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Politique

Le Conseil municipal adopte un contre-projet à l’initiative qui veut réduire les fêtes de Genève

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Les genevois voteront en 2018 sur deux variantes des Fêtes de Genève.

Dix jours, c’est la durée des Fêtes de Genève telle que décidée par le Conseil municipal de la Ville mardi soir.  Il a adopté, à une large majorité, un contre-projet à l’initiative IN 5 qui propose de les réduire à 7 jours avec des forains déplacés à Plainpalais. Le Contre-projet privilégie la formule des 10 jours et 11 soirées, soit la même que cette année. Le tout sur la rade de Genève. Le MCG et une partie du PLR souhaitaient que les fêtes durent 17 jours soit trois week-end. Le Conseil municipal n’en a pas voulu. La réaction du Conseiller administratif en charge de l’environnement urbain, Guillaume Barazzone.

Guillaume BarazzoneConseiller administratif en charge de l’environnement urbain

Des propos recueillis par Judith Monfrini

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International

Des parlementaires israélien et palestinien ont discuté à Genève

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La conseillère nationale Laurence Fehlmann Rielle (PS/GE) pourrait se rendre dans les prochains mois dans le cadre d'une mission de l'Union interparlementaire (UIP) au Proche-Orient avec certains homologues (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Des parlementaires israélien et palestinien se sont réunis autour de la même table à Genève. Une mission dans le cadre de l'Union interparlementaire (UIP) pourrait avoir lieu dans les prochains mois.

Depuis le massacre du 7 octobre et la guerre qui s'en est suivie, l'Assemblée de cette organisation a donné lieu à une rare réunion actuellement, dimanche dernier, entre un parlementaire israélien et son collègue palestinien. Ceux-ci sont membres du Comité de l'UIP sur le Proche-Orient, dont fait partie aussi la conseillère nationale Laurence Fehlmann Rielle (PS/GE).

"La discussion a été très courte" en raison d'une séance en plénière qui suivait, a-t-elle affirmé à Keystone-ATS. "Ils parlent ou plutôt ils s'engueulent, mais c'est déjà se parler", fait remarquer de son côté son collègue Laurent Wehrli (PLR/VD), membre du bureau de la Commission Paix et sécurité de l'UIP et qui a siégé dans ce comité avant la Genevoise.

Il dit avoir oeuvré pour que la Suisse conserve un siège. "Depuis plusieurs années, c'est l'un des seuls formats où les deux parties se rencontrent encore. Et c'est toujours le cas", salue-t-il. Et d'ajouter que "quand on se parle directement, c'est autre chose".

Sur la table actuellement, la date d'une mission du comité dans la région. La Knesset, le Parlement israélien, affirme ne pas pouvoir l'accueillir avant juillet. Etant donné la situation dans la bande de Gaza, les Palestiniens, soutenus par d'autres, souhaiteraient que cette mission puisse avoir lieu plus tôt.

Pas à la place de gouvernements

L'objectif est de pouvoir rencontrer des parlementaires et d'autres responsables à Jérusalem et Ramallah. Mais aussi peut-être à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, et Amman.

Face au blocage entre gouvernements, notamment au Conseil de sécurité de l'ONU où il aura fallu six mois jusqu'à lundi pour une résolution appelant à un cessez-le-feu, les parlementaires mettent en avant une approche plus informelle. Sans pour autant régler les divisions entre exécutifs.

"Ce n'est pas notre mission qui aboutira à un cessez-le-feu", admet Mme Fehlmann Rielle. "Notre rôle est plutôt d'établir un dialogue et de discuter de l'après-guerre".

Là encore, son collègue acquiesce. "Il ne faut pas penser que les parlements puissent remplacer les exécutifs", insiste M. Wehrli, raison pour laquelle la date n'aurait, selon lui, que des conséquences symboliques. D'autant plus que dans la phase actuelle, il doute que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "se sente obligé d'écouter ce que des parlementaires auraient à lui dire s'il les recevait".

La diplomatie parlementaire peut en revanche être "complémentaire", ajoute-t-il. Ces personnes votent les financements et ont par conséquent une influence. Et parfois, elles se retrouvent ensuite au gouvernement, affirme le conseiller national.

Plusieurs textes rejetés

La présidente de l'UIP Tulia Ackson s'est rendue fin novembre dans la région. "Il y a vraiment une volonté du Comité d'y aller", insiste Mme Fehlmann Rielle qui n'exclut pas que ses collègues de l'Etat hébreu cherchent à jouer la montre. "Ils ont proposé un calendrier" et devront assumer s'ils ne participent pas alors que la mission est finalisée, dit-elle.

Comme au Conseil de sécurité de l'ONU, les divisions en plénière restent importantes à l'UIP. Lors de l'Assemblée, à laquelle participaient des centaines de parlementaires de plus de 130 pays, la délégation israélienne a renoncé à un projet de résolution qui demandait la libération des otages retenus par le Hamas.

Deux autres textes ont été rejetés. L'un, sud-africain, appelait à l'application des ordonnances d'urgence prises par la Cour internationale de justice (CIJ) et l'autre, danois et soutenu par le groupe européen, demandait un cessez-le-feu. Dans une déclaration mercredi après-midi "au nom des parlementaires du monde entier", Mme Ackson et le secrétaire général de l'UIP Martin Chungong appellent toutefois à un "cessez-le-feu immédiat" et à aider urgemment les populations.

Avancée sur d'autres conflits

Plus largement, des exemples montrent l'intérêt d'une diplomatie parlementaire. Il y a quelques jours, les présidents des parlements arménien et azerbaïdjanais ont discuté à Genève grâce aux bons offices de l'organisation. M. Wehrli est lui désormais membre d'un dispositif pour faciliter le rapprochement entre collègues chypriotes turcs et chypriotes grecs. Un mécanisme de dialogue entre eux, notamment en cas d'urgence pour les deux communautés comme des incendies, a été établi.

Même constat sur l'Assemblée de l'UIP. "Cela fait chaud au coeur de se dire qu'il y a un lieu en Suisse où des parlementaires de pays ennemis se retrouvent en paix", glisse M. Wehrli.

"La diplomatie parlementaire est un vrai complément de l'ONU et d'autres instances multilatérales", renchérit M. Chungong. "Au-delà de l'effet d'annonce", les Arméniens et Azerbaïdjanais veulent poursuivre leur dialogue facilité par l'organisation, dit-il. Et de revendiquer une approche "plus discrète", "plus informelle" que la diplomatie gouvernementale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Frappes israéliennes meurtrières sur Gaza, discussions à venir

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Le ministère de la Santé du Hamas a fait état de 66 morts à Gaza au cours de la nuit de mercredi à jeudi. (© KEYSTONE/AP/Ohad Zwigenberg)

La bande de Gaza est le théâtre jeudi de raids aériens et d'affrontements féroces entre l'armée israélienne et des combattants palestiniens du Hamas. Le gouvernement de Netanyahu rouvre en parallèle la porte à des discussions avec son allié américain sur Rafah.

Tôt jeudi, le ministère de la Santé du Hamas a fait état d'au moins 66 morts à Gaza au cours de la nuit, notamment dans des frappes aériennes, tandis qu'un haut responsable local rapportait des combats près de la ville de Gaza (nord) et à Khan Younès (sud). En parallèle, l'agence de presse palestinienne Wafa a dénombré des heurts dans différentes localités de la Cisjordanie occupée.

L'armée israélienne, qui accuse les combattants du Hamas de se cacher dans les hôpitaux, poursuit son opération lancée le 18 mars dans le complexe hospitalier al-Chifa de Gaza-Ville. A Khan Younès, les soldats mènent des opérations dans le secteur des hôpitaux Nasser et al-Amal, distants d'environ un kilomètre. L'hôpital al-Amal "a cessé de fonctionner complètement", a indiqué plus tôt cette semaine le Croissant-Rouge palestinien après l'évacuation des civils qui s'y trouvaient.

En réponse à l'abstention des Etats-Unis concernant une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU appelant lundi à un "cessez-le-feu immédiat" dans la bande de Gaza, le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait annulé l'envoi d'une délégation à Washington pour discuter du projet d'offensive terrestre à Rafah. Mercredi, un haut responsable américain a déclaré que les services de M. Netanyahu avaient "fait savoir qu'ils aimeraient trouver une nouvelle date pour organiser la réunion consacrée à Rafah".

Après Gaza-Ville et Khan Younès, Israël veut poursuivre son offensive terrestre jusque dans cette ville à la pointe sud de la bande de Gaza, considérée comme le dernier grand bastion du Hamas, et où s'entassent 1,5 million de Palestiniens, en grande majorité déplacés par les violences ailleurs dans le territoire. Premier allié d'Israël, les Etats-Unis redoutent le bilan humain d'une telle opération et préfèrent d'autres options comme des mesures ciblées contre des chefs locaux du Hamas.

En parallèle, le Qatar - pays médiateur avec l'Egypte et les Etats-Unis - a assuré cette semaine la poursuite des négociations indirectes entre Israël et le Hamas visant à arracher une trêve de plusieurs semaines dans les combats doublée d'un échange d'otages israéliens et de prisonniers palestiniens.

"Menaces" et soutiens

La guerre a été déclenchée le 7 octobre par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël qui a entraîné la mort d'au moins 1.160 personnes, essentiellement des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. D'après Israël, environ 250 personnes ont été enlevées et 130 d'entre elles sont toujours otages à Gaza, dont 34 seraient mortes.

En représailles, Israël a juré de "détruire" le Hamas - qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne - et lancé une vaste opération qui a fait 32'490 personnes morts, majoritairement des femmes et des mineurs, selon le ministère de la Santé du Hamas.

L'experte des Nations unies ayant affirmé qu'il existait des motifs raisonnables" de croire qu'Israël avait commis plusieurs "actes de génocide" à Gaza, Francesca Albanese, a affirmé mercredi avoir reçu des "menaces" mais assure ne pas vouloir démissionner

Un grand nombre de pays, pour la plupart arabes et musulmans mais aussi d'Amérique latine, ont apporté leur soutien cette semaine à cette rapporteure spéciale de l'ONU sur les territoires palestiniens occupés au centre d'une controverse, certains observateurs estimant que ses déclarations sont parfois trop musclées.

"A quelques kilomètres"

Outre le lourd bilan humain et les destructions colossales, la guerre a provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire palestinien exigu, où la majorité des 2,4 millions d'habitants sont menacés de famine selon l'ONU.

Alors que l'aide humanitaire par voie terrestre contrôlée strictement par Israël y arrive au compte-gouttes, plusieurs pays arabes et occidentaux parachutent quotidiennement des vivres, surtout dans le nord de la bande de Gaza où la situation est particulièrement désespérée.

"Une aide alimentaire est habituellement parachutée quand les personnes sont isolées, à des centaines de kilomètres de tout. Ici, l'aide dont on a besoin est à peine à quelques kilomètres: il faut utiliser les routes!", a déclaré James Elder, porte-parole de l'Unicef, depuis Rafah.

Mardi, le Hamas avait annoncé la mort de 18 personnes, dont 12 noyées en essayant de récupérer de la nourriture parachutée tombée en mer, appelant à l'arrêt des largages et à l'ouverture des accès terrestres pour l'acheminement des aides. "Quand les parachutes sont tombés à l'eau, de jeunes hommes et des garçons ont commencé à patauger dans leur direction. Malheureusement certains ne sont pas revenus", a raconté à l'AFP Ouday Nassar, témoin du drame.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ex-sénateur américain Joe Lieberman est mort

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Joe Lieberman était connu pour sa modestie et son calme. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

L'ancien sénateur américain Joe Lieberman est mort mercredi à 82 ans, a annoncé sa famille. Il a été le colistier d'Al Gore à la présidentielle de l'an 2000.

Il est décédé à New York dans l'après-midi "à la suite de complications liées à une chute", a-t-elle indiqué dans un communiqué.

Ce diplômé en droit de l'université de Yale a d'abord été un élu du Connecticut, puis le principal procureur de cet Etat, avant de remporter un siège au Sénat pour la première fois en 1988 sur un ticket démocrate. Modeste, souvent souriant et perdant rarement son calme, Joe Lieberman a été une voix modérée lorsque la fracture entre les deux partis a commencé à s'accroître dans les années 1990.

En 1988, il a été le premier démocrate au Sénat à critiquer vivement le président Bill Clinton au sujet de sa liaison avec Monica Lewinsky qui avait fait scandale, bien que Lieberman ne soit pas allé jusqu'à appeler à sa mise en accusation. Cette position de compromis a amené Al Gore à choisir Lieberman comme son compagnon de course pour le tandem démocrate à la présidentielle de 2000, ce qui en fait le premier juif à se présenter comme vice-président.

Ils ont remporté le vote populaire national, mais ont perdu l'élection au collège électoral, après que la Cour suprême a tranché en faveur des républicains suite à un imbroglio historique concernant le dépouillement des bulletins de vote en Floride. Dans les années qui ont suivi, Joe Lieberman a choqué son parti en défendant fermement les guerres de George W. Bush en Irak et en Afghanistan.

Après avoir perdu la primaire démocrate pour la réélection dans son Etat natal du Connecticut en 2006, il a quitté le parti et s'est présenté comme indépendant, réussissant à récupérer le siège avec l'aide d'électeurs conservateurs. Il a quitté le Congrès en 2013.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Frappes israéliennes sur Gaza, combats autour d'hôpitaux

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Les largages d'aide humanitaire sur la bande de Gaza sont décriés par certains. Mardi, le Hamas a annoncé la mort de 18 personnes, dont 12 noyées en essayant de récupérer de la nourriture parachutée tombée en mer. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Des dizaines de Palestiniens ont été tués mercredi dans d'intenses bombardements israéliens sur la bande de Gaza assiégée et menacée de famine. Des affrontements ont opposé soldats israéliens et combattants palestiniens du Hamas aux abords de plusieurs hôpitaux.

Déclenchée le 7 octobre par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël, la guerre ne connaît aucun répit dans le territoire palestinien assiégé, où 76 Palestiniens ont péri en 24 heures, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Une boule de feu a illuminé le ciel nocturne au-dessus de Rafah après une frappe aérienne sur cette ville du sud de la bande de Gaza où sont massés 1,5 million de Palestiniens selon l'ONU, en majorité des déplacés qui vivent sous la menace d'une offensive terrestre annoncée par Israël.

"Des gens étaient assis et tout à coup, des débris ont envahi l'endroit. Ils ont échappé à la mort (avant de se réfugier à Rafah), pour l'affronter ici", a raconté Moussa Dahir, rescapé d'une frappe dans cette ville qui a tué ses parents et détruit sa maison.

Hôpital al-Amal à l'arrêt

Pendant ce temps, l'armée qui accuse les combattants du Hamas de se cacher dans les hôpitaux, poursuit son opération lancée le 18 mars dans le complexe hospitalier al-Chifa de Gaza-Ville dans le nord. Elle a dit avoir tué jusque-là "des dizaines de terroristes", en avoir arrêté "des centaines" et saisi des armes.

A Khan Younès dans le sud, les soldats mènent des opérations dans le secteur des hôpitaux Nasser et al-Amal, distants d'environ un kilomètre. L'hôpital al-Amal "a cessé de fonctionner complètement", a indiqué mardi le Croissant-Rouge palestinien après l'évacuation des civils qui s'y trouvaient.

A l'hôpital Nasser, encerclé par des dizaines de chars et de blindés, des milliers de civils s'y trouvaient encore mardi, d'après la même source. Les soldats ne sont pas entrés "à l'intérieur de l'hôpital", a précisé l'armée.

"Libérer les otages"

Le 7 octobre, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza ont mené une attaque dans le sud d'Israël qui a entraîné la mort d'au moins 1160 personnes. En représailles, Israël a lancé une offensive sur la bande de Gaza qui a fait 32'490 morts selon le dernier bilan du ministère de la Santé du Hamas.

Mercredi, le porte-parole de l'armée, le contre-amiral Daniel Hagari, a appelé "le monde à agir" et faire "tout pour libérer nos otages", après la publication dans le New York Times d'une interview d'une ex-otage du Hamas, Amit Soussana, une avocate de 40 ans qui a fait des révélations d'agressions sexuelles subies pendant sa captivité de 55 jours.

Outre le lourd bilan humain et les destructions colossales, la guerre a provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire palestinien exigu, où la majorité des 2,4 millions d'habitants sont menacés de famine selon l'ONU.

Alors que l'aide humanitaire par voie terrestre contrôlée strictement par Israël y arrive au compte-gouttes, plusieurs pays arabes et occidentaux parachutent quotidiennement des vivres surtout dans le nord de la bande de Gaza où la situation est particulièrement désespérée.

Mardi, le Hamas a annoncé la mort de 18 personnes, dont 12 noyées en essayant de récupérer de la nourriture parachutée tombée en mer, appelant à l'arrêt des largages et à l'ouverture des accès terrestres pour l'acheminement des aides.

Israël prêt à discuter de Rafah

Alors qu'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU appelant lundi à un "cessez-le-feu immédiat" est restée sans effet, le Qatar, pays médiateur avec les Etats-Unis et l'Egypte, a affirmé le lendemain que les négociations indirectes entre le Hamas et Israël pour une trêve associée à un échange d'otages et de prisonniers palestiniens se poursuivaient, malgré les obstacles.

Le gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu avait exprimé sa colère après l'abstention de l'allié américain, qui a permis l'adoption de la résolution à l'ONU, et avait annulé l'envoi d'une délégation à Washington pour discuter du projet d'offensive terrestre à Rafah.

Mais mercredi, un haut responsable américain a déclaré que les services de M. Netanyahu avaient "fait savoir qu'ils aimeraient trouver une nouvelle date pour organiser la réunion consacrée à Rafah". Les Etats-Unis ont durci le ton face à l'allié israélien et estiment qu'une offensive terrestre de grande ampleur contre Rafah "risquerait de tuer davantage de civils".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Présidentielle au Sénégal: large victoire pour l'opposant Faye

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L'opposant Bassirou Dioumaye Faye, vainqueur de la présidentielle au Sénégal, lors de sa première conférence de presse après le scrutin dimanche. (© KEYSTONE/EPA/JEROME FAVRE)

L'opposant sénégalais Bassirou Diomaye Faye l'a largement emporté dès le premier tour de la présidentielle avec 54,28% des voix, indiquent les résultats finaux provisoires proclamés mercredi. Il est loin devant le candidat du pouvoir Amadou Ba (35,79%).

Le troisième, Aliou Mamadou Dia, candidat du Parti de l'unité et du rassemblement, n'a recueilli que 2,8% des suffrages, selon les chiffres annoncés au tribunal de Dakar par le président de la Commission nationale de recensement des votes, Amady Diouf.

La victoire de l'opposant antisystème, encore en prison une dizaine de jours avant le scrutin de dimanche, doit maintenant être validée par le Conseil constitutionnel, ce qui pourrait être fait dans quelques jours en fonction d'éventuels recours.

Cette victoire était déjà entendue après la publication officieuse de résultats partiels. La publication par la Commission nationale de recensement des votes, relevant de la justice, en confirme l'ampleur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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