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6 minutes avec Bernard Giroud, ancien capitaine du Genève-Servette

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Le GSHC a manqué son premier puck du titre. Les Grenat ont été battus, 4-2, à Bienne, ce mardi. Les deux équipes sont à trois victoires, chacune. Le titre se jouera donc jeudi, aux Vernets. L'ancien capitaine du GSHC, Bernard Giroud, était invité de Béatrice Rul, à 7h35, dans Radio Lac Matin.

"Il n'y a pas eu un excès de confiance. Quand on regarde le match, c'est étonnant. C'est Bienne qui est venu beaucoup plus fort. Je me demande si certains de nos joueurs n'étaient pas fatigués, à cause de la longueur des playoffs".

Que représente une finale de playoffs, pour un joueur de hockey?

"De jouer, six ou sept fois, ça doit être quelque chose d'excitant. On est dans un long match de sept parties. Mardi, Genève-Servette a un peu calqué, avec certains joueurs qui ont été transparents".

Les clés du match de jeudi?

"Les gardiens , avec deux portiers, très très forts, mais aussi le facteur chance. Les étrangers vont aussi jouer un rôle central. Les étrangers, dans les deux équipes ont tous un certain âge et je pense que la répétition des matchs joue sur la forme de quelques uns".

Bernard Giroud est particulièrement admiratif de Teemu Hartikainen:

"Il a une façon de jouer au hockey qui est très rare: il a une couverture de puck avec un "pas finlandais". Ce type a un coup d'œil impressionnant, les petites passes levées. C'est un joueur exceptionnel et on a de la chance de l'avoir à Genève-Servette".

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