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Politique

Des Hauts et Débats – Les cliniques privées face aux HUG

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Bertrand Levrat, directeur général des Hôpitaux universitaires de Genève et Raymond Loretan, président de Swiss Medical Networks étaient les invités de Ghufran Bron et Olivier Francey dans l’émission Des Hauts et Débats. Réécoutez.

Des Hauts et Débats - Bertrand Levrat, Raymond Loretan

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Economie

Le bureau de poste de Saint-François à Lausanne sera maintenu

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La filiale de La Poste de Saint-Francois à Lausanne avait reçu le soutien de plusieurs manifestants, d'un collectif et d'une pétition (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Le bureau de poste de Saint-François à Lausanne sera maintenu. La filiale réintégrera l'Hôtel des postes au plein coeur de la ville une fois les travaux de transformation dans le bâtiment historique terminé, a annoncé jeudi La Poste dans un communiqué. Le chantier débutera en janvier 2024 et durera quelques années.

Durant cette fermeture temporaire, les clients pourront effectuer leurs transactions postales auprès de la filiale de Lausanne 1 à l'avenue de la Gare, qui se présentera dans un environnement modernisé et celle de la Riponne, tout comme dans la filiale en libre-service en face de la gare, ajoute le géant jaune. Les bureaux de Postfinance, actuellement aussi dans la bâtisse de Saint-François, déménageront, eux, durablement au Flon dès le 20 décembre.

"La Poste est heureuse d'annoncer que la filiale de Saint-François, sise à la Place Saint-François 15, intégrera de nouvelles surfaces dans les locaux de l'Hôtel des postes, une fois la rénovation entreprise par la société propriétaire PSP Real Estate AG (PSP)", écrit-elle. Les clients pourront y effectuer leurs dernières transactions postales jusqu'au samedi 30 décembre à 11h30, précise-t-elle.

"Avec le maintien de la filiale postale à Saint-François, La Poste confirme ce qu'elle a toujours souhaité, à savoir rester dans le bâtiment actuel", confie Sylvie Grossenbacher-Chevalier, responsable du réseau postal pour la région Vaud-Valais-Fribourg, citée dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le National débat du budget 2024 de la Confédération

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Les députés se penchent jeudi sur l'examen du budget 2024 (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le National a commencé jeudi son examen du budget 2024. Avant de plonger dans les détails, le camp bourgeois a souligné l'importance de respecter le frein à l'endettement. Pour la gauche, il faut agir sur les recettes et revenir sur la hausse des dépenses de l'armée.

"Le frein à l'endettement n'est pas négociable", a souligné Alex Farinelli (PLR/TI). Sans cet instrument, c'est la sécurité de l'Etat qui est en péril. Il faudra donc que chaque nouvelle dépense soit financée ou compensée. Et le Tessinois d'en appeler à la responsabilité des cantons: "Chaque niveau institutionnel doit faire sa part."

Faisant lui aussi référence aux demandes des dernières années pour que la Confédération assume de nouvelles tâches, Markus Ritter (C/SG) a comparé le budget fédéral à une vache laitière que de plus en plus de mains voudrait traire tout en réduisant le fourrage. "Cela met la bête en danger."

Il faudra donc limiter la croissance des dépenses de la Confédération. Le Centre se battra pour que l'agriculture et le transport régional disposent de suffisamment de moyens, a toutefois souligné son collègue Philipp Matthias Bregy (C/VS).

Martin Bäumle (PVL/ZH) a aussi relevé l'importance du frein à l'endettement. Et d'ajouter qu'il faudra apprendre à fixer des priorités et que des sacrifices devront être faits de toutes parts.

Pour l'UDC, la situation actuelle est due à "la politique irresponsable du camp rose-vert", a accusé Lars Guggisberg (UDC/BE). Et de plaider: "Nous devons revenir à la raison budgétaire." Pour ce faire, le parti propose de se concentrer sur la Suisse, ce qui implique une agriculture et une armée fortes ainsi que des PME qui assurent la prospérité. Il veut également des coupes dans les frais de personnel.

Ne pas augmenter les dépenses de l'armée

Pour la gauche, il faut au contraire revenir sur l'augmentation des dépenses de l'armée. C'est le seul domaine qui n'est pas concerné par les coupes budgétaires, a relevé Laurence Fehlmann Rielle (PS/GE). Et d'ajouter qu'il est illusoire de croire que "plus on s'arme, plus on est en sécurité". La Genevoise a aussi souligné la nécessité d'agir sur les recettes.

Un point également relevé par Felix Wettstein (Vert-e-s/SO), qui a plaidé pour davantage de moyens pour le transport régional. Et d'indiquer que les Vert-e-s décideront au cours des débats s'ils peuvent soutenir le budget.

La ministre des finances Karin Keller-Sutter a rappelé qu'il n'y avait pratiquement pas de marge de manoeuvre et enjoint les députés de proposer un contrefinancement s'ils augmentent certaines dépenses.

Le débat se poursuit par blocs thématiques. Les députés discutent pour commencer des dépenses relevant du domaine propre de la Confédération.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Neuf rues de la Ville de Genève renommées d'après des femmes

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L'ancienne résistante et déportée française Noëlla Rouget, décédée en 2020 à l'âge de 100 ans, donnera son nom à la portion de la rue Jean-Senebier devant le Monument aux morts (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Neuf rues et places de la Ville de Genève vont être renommées d'après des femmes qui ont marqué l'histoire locale. La portion de la rue Jean-Senebier devant le monument aux morts deviendra la place Noëlla-Rouget, d'après la résistante d'origine française décédée en 2020, à 100 ans.

Le Conseil d'Etat a suivi les recommandations de la commission cantonale de nomenclature pour valider les propositions faites par la Ville de Genève, a-t-il annoncé mercredi à l'issue de sa séance hebdomadaire. Il se dit particulièrement attentif à ce que ces changements soient acceptés et exclut désormais les rues pour lesquelles les habitants ont manifesté des oppositions.

La Ville de Genève avait déposé un dossier comportant 16 changements de dénominations, a-t-elle rappelé mercredi. Le gouvernement en a refusé sept, dont celui de rebaptiser la place des Alpes au nom de l'écrivaine et prostituée Grisélidis Réal (1929-2005). Une nouvelle proposition sera faite prochainement la concernant, a fait savoir le département municipal des finances, de l'environnement et du logement.

Cent plaques de rues

Parmi les rues renommées figure la rue de Beaulieu qui devient le chemin Rosette-Wolczak (1928-1943) d'après cette adolescente juive réfugiée à Genève, puis refoulée et morte à Auschwitz. La place Charles-Sturm, où se trouve le Pavillon de la danse, prend le nom de la danseuse Beatriz Consuelo (1932-2013), tandis que le parc dit Harry-Marc s'appellera parc du 14-Juin, date de l'inscription du principe d'égalité dans la Constitution en 1981.

Deux premières volées de dénominations féminines ont eu lieu en 2020 et en 2022, a rappelé le Conseil d'Etat. Ces modifications s'inscrivent dans la continuité du projet "100 Elles*" lancé en 2019 et qui vise à apposer cent plaques de rues portant des noms de femmes marquantes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Genève deviendra une ville refuge pour écrivains et artistes

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La Ville de Genève va adhérer au Réseau international des villes refuges ICORN. Elle accueillera ainsi un écrivain persécuté dans son pays à la Maison Rousseau et littérature (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Ville de Genève va adhérer au Réseau international des villes refuges ICORN. Elle rejoindra ainsi la septantaine de villes dans le monde qui s'engagent à offrir un refuge aux écrivains et artistes persécutés dans leur pays.

En tant que membre de l'International Cities of Refuge Network (ICORN), la Ville de Genève accueillera et logera un écrivain menacé à la Maison Rousseau et littérature (MRL) de 2024 à 2026, a-t-elle annoncé mercredi. Cette résidence temporaire de deux ans doit lui permettre de poursuivre son travail en sécurité.

L'objectif est que l'écrivain participe aussi aux activités de la MRL et échange avec la scène littéraire locale et nationale. Le choix de la personne sera fait au premier semestre 2024, a précisé Yannick Richter, porte-parole du Conseil administratif.

Parmi les villes membres de l'ICORN figurent Amsterdam, Barcelone, Berlin, Copehague, Detroit, Helsinki, Paris et Mexico. En Suisse, la Ville de Berne participe à ce réseau depuis 2019.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Exonération de l'impôt maintenue pour les véhicules électriques

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A Genève, le gouvernement veut continuer à encourager l'achat de voitures électriques et non à moteur thermique en les exonérant de l'impôt sur les véhicules (image d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Dans le canton de Genève, les propriétaires de voitures électriques continueront de bénéficier, en 2024, d'une exonération d'impôt sur leur véhicule à condition que celui-ci ne soit pas trop lourd. La limite de poids est fixée à maximum 2300 kg, contre 2500 kg actuellement.

Le Conseil d'Etat genevois a annoncé ce petit changement mercredi, à l'issue de sa séance hebdomadaire. Le gouvernement a décidé de maintenir l'exonération de l'impôt sur les véhicules électriques et à hydrogène "compte tenu de l'urgence climatique et des engagements pris en vue de diminuer drastiquement les émissions de CO2".

L'exécutif a toutefois légèrement abaissé la limite de poids afin de décourager l'achat de voitures électriques trop massives, comme des gros 4x4 ou des SUV. Dans un communiqué, le Conseil d'Etat se réjouit que la mise en vente sur le marché de modèles de voitures qui pèsent moins de 2300 kg soit "en constante augmentation".

Entre le 1er janvier et le 30 septembre de cette année, 522 nouvelles voitures électriques ont bénéficié de cette exonération fiscale, contre 823 du 1er janvier au 30 septembre 2022. L'exonération a aussi profité à 122 motos électriques (contre 157) et 92 voitures de livraison électriques (contre 43).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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