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Politique

Les tentatives d'escroquerie ont presque doublé en un an

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Les cyberincidents utilisant l'IA sont encore rares, mais il s'agit, selon l'OFCS, des premières tentatives d'exploration des possibilités d'utilisation criminelle de l'IA pour mener de futures cyberattaques (archives). (© KEYSTONE/EPA/SASCHA STEINBACH)

Offres d'emploi frauduleuses ou prétendus appels de la police, les tentatives d'escroquerie ont presque doublé en un an. Les tentatives de fraude recourant à l'intelligence artificielle sont également en hausse. Un office fédéral tire la sonnette d'alarme.

Au deuxième semestre 2023, 30'331 cyberincidents ont été signalés, indique lundi dans son rapport annuel l'Office fédéral de la cybersécurité (OFCS), qui a pris le relais du Centre national de cybersécurité au 1er janvier. Sur la même période en 2022, 16'951 cas avaient été enregistrés.

Le nombre d'annonces d'hameçonnage est notamment en forte hausse. Il est passé de 2179 en 2022 à 5536 en 2023. L'OFCS a également reçu un nombre croissant d'annonces concernant des tentatives de fraude via l'intelligence artificielle (IA). Selon l'office, les systèmes informatiques sont très vulnérables et la capacité de réaction en Suisse est encore faible.

La semaine dernière, le Conseil fédéral avait relevé des erreurs de la Confédération dans le cadre de la cyberattaque contre l'entreprise Xplain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Après Troinex, Veyrier vote sur la nouvelle ligne de bus 49

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La future ligne 49 des Transports publics genevois est en votation à Veyrier, suite à un référendum contre le crédit de 396'000 francs pour les aménagements routiers ad hoc (illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La future ligne 49 des TPG fait l'objet d'une nouvelle votation, après le vote favorable à Troinex en 2022. Les citoyens de Veyrier doivent se prononcer le 9 juin sur un crédit de 396'000 francs pour les aménagements routiers ad hoc, attaqué par référendum.

Comme à Troinex, le parcours de la future ligne qui doit relier Veyrier à la gare du Léman Express de Lancy-Bachet est contesté. Le comité référendaire, à savoir l'Association Veyrier-Rasses-Marais, juge "aberrant" de faire passer le bus sur les chemins des Rasses et du Bois-Gourmand, situés en zone 30 km/h et empruntés quotidiennement par des centaines d'enfants à vélo.

Les référendaires critiquent aussi le fait que cet itinéraire demande la création de nouveaux aménagements, alors que ceux qui s'y trouvent n'ont que quatre ans et ont coûté plus de 4 millions de francs. Les autorités indiquent que la moitié du crédit de 396'000 francs est destinée à la réalisation des arrêts. Selon elles, l'arrivée de ce bus électrique n'engendrera pas de nuisances supplémentaires.

Conséquences à Troinex

Le tracé de cette nouvelle ligne vise à respecter les dispositions légales selon lesquelles chaque habitant en zone urbaine doit disposer d'un arrêt de bus à moins de 300 mètres de son domicile. En cas de refus dans les urnes, la ligne sera abandonnée et une nouvelle offre ne sera pas élaborée avant le plan d'actions des transports collectifs de 2028-2032, met en garde la Ville.

Les conséquences d'un refus se feront sentir à Troinex, où la population a dit "oui" à cette nouvelle ligne en 2022. En cas d'acceptation le 9 juin, sa réalisation dépendra toutefois d'une étude acoustique ordonnée par la justice après le recours de Troinésiens. Les résultats devraient tomber dans les prochains mois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Taïwan intensifie ses patrouilles avant l'investiture du président

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Taïwan a déployé plusieurs navires pour patrouiller le long de ses côtes (archives). (© KEYSTONE/AP Taiwan Ministry of National Defense)

Les gardes-côtes taïwanais ont indiqué dimanche avoir intensifié leurs patrouilles au cours du week-end, la veille de l'investiture du nouveau président taïwanais. Les navires chinois ont accru leur présence dans les eaux proches de l'archipel ces derniers temps.

"Afin d'assurer la sécurité dans les eaux et aux frontières durant la cérémonie d'investiture, la division Kinmen-Matsu-Penghu [...] a lancé une puissante opération de patrouille [...] pour surveiller de près des cibles suspectes", a indiqué les gardes-côtes.

Ils disent avoir envoyé du personnel pour "patrouiller à toute heure du jour et de la nuit" autour de trois îles de l'archipel: Kinmen, Matsu et Penghu.

Le président élu de Taïwan Lai Ching-te prendra ses fonctions lundi dans un climat de pression diplomatique et militaire croissante de Pékin.

A la veille de l'investiture de M. Lai, le ministère taïwanais de la défense a indiqué avoir détecté sept avions et sept navires chinois autour de Taïwan au cours des 24 heures précédant dimanche à 06h00.

Des incidents

La Chine revendique Taïwan comme une part de son territoire et a affirmé ne pas écarter l'usage de la force pour ramener l'archipel sous son contrôle. Pékin maintient une pression militaire sur Taïwan en envoyant presque quotidiennement des avions de guerre, des drones et des navires.

La Chine a envoyé ces derniers mois des gardes-côtes patrouiller autour de l'île de Kinmen, la plus proche de la Chine continentale, distante de moins de cinq kilomètres.

Kinmen a été le théâtre d'une série d'accrochages entre des navires chinois et taïwanais depuis la victoire en janvier de Lai Ching-te, qualifié par Pékin de "dangereux séparatiste" conduisant Taïwan sur le chemin "de la guerre et du déclin".

Un hors-bord chinois transportant quatre personnes s'est notamment retourné près de l'île le 14 février, alors que les gardes-côtes taïwanais le poursuivaient. Deux personnes ont perdu la vie.

Un autre bateau chinois a chaviré dans la zone au mois de mars, faisant encore deux morts parmi les membres de son équipage. La Chine a depuis lors renforcé ses patrouilles dans les eaux proches de l'île de Kinmen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

"Joe l'escroc", crie Trump, "dérangé", lui répond Biden

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Joe Biden et Donald Trump se sont invectivés devant leurs partisans en Géorgie et au Texas (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

L'ex-président des Etats-Unis Donald Trump a de nouveau qualifié l'actuel chef d'Etat américain Joe Biden d'"escroc" samedi au Texas devant les partisans des armes à feu. En campagne en Géorgie, M. Biden taxait au même moment son rival républicain de "dérangé".

En déplacement à Dallas, entre deux audiences à son procès pénal à New York, Donald Trump a reçu le soutien de la National Rifle Association (NRA) lors de sa réunion annuelle, puissant lobby avec qui le milliardaire républicain de 77 ans entretient des relations privilégiées. La NRA lui a versé des dizaines de millions de dollars pour sa campagne victorieuse en 2016.

Devant des milliers de membres de l'organisation, M. Trump a déclaré que Joe Biden était "de loin le pire président dans l'histoire de notre pays" et "d'une connerie sans nom". "Tu es viré! Barre-toi Joe", a-t-il lancé sous les rires de l'assistance, leur affirmant que M. Biden allait s'en prendre à leurs armes à feu.

Il a qualifié Joe Biden de "Joe l'escroc", son épithète favori pour parler du président, estimant qu'il est une "menace pour la démocratie".

"Un perdant"

Ce dernier se trouvait au même moment en Géorgie (sud-est), Etat qu'il a remporté de justesse en 2020, notamment pour faire campagne auprès des électeurs noirs. "Mon opposant n'est pas un bon perdant. Mais c'est un perdant", a dit Joe Biden dans un restaurant à Atlanta, ajoutant que "notre démocratie est réellement en danger".

Vendredi, dans le Minnesota (nord), M. Trump a réaffirmé sa théorie, jamais prouvée, selon laquelle l'élection présidentielle de 2020, remportée par son rival Joe Biden, a été truquée. Le démocrate a réagi samedi, déclarant que son adversaire "n'est pas seulement obsédé par sa défaite de 2020. Il est clairement dérangé".

"Nous ne pouvons pas laisser cet homme devenir président. L'avenir de nos enfants est en jeu", a-t-il déclaré au public réuni à Mary Mac's Tea Room.

Dimanche, Joe Biden doit s'adresser à des étudiants de Morehouse College, une célèbre université de la communauté afro-américaine où a étudié le héros des droits civiques Martin Luther King.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouvelle-Calédonie: vaste opération de gendarmes à Nouméa

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Plus de 3200 personnes sont bloquées après la suspension des vols à l'aéroport international de Nouméa. (© KEYSTONE/AP/Cedric Jacquot)

L'État est passé à l'offensive dimanche en Nouvelle-Calédonie pour tenter de "reprendre totalement la maîtrise" du territoire. Une opération d'envergure est notamment menée par des gendarmes sur la route entre Nouméa et l'aéroport international.

La colère des indépendantistes, provoquée par une réforme du corps électoral de l'archipel du Pacifique sud, a enclenché un cycle de violences marquées par des jours et des nuits d'incendies, d'affrontements et de barrages.

En l'absence de vols depuis et vers la Nouvelle-Calédonie, suspendus depuis mardi, l'exécutif français a donné la priorité à la route entre Nouméa et son aéroport international.

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a annoncé le début dimanche matin d'une "grande opération de plus de 600 gendarmes, dont une centaine du GIGN". Celle-ci doit permettre de "reprendre totalement la maîtrise de la route principale de 60 km".

Supprimer les obstacles

L'opération a consisté à faire partir de Nouméa un convoi pour supprimer tous les obstacles sur cette route. Il est fait entre autres de blindés de la gendarmerie et d'engins de chantier qui déblayent le passage. Toutefois, certains barrages supprimés par le convoi se reconstituent dès son départ.

Des journalistes de l'AFP ont constaté que dimanche à la mi-journée, à Nouméa et dans les communes avoisinantes, la circulation pour ceux qui voudraient sortir de l'agglomération en direction du nord-ouest restait entravée. Des indépendantistes filtrent le passage par de très nombreux barrages, faits de pierres et d'engins divers notamment.

Si ces journalistes ont pu rejoindre l'aéroport de La Tontouta dans l'après-midi, il leur a fallu s'arrêter à divers barrages, dont certains tenus par des hommes munis de bâtons ou d'armes blanches. L'un d'entre eux, à Tamoa, a dit son intention de rester coûte que coûte: "On est prêt à aller jusqu'au bout, sinon à quoi bon?"

Nouveaux renforts attendus

Rétablir cette circulation presse d'autant plus que la Nouvelle-Zélande et l'Australie ont annoncé dimanche avoir demandé à la France de pouvoir poser des avions, afin de rapatrier leurs ressortissants.

"Nous sommes prêts à décoller et attendons l'autorisation des autorités françaises pour savoir quand ces vols pourront avoir lieu en toute sécurité", a indiqué dans un communiqué le ministre néo-zélandais des Affaires étrangères, Winston Peters.

Son homologue australienne, Penny Wong, a affirmé sur X que des appareils de l'armée de l'Air étaient "prêts à s'envoler", mais que la France n'avait pas donné son accord.

Samedi, le gouvernement de Nouvelle-Calédonie estimait que 3200 personnes étaient bloquées en l'absence de vols, soit parce qu'elles ne pouvaient pas quitter l'archipel, soit parce qu'elles ne pouvaient pas le rejoindre.

Les violences ont fait six morts, le dernier en date samedi après-midi, un Caldoche (Calédonien d'origine européenne) à Kaala-Gomen, dans la province Nord. Les cinq autres morts sont deux gendarmes et trois kanak, dans l'agglomération de Nouméa.

Le Haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie a annoncé dimanche dans un communiqué l'arrivée prochaine de "plusieurs centaines de forces de sécurité intérieure, de soutien logistique et opérationnel et de sécurité civile", en plus des renforts déjà envoyés.

"Au total, 230 émeutiers ont été interpellés" en près d'une semaine, a-t-il ajouté.

Travail de longue haleine

Reprendre le contrôle devrait être un travail de longue haleine pour les forces de l'ordre. La violence dans certains quartiers chaque nuit montre que les émeutiers restent très déterminés.

"Il y a (...) des zones de non-droit (...) qui sont tenues par des bandes armées, des bandes indépendantistes, de la CCAT. Et dans ces endroits, ils détruisent tout", affirmait samedi sur BFMTV le vice-président de la province Sud de la Nouvelle-Calédonie, Philippe Blaise.

La Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT) est une organisation indépendantiste radicale, accusée par les autorités d'inciter à la plus grande violence.

Ecoles fermées

Nouvel exemple des troubles dans la nuit de samedi à dimanche: d'après la chaîne de télévision publique Nouvelle-Calédonie La 1ère, la médiathèque du quartier de Rivière salée à Nouméa a été incendiée. Interrogée par l'AFP, la mairie de Nouméa a répondu dimanche matin n'avoir "aucun moyen pour le moment de le vérifier, le quartier étant inaccessible".

Les mesures exceptionnelles de l'état d'urgence sont maintenues, à savoir le couvre-feu entre 18h00 et 6h00 (9h00 et 21h00 à Paris), l'interdiction des rassemblements, du transport d'armes et de la vente d'alcool et le bannissement de l'application TikTok.

Pour la population, se déplacer, acheter des produits de première nécessité et se soigner devient plus difficile chaque jour. De moins en moins de commerces réussissent à ouvrir et les nombreux obstacles à la circulation compliquent de plus en plus la logistique pour les approvisionner, surtout dans les quartiers les plus défavorisés.

Dimanche matin, la province Sud, qui regroupe près des deux tiers de la population, a annoncé que les écoles resteraient fermées toute la semaine. "Ce temps devra permettre de finir de sécuriser les établissements scolaires, leurs accès et de faire un état des lieux des dégâts afin de retrouver le plus vite possible les conditions d'une reprise de l'enseignement, la semaine suivante, là où cela sera possible", a expliqué la province.

La réforme constitutionnelle qui a mis le feu aux poudres vise à élargir le corps électoral lors des scrutins provinciaux, au risque de marginaliser "encore plus le peuple autochtone kanak", selon les indépendantistes. Adopté mercredi par les députés, après les sénateurs, le texte doit encore être voté par les parlementaires réunis en Congrès, à une date non déterminée.

Le passage de la flamme olympique en Nouvelle-Calédonie prévu le 11 juin a été annulé. "Priorité, vraiment, à la consolidation du retour à l'ordre public, et puis à l'apaisement", a expliqué à la presse la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La santé du premier ministre slovaque évolue dans un sens positif

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Le président slovaque a été opéré deux fois depuis son agression mercredi. (© Keystone/AP/LEFTERIS PITARAKIS)

L'état de santé du chef du gouvernement slovaque Robert Fico, qui a été la cible d'une tentative d'assassinat, évolue dans un sens "positif", a annoncé samedi la ministre slovaque de la santé. Un tribunal a placé le tireur isolé en détention provisoire.

M. Fico est hospitalisé depuis mercredi, date à laquelle un homme a ouvert le feu sur lui, l'atteignant de plusieurs balles, notamment à l'abdomen. Il a subi une opération de cinq heures mercredi et une autre, plus courte, vendredi, toutes deux dans un hôpital de la ville de Banska Bystrica, dans le centre de la Slovaquie.

"L'intervention chirurgicale d'hier, qui a duré deux heures, a contribué à un pronostic positif sur l'état de santé du premier ministre", qui "est stable mais reste grave", a déclaré samedi la ministre Zuzana Dolinkova à la presse.

Poète

L'assaillant, identifié par les médias slovaques comme étant le poète Juraj Cintula, âgé de 71 ans, a tiré cinq coups de feu sur Robert Fico, le touchant à quatre reprises. Sa détention a été ordonnée, parce que "l'on craint une évasion potentielle ou que l'activité criminelle se poursuive", a dit à l'AFP Katarina Kudjakova, la porte-parole du tribunal pénal spécial de Pezinok, au nord-est de la capitale Bratislava.

La décision du tribunal suit la requête présentée vendredi par le procureur qui a inculpé le suspect de tentative de meurtre avec préméditation.

La fusillade s'est produite pendant que M. Fico saluait ses partisans après une réunion du gouvernement délocalisée à Handlova, une ville du centre de la Slovaquie. "Si le tir était parti quelques centimètres plus haut, il aurait atteint le foie du premier ministre", a raconté le ministre de l'intérieur Matus Sutaj Estok à la chaîne de télévision TA3.

Quatre blessures

Le ministre de la défense et vice-premier ministre Robert Kalinak, le plus proche allié politique de M. Fico, a affirmé devant les journalistes que ce dernier était conscient. "Je ne pense pas qu'il puisse être transporté à Bratislava dans les prochains jours, car son état est encore grave", a-t-il poursuivi.

Plus tard dans la journée, M. Kalinak a déclaré à TA3 que M. Fico avait subi quatre blessures par balle, deux légères, une moyenne et une grave. Il a ajouté que les médecins avaient retiré tout ce qui était potentiellement infectieux de ses blessures au cours de l'opération de vendredi.

"Il faudra quatre ou cinq jours à l'organisme pour commencer à surmonter de telles blessures, mais nous n'en sommes pas encore là", a souligné M. Kalinak, se félicitant de la bonne forme physique du chef du gouvernement, connu pour être un adepte de la course à pied et de la musculation. M. Fico, 59 ans, occupe son poste depuis que son parti centriste, le Smer-SD, a remporté les élections législatives à l'automne dernier.

Réunion des chefs de parti

M. Fico remplit son quatrième mandat en tant que premier ministre après avoir fait campagne sur des propositions de paix entre la Russie et l'Ukraine, un Etat voisin de la Slovaquie, et sur l'arrêt de l'aide militaire à Kiev, ce que son gouvernement a mis en oeuvre par la suite.

La tentative d'assassinat a profondément choqué la Slovaquie, un pays de 5,4 millions d'habitants, membre de l'Union européenne et de l'OTAN, fortement divisé sur le plan politique depuis des années. La présidente pro-occidentale sortante, Zuzana Caputova et son successeur, Peter Pellegrini, un allié de M. Fico qui prendra ses fonctions en juin, ont appelé leurs concitoyens à s'abstenir de toute "confrontation" après la fusillade.

Ils ont convoqué une réunion de tous les chefs de partis parlementaires pour mardi afin de faire preuve d'unité à la suite de l'attentat. M. Kalinak a toutefois suggéré samedi que le Smer-SD ne participerait pas à cette rencontre. Certains hommes politiques slovaques ont déjà porté des accusations contre leurs adversaires, les accusant d'avoir été à l'origine de l'attentat.

M. Kalinak a lui-même critiqué vendredi les hommes politiques de l'opposition et certains médias pour avoir qualifié avant la tentative d'assassinat M. Fico de criminel, de dictateur ou de serviteur du président russe Vladimir Poutine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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