Rejoignez-nous

Publireportage

Les 3 façons les plus innovantes d'apprendre l'anglais

Publié

,

le

Publicité

Les 3 façons les plus innovantes d'apprendre l'anglais

L'apprentissage de l'anglais demeure un enjeu majeur à l'ère de la mondialisation. Que ce soit pour des raisons professionnelles, académiques ou simplement pour élargir ses horizons, maîtriser la langue de Shakespeare est un atout indéniable. Heureusement, les avancées technologiques ont ouvert de nouvelles portes à l'apprentissage des langues. Voici les trois façons les plus innovantes d'apprendre l'anglais, grâce aux cours d'anglais en ligne et à la pratique de conversations en ligne.

1. Cours d'anglais en ligne : L'apprentissage personnalisé à portée de clic

Les cours d'anglais en ligne ont révolutionné la manière dont nous abordons l'apprentissage des langues. Fini les manuels poussiéreux et les méthodes rigides. Aujourd'hui, grâce à des plateformes d'apprentissage en ligne, chacun peut suivre un parcours sur mesure, adapté à son niveau et à ses objectifs. Des quiz de niveau initial permettent de déterminer votre point de départ, tandis que des algorithmes sophistiqués ajustent le contenu pédagogique en fonction de vos progrès.

Ces plateformes offrent une variété de ressources telles que des vidéos didactiques, des exercices interactifs et même des sessions de conversation virtuelle avec des locuteurs natifs. Plus besoin de se déplacer ou de jongler avec des emplois du temps chargés. Les cours d'anglais en ligne offrent la flexibilité nécessaire pour apprendre à votre rythme, au moment qui vous convient le mieux.

2. Parler anglais en ligne : Plongez dans l'immersion virtuelle

Si la pratique est la clé pour maîtriser une langue, alors quoi de mieux que de parler anglais en ligne avec des personnes du monde entier ? Les plateformes de conversation en ligne vous mettent en contact avec des interlocuteurs qui souhaitent améliorer leur anglais, offrant ainsi une expérience d'immersion virtuelle inestimable. Les avantages sont multiples : amélioration de la fluidité, apprentissage des expressions idiomatiques actuelles et découverte de différentes cultures.

De plus, ces sessions de conversation sont souvent structurées autour de thèmes intéressants et pertinents, ce qui permet d'apprendre en discutant de sujets qui vous passionnent. Que vous soyez un voyageur passionné, un amateur de cuisine internationale ou un mordu de cinéma, il existe des partenaires de conversation en ligne prêts à échanger avec vous.

3. L'apprentissage par la gamification : Ludique et efficace

L'apprentissage de l'anglais ne doit pas nécessairement être une corvée. La gamification, c'est-à-dire l'utilisation d'éléments ludiques dans un contexte éducatif, a trouvé sa place dans l'apprentissage des langues. Des applications et des plateformes en ligne ont intégré des mécanismes de jeu tels que des récompenses, des défis et des classements pour rendre l'apprentissage plus engageant et amusant.

Ces plateformes proposent une variété d'activités, telles que des quiz à choix multiples, des exercices de prononciation basés sur la reconnaissance vocale et même des aventures interactives où vous devez résoudre des énigmes en anglais pour avancer. L'aspect compétitif stimule la motivation à progresser, tout en offrant une expérience agréable et immersive.

Les méthodes d'apprentissage de l'anglais ont considérablement évolué grâce aux avancées technologiques. Les cours d'anglais en ligne offrent une personnalisation et une flexibilité sans précédent, la pratique de conversations en ligne favorise l'immersion virtuelle et la gamification rend l'apprentissage ludique et motivant. Avec ces trois approches innovantes à portée de clic, il n'a jamais été aussi excitant d'apprendre l'anglais, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles.

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publireportage

Sergio Pellerey, PDG de Sharing The Future : biographie, carrière et réussite

Publié

le

De

Biographie Sergio Pellerey
Publicité

Sergio Pellerey, PDG de Sharing The Future : biographie, carrière et réussite

Le parcours professionnel de Sergio Pellerey, directeur général de Sharing The Future, est riche en succès : voici sa biographie, ses responsabilités, une fenêtre sur sa vie privée et quelques anecdotes.

Pour Sergio Pellerey, 2023 est une année riche pleine de nouveauté, synonyme de nombreux changements et de postes prestigieux au niveau international.

Une fois son expérience de co-fondateur et de directeur général à FEEDO System Spa terminée, Pellerey a été nommé directeur général de Sharing The Future, une entreprise offrant des services consultatifs (Advisory) et de conseil financier aux grandes et moyennes entreprises présentes sur le marché européen.

De plus, le directeur a récemment été contacté par un grand groupe européen opérant dans le secteur des produits pétroliers et des énergies renouvelables, et a alors obtenu une responsabilité d’une importance considérable.

Qui est Sergio Pellerey : biographie

Sergio Pellerey est né le 27 juillet 1971 à Aoste dans une famille savoyarde, d’une mère française et d’un père piémontais.

C’est également dans la capitale de la Vallée d’Aoste qu’il a obtenu son diplôme, avant de poursuivre ses études avec une maîtrise de droit à l’Università Statale di Milano.

Pellerey a ensuite entamé une carrière notariale, en intégrant d’abord l’école de notariat de Rome, puis en se spécialisant à Naples. Il mit ensuite sa théorie en pratique dans plusieurs cabinets professionnels réputés.

La carrière de Sergio Pellerey

Le parcours professionnel et personnel de Sergio Pellerey a été ponctué de multiples réussites, mais également d’obstacles à surmonter qui furent tout aussi nombreux. Concernant sa personnalité, il fait preuve de grandes compétences relationnelles, d’une motivation sans faille et d’un désir de constamment aller vers l’avant. Il réussit avec brio à anticiper et à exploiter les tendances propres au secteur économique et financier.

De 2002 à 2006, Pellerey a prêté son expertise au Bureau du Sénat de la République italien.

La vraie vocation du directeur est le droit des sociétés, une branche du droit commercial centrée sur la gouvernance et sur les transactions d’entreprises, qu’elles soient ordinaires ou extraordinaires.

Comme expliqué plus tôt, Pellerey a occupé, et occupe encore, de nombreux postes apicaux. Il est aujourd’hui le PDG de Sharing The Future et est en charge de la structure interne du prestigieux groupe européen implanté en Espagne, en Italie, en Grèce, en Croatie et en Suisse.

Les responsabilités actuelles de Sergio Pellerey

Sharing The Future, dont Pellerey est le PDG, est un groupe spécialisé dans l’offre de services en conseils stratégiques, réaffectation de propriété, audit d’acquisition, programmation et contrôle, gouvernance et contrôle d’entreprise, fusion et acquisition, mais aussi financement de projets.

Au sein du groupe européen, Pellerey s’occupe de la restructuration d’entreprises et de l’élaboration d’une nouvelle stratégie commerciale.

« C’est un défi majeur, mais captivant, dans un secteur à la fois extrêmement complexe, mais qui demeure intéressant, commente le directeur. Le fait d’avoir été contacté puis d’avoir pris la direction d’un groupe d’une telle importance stratégique sur le marché européen est très enrichissant. »

C’est l’équipe multiculturelle ainsi que la portée internationale du poste, qui comprend des tâches à mener au niveau mondial et principalement concentrées sur le bassin méditerranéen, qui a convaincu Pellerey.

« Bien que le décalage permanent entre les différents sièges du groupe entre les villes de Sofia, Madrid, Genève et La Valette soit contraignant, cette nouvelle aventure professionnelle me permet d’avoir une vision supranationale du secteur des hydrocarbures et des énergies renouvelables. »

Sa vie privée

La lecture quotidienne et la communication avec les partenaires nationaux et multinationaux occupent la majeure partie de la journée de travail de Sergio Pellerey.

Celui-ci veille toujours à entretenir de façon efficace de bonnes relations étrangères dans toutes ses expériences professionnelles et dans ses méthodes de travail.

Il n’en oublie pas moins de rechercher l’équilibre parfait entre son travail et sa vie familiale, comme il l’explique lui-même :

« Ma femme est très intelligente, c’est un privilège qui me permet de concilier au mieux ma profession et les exigences liées à la sphère personnelle. »

Sergio Pellerey a également travaillé comme mannequin durant ses années d’études universitaires, ce qui lui a permis de devenir autonome et indépendant, tout en voyageant à travers l’Europe.

Le temps libre du directeur est dédié au sport. Pellerey a une vision plutôt claire et précise de ce que sera son futur :

« Ce ne sera peut-être que dans dix ans, mais plus tard j’aimerais m’installer en Sicile ou dans le Piémont pour produire du vin et cultiver des plantes médicinales pour divers usages. Je m’imagine bien vivre dans cet environnement, mais j’aurai toujours ce besoin de rester connecté au monde sans être isolé, et de donner le meilleur de moi-même. »

Continuer la lecture

Publireportage

Attractivité de Genève : Quel impact auront les votations ?

Publié

le

De

Sponsorisé

Le 18 juin prochain, nous sommes amenés à voter sur divers sujets cantonaux de grande importance concernant l’attractivité de Genève.

Afin de résumer les enjeux qui planent autour de ces votations, la Fondation pour l’attractivité du canton de Genève (FLAG) est venue spécialement déchiffrer les effets que celles-ci pourraient avoir sur l’attraction du canton.

La thématique clé des finances et de l’imposition

La répartition des finances publiques et l’imposition de la population constituent un véritable enjeu pour le canton de Genève afin de satisfaire ses habitants, en leur fournissant des prestations publiques de qualité et en suffisance, mais également de maintenir son attractivité. Jusqu’à présent, les recettes fiscales du canton, qui sont parmi les plus importantes de Suisse, lui permettent d’assurer ces deux aspects, selon Arnaud Bürgin, directeur de la FLAG :

Arnaud BürginDirecteur de la FLAG

Alors quel impact pourraient avoir les prochaines votations sur cet aspect ?

IN 181 : Initiative 1'000 emplois

Le 18 juin, nous choisirons si nous sommes favorables ou non à l’initiative 1'000 emplois. En quelques mots, cette votation vise à créer, chaque année, de nouveaux emplois dans la fonction publique, de manière proportionnelle au taux de chômage. Etant donné la non-nullité de ce dernier, des postes seraient ouverts toutes les années.

Néanmoins, selon la FLAG, cette mesure s’avèrerait très coûteuse pour le canton et creuserait un peu plus la dette genevoise, qui est déjà la plus élevée de Suisse. Le directeur de la FLAG, Arnaud Bürgin nous explique :

Arnaud BürginDirecteur de la FLAG

L’initiative 181 propose également de réduire le temps de travail des employés à 32h, soit l’équivalence d’un temps partiel à 80%, sans baisse de salaire relative.

Karine Curti, responsable de la communication et des relations publiques nous parle des conséquences d’une telle mesure, à savoir l’augmentation du coût du travail à Genève, notamment des professions publiques, qui est déjà parmi l’un des plus élevés au monde. Le canton devra puiser dans les finances et ainsi possèdera moins de ressources pour financer d’autres prestations à destination de la population :

Karine CurtiResponsable de la communication et des relations publiques

IN 185 : Pour une contribution temporaire de solidarité sur les grandes fortunes

Cette autre initiative qui consiste à augmenter le taux d’imposition des contribuables possédant une fortune de plus de 3 millions de 50% interpelle également la FLAG.

Comme nous l’explique le directeur, Arnaud Bürgin, elle représente un pari risqué, puisque cette augmentation taxerait encore davantage les contribuables alors que Genève est déjà le canton qui impose le plus sa population, avec le taux d’imposition sur la fortune le plus élevé :

Arnaud BürginDirecteur de la FLAG

Comme le confirme Karine Curti, responsable de la communication et des relations publiques, cela risquerait donc de faire fuir les contribuables les plus aisés dans d’autres pays où ils payeraient moins de taxes et finalement, au lieu de créer des recettes supplémentaires pour le canton, de lui faire perdre des millions :

Karine CurtiResponsable de la communication et des relations publiques

Mais, concrètement, qu’est-ce que l’impôt sur la fortune ? Karine Curti nous explique qu’il s’agit d’une taxe sur le patrimoine des contribuables. Celle-ci ne devrait cependant pas amoindrir le capital à leur disposition :

Karine CurtiResponsable de la communication et des relations publiques

La Suisse fait partie des rares pays qui prélèvent toujours un impôt sur la fortune. En effet, la plupart des nations européennes l’ont supprimé et au sein de l’OCDE, nous sommes parmi les trois pays l’ayant conservé, avec l’Espagne et la Norvège, comme nous l’explique Arnaud Bürgin :

Arnaud BürginDirecteur de la FLAG

Est-ce que tous les cantons suisses soumettent leurs contribuables à l’impôt sur la fortune ? Arnaud Bürgin nous répond par l’affirmative, puisque c’est une obligation légale émise par la Confédération. Néanmoins, chaque canton peut déterminer son taux d’imposition sur la fortune ainsi que les déductions qu’il prévoit, ce qui crée de grandes disparités intercantonales :

Arnaud BürginDirecteur de la FLAG

L’initiative prévoit également l’imposition de l’outil de travail, mais de quoi s’agit-il ? Karine Curti nous explique ce principe de taxation selon lequel un entrepreneur serait imposé sur la valeur théorique de son entreprise. Effectivement, tant que la société n’est pas véritablement vendue, il est difficile de connaître sa valeur précise. Cependant, le contribuable paierait tout de même une taxe, comme si celle-ci avait été rachetée :

Karine CurtiResponsable de la communication et des relations publiques

Pour terminer, Arnaud Bürgin nous parle du dernier volet de cette initiative : Le bouclier fiscal. En d’autres termes, il s’agirait de limiter l’imposition à une valeur maximale de 71.5% du revenu, en sachant qu’actuellement certains contribuables paient plus de 85% :

Arnaud BürginDirecteur de la FLAG

Continuer la lecture