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Politique

L'UDC Vaud désignera son candidat aux Etats d'ici la fin de l'hiver

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Kevin Grangier, président de l'UDC Vaud, annoncera la candidature UDC pour les Etats d'ici la fin de l'hiver (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

L'UDC Vaud désignera son candidat dans la course au Conseil des Etats pour les élections fédérales 2023 d'ici la fin de l'hiver. L'Alliance vaudoise (PLR, UDC, Centre) se dirige vraisemblablement vers un ticket PLR-UDC pour viser les deux sièges vaudois actuellement détenus par les sortants Olivier Français (PLR) et Adèle Thorrens (Verts).

Le PLR Vaud doit choisir le 8 décembre en congrès entre l'ancien conseiller d'Etat Pascal Broulis et la conseillère nationale Jacqueline de Quattro. "Nous choisirons nous notre candidat vers la fin de l'hiver", a indiqué jeudi le président de l'UDC Vaud Kevin Grangier, interrogé par Keystone-ATS. Aucun nom ne sera donc désigné avant la fin de l'année.

"Nous devons encore finaliser nos accords au sein de l'Alliance vaudoise s'agissant des élections au Conseil national et au Conseil des Etats, notamment la question des apparentements. Pour les Etats, notre souhait est d'avoir un ticket PLR/UDC. Mais nous devons aussi réfléchir au rôle et à la place du Centre Vaud pour ces fédérales 2023", a expliqué M. Grangier.

"Profondeur de banc"

"Les discussions sont en cours avec l'Alliance vaudoise et nous aurons probablement un ticket commun avec l'UDC", avait aussi récemment confié à Keystone-ATS Marc-Olivier Buffat, président du PLR Vaud.

Pour la candidature UDC à la Chambre des cantons, M. Grangier se dit déjà satisfait d'avoir à disposition "une bonne profondeur de banc", pour reprendre une métaphore footbalistique. Selon lui, les conseillers nationaux Michaël Buffat et Jacques Nicolet sont clairement "à disposition". Mais il évoque aussi un grand intérêt de certains députés du Grand Conseil vaudois.

Réunis jeudi soir en congrès, les délégués du parti cantonal devaient discuter stratégie et objectifs pour les élections fédérales de l'automne prochain. Ils devaient notamment accepter une toute nouvelle liste, "UDC - Liberté et Mobilité" en plus des deux autres listes classiques, UDC Vaud et jeunes UDC Vaud.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Vingt-cinq chars Leopard devraient être revendus en Allemagne

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La commission de politique de sécurité du National veut la mise hors-service de 25 chars Leopard. La Suisse pourra ainsi revendre au constructeur allemand les véhicules dont elle n'a plus besoin, indiquent mardi les Services du Parlement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Rachat de Credit Suisse: le gouvernement suit la situation de près

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Des députés vaudois se sont inquiétés mardi des conséquences de la fermeture de Credit suisse sur l'emploi et l'économie du canton. Le Conseil d'Etat annonce suivre la situation de près (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Suite à deux interpellations développées mardi au Grand Conseil vaudois sur l'impact dans le canton de Vaud de la fermeture de Credit Suisse, le gouvernement a fait part de sa préoccupation quant à cette situation. La conseillère d'Etat Isabelle Moret a demandé au Service de l'emploi d'examiner différentes mesures.

La cheffe du Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP) s'exprimait suite aux questions posées au nom de l'Alliance vaudoise par l'UDC Yvan Pahud. Le député s'inquiétait de l'impact de la fermeture sur les employés vaudois, du Credit Suisse et d’UBS et sur l'économie, et s'interrogeait d'un éventuel soutien du Conseil d'Etat.

Un questionnement également porté dans une autre interpellation, celle du socialiste Jean Tschopp, sur les conséquences du fiasco de la banque pour le personnel, mais aussi les petits actionnaires, la Caisse de pension de l’Etat de Vaud, le canton, les communes ou encore les institutions culturelles et sportives pour leur contrat de sponsoring.

Isabelle Moret a fait part de la préoccupation du Conseil d'Etat, relevant que dans le canton, Credit Suisse compte 480 collaborateurs et six succursales, UBS 900 employés et quatorze succursales. La ministre a pris le pouls des associations économiques, des banques concernées et d'autres, afin de sonder et sentir la situation.

La conseillère d'Etat a également demandé au Service de l'emploi d'examiner différentes mesures avant et après la fermeture du Credit Suisse. "Nous avons décidé de monitorer la situation régulièrement, afin d'être prêt à agir le moment venu", a-t-elle déclaré.

Il faut cependant agir au niveau suisse et pas seulement vaudois, a-t-elle poursuivi. La Conférence des directeurs cantonaux de l'économie publique plaide pour une task force au niveau national. "Nous avons écrit à la Confédération et demandons des garanties pour les clients privés et les PME", a-t-elle relevé, en amont de la réponse aux deux interpellations.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Le Bureau du Conseil national veut une CEP sur Credit Suisse

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La Commission d’enquête parlementaire devrait être chargée établir les responsabilités des autorités et organes concernant la reprise du Credit suisse par l’UBS (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le Bureau du Conseil national a décidé à l'unanimité lundi de proposer la création d'une Commission d'enquête parlementaire (CEP) sur la reprise de Credit Suisse par UBS. Cette proposition va être transmise au Bureau du Conseil des Etats.

Cette commission d'enquête devrait être chargée d'"établir les responsabilités des autorités et organes concernant la reprise de Credit suisse par UBS", indiquent lundi les services du Parlement dans un communiqué.

La gauche a déjà demandé la mise sur pied d'une commission d'enquête parlementaire (CEP), l'instrument le plus fort du Parlement. Elle souhaite une clarification complète des responsabilités politiques sur cette débâcle et, selon elle, seule une CEP permettra de le faire.

L'UDC s'est aussi dite "ouverte", mais pour autant qu'elle ait un mandat clair. Quant au PLR, il veut examiner l'éventualité d'une CEP lors de la session extraordinaire sur la thématique, agendée pour mi-avril.

Trois jours de session extraordinaire

Cette session extraordinaire doit se pencher entre autres sur les crédits d'engagement de 109 milliards décidés par le Conseil fédéral pour garantir la fusion.

Le Bureau du National en a établi le programme. Les débats débuteront le mardi 11 avril. La journée du 12 avril sera consacrée à l'élimination des divergences entre les deux conseils. Le 13 avril est maintenu comme jour de réserve.

Une session est convoquée si, en l’espace d’une semaine, au moins un quart des parlementaires le demande. Concernant Credit Suisse, 118 élus du Conseil national et sept sénateurs ont déposé leurs signatures, précisent les services du Parlement sur Twitter.

Jusqu'à présent, seules quatre CEP ont vu le jour. Elles se sont intéressées à l'affaire des Mirage et celle des fiches, à la démission d'Elisabeth Kopp et aux dysfonctionnements de la caisse de prévoyance de la Confédération (PUBLICA).

Le Bureau du Conseil national est composé du président de la Chambre du peuple Martin Candinas (Centre/GR), des deux vice-présidents Eric Nussbaumer (PS/BL) et Maja Riniker (PLR/AG), des scrutateurs et des présidents des six groupes parlementaires.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Les aînés victimes de violence doivent demander de l'aide

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En dix ans, le nombre de cas de maltraitance de personnes âgées et d'abus dénoncés a doublé en Suisse (Photo prétexte). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Plus de 300'000 personnes âgées de plus de 60 ans en Suisse sont victimes chaque année d'une certaine forme de violence, mais peu d'entre elles demandent de l'aide, constate Pro Senectute. Or les soutiens ne manquent pas, précise l'organisation lundi.

Pro Senectute explique cette discrétion par plusieurs raisons. Les uns ont honte de leur situation. D'autres craignent les conséquences, par exemple d'être placés en EMS. D'autres encore ne savent pas à qui s'adresser. Avec les différentes autorités concernées, Pro Senectute a donc lancé une campagne nationale de prévention ce mois "Vieillesse sans Violence".

Les offres d'aide ne manquent pas, ne serait-ce qu'à travers les plus de 100 bureaux de consultation de Pro Senectute dans toute la Suisse, écrit l'association. On y prend en considération la situation dans son ensemble. Pro Senectute propose une aide de proximité aux victimes et cherche des solutions avec toutes les parties concernées, affirme-t-elle.

Selon Pro Senectute, les violences peuvent s'exercer consciemment mais aussi inconsciemment. Elles prennent dès lors des formes aussi diverses que les coups (violence physique), la soustraction d'argent ou l'exploitation (violence financière), le viol ou le harcèlement (violence sexuelle) et enfin l'humiliation, les menaces, l'isolement (violences psychologiques).

Deux fois plus de cas

En dix ans, le nombre de cas de maltraitance et d'abus signalés envers les personnes âgées a doublé en Suisse, révélait en 2021 Pro Senectute. Sachant que par peur ou par honte, seule une fraction des victimes dénonce ces délits aux autorités, Pro Senectute en conclut que près d'une personne retraitée sur trois en Suisse a été victime au moins une fois de maltraitance et d'abus sous une forme ou une autre.

Pro Senectute est la plus grande et la plus importante organisation spécialisée dans les questions liées à la vieillesse et proposant des prestations aux personnes âgées et à leurs proches en Suisse. Elle conseille gratuitement les seniors dans plus de 130 bureaux de consultation et leur propose toutes sortes de prestations. Forts de 1800 collaboratrices et collaborateurs et 18'400 bénévoles, Pro Senectute offre ses services à quelque 700'000 personnes retraitées et leurs proches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les voyageurs suisses invités à éviter l'Allemagne lundi, en grève

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Les Allemands vont connaître une nouvelle grève lundi (archives). (© KEYSTONE/DPA/MARIJAN MURAT)

Les voyageurs suisses seront également touchés par la grève en Allemagne lundi. Les aéroports et les CFF déconseillent de se rendre ce jour-là dans le pays voisin du nord.

Comme la grève a été annoncée depuis un certain temps, les compagnies d'aviation ont eu le temps de prendre des mesures, a indiqué une porte-parole de l'aéroport de Kloten dimanche à Keystone-ATS. La plupart des vols en direction de l'Allemagne ont été déplacés et les passagers transférés.

La compagnie aérienne Swiss annule déjà dimanche tous les vols entre la Suisse et Munich. Lundi, toutes les liaisons vers Munich et Francfort seront supprimées.

Les vols à destination de Berlin ne sont en revanche pas concernés par le débrayage et auront lieu comme prévu, a précisé un porte-parole de Swiss.

Sur le rail

Les CFF recommandent également de ne pas voyager en Allemagne le jour de la grève: tant les liaisons ICE que les trains de nuit et les trains régionaux en provenance et à destination de l'Allemagne seront biffés. Certaines suppressions auront lieu dès dimanche et d'autres sont encore prévues mardi. Les CFF remplacent de nombreux trains transfrontaliers, mais uniquement en Suisse.

La grève d'une journée entière débutera normalement à minuit dans la nuit de dimanche à lundi, pour se terminer 24 heures plus tard. Outre le trafic aérien et ferroviaire, les voies navigables, les ports et la société des autoroutes seront également concernés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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