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Santé

La santé et la nutrition font les affaires de DSM-Firmenich

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Environ la moitié des produits vendus par Firmenich est exemptée de droits de douane, a fait savoir son patron, Dimitri de Vreeze. (archive) (© )

Le spécialiste des arômes, parfums et ingrédients DSM-Firmenich a connu des résultats semestriels en hausse, ses secteurs de nutrition animale, dont il entend se séparer, et humaine ayant bénéficié d'un environnement favorable malgré les aléas macroéconomiques.

De janvier à juin, les recettes de l'entreprise affichent une progression de 3% à 6,51 milliards d'euros (6,05 milliards de francs), selon un communiqué publié jeudi. La croissance organique atteint 7%.

Le résultat brut d'exploitation (Ebitda) ajusté a lui bondi de 29% à 1,26 milliard, après 976 millions à la même période un an plus tôt et la marge afférente se monte à 19,4%, contre 15,5% auparavant. Le bénéfice net a pour sa part enflé de moitié à 537 millions d'euros.

"Nos trois secteurs d'activités ont connu des vents favorables. La population est de plus en plus soucieuse de sa santé et de bien vieillir, ce qui a profité à nos activités dans les domaines de la santé, de la nutrition et des soins. (...) Enfin, dans le domaine de la beauté, la parfumerie a connu de très bon résultats car les consommateurs veulent profiter de la vie", a expliqué à l'agence AWP le directeur général de DSM-Firmenich, Dimitri de Vreeze.

Les ventes de l'activité Santé, Nutrition et Soins ont toutefois reculé de 2%, celles de la division Parfumerie & Beauté se sont repliées de 2%, alors que celles du secteur Goût, Texture et Santé ont gagné 3%.

Marché américain hésitant

La société entend se séparer de son unité Nutrition animale et Santé, dont les ventes ont pourtant connu la plus forte hausse de 14% en glissement annuel, processus "qui avance", s'est réjoui M. de Vreeze. En juin dernier, DSM-Firmenich a finalisé la cession de sa participation dans Feed Enzymes Alliance à son partenaire à parts égales Novonesis, actif dans les biosolutions.

Sa stratégie de restructuration débutée il y a deux ans, est "satisfaisante", selon le CEO qui a précisé que le groupe se trouvait dans la phase "d'accélération" de sa mise en place sans vouloir donner d'échéance. "Nous allons désormais développer notre portefeuille, axé sur la nutrition, la santé et la beauté", a-t-il dit en ajoutant qu'aucune acquisition n'était de ce fait prévue dans les prochaines années afin de consolider "la maison".

Autre volet de la stratégie adoptée, l'entreprise s'est lancée dans un programme de restructuration du secteur des vitamines afin de réduire les coûts et de rétablir la rentabilité. Cet objectif doit être achevé en 2025 "avec une contribution d'environ 100 millions d'euros à l'Ebitda ajusté", selon le patron du groupe argovien qui détaille que les vitamines doivent devenir une "catégorie limitée, représentant 7-8% des ventes contre 17% aujourd'hui".

Pour l'ensemble de l'année, les prévisions de la direction demeurent inchangées avec un Ebitda ajusté annuel d'environ 2,4 milliards d'euros, "reflétant les effets volatils des taux de change". M.de Vreeze reconnaît que sur le marché américain, celui qui se montre plus hésitant en ce moment, la menace des droits de douane créée de "l'instabilité". "L'agilité est absolument essentielle (...) Je pense qu'au final nous pourrons répercuter cela sur les prix mais il ne faut pas oublier qu'environ la moitié de nos produits est exemptée de droits de douane. Nous avons donc une longueur d'avance à cet égard".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Boeuf, café, bananes: Trump retire une partie des droits de douane

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Le prix du boeuf atteint des records aux Etats-Unis depuis l'introduction des droits de douane (archives). (© KEYSTONE/AP/NAM Y. HUH)

Le président américain Donald Trump, sous pression pour faire baisser le coût de la vie pour les Américains, a signé vendredi un décret pour annuler des droits de douane qu'il a lui-même imposés. Il a exempté des denrées comme le café et les fruits exotiques.

"J'ai déterminé que certains produits agricoles ne devaient pas être soumis aux droits de douane réciproques" mis en place en avril, explique le président américain dans le décret publié sur le site de la Maison-Blanche.

Dans la liste, figurent des produits que les Etats-Unis ne cultivent pas, ou alors en trop faible quantité par rapport aux besoins: café, thé, avocats, tomates, mangues, bananes, épices, pignons de pin. Il y a aussi des pièces de boeuf, alors que le prix de cette viande a atteint des records dans le pays.

En avril, Donald Trump a mis en place des droits de douane dits "réciproques" d'au moins 10% sur la plupart des produits entrant aux Etats-Unis au nom de la réduction du déficit commercial du pays et du soutien à la production locale. Ces taxes recouvraient jusqu'aux denrées ne pouvant pousser sur le sol américain, un élément qui a régulièrement été raillé par l'opposition.

Hausses constantes des prix

Même si ces droits de douane ont eu un impact moins fort que redouté sur les prix payés par les consommateurs, la facture n'est pas neutre pour des Américains essorés par la très forte inflation post-Covid-19.

Les prix augmentent moins vite désormais, mais ils augmentent toujours et les consommateurs sont frappés par le coût de certaines denrées courantes comme le café (+19% sur un an en septembre).

Réélu en assurant qu'il améliorerait le pouvoir d'achat des Américains, Donald Trump ne cesse de répéter que l'économie est florissante et l'inflation quasiment maîtrisée. Les chiffres officiels rapportent toutefois un ralentissement de l'activité et une accélération de l'inflation (à +3% en septembre contre +2,3% en avril, selon l'indice CPI).

Elections de mi-mandat

Son propre camp le pousse à réagir après un cinglant revers à des scrutins locaux et alors que les élections de mi-mandat sont dans un an.

La Maison-Blanche a tenu à souligner cette semaine les mesures prises pour faire baisser les prix des produits de première nécessité comme l'essence et les oeufs, ainsi que l'annonce d'un accord visant à réduire les prix de certains médicaments pour maigrir.

Donald Trump a aussi récemment proposé de permettre de contracter des prêts immobiliers sur 50 ans, au lieu de la durée maximale actuelle de 30 ans, afin de réduire les échéances dues chaque mois, même si cela implique d'augmenter significativement les taux d'intérêt payés aux banques.

Il a également suggéré de verser 2000 dollars à chaque Américain, financés par les recettes des droits de douane qu'il est pourtant en train de raboter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

Découverte d'une villa de la fin de l'époque romaine à Bex

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Les fouilles ont permis de dégager de nombreux murs dessinant le plan de plusieurs bâtiments ordonnés autour d'une cour. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les vestiges d'une villa de la fin de l'époque romaine ont été découvertes à Bex (VD) lors de fouilles archéologiques sur le chantier d'un EMS. Ce site de l'Antiquité tardive révèle plusieurs bâtiments d'habitation et d'artisanat organisé autour d'une cour centrale.

La commune de Bex et la Direction de l'archéologie cantonale ont présenté vendredi lors d'une journée portes ouvertes les premiers résultats des fouilles toujours en cours à l'emplacement du futur établissement médico-social de La Résidence Grande-Fontaine. "Les vestiges remarquablement conservés de la villa romaine représentent un site inédit et d'une valeur scientifique majeure pour le Chablais vaudois", écrit le canton dans un communiqué.

"Cette découverte enrichit l'histoire de toute la population vaudoise. Elle éclaire la vie de celles et ceux qui ont habité ce territoire bien avant nous et rappelle combien notre patrimoine commun est une ressource précieuse à partager", a déclaré la conseillère d'Etat Isabelle Moret, en charge du patrimoine, citée dans le communiqué.

Fouilles depuis juillet

Restés inconnus jusqu'à ce jour, ces vestiges ont été détectés grâce à l'application de l'article 41 de la loi sur la protection du patrimoine culturel immobilier. Cette loi impose une vérification archéologique préalable pour tout projet de construction affectant une surface supérieure à 5000 m2. Prescrite par la Direction de l'archéologie, la fouille a été entreprise en juillet 2025 et se poursuivra encore jusqu'en décembre.

Elle s'étend sur près de 6800 m2 et fait suite à la découverte de structures antiques lors des sondages préliminaires réalisés en 2024. Les investigations sont menées par le bureau Archeodunum Investigations Archéologiques SA.

Récipients, monnaies, outils et bracelets

Les fouilles ont permis de dégager de nombreux murs dessinant le plan de plusieurs bâtiments ordonnés autour d'une cour, explique le Canton. L'organisation de ces constructions, leur orientation et la qualité des maçonneries indiquent qu'il s'agit "très probablement" d'une villa de la fin de l'époque romaine, centre d'un domaine rural.

Au sud, la présence de foyers et de fours, à l'intérieur comme à l'extérieur de vastes pièces, témoigne d'une activité artisanale et peut-être d'un usage de stockage. A l'opposé, les salles plus petites, dotées de sols en mortier et de murs soigneusement appareillés, traduisent un espace résidentiel sans doute réservé aux occupants principaux du domaine.

Parmi les nombreux éléments figurent des tessons de céramique, des récipients en pierre ollaire, des monnaies, des outils en métal et des ossements d'animaux. On y trouve aussi des objets rares et raffinés, tels que des fragments de statuettes, perles, bracelets, fibules et un peigne en os.

Affiner encore la datation

"L'étude détaillée de ces découvertes, prévue pour 2026, permettra d'affiner la datation du lieu, de mieux comprendre la vocation des espaces et, peut-être, le statut social de ses habitants", explique le Canton. "Les indices recueillis jusqu'ici suggèrent une occupation remontant au Bas-Empire romain, entre la fin du IIIe et le Ve siècle après J.-C."

Si cette datation est confirmée, le site de Bex constituera une "découverte majeure", selon les autorités vaudoises. "Les villae créées à une époque aussi tardive sont rares. Aucune fouille d'ampleur comparable n'avait, jusqu'ici, révélé dans le canton de Vaud autant de vestiges de cette période, et dans un état de conservation aussi remarquable".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Vente record à Genève d'une broche de Napoléon

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La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une broche ornée de diamants ayant appartenu à Napoléon Bonaparte et récupérée par l'armée prussienne à Waterloo a été vendue mercredi au prix record de 3,79 millions d'euros à Genève, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

Le prix de vente de ce bijou historique, l'une des pièces les plus en vue de cette semaine du luxe sur les bords du Léman, a très largement dépassé les attentes de Sotheby's, qui l'avait estimé entre 130'000 et 220'0 euros.

La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo (près de Bruxelles, dans l'actuelle Belgique) face aux soldats britanniques et prussiens à l'issue de la célèbre bataille qui scella sa chute.

Le bijou circulaire, d'environ 45 mm de diamètre, présente en son centre un grand diamant ovale de 13,04 carats, entouré de près d'une centaine de diamants anciens taillés à la mine, de formes et de tailles variées, disposés sur deux rangées concentriques.

Pour orner le bicorne

Cette pièce unique fut créée pour Napoléon vers 1810, "probablement pour orner son bicorne lors d'occasions spéciales", précise la maison de vente. Elle fut ensuite offerte parmi d'autres objets au roi de Prusse Frédéric-Guillaume III comme trophée de guerre le 21 juin 1815, trois jours seulement après la bataille de Waterloo.

Autre pièce maîtresse des ventes Sotheby's, "The Glowing Rose" ou "Rose éclatante", un diamant rose vif de 10,08 carats estimé à environ 20 millions de dollars, a finalement été retiré des ventes mercredi soir. Sollicité par l'AFP, Sotheby's n'était pas immédiatement disponible pour fournir des explications sur ce retrait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

Alcon stabilise son cap après trois partiels

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Le géant des lentilles et implants oculaires a redressé le tir, après deux trimestres décevants d'affilée en 2025. (archive) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le géant des consommables et dispositifs ophtalmique genevo-texan Alcon a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'exercice au sortir du troisième partiel.

La direction avait quelque peu modéré ses ambitions initiales à l'issue de chacun des deux premiers pointages, invoquant dans les deux cas un impact des droits de douane appliqués à l'entrée de l'incontournable marché américain.

Le chiffre d'affaires annuel doit ainsi toujours s'établir dans un couloir de 10,3 à 10,4 milliards de dollars comme évoqué en août. La fourchette pour la marge brute opérationnelle (Ebitda) de base demeure fixée entre 19,5% et 20,5%, selon un compte-rendu diffusé mardi soir.

Les projections reposent sur les postulats d'une faible croissance des marchés dans lesquels évolue Alcon et de taxes douanières et exemptions inchangées jusqu'à la fin de l'exercice. L'impact de ces taxes reste devisé à environ 100 millions de dollars sur l'année et doit être compensé par des effets de change et des mesures opérationnelles.

Ultime virage à négocier

"Il nous reste du travail pour concrétiser nos ambitions 2025," a reconnu en téléconférence le directeur général David Endicott.

Sur le plan des résultats, les revenus ont accentué entre juillet et fin août leur rebond amorcé au deuxième trimestre pour atteindre 2,59 milliards de dollars (+6% sur un an ou plus 5% à taux de change constants). La marge opérationnelle brute (Ebitda) ajustée s'est par contre étiolée à 12,8% (13,6%). Le bénéfice par action (BPA) de base a fondu de 2 cents à 79 cents. Biais non récurrents intégrés, le BPA a reculé de cinq cents à 48 cents.

Le bénéfice net s'est étiolé d'un dixième à 237 millions.

La division Surgical a vu ses ventes augmenter de 5% à 1,42 milliard de dollars durant la période sous revue et la division Vision Care a elle affiché une hausse de 7% à 1,17 milliard.

Analystes comblés

La performance est en phase avec les attentes des analystes consultés par l'agence AWP pour le chiffre d'affaires, pour lequel le consensus s'établissait à 2,60 milliards. Elle est un peu meilleure que prévu pour la marge Ebitda de base, qui était attendue à 19,7% et est conforme aux prévisions pour le BPA ajusté qui était attendu à 47 cents.

Sans s'aventurer à ce stade sur le terrain des perspectives quantifiées pour l'année prochaine, la direction ambitionne de faire progresser les recettes au-delà de 2025 également. "Le projet d'acquisition de Staar Surgical demeure dans cette optique attrayant, mais n'est pour autant pas indispensable à la concrétisation de nos ambitions de croissance à terme," a assuré M. Endicott.

L'impact des droits de douane doit s'atténuer dès l'année prochaine, pour s'établir dans un couloir de 50 à 100 millions, a de son côté évalué le directeur financier Tim Stonesifer.

Les analystes saluent tant le retour à un rythme de croissance satisfaisant que la confirmation du plan de vol à brève échéance, après deux avertissements sur résultats cette année déjà. "Pour autant, toutes les attentes n'ont pas encore été remplies," égratigne néanmoins Sibylle Bischofberger de Vontobel.

Daniel Jelovcan, pour la Banque cantonale de Zurich, considère que la performance trimestrielle ouvre la voie à un rebond pour un titre soumis à forte pression ces derniers temps.

A 15h40, la nominative Alcon s'appréciait de 5,2% à 64,88 francs et caracolait seule en tête d'un SLI en hausse de 0,79%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Une centrale laîtière suspend l'usage d'un additif de DSM-Firmenich

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L'emploi de l'additif de DSM-Firmenich est depuis peu obligatoire au Danemark pour les troupeaux de plus de cinquante bovins. (archive) (© KEYSTONE/EPA/LARSEN, HAAKON MOSVOLD)

La principale centrale laitière norvégienne a annoncé mercredi suspendre "par mesure de précaution" l'usage d'un additif anti-méthane dans l'alimentation bovine, produit par DSM-Firmenich, après des problèmes de santé rapportés dans des troupeaux au Danemark.

Depuis début octobre, date à laquelle l'emploi de l'additif Bovaer est devenu obligatoire dans les élevages de plus de 50 vaches au Danemark, des éleveurs danois ont rapporté des cas de fièvre, diarrhée, réduction de fertilité et même de morts dans leurs troupeaux.

La pause décidée en Norvège est mise en place dans l'attente d'informations supplémentaires sur les causes de ces problèmes, a indiqué le groupe Norsk melkeråvare, filiale de la plus grande coopérative laitière Tine.

"À ce jour, aucun effet négatif documenté n'a été constaté en lien avec l'utilisation de Bovaer en Norvège", a noté le directeur de l'entreprise, Johnny Ødegård, dans un communiqué.

"Par mesure de précaution, Norsk Melkeråvare (...) choisit toutefois de faire une pause pendant que nous approfondissons nos connaissances", a-t-il ajouté.

Produit par le conglomérat helvéto-néerlandais DSM-Firmenich et approuvé par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), le Bovaer inhibe la production de méthane lors de la digestion des vaches.

Selon l'EFSA, le lait des vaches ayant ingéré du Bovaer est sûr pour la santé humaine, aucune trace de cette molécule de synthèse y ayant été retrouvée à ce jour.

L'additif permet de réduire de 20 à 45% les émissions de méthane des instestins des bovins.

L'élevage dans son ensemble, de la production de fourrage et d'engrais à la rumination des animaux, est responsable d'environ 12% des émissions de gaz à effet de serre causées par les humains.

Cela est largement dû aux rejets de méthane -le deuxième gaz causant le réchauffement derrière le dioxyde de carbone (CO2)- émis lors du processus de digestion des ruminants qui libèrent du méthane en éructant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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