Rejoignez-nous

International

Le RN annonce la censure, le gouvernement Barnier tient à un fil

Publié

,

le

Pour le président du RN, Jordan Bardella, "c'est plié", le gouvernement sera censuré s'il recourt au 49,3 (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Le gouvernement français dirigé par Michel Barnier survivra-t-il à la semaine qui s'ouvre? Le RN a annoncé lundi son intention de voter la motion de censure que la gauche pourrait déposer sur le budget de la Sécurité sociale, si le gouvernement avait recours 49.3.

Ce texte, issu d'un compromis entre une commission de sénateurs et députés, sera examiné à partir de 15h00. En l'état, il ne devrait être voté ni par la gauche ni par l'extrême droite, dans une Assemblée divisée.

Mais si le gouvernement utilise l'article 49.3 de la Constitution pour le faire adopter sans vote, "c'est plié", le gouvernement sera censuré, a annoncé le président du RN Jordan Bardella lundi. "Sauf évidemment, miracle de dernière minute, si Michel Barnier venait à revoir sa copie d'ici 15h00. Mais j'ai peu d'espoir qu'il soit touché par la grâce", a ironisé M. Bardella.

Après avoir obtenu que le gouvernement abandonne la hausse des taxes sur l'électricité et réduise l'aide médicale d'Etat pour les sans-papiers, le RN exigeait de nouvelles concessions, notamment sur la revalorisation des pensions de retraite ou un retour en arrière sur la baisse du remboursement de certains médicaments.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Le CICR a augmenté son dispositif à Tawila au Soudan

Publié

le

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a surtout soutenu par une aide financière les déplacés à Tawila au Soudan (archives). (© KEYSTONE/AP/Mohammed Abaker)

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a augmenté son assistance à Tawila où ont fui des dizaines de milliers de personnes. Mardi à Genève, il a demandé à pouvoir entrer durablement à El-Facher après les récents massacres.

A Tawila, le CICR a pu distribuer une aide financière avec le Croissant-Rouge local à environ 60'000 déplacés. Il veut l'étendre dans les prochains jours à plus de 70'000 personnes supplémentaires. "Les familles arrivent les mains vides", a affirmé à la presse le directeur régional du CICR Patrick Youssef.

Le CICR aide également à l'approvisionnement médical de l'hôpital soutenu par Médecins Sans Frontières (MSF) et aux centres de santé dans la région. Environ 7000 personnes disparues ont été enregistrées par l'organisation et des centaines de coups de téléphone ont été facilités à Tawila pour maintenir un lien entre proches.

"Nos équipes sont dispersées autour d'El-Facher" tant il est difficile d'anticiper où se rendent ceux qui fuient la ville, a affirmé M. Youssef qui souhaite se rendre dans la région dans les prochaines semaines. Mais l'organisation ne sait pas ce qui a lieu dans celle-ci après la reprise il y a quelques semaines par les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) avec lesquelles elle dialogue.

Besoin d'accès

"Il est impossible de savoir combien de personnes sont bloquées dans la ville", ajoute le directeur régional. "Ce dont nous avons besoin, c'est d'avoir, comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, l'accès humanitaire adapté" à El-Facher, insiste-t-il encore.

Autre préoccupation, la situation au Kordofan même si elle n'est pas similaire à El-Facher où les paramilitaires ciblaient des personnes déjà déplacées. "Il y a une inquiétude", affirme le directeur régional qui demande une approche pour l'ensemble du pays.

Depuis le début de la guerre, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont quatre millions de réfugiés. Selon les estimations, plus de 21 millions de personnes font face à une importante insécurité alimentaire. Plus de 206'000 sont confrontées à la famine. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Crédit Agricole veut augmenter d'un quart ses bénéfice d'ici 2028

Publié

le

Le groupe bancaire a largement dépassé la plupart des ambitions de son précédent plan annoncé en 2022. (© KEYSTONE/EPA FILE/IAN LANGSDON)

Huit millions de clients en plus et 25% de bénéfice net supplémentaire: le groupe bancaire Crédit Agricole a détaillé mardi ses ambitions pour 2028 lors de la présentation de son plan stratégique à moyen terme, "Act".

Crédit Agricole S.A, entité cotée qui regroupe la majeure partie de l'activité du groupe, vise 60 millions de clients à horizon 2028, et un bénéfice net qui dépassera 8,5 milliards d'euros (7,8 milliards de francs), contre 6,9 milliards d'euros en 2024 à données comparables.

Cet objectif est supérieur de 500 millions d'euros aux estimations des analystes financiers interrogés par la plateforme financière Factset.

Le groupe bancaire a largement dépassé la plupart des ambitions de son précédent plan annoncé en 2022.

Il visait alors un bénéfice net de 6 milliards d'euros pour 2025, palier déjà franchi sur les neuf premier mois de l'année.

Crédit Agricole SA se donne par ailleurs pour objectif de "de devenir la première banque des jeunes en France", notamment par le biais de "solutions mobiles" et d'"interactions vocales", entre autres.

La banque veut également largement se développer en Italie, son deuxième marché, avec un objectif de 6,5 millions de clients. Elle détient déjà environ 20% des actions de Banco BPM, une des plus importantes banques du pays, et espère obtenir l'autorisation de la Banque centrale européenne (BCE) pour monter encore davantage.

Crédit Agricole SA entend également réaliser ses objectifs en réussissant à dégager 750 millions d'euros d'économies, notamment par des "plans de transformation de métiers" incluant une "rationalisation" de ses systèmes informatiques, sans donner davantage de précision.

Sur son volet gestion d'actifs, elle s'attend à une accélération sur les ETF (les fonds dont les parts sont échangeables en bourse, de plus en plus populaires), l'épargne liée à la retraite en Europe et un développement du marché asiatique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Le bitcoin chute sous les 90'000 dollars

Publié

le

Après la fin du "shutdown" aux Etats-Unis, les acteurs du marché craignent que les nouvelles données économiques américaines ne viennent assombrir davantage les perspectives de baisse des taux, soulignent les analystes. (© KEYSTONE/DPA/FERNANDO GUTIERREZ-JUAREZ)

Le bitcoin est en recul, atteignant mardi son plus bas niveau depuis avril sous la barre des 90'000 dollars, à environ 89'300 dollars.

Après la fin du "shutdown" aux Etats-Unis, les acteurs du marché craignent que les nouvelles données économiques américaines ne viennent assombrir davantage les perspectives de baisse des taux, soulignent les analystes.

Vers 07h50, le bitcoin perdait 6% sur les dernières 24 heures, et 15% sur la semaine à 89'305 dollars.

"Les investisseurs sont pris dans l'étau des incertitudes monétaires, les marchés semblant actuellement osciller entre incertitude et reprise", souligne l'analyste indépendant Timo Emden.

"Le marché des cryptomonnaies traverse une nouvelle zone de turbulence et ce sont les actifs les plus spéculatifs qui encaissent le choc le plus violent", note pour sa part l'expert John Plassard.

L'indice MarketVector des petites cryptomonnaies (small caps numériques) a ainsi brièvement touché son plus bas niveau depuis 2020, "signe d'un assèchement brutal de l'appétit pour le risque", explique le responsable de la stratégie d'investissement chez Cité Gestion Private Bank. "La chute est d'autant plus marquante que le bitcoin lui-même a perdu près de 600 milliards de capitalisation depuis son sommet d'octobre, effaçant toute sa progression de l'année", note-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

International

Colombie: 15 mineurs tués dans des frappes militaires

Publié

le

Le Brésilien Gustavo Petro a admis le décès d'une quinzaine d'ados lors de raids opérés par les militaires. (© KEYSTONE/EPA/Carlos Ortega)

Les frappes militaires colombiennes contre des guérilléros ont tué 15 mineurs dans le pays depuis octobre, a annoncé lundi le président Gustavo Petro. Ce dernier a été vivement critiqué pour ces opérations ayant tué des adolescents victimes de recrutement forcé.

Sous la pression des Etats-Unis qui exigent plus d'actions contre le trafic de drogue, le président de gauche a intensifié son offensive contre les groupes armés avec des bombardements qui ont fait au total au moins 28 morts la semaine dernière.

Le Bureau du Défenseur du peuple colombien avait fait état samedi de la mort de sept mineurs lors de bombardements de l'armée visant une guérilla, dans le département amazonien du Guaviare (sud), le 10 octobre. Une opération qui a conduit le parquet général militaire et policier à annoncer l'ouverture d'une enquête.

Le chef de l'Etat a ensuite signalé lundi cinq autres mineurs décédés: quatre lors d'un bombardement le 1er octobre dans le département de Caqueta (sud) et un autre jeudi à Arauca (nord-est), à la frontière avec le Venezuela. "Tous sont des victimes du recrutement forcé par des criminels qui les ont entraînés dans les hostilités", a écrit M. Petro sur X.

L'autorité médico-légale a enfin assuré que trois autres mineurs avaient trouvé la mort dans un bombardement le 24 août à Guaviare.

La Défenseure du peuple, Iris Marin, a appelé samedi les forces militaires à "prendre toutes les précautions possibles pour protéger les enfants".

Le recrutement forcé d'enfants est l'une des graves violations des droits humains observées en Colombie au cours des six décennies de conflit entre armée, guérillas, paramilitaires et cartels.

Les groupes armés actifs dans le pays enrôlent des jeunes par la force ou la ruse afin de grossir leurs rangs, n'hésitant pas à les envoyer au combat, a souligné Mme Marin lors d'un entretien avec l'AFP en octobre.

Selon la Juridiction spéciale pour la paix créée dans le cadre de l'accord de paix signé en 2016 avec l'ex-guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), les groupes armés enlèvent en moyenne un mineur tous les deux jours depuis la signature de l'accord.

A moins d'un an de la fin de son mandat, le gouvernement de gauche de Gustavo Petro est confronté à l'échec de sa stratégie visant à négocier la paix avec les différents groupes armés du pays, et à la pire crise sécuritaire de la dernière décennie en Colombie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

L'ONU vote pour une force internationale à Gaza

Publié

le

Une force internationale sera déployée à Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté lundi pour le plan de paix de Donald Trump à Gaza, prévoyant en particulier le déploiement d'une force internationale, sous la pression des Etats-Unis qui mettaient en garde contre le risque d'une reprise de la guerre.

Treize membres du Conseil se sont prononcés en faveur du texte, que l'ambassadeur américain aux Nations unies Mike Waltz a qualifié d'"historique et constructif". La Russie et la Chine se sont abstenues.

Soutien suisse

La Suisse s'est réjouie de cette décision et a réaffirmé son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats. "La #Suisse salue l’engagement du Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur de la mise en ½uvre du plan de paix pour #Gaza, à travers l’adoption de la résolution d’aujourd’hui, y compris l’établissement d'une #ForceInternationaledeStabilisation.

Le respect du droit international, l’accès humanitaire et la protection des civils doivent rester au c½ur de tous les efforts sur le terrain. La Suisse réaffirme son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats, seul cadre durable pour la paix", peut-on lire sur le compte X du Département fédéral des affaires étrangères.

Pour Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, son adoption est "une étape importante dans la consolidation du cessez-le-feu" à Gaza, ravagée par deux années de guerre provoquée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien du 7 octobre 2023.

Une résolution qui "endosse" le plan Trump

La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.

Le texte "autorise" aussi une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de la sécurisation des frontières avec Israël et l'Egypte, de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques", de la protection des civils et de la formation d'une police palestinienne. La composition de cette force n'est pas évoquée.

Contrairement aux premières versions, l'éventualité d'un Etat palestinien est mentionnée. Après la réforme de l'Autorité palestinienne, "les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'Etat", dit le texte.La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.

Trump content, le Hamas pas du tout

Donald Trump a salué lundi l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de cette résolution. Elle entraînera selon lui "davantage de paix dans le monde".

"Cela restera comme l'une des approbations les plus importantes de l'histoire des Nations Unies", a réagi le président américain sur Truth Social, remerciant les pays siégeant au Conseil de sécurité, y compris la Russie et la Chine, qui se sont abstenues.

Pour sa part, le Hamas a déploré l'adoption d'une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.

"La résolution impose un mécanisme de tutelle internationale sur la bande de Gaza, ce que notre peuple, ses forces et ses composantes rejettent, et elle impose un mécanisme visant à atteindre les objectifs" d'Israël, écrit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué, déplorant notamment la mise sur pied d'une force internationale dont "la mission (...) inclut le désarmement" des groupes palestiniens à Gaza.

Un avenir clairement rejeté par Israël. "Notre opposition à un Etat palestinien sur quelque territoire que ce soit n'a pas changé", a insisté dimanche le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

L'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, a insisté de son côté sur le retour des corps des trois derniers otages encore à Gaza et la "démilitarisation du Hamas".

Objections russes

Pour la France, qui a voté en faveur de cette résolution, elle "répond aux besoins les plus urgents des populations et permet de soutenir les efforts de paix en cours".

"Nous nous sommes assurés que le texte (...) inclue des éléments importants pour nous, et notamment des références à la perspective d'un État palestinien", a ajouté une source diplomatique.

Louis Charbonneau, de l'ONG Human Rights Watch, a insisté sur le fait que la résolution ne diminue en rien "l'obligation qu'ont Israël et ses alliés de se conformer au droit international humanitaire et aux droits humains".

La Russie, qui a fait circuler un texte concurrent, avait justifié cette initiative par le fait que la résolution américaine n'allait pas assez loin sur la perspective d'un Etat palestinien, affirmant un "engagement indéfectible" en faveur de la solution à deux Etats.

L'ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a regretté que "le Conseil donne son aval à une initiative américaine sur la base de promesses de Washington, accordant le contrôle total de la bande de Gaza au Comité de la paix".

D'autres Etats membres ont exprimé des réticences, s'inquiétant d'un manque de clarté dans les mandats du Comité de la paix et de l'ISF.

Face à ce qu'ils ont qualifié de "tentatives de semer la discorde", les Etats-Unis avaient redoublé d'efforts ces derniers jours pour obtenir un feu vert.

"Voter contre cette résolution, c'est voter pour un retour à la guerre", a notamment lancé Mike Waltz avant le scrutin.

Les Américains ont également mis en avant le soutien des pays arabes et musulmans (Qatar, Egypte, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Indonésie, Pakistan, Jordanie, Turquie).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

GenèveIl y a 33 minutes

Meurtre de Vernier: le procureur requiert 16 ans de prison

Mardi, au second jour du procès de la femme qui a tué son mari à Vernier (GE) fin 2021, le...

GenèveIl y a 1 heure

Genève offre des activités pour sensibiliser à l'antibiorésistance

A l'occasion de la Semaine mondiale de sensibilisation à la résistance aux antibiotiques, l'Office cantonal...

Suisse RomandeIl y a 2 heures

Nouveau bâtiment sur le site de Cery: oui au crédit de 67 millions

Le Grand Conseil vaudois a approuvé mardi un gros crédit de 66,86 millions de francs...

Suisse RomandeIl y a 2 heures

Grand Conseil vaudois: la gauche apporte son soutien aux grévistes

Au Grand Conseil vaudois, la gauche de l'hémicycle a apporté son soutien "total" aux employés...

InternationalIl y a 2 heures

Le CICR a augmenté son dispositif à Tawila au Soudan

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a augmenté son assistance à Tawila où ont...

Suisse RomandeIl y a 2 heures

Vaud: une campagne pour valoriser l'apprentissage

Le Département vaudois de l'enseignement et de la formation professionnelle (DEF) a dévoilé mardi une...

EconomieIl y a 3 heures

La Poste réalise un résultat en baisse, mais solide

La Poste a réalisé un résultat d'exploitation de 183 millions de francs pour les neuf...

Suisse RomandeIl y a 3 heures

Vaud: Début de la journée de grève contre les coupes budgétaires

Une journée de grève de la fonction publique a débuté mardi dans tout le canton...

SuisseIl y a 3 heures

Les réseaux personnels des jeunes Suisses à la loupe

La famille proche occupe une place centrale dans la composition des réseaux personnels des jeunes...

SuisseIl y a 3 heures

Les dépenses de santé vont frôler les 110 milliards en 2027

Les dépenses de santé en Suisse vont atteindre près de 110 milliards de francs en...