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Genève

L'assureur Helsana trouve un accord avec des cliniques privées

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Helsana, poids lourd de l'assurance maladie en Suisse, a trouvé une entente avec plusieurs cliniques et établissements de soins privés genevois et vaudois (image d'illustration). (© KEYSTONE/STEFFEN SCHMIDT)

Helsana a annoncé lundi avoir trouvé un accord tarifaire avec des cliniques privées de Genève et de Vaud pour le remboursement des soins couverts par l'assurance-maladie complémentaire. Cet accord concerne les établissements de La Colline (GE), des Grangettes (GE), Bois-Cerf (VD), Cecil (VD) et l'Hôpital de La Tour, à Meyrin (GE).

La solution tarifaire, négociée aussi avec les médecins, respecte les exigences de la FINMA (Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers), précise Helsana dans un communiqué. Avec cet accord, l'assureur garantit le remboursement des soins en privé et en semi-privé dans les établissements concernés.

Les négociations avec les cliniques et les médecins des deux cantons lémaniques ont été "longues et intensives", souligne Helsana. "Nous nous réjouissons d'avoir pu trouver une structure tarifaire qui respecte les intérêts de nos clients et les dispositions de l'organe de régulation", note le patron d'Helsana Roman Sonderegger.

A Genève, le système de facturation des soins couverts par l'assurance complémentaire, qui fonctionnait selon le modèle proposé par l'Association des médecins du canton de Genève, posait des problèmes à plusieurs assureurs qui ont refusé d'y souscrire. Seules trois assurances maladie l'avaient adopté.

Depuis, plusieurs assureurs récalcitrants ont pu trouver des accords par le biais de négociations bilatérales. Dernièrement, c'est la CSS qui avait conclu une entente avec l'Hôpital de la Tour.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Ouvertures dominicales des magasins: référendum déposé

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La question de l'ouverture dominicale des magasins revient régulièrement sur le devant de la scène politique, à Genève (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, les syndicats et les partis de gauche ont déposé mercredi leur référendum contre la modification de la loi sur les horaires d'ouverture des magasins (LHOM) qui prévoit une ouverture des magasins deux dimanches par an. Plus de 8000 signatures ont été récoltées, a indiqué Yan Giroud, d'Unia Genève.

Au bout du lac, pour qu'un référendum aboutisse, il faut présenter 4200 signatures valables. La marge dont dispose le comité référendaire est donc importante. Selon M. Giroud, la votation sur ces ouvertures dominicales des magasins pourrait avoir lieu en novembre en cas de validation des paraphes.

Les Genevois se sont déjà écharpés à plusieurs reprises sur l'ouverture des commerces certains dimanches. En 2016, le souverain avait accepté que les magasins soient ouverts trois dimanches par an, à condition qu'une convention collective de travail (CCT) étendue existe dans la branche. Or celle-ci n'a jamais vu le jour.

En 2019, les Genevois acceptaient une loi expérimentale de deux ans pour permettre ces trois ouvertures dominicales annuelles sans CCT. La pérennisation de ce régime avait toutefois été attaquée par référendum et l'expérience avait pris fin deux ans plus tard, en 2021.

Un travail déjà astreignant

Pour le comité référendaire, ces deux ouvertures dominicales dégraderaient des conditions de travail déjà difficiles dans la vente, où les employés sont souvent occupés 6 jours par semaine, avec parfois de longues journées de labeur. Introduire les dimanches pendant les fêtes empêcherait toute vie de famille pour le personnel.

Les partisans du changement de régime mettent en avant les problèmes rencontrés par le commerce genevois. Ce dernier doit tenir compte d'une rude concurrence des enseignes françaises. Les magasins du cru souffrent aussi de l'essor des achats en ligne.

Des arguments qui n'émeuvent pas le comité référendaire. Pour la gauche, les difficultés du commerce genevois ne sont pas dues aux heures d'ouverture, mais au pouvoir d'achat des ménages.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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EURO 2025

Euro dames 2025: la Finlande heureuse d'être outsider

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Les Finlandaises avaient battu l'Islande lors de leur premier match (© KEYSTONE/AP/Alessandra Tarantino)

Comme la Suisse, la Finlande aborde la finale du groupe A de l'Euro avec le but de rallier les quarts de finale. Les Nordiques veulent enflammer un pays où le hockey sur glace n'est plus le seul roi.

La Finlande a toujours été dans l'ombre de ses voisins nordiques en matière de football. Elle n'a pas le palmarès du Danemark, champion d'Europe en 1992 (hommes), ni celui de la Suède, finaliste de la Coupe du monde (les hommes en 1958, les femmes en 2003) et championne d'Europe en 1984 (femmes).

Elle n'a pas non plus les stars de la Norvège, représentée par Caroline Graham Hansen, Ada Hegerberg, Erling Haaland ou encore Martin Odegaard dans les plus grands championnats européens. Même l'Islande, un pays quatorze fois moins peuplé, semble lui être passé devant ces dix dernières années.

En Suisse, les patronymes finlandais sont bien plus souvent associés au hockey sur glace qu'au football. Pourtant, le ballon rond est en progression constante dans ce pays de 5,6 millions d'habitants - non pas scandinave, mais à culture fennique, comme l'Estonie. Entre 2015 et 2023, le nombre de licenciés est ainsi passé de 125'000 à plus de 160'000, soit une hausse de près de 30%, selon les chiffres de l'Association finlandaise de football.

"Le sport numéro 1"

Les grands débuts de l'équipe masculine - les "Huuhkajat" (Hiboux grands-ducs) - dans une phase finale d'un Euro en 2021 expliquent en partie cette hausse de popularité. "Cela a changé la vision qu'avait le pays de l'équipe nationale", indique la milieu de terrain Olga Ahtinen à Keystone-ATS, lors d'une rencontre avec la presse mardi à Genève.

"Le football est selon moi le sport numéro 1 en Finlande et il ne cesse de grandir. Personnellement, c'était le moyen le plus facile de pratiquer un sport d'équipe. Je ne me suis jamais vraiment intéressée au hockey sur glace", poursuit la joueuse de Tottenham.

La sélection féminine - les "Helmarit" (Chouettes boréales) - vit en Suisse son cinquième Euro. Après avoir franchi la phase de groupes lors de ses deux premières participations (demi-finale en 2005, quart de finale en 2009 à domicile), elle a toutefois reculé dans la hiérarchie européenne ces dernières années.

Cela n'a pas empêché le football féminin de connaître une certaine croissance au pays. "L'encadrement des filles dans les clubs a évolué dans le bon sens", estime Liisa-Maija Rautio, l'entraîneuse-assistante de la sélection. "Cela nous a permis de fidéliser les joueuses et de ne plus les voir partir pratiquer un autre sport, ou tout simplement arrêter."

Outsider contre la Suisse

Sur le papier, les Finlandaises figuraient comme l'adversaire le plus abordable dans ce groupe A aux allures nordiques. Mais leur victoire en ouverture contre l'Islande (1-0), et la domination qu'elles ont exercée face à la Norvège, malgré une défaite rageante (2-1), ont ravivé l'espoir d'une qualification pour les quarts de finale.

Pour y parvenir et briser par la même occasion le rêve helvétique, elles devront à tout prix s'imposer jeudi à Genève. "Tout aurait été plus facile si on avait su tenir le match nul contre la Norvège", peste Olga Ahtinen. "Mais ces deux performances nous ont tout de même donné beaucoup d'énergie et de confiance."

Face à la Suisse, "une superbe équipe" selon Liisa-Maija Rautio, la Finlande endossera volontiers le costume d'outsider. "La pression est sur leurs épaules. Elles jouent à domicile et veulent passer les poules pour la première fois", estime Olga Ahtinen. "Peu de gens nous voyaient nous qualifier, donc la situation nous est favorable. Nous pouvons créer la surprise."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le programme festif et familial du 1er Août au parc La Grange

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La 1er aout 2022 était déjà spécialement festif à Genève. (© KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Animations pour tous les âges, concerts éclectiques et hommage au CICR: la Ville de Genève propose un un 1er août 2025 ancré dans la tradition et tournée vers les valeurs humanitaires.

La Fête nationale du 1er Août s’annonce joyeuse, inclusive et engagée au parc La Grange. Sous l’impulsion du Maire de Genève, Alfonso Gomez, la programmation de cette édition 2025 mêlera activités traditionnelles, performances artistiques populaires et moments de réflexion, avec pour invité d’honneur le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Une programmation artistique riche

Pensée pour rassembler petits et grands, la journée débutera dès 15h00 avec des démonstrations de cor des Alpes et de lancer de drapeau. En charge de la programmation artistique, Nelson Schaer transformera les lieux en véritable terrain de jeux, entre spectacles de rue, ateliers créatifs et sports insolites comme le tchoukball, le disc golf ou encore l’ultimate frisbee.

Les enfants auront leur espace dédié: ludobus, maquillage, manèges et roulotte rigolote leur promettent une après-midi animée. Côté scène, le duo N’imPorte Quoi assurera un concert humoristique, suivi des Horsewomen avec un spectacle burlesque et de l’acrobate Yildor Llach, spécialiste des numéros à vélo.

La partie officielle commencera à 18h30 avec la montée des drapeaux, l’hymne national et la lecture du pacte fédéral de 1291, traduite en langue des signes. La soirée se poursuivra avec un bal folk, une disco pour enfants, le traditionnel cortège de lampions et le feu de joie (sous réserve de la météo). Enfin, la scène accueillera plusieurs concerts aux sonorités variées : le Olaïtan Brass Band du Bénin, Alphorn Soundsystem, rencontre entre cor des Alpes et sound system genevois, et DJ Mulah pour clôturer la fête.

Produits locaux et saveurs du monde

Côté restauration, la Fête fera la part belle aux produits locaux et à la diversité culinaire. Bars de l’Association Everybody’s Perfect, de l’ABIG (Brasseurs indépendants genevois) ou encore de l’AGVEI (Association genevoise des vignerons encaveurs indépendants) seront présents aux côtés d’une trentaine de stands de spécialités suisses et internationales.

Une fête nationale engagée aux côtés du CICR

Dans un contexte marqué par des attaques inédites contre le droit humanitaire, le CICR sera hôte d’honneur avec un stand immersif en réalité virtuelle. L'institution sensibilisera le public aux enjeux humanitaires actuels. En 2024, 377 travailleuses et travailleurs humanitaires ont perdu la vie dans le monde, une année noire pour le secteur.

« Cette célébration dans l’un des plus beaux parcs de Genève, berceau du droit international humanitaire, marque l’opportunité de défendre les droits fondamentaux que sont les droits à la vie, à la sécurité et à l’intégrité », a souligné Alfonso Gomez.

L’illustration de l’affiche, signée Exem, reflète cette dimension engagée. Elle représente Genava et Helvetia portant des enfants et brandissant les symboles de la Croix-Rouge et de la Suisse, une métaphore visuelle forte entre protection, identité et solidarité.

 

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Avec IA 

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Genève

Un taxi aérien sans pilote pourrait débarquer en Suisse rapidement

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Le véhicule aérien autonome est pour le moment au sol à Genève mais il pourrait débarquer assez rapidement dans l'espace aérien en Suisse. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Plusieurs pays voient déjà dans leur ciel de petits hélicoptères biplaces où les occupants ne sont que des passagers. Exposé à Genève dans le cadre du sommet "IA pour le bien commun", cet engin de mobilité urbaine pourrait être rapidement opérationnel en Suisse.

"Nous avons des plans pour l'Europe", a affirmé à Keystone-ATS un responsable pour l'Europe de la start-up chinoise EHang, leader du marché mondial de la mobilité urbaine aérienne. Si rien n'est décidé encore pour la Suisse, le dispositif "pourrait aller très vite", dit-il.

Active dans 19 pays, la société a obtenu une certification de l'Agence européenne de sécurité aérienne (AESA). Or, c'est celle-ci "qui est compétente et non les autorités nationales", a dit à Keystone-ATS un porte-parole de l'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC). Une entreprise suisse est en cours de certification auprès de l'AESA, mais pas pour de la "mobilité urbaine" comme EHang.

Pour la start-up chinoise, le nombre de pays où cette technologie devrait être utilisée devrait augmenter très rapidement. Il atteindra une centaine d'entre eux "bien avant" 2030", estime son responsable. En Chine, "nous ne pouvons satisfaire la demande" tant elle est importante, ajoute-t-il.

Des grandes villes affectées par le trafic routier urbain voient déjà certains patrons recourir à ces taxis aériens. Mais les utilisations vont aussi bien de la livraison urgente de matériel médical, comme le font aussi parfois des drones, au tourisme en passant par les acheminements postaux ou de marchandises.

Vers des changements en Suisse

L'engin peut voler jusqu'à 400 mètres d'altitude avec une autonomie de 30 km, mais il reste sous les 120 mètres en raison des réglementations. Il faut convaincre la société de laisser la place dans l'aménagement urbain à ce type d'acteur qui a besoin d'infrastructures d'accompagnement au sol pour voler, quitte à sacrifier certaines zones.

"L'acceptation sociale" est plutôt positive tant la population voit les défis de mobilité dans les grandes villes, explique le responsable. L'objectif est également d'atteindre des territoires plus difficiles d'accès, hors des zones urbaines, ajoute-t-il.

L'OFAC fait de son côté remarquer que, outre l'acceptation, les principales difficultés sont liées au bruit, ainsi qu' à "la visibilité électronique et la visibilité générale".

Le Conseil fédéral affirmait récemment dans un rapport que le premier espace aérien qui permet aux pilotes de drones de dialoguer entre eux et avec les autres usagers devrait être a priori établi à Zurich. Il ajoutait que des règles devraient être adaptées pour les infrastructures de décollage et d'atterrissage de ce dispositif.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

L'Asloca Genève dépose son initiative contre la spéculation immobilière

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Une vue des amenagements des batiments, commerces autour de la gare CFF de Geneve Eaux-Vives, le 25 avril 2024 a Geneve. (KEYSTONE/Martial Trezzini)

L'Asloca Genève a déposé mardi son initiative populaire cantonale "STOP à la spéculation sur nos logements" munie de 7586 signatures. Le texte demande que les collectivités publiques disposent d'un droit de préemption lors de la vente d'immeubles, comme c'est le cas actuellement pour l'acquisition de terrains.

Aujourd'hui, avec la multiplication des achats à n'importe quel prix d'immeubles par des sociétés financières, les loyers deviennent démentiels, stratosphériques, a déclaré devant les médias le conseiller national Christian Dandrès (PS/GE), qui travaille pour l'Asloca Genève.

En faisant intervenir les collectivités publiques, soit le canton, soit les communes, des logements pourront être soustraits à la spéculation. Cette initiative répond à une question d'actualité, a poursuivi M. Dandrès.

Les sociétés financières qui interviennent sur le marché immobilier veulent du rendement et elles sont prêtes à mettre le prix lors de l'acquisition d'immeubles pourvu que cet investissement leur rapporte par la suite.

Aujourd'hui, à Genève, le loyer peut engloutir 35% du revenu de certains ménages. Il faut mettre le holà à cela, a noté le conseiller national.

"Instrument de lutte contre la spéculation"

L'initiative permettra également d'augmenter le nombre de logements d'utilité publique. Avec le droit de préemption, les logements qui tomberont dans les mains des collectivités auront des prix contrôlés. "Il s'agit d'un instrument de lutte contre la spéculation immobilière", a noté Caroline Marti, membre du comité de l'Asloca.

La mesure permettra aussi d'éviter une désertification du centre-ville. Si rien n'est fait, les loyers vont bientôt devenir inaccessibles pour une majorité de la population, a souligné Mme Marti.

Les Genevois seront donc appelés à se prononcer sur le texte de l'Asloca. En effet, 4214 signatures sont nécessaires pour faire aboutir une initiative et le service genevois des votations et élections a déjà procédé à une validation partielle des paraphes, a fait savoir M. Dandrès.

Avec Keystone-ATS

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