporaire au Fort de Chillon au printemps 2025, sous réserve de participation suffisante.

Un jury évaluera les projets et les trois meilleures classes seront récompensées par une sortie scolaire au Fort de Chillon, indique celui-ci lundi dans un communiqué.

La forteresse, cachée en face du château de Chillon, "témoigne du plan de défense du général Guisan visant à protéger la Suisse des menaces extérieures" durant la guerre. Les visiteurs du musée y découvrent des documents, cartes et témoignages illustrant "le courage et le leadership de ce personnage-clé de l'histoire suisse", poursuit le communiqué.

Pour guider les enseignants, le Fort de Chillon propose un dossier pédagogique complet sur les forteresses du Réduit national, abordant leur rôle et leurs conditions de vie pendant les périodes de conflits.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Ecoquartier lausannois: fouilles archéologiques aux Prés-de-Vidy

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Des investigations préliminaires l'an dernier dans le secteur du futur écoquartier des Près-de-Vidy, au sud-ouest de Lausanneavaient, ont révélé la présence d'une nécropole romaine comportant plusieurs milliers de sépultures et de traces d'occupation datant de l'époque mésolithique. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Ville de Lausanne a organisé samedi une journée portes ouvertes sur le site des Près-de-Vidy, au sud-ouest de la capitale vaudoise, pour faire le point sur le futur écoquartier du projet Métamorphose. C'était aussi l'occasion de montrer au public les fouilles archéologiques effectuées actuellement et pour quatre ans, après la découverte d'une nécropole romaine dans ce secteur.

Ces fouilles, nécessaires avant le lancement des travaux de l'écoquartier, ont démarré en septembre dernier, indique la Municipalité dans un communiqué. Des investigations préliminaires l'an dernier avaient, en effet, révélé la présence d'une nécropole romaine comportant plusieurs milliers de sépultures et de traces d'occupation datant de l'époque mésolithique.

Leur analyse offrira des informations très attendues notamment en matière de rites et croyances funéraires, d'organisation sociale et de mode de vie des premiers occupants des lieux, explique la Ville. Ces démarches sont conduites sous l'autorité scientifique de l'archéologie cantonale. Les découvertes les plus significatives devraient à terme être exposées au Musée romain de Lausanne-Vidy.

"Ces fouilles archéologiques sont non seulement indispensables pour la transformation de ce site stratégique mais également très attendues pour renseigner des pans entiers de notre histoire", commente le syndic Grégoire Junod, cité dans le communiqué.

Maison d'information

Pour proposer un lieu de rencontres dans ce quartier du sud-ouest de la ville, tout au long des chantiers et à proximité des fouilles, une maison du projet Métamorphose a été aménagée. Elle a aussi été pensée comme un lieu d'information lors des futurs évènements liés au projet urbain des Prés-de-Vidy.

Situé sur deux sites de part et d'autre de l'avenue du Chablais, cet écoquartier accueillera quelque 2000 habitants et 1500 emplois à l'horizon 2029 (premiers logements) - 2032 (fin des chantiers). Réalisé en étroite relation avec le développement urbain de l'ouest du quartier de la Bourdonnette, ce quartier durable se situe à un emplacement stratégique du territoire lausannois.

"Véritable porte d'entrée de la ville, il est au c½ur de l'agglomération. Il doit jouer un rôle de transition entre le secteur des hautes écoles et les quartiers voisins", souligne la Municipalité.

Un quartier, deux secteurs

Le premier secteur de l'écoquartier, nommé "Les Jardins de Vidy", se trouve sur le site de l'établissement horticole de la Ville de Lausanne. Symbole identitaire du quartier, cet établissement est maintenu au c½ur du quartier, sous une forme concentrée, permettant de poursuivre les activités horticoles tout en laissant place aux nouveaux bâtiments. Des travaux d'optimisation du lieu sont prévus prochainement. Les chantiers seront lancés ensuite, dès 2026.

Le second secteur, nommé "Vidy La Romaine", se situe au sud de l'avenue du Chablais, sur le site archéologique. Le lancement des chantiers des futurs bâtiments est prévu dès 2028, au terme des quatre ans de travaux de fouilles archéologiques.

Le coût de ces fouilles et des travaux préparatoires est devisé à 34,9 millions de francs (dont une partie, entre 12 et 19 millions de francs, sera financée par le Canton). A terme, Lausanne possèdera donc deux écoquartiers: celui des Prés-de-Vidy et celui, plus vaste, des Plaines-du-Loup, dans les hauts de la ville, où, dans une première étape, environ 2000 habitants se sont déjà installés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les cloches de Notre-Dame de Paris donnent à nouveau de la voix

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Peu avant 10h30, les cloches se sont élancées une à une, actionnées par des moteurs, jusqu'à former un ballet harmonieux, selon des journalistes de l'AFP sur place. Cinq minutes bouleversantes pour ceux qui y ont assisté. (© KEYSTONE/AP/AURELIEN MORISSARD)

A moins d'un mois de la réouverture de Notre-Dame de Paris, les huit cloches du beffroi nord ont retenti pour la première fois depuis l'incendie d'avril 2019. Leur remise en fonction marque un pas de plus vers la résurrection de la cathédrale.

Peu avant 10h30, les cloches se sont élancées une à une, actionnées par des moteurs, jusqu'à former un ballet harmonieux, selon des journalistes de l'AFP sur place. Cinq minutes bouleversantes pour ceux qui y ont assisté.

"On a tous ressenti une émotion intense, c'est une voix qui s'étend, qui rapproche. On est le 8 novembre et Notre-Dame nous dit 'je suis là, je vous attends'", a déclaré à l'AFP le père Guillaume Normand, vice-recteur de la cathédrale.

Les huit cloches n'avaient plus retenti dans le ciel de Paris depuis le 15 avril 2019, date de l'incendie qui a ravagé la cathédrale, chef d'oeuvre de l'art gothique bâti il y plus de 850 ans.

"Premier essai concluant"

"C'est une belle étape, importante, symbolique", a salué Philippe Jost, responsable de la restauration de Notre-Dame de Paris. Car "toutes les cloches ensemble, c'est la première fois".

"Tout n'est encore parfait. On va régler ça à la perfection mais ce premier essai est concluant", a déclaré, ému, Alexandre Gougeon, de l'entreprise Gougeon, chef de projet de la repose des cloches pour le groupement ATC, saluant "un bel aboutissement".

Ce signal sonore marque une étape supplémentaire dans la résurrection de l'une des plus grandes cathédrales d'Occident, inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, et un des monuments les plus visités d'Europe.

De 800 kg à 4 tonnes

Lors de l'incendie, les flammes avaient atteint une partie du beffroi nord de l'édifice, qui a dû être restauré. Pour ce faire, les huit cloches de cette tour ont été déposées avec soin, nettoyées de la poussière de plomb et restaurées, la plupart en Normandie, avant de regagner leur écrin initial.

De "Gabriel", et ses plus de quatre tonnes, à la plus petite "Jean-Marie" (800 kg environ), baptisée en hommage au cardinal Jean-Marie Lustiger, archevêque de Paris de 1981 à 2005, ces huit cloches ont fait leur retour à Notre-Dame mi-septembre lors d'une cérémonie en petit comité et ont été bénies à l'occasion.

250 entreprises, 700 millions d'euros

A un mois de sa réouverture, Notre-Dame de Paris a retrouvé sa silhouette familière et s'apprête à recevoir ses premiers visiteurs le 7 décembre, avant une messe le lendemain.

Le chantier aura mobilisé 250 entreprises, des centaines d'artisans et coûté près de 700 millions d'euros, financés par 846 millions d'euros de dons.

Les contours de la cérémonie du 7 décembre restent toutefois flous, mais "il y aura de très bons artistes, de très grands artistes de renommée internationale, c'est ce que mérite la cathédrale", a déclaré vendredi Philippe Jost sur RTL, levant le voile sur un secret bien gardé.

Des articles de presse ont évoqué la présence de l'ex-Beatles, Paul McCartney, une éventualité encore jamais confirmée.

Défi relevé

Seule certitude à ce stade: le président Emmanuel Macron prendra la parole "dans la cathédrale". "Si on sera le 7 décembre devant Notre-Dame de Paris rouverte, c'est parce qu'il a lancé ce défi de (reconstruction en) 5 ans", a souligné M. Jost.

Notre-Dame accueillait 12 millions de visiteurs en 2017. Le diocèse et l'établissement public s'attendent à en recevoir "14 à 15 millions" après la réouverture, ce qui s'accompagnera d'une nouvelle signalétique, d'un plan de circulation repensé et d'un système de réservation en ligne.

Lorsqu'ils entreront dans la cathédrale, fidèles et visiteurs découvriront un axe central épuré, un tout nouveau mobilier liturgique minimaliste en bronze brun, un mur-reliquaire contemporain en bois de cèdre et pavés de verre formant une auréole et abritant la couronne d'épines du Christ, et une cathédrale lumineuse.

Les murs encrassés par l'incendie et le temps ont retrouvé la blondeur de leurs pierres. Contempler la cathédrale rénovée est "un émerveillement", a assuré M. Jost.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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