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Au Vietnam, Poutine menace de fournir des armes à la Corée du Nord

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Hanoï et Moscou ont signé une dizaine de partenariats, dans la justice, l'énergie, l'éducation et le nucléaire civil. (© KEYSTONE/EPA/KRISTINA KORMILITSYNA/SPUTNIK/KREMLIN POOL)

Le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi au Vietnam de "fournir des armes" à la Corée du Nord. Tout en assurant que la fourniture d'armes par la Corée du Sud à l'Ukraine serait une "très grave erreur".

"Nous nous réservons le droit de fournir des armes à d'autres parties du monde, en gardant à l'esprit nos accords avec la Corée du Nord, et je n'écarte pas cette possibilité", a déclaré Vladimir Poutine devant la presse.

Le Russe avait déjà menacé début juin de livrer des armes à des pays tiers, en réponse à la livraison d'armements occidentaux à l'Ukraine et à l'autorisation donnée à Kiev par les Etats-Unis et plusieurs pays européens de frapper le territoire russe avec les missiles occidentaux qui lui ont été livrés.

"Extrêmement préoccupants"

Les Etats-Unis ont qualifié d'"extrêmement préoccupants" ces propos du président russe, ajoutant que cela risquerait de "déstabiliser la péninsule coréenne".

"C'est extrêmement préoccupant. Elle déstabiliserait, potentiellement, la péninsule coréenne", a déclaré à la presse le porte-parole du département d'Etat, Matthew Miller.

"En fonction du type d'armes (fournies) cela pourrait violer les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU que la Russie elle-même a soutenues", a-t-il fait valoir.

Le Vietnam constitue la deuxième et dernière étape d'une mini-tournée en Asie pour Vladimir Poutine, après la Corée du Nord mercredi, où l'annonce d'un accord de défense bilatéral a suscité de nouvelles critiques occidentales.

"Architecture de sécurité fiable"

Hanoï espère aussi "pousser la coopération en matière de défense et de sécurité" avec Moscou, a souligné le président vietnamien To Lam.

Depuis la période soviétique, la Russie demeure, de loin, le principal fournisseur d'armes du Vietnam mais les volumes ont chuté ces dernières années, en dépit de la militarisation de la mer de Chine méridionale où les autorités vietnamiennes s'inquiètent des visées expansionnistes de Pékin.

"Nous avons fait part de l'intérêt mutuel pour la création d'une architecture de sécurité fiable et adéquate en Asie-Pacifique qui reposerait sur les principes du non-recours à la force, du règlement pacifique des différends et où il n'y aura pas de place pour des blocs politico-militaires clos", a confié M. Poutine.

Celui-ci est arrivé au Vietnam dans la nuit de mercredi à jeudi, après un déplacement exceptionnel à Pyongyang, où Kim Jong Un le considère comme le "meilleur ami" de son pays.

Partenariat avec Pyongyang

La Russie et la Corée du Nord, sous le coup de sanctions occidentales, ont conclu un "partenariat stratégique global", qui prévoit une assistance mutuelle "en cas d'agression" et un éventuel renforcement de la "coopération militaro-technique", selon M. Poutine.

Les Etats-Unis et leurs alliés craignent que ce rapprochement accéléré ne débouche sur de nouvelles livraisons de munitions et de missiles nord-coréens à l'armée russe, pour sa guerre en Ukraine.

Le Japon s'est dit jeudi "gravement préoccupé" par ce pacte, pendant que l'Union européenne approuvait un nouveau paquet de sanctions contre la Russie.

Une dizaine de partenariats avec Hanoï

A Hanoï, Vladimir Poutine s'est engagé à développer les relations avec le Vietnam, auquel son pays vend des armes depuis des décennies, en vue de contrer les tentatives occidentales d'isoler la Russie pour sa guerre en Ukraine.

"La Russie attache beaucoup d'importance au renforcement des relations avec le Vietnam", a déclaré le président russe, qui a rencontré les principaux dirigeants de cet Etat communiste.

Les deux parties ont signé une dizaine de partenariats, notamment dans l'énergie, l'éducation et le nucléaire civil. Le communiqué commun insiste sur l'atmosphère "chaleureuse et amicale" des discussions et le "haut degré de confiance et de compréhension mutuelle".

M. Poutine a rencontré le Premier ministre Pham Minh Chinh, ainsi que le secrétaire général du parti communiste, Nguyen Phu Trong, considéré comme la personnalité la plus influente du régime. Agé de 80 ans, il a effectué une partie de ses études en URSS.

En accueillant Vladimir Poutine, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), Hanoï s'expose au mécontentement de ses partenaires occidentaux, les Etats-Unis en tête, qui considèrent le Vietnam, avec ses 100 millions d'habitants, comme stratégique pour la production manufacturière, en particulier de semi-conducteurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Des milliers de manifestants contre Trump à Washington

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De nombreuses personnes sont descendues dans les rues de Washington pour la "Marche du peuple", organisée par plusieurs groupes de défense des droits civiques et de la justice sociale. (© KEYSTONE/EPA/JIM LO SCALZO)

Des milliers de personnes ont manifesté samedi à Washington contre la politique de Donald Trump, deux jours avant le retour du milliardaire à la Maison Blanche.

Baptisée "Marche du peuple" cette manifestation a été organisée par plusieurs groupes de défense des droits civiques et de la justice sociale, dont l'équipe derrière les "Marches des femmes" du 21 janvier 2017 à travers le pays au lendemain de la première investiture de Donald Trump.

Samedi, des pancartes colorées et des petits bonnets roses aux oreilles de chat, les "pussy hats" en référence à ces manifestations il y a huit ans, parsèment le cortège dans le centre de la capitale fédérale américaine.

"Ces lois mettent en danger nos vies. Les femmes meurent. Vos soeurs, vos filles, vos mères, vos amies meurent", affirme Aisha Becker-Burrowes, militante féministe dans la foule.

Sous une pluie fine, Susan Dutwells, venue de Floride (sud-est) avec sa fille pour la manifestation dit "avoir peur" et être "en colère" du retour de Donald Trump. "Tellement de gens votent contre leurs propres intérêts. Je ne comprends pas", a ajouté cette femme de 60 ans.

Autres manifestations prévues

"J'essaie de garder espoir", affirme Carine, une autre manifestante de 40 ans qui n'a pas voulu donner son nom de famille. "Cela fait tellement du bien d'être entourée de beaucoup de monde". Venue d'Arizona (sud-ouest), c'est la première fois qu'elle manifeste à Washington, dit-elle à l'AFP, tout en assurant qu'elle continuera "le combat de retour à la maison".

Sarah Kong, une psychiatre de 31 ans, se sent "motivée, stimulée par tous ces gens. J'ai foi en l'avenir, même si j'ai peur".

Les participants à la marche manifestent pour une série de sujets, selon eux menacés par Donald Trump comme l'accès à l'avortement, la lutte contre le réchauffement climatique ou encore la défense des droits des personnes immigrées.

D'autres manifestations similaires sont prévues dans le pays, notamment à New York.

Après sa victoire le 5 novembre face à la vice-présidente démocrate Kamala Harris, Donald Trump prêtera serment au Capitole lundi midi et deviendra le 47e président des Etats-Unis. Celui qui est encore pour deux jours le président élu est attendu samedi soir à Washington pour une réception dans l'un de ses golfs et un feu d'artifice.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump lance sa propre cryptomonnaie, la valorisation bondit

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Donald Trump a lancé une cryptomonnaie à son nom (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Donald Trump a annoncé, dans la nuit de vendredi à samedi, le lancement de sa propre cryptomonnaie, qui porte son nom. Cela a provoqué une fièvre d'achats qui a fait monter en quelques heures sa valorisation globale à plusieurs milliards de dollars.

Dans un message posté sur son réseau Truth Social ainsi que sur X (ex-Twitter), le président élu a présenté cette nouvelle devise numérique comme un "meme coin".

Ce dernier est une cryptomonnaie destinée à capitaliser sur l'engouement populaire autour d'une personnalité, d'un mouvement ou d'un phénomène viral sur internet. Le "meme coin" n'a pas d'utilité économique ou transactionnelle et est souvent identifié comme un actif purement spéculatif.

"Ce Trump Meme célèbre un leader qui ne recule jamais, quelle que soit la situation", explique le site officiel du projet, évoquant la tentative d'assassinat dont a fait l'objet le candidat républicain en juillet dernier.

Capitalisation à près de 6 milliards

Durant les heures qui ont suivi le lancement du Trump, la communauté crypto s'est interrogée sur la légitimité de ce nouvel actif et son lien avec Donald Trump, certains redoutant une arnaque, comme le monde des "meme coins" en a connu beaucoup.

Mais le fait que les messages d'annonce aient été postés sur les comptes officiels du président élu et que l'une des sociétés derrière le projet, CIC Digital LLC, ait déjà été utilisée par Donald Trump pour vendre des NFT (Non Fungible Token, actifs numériques) a fini par rassurer le marché.

A suivi un coup de chaud qui a fait grimper la valeur de la monnaie numérique, jusqu'à porter la capitalisation totale des unités en circulation à près de 6 milliards de dollars.

Donald Trump ou la société pilotant le lancement, Fight Fight Fight LLC, n'ont pas communiqué sur le produit éventuel généré par l'opération pour ses créateurs. Sollicité par l'AFP, le groupe n'a pas donné suite.

Revirement

Le site officiel indique que 200 millions de jetons (unités) de cette devise ont été mis sur le marché, Fight Fight Fight prévoyant d'en ajouter 800 millions supplémentaires dans les trois ans.

Les créateurs de ce nouvel actif numérique, parmi lesquels figurent Donald Trump, contrôlent l'ensemble des jetons non encore commercialisés, lesquels présentent une valeur théorique d'environ 24 milliards de dollars au cours actuel.

Initialement opposé aux cryptomonnaies, Donald Trump a opéré un revirement radical durant sa récente campagne présidentielle, au point de s'en faire le champion. Il a promis de favoriser le développement de ce secteur, notamment via un allègement de la régulation.

Avant la création de sa propre devise numérique, des entrepreneurs associés à Donald Trump avaient mis en ligne, mi-octobre, une plateforme de cryptomonnaies, baptisée World Liberty Financial.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'accord de trêve à Gaza entrera en vigueur dimanche matin

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Samedi, cinq membres d'une même famille de déplacés palestiniens ont péri dans un bombardement qui a touché leur tente à Khan Younès (sud), selon la Défense civile. (image d'archive) (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

L'accord sur une trêve à Gaza et des libérations d'otages doit entrer en vigueur dimanche matin. Soit au lendemain de son approbation par Israël, après 15 mois d'une guerre dévastatrice qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien.

Le cessez-le-feu débutera à 08h30, à la veille de l'investiture du président américain élu, Donald Trump, a annoncé samedi le Qatar, l'un des médiateurs avec l'Egypte et les Etats-Unis, qui ont réussi à arracher cet accord après plus d'un an de laborieuses négociations.

Dans une première phase étalée sur six semaines, les hostilités doivent cesser et 33 otages israéliens doivent être libérés en échange de 737 prisonniers palestiniens. Selon l'Egypte, "plus de 1890 prisonniers palestiniens" seront libérés par Israël au cours de cette première phrase.

"Une fin définitive de la guerre"

Annoncé mercredi par les médiateurs, l'accord ambitionne, selon le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, de déboucher à terme sur "une fin définitive de la guerre", déclenchée par une attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023.

Sur 251 personnes enlevées ce jour-là, 94 sont toujours otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l'armée israélienne.

Plus de 120 morts depuis mercredi

Dans l'attente de la trêve, les frappes israéliennes ont continué sur la bande de Gaza faisant plus de 120 morts depuis mercredi, d'après les secours.

Samedi, cinq membres d'une même famille de déplacés palestiniens ont péri dans un bombardement qui a touché leur tente à Khan Younès (sud), selon la Défense civile. Des images de l'AFP ont montré des proches se lamentant devant des corps incluant celui d'un enfant.

Trois points d'accueil

Le gouvernement israélien a approuvé l'accord samedi, après le feu vert du Hamas. Des otages seront libérés dès dimanche, a annoncé le gouvernement israélien, sans préciser leur nombre ou à quelle heure.

Trois points d'accueil ont été installés à la frontière sud d'Israël avec Gaza, aux passages de Kerem Shalom, Eretz et à celui proche du kibboutz Réïm, a précisé un responsable militaire. Là, les captifs seront pris en charge par des médecins puis conduits vers des hôpitaux.

Selon des sources proches du Hamas, le premier groupe d'otages libérés devra être composé de trois Israéliennes. Israël a désigné 95 détenus palestiniens libérables dimanche, des femmes et mineurs en majorité, la plupart arrêtés après le 7-octobre. Leur libération interviendra après 14h00 GMT (15h00 heure suisse), d'après les autorités.

Parmi les prisonniers appelés à être libérés figure Zakaria al-Zoubeidi, responsable d'attentats et ex-chef local de la branche armée du Fatah, arrêté et écroué en 2019.

"Sur les décombres"

Dans la bande de Gaza ravagée par l'offensive israélienne menée en représailles à l'attaque du 7-octobre, de nombreux déplacés se préparent à rentrer chez eux.

"Je veux retourner chez moi et installer ma tente sur les décombres de ma maison" à Gaza-Ville, dit Oum Khalil Bakr, réfugiée à Nousseirat.

"Sans précédent dans l'histoire récente"

Selon l'ONU, la guerre a provoqué dans le territoire palestinien assiégé par Israël depuis octobre 2023, un niveau de destruction "sans précédent dans l'histoire récente".

Au moins 46'899 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans l'offensive israélienne à Gaza, déjà minée par un blocus israélien imposé depuis 2007, la pauvreté et le chômage, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l'ONU.

"600 camions d'aide par jour"

Selon le président américain, Joe Biden, la première phase de l'accord comprend aussi "un cessez-le-feu total", un retrait israélien des zones densément peuplées à Gaza et une augmentation de l'aide humanitaire dans un territoire menacé par la famine selon l'ONU.

Les autorités égyptiennes ont annoncé que l'accord prévoyait "l'entrée de 600 camions d'aide par jour dans Gaza, incluant 50 camions de carburant".

"Israël n'empêchera pas l'aide humanitaire d'entrer", a assuré samedi le chef de l'ONU Antonio Guterres, admettant toutefois que sa distribution dans le territoire serait "complexe", mettant en garde notamment contre des pillages.

Pendant la première phase seront négociées les modalités de la deuxième, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la troisième et dernière étape consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages morts en captivité.

"13 mois gaspillés"

Vendredi, le Premier ministre qatari a déclaré à la chaîne à Sky News que le cadre de l'accord actuel était "le même que celui convenu en décembre 2023", déplorant que "13 mois de négociations (aient) été gaspillés" avec ce que cela a engendré comme pertes humaines.

Considérablement affaibli, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, est toutefois encore loin d'être anéanti, contrairement à l'objectif qu'avait fixé le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, selon des experts.

Malgré l'annonce de la trêve à Gaza, les rebelles houthis au Yémen, qui soutiennent les Palestiniens, ont revendiqué une attaque au missile samedi matin contre Israël, qui a été intercepté par l'armée. Un deuxième missile tiré du Yémen a été intercepté dans l'après-midi, d'après l'armée israélienne.

La ville de Tel-Aviv a aussi été le théâtre d'une attaque au couteau perpétrée par un "terroriste" selon la police, laissant entendre qu'il s'agirait d'un Palestinien. Un homme a été blessé et l'assaillant "neutralisé" par un civil armé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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En Autriche, Herbert Kickl prône "l'asile zéro"

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"On va construire notre Autriche forteresse à coup de demandes d'asiles rejetées, d'avis d'expulsions et de charters", a déclaré l'extrémiste de droite Helbert Kickl devant une large foule à Vösendorf, en Basse-Autriche. (© KEYSTONE/EPA/MAX SLOVENCIK)

Le chef de l'extrême droite autrichienne Herbert Kickl a déclaré samedi vouloir réduire l'asile à "zéro". Il s'exprimait dans un discours de politique générale présentant ce qu'il souhaiterait faire s'il accédait à la chancellerie.

Arrivé pour la première fois en tête lors des dernières législatives fin septembre, le Parti autrichien de la Liberté (FPÖ) est actuellement en négociation avec les conservateurs pour former un gouvernement et obtenir la chancellerie pour la première fois.

"On va construire notre Autriche forteresse à coup de demandes d'asiles rejetées, d'avis d'expulsions et de charters", a déclaré le chef du parti devant une large foule à Vösendorf, en Basse-Autriche.

Chiffres "trop élevés"

"Pour nous, asile veut dire protection tout près de la région en crise", pas "migration déguisée des peuples, ticket d'entrée dans le système social et accès à la nationalité", a-t-il ajouté.

Estimant que les chiffres de demandes d'asile déposées ces dernières années étaient "trop élevés", il a jugé que dans ce domaine aussi, l'Autriche avait "besoin d'un zéro, comme pour le déficit zéro".

"Retour aux deux sexes"

Pour Herbert Kickl, un "retour aux deux sexes" est par ailleurs nécessaire, "nos familles" étant "composées du père, de la mère et des enfants". L'Autriche a ouvert à tous le droit au mariage et à l'adoption en 2019.

Comparant l'Union européenne qui déroule un "communisme climatique" à "l'URSS et ses grandes planifications", il a rendu hommage à la génération d'après-guerre ayant reconstruit l'Autriche "dans la plus grande misère".

Herbert Kickl estime que sa génération a l'obligation de transmettre à la prochaine la "prospérité" pour laquelle elle a "travaillé dur".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Première ministre italienne assistera à l'investiture de Trump

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La Première ministre italienne Giorgia Meloni assistera à l'investiture de Donald Trump comme président des États-Unis lundi à Washington. (© KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)

La Première ministre italienne Giorgia Meloni assistera à l'investiture de Donald Trump comme président des États-Unis, lundi à Washington, ont annoncé samedi ses services.

La cheffe de gouvernement d'extrême-droite s'est positionnée comme la dirigeante européenne la plus proche du milliardaire américain et entretient des relations très amicales avec Elon Musk, très proche du nouveau président.

Aucun chef d'État ou de gouvernement étranger n'est traditionnellement invité à la cérémonie d'investiture des présidents américains, où les pays sont représentés par leur ambassadeur.

Invitations de présidents

Mais Donald Trump en a décidé autrement cette fois, en invitant plusieurs dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping, qui a décliné cette invitation, le président argentin Javier Milei, ou encore l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro. Ce dernier, interdit de quitter le Brésil depuis février 2024 dans le cadre d'une enquête sur un projet présumé de coup d'État, ne pourra y assister.

L'eurodéputée d'extrême droite française Marion Maréchal se rendra elle aussi à la cérémonie d'investiture de Donald Trump, a-t-elle indiqué jeudi. Eric Zemmour avait annoncé la semaine dernière qu'il s'y participera également.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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