6 minutes avec Simon Brandt, candidat de LJS au conseil administratif Ville de Genève
6 minutes avec Simon Brandt, candidat de LJS au conseil administratif Ville de Genève
Simon Brandt fait son retour en politique. Il se présente sous les couleurs de Libertés et Justice sociale, pour les élections municipales. Il est candidat au Conseil administratif. Simon Brandt était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.
Vous proposez de mettre en place le référendum de proximité. C’est à dire consulter les habitants quand on change un nom de rue, quand on supprime des places de park, par exemple. En fait, c’est consulter les citoyens sur tout?
"Sur tout ce qui les concerne au quotidien et sur tout ce qui a amené la colère d'une partie de la population ces dernières années. On élit aussi des gens pour qu'ils écoutent la population et quand la classe politique n'écoute pas la population, ça crée une cassure entre celle-ci et ceux qui votent et c'est ce qui amène à des crises politiques comme on a en France aujourd'hui. La beauté de notre démocratie en Suisse, c'est que l'on consulte fréquemment la population. Combien de pays au monde votent sur l'achat d'avions de chasse, sur la taille des cornes des vaches dans l'autre excès ? C'est ça qui fait la beauté de notre démocratie"
"Les crèches publiques: qu'est-ce qu'un service public qui refuse une partie des demandes?"
Vous estimez que les crèches ne sont pas les seules solutions, pour régler le problème des gardes d'enfants. Vous proposez un système de bons de garde. Qu’est-ce que c’est?
"Le système de bons de garde vise à résoudre un problème actuel, c'est que la demande de places en crèche n'est pas satisfaite. Ça fait 20 ans qu'on dit, dans deux ans, on aura 100% de demandes qui seront prises en compte. Et aujourd'hui, on est à peine à 80%. Christina Kitsos, en Ville de Genève, fait de l'excellent travail, elle fait tout ce qu'elle peut pour augmenter le nombre de places en crèche, je ne lui jette absolument pas la pierre. Mais ce que je propose, c'est de proposer une solution à ceux qui n'ont actuellement pas de place en crèche, faute de place. Certains disent que les crèches ont un service public, pourquoi pas ? Mais qu'est-ce qu'un service public qui refuse une partie des demandes ? Vous connaissez beaucoup de crèches privées qui existent encore à Genève depuis la votation populaire qui a lissé la classe salariale. Aujourd'hui, vous manquez de personnel. Vous avez tous les jours dans le bulletin des places vacantes, des demandes d'aide en crèche qui ne sont pas satisfaites parce qu'il n'y a pas assez de personnes qui viennent sur le marché. Je propose de verser une partie de ce que coûte une place en crèche à la collectivité publique directement aux parents et charge à eux d'utiliser cet argent comme il le semble, diminuer leur taux de travail pour s'occuper même de leurs enfants, engager une maman de jour en collaboration avec d'autres mamans, etc, etc. Une place en crèche, elle coûte 42 000 francs par année. Et sur ces 42 000 francs, vous avez au minimum 75 % de subvention publique. Donc vous pouvez imaginer un bond de garde de 1 500, 2 000 francs par mois, ça coûterait en plus moins cher qu'une place en crèche, comme vous le voyez, tout en laissant la possibilité à des parents qui n'ont pas les moyens aujourd'hui de s'occuper même de leurs enfants".
Avec IA.
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Victoria Beck
21 février 2025 à 12 h 38 min
Objet : Informations cruciales sur les élections à Genève
Bonjour [Nom du journaliste],
Je vous écris concernant votre récente intervention sur [nom du média ou de l’émission] avec Simon Brante, que j’ai trouvée pertinente et éclairante. Toutefois, une question essentielle n’a pas été posée : pourquoi n’a-t-il été pas soutenu au PLR ?
L’élection de 2018 et la réélection de Pierre Maudet ont reposé sur des procédés contestables, impliquant un abaissement des capacités de suffrage et d’autres mécanismes utilisés par certaines personnalités influentes. Ces pratiques risquent fort de se reproduire lors des prochaines élections. En tant que journaliste, vous avez la responsabilité d’exposer ces dérives et d’informer le public sur leur impact démocratique.
Je dispose de documents et d’une histoire qui, je pense, pourraient grandement vous intéresser. Ces éléments apportent un éclairage inédit sur ce qui s’est réellement joué en coulisses. Si vous souhaitez en discuter, je serais ravi(e) d’échanger avec vous.
Dans l’attente de votre retour, je vous prie d’agréer mes salutations distinguées.
Natel: 077/474-86-17