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Environnement

Récolte des premières asperges dans les champs suisses

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Les premières asperges vertes ont déjà été récoltées dans les champs suisses - mais la grande récolte n'est attendue qu'après Pâques. (Photo d'archives) (© KEYSTONE/APA/APA/HELMUT FOHRINGER)

Les premières asperges suisses de l'année ont été récoltées. Mais avant Pâques, les quantités ne sont pas encore suffisantes pour les grands distributeurs. Grâce au beau temps printanier, la récolte prend maintenant son essor.

Les amateurs d'asperges doivent pour l'instant se tourner vers les magasins de ferme ou le marché aux légumes, écrit lundi la faîtière Légumes suisses. Ce n'est qu'après Pâques que l'on peut s'attendre à des récoltes plus importantes. Une récolte complète et un bon approvisionnement du marché dans toute la Suisse sont attendus par les producteurs à partir du mardi suivant Pâques.

La croissance des asperges dépend fortement des températures. Ce n'est qu'à partir de huit degrés que les turions poussent, et à partir de dix degrés environ, la croissance commence lentement. À partir de 13 degrés, les asperges poussent de deux à trois centimètres par jour et à 17 degrés, elles peuvent même atteindre cinq centimètres par jour.

L'année dernière, 856 tonnes d'asperges ont été récoltées en Suisse, soit près de 130 tonnes de plus qu'en 2023, dont 501 tonnes d'asperges blanches et 355 tonnes d'asperges vertes. Sur un volume total de 10'155 tonnes, la production indigène ne représentait que 8,4%. Au total, 446 hectares ont été cultivés l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Fenaco engrange moins de recettes en 2024

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Fenaco, coopérative agricole exploitant notamment les magasins Volg et Landi, a vu son chiffre d'affaires se tasser de 3,3% à 7,29 milliards de francs en 2024 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La coopérative de distribution agricole bernoise Fenaco a engrangé moins de recettes en 2024. Des marchés volatils, des augmentations de coûts, des conditions météorologiques défavorables et les faibles rendements des récoltes ont entravé la marche des affaires.

Le produit net de Fenaco a diminué de 3,3% à 7,29 milliards de francs au cours de l'exercice 2024, indique mardi dans un communiqué la coopérative de distribution agricole, dont le siège est à Berne. Ce repli est principalement dû à des prix de vente plus bas, par exemple, ceux des combustibles fossiles, des aliments pour animaux et des engrais.

Dans le même temps, la pression sur les coûts est restée élevée. Le résultat d'exploitation (Ebit) est resté au niveau de l'année précédente, soit à 107,2 millions. Il en va de même pour le résultat de l'entreprise, qui s'élève à 97,2 millions. La marge Ebit s'est légèrement améliorée à 1,5%.

Pour l'exercice 2025, Fenaco prévoit un produit net au même niveau que celui de 2024. La situation des coûts reste difficile, même si des signes d'amélioration apparaissent, notamment dans le secteur de l'énergie. L'Ebit et le résultat net devraient s'améliorer légèrement par rapport à l'année précédente.

À compter du 1er juillet 2025, Michael Feitknecht succédera à Martin Keller à la tête de Fenaco, comme annoncé début avril. Le conseil d'administration a récemment nommé Jean-Daniel Heiniger comme futur président de l'organe de surveillance et successeur de Pierre-André Geiser. Il prendra ses fonctions lors de l'assemblée des délégués en juin 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Environnement

Trump présente un accord "historique" entre Londres et Washington

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Le président Trump a vanté depuis la Maison Blanche un accord "historique" avec la Grande-Bretagne. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Un accord commercial a été présenté jeudi comme "historique" par Londres et Washington: il permet au Royaume-Uni d'échapper au gros des surtaxes américaines sur ses voitures et ouvre davantage le marché britannique aux produits agricoles américains.

Jusqu'ici, les exportations britanniques étaient comme les autres entravées par l'offensive protectionniste de Donald Trump (+25% sur l'acier, l'aluminium et les voitures, +10% sur le reste des produits).

Le gouvernement du travailliste Keir Starmer a réussi à alléger la facture, qui reste plus élevée qu'avant le retour du républicain à la Maison Blanche.

La surtaxe de 10% - qui s'additionne aux droits de douane existant avant l'investiture de Donald Trump - reste en place. Le président américain a considéré jeudi que son niveau était "bas".

Automobile, acier, aluminium: traitement de faveur pour Londres

Dans un communiqué, le gouvernement britannique se félicite d'avoir "tenu sa promesse de sauver l'acier et les constructeurs automobiles britanniques".

Les droits de douane sur les voitures britanniques sont "immédiatement" rabaissés, passant de 27,5% - l'addition de la surtaxe de 25% et des droits de douane antérieurs - à 10% pour un quota annuel de 100'000 voitures.

Celui-ci, souligne Downing Street, correspond "quasiment" au nombre de véhicules exportés depuis le Royaume-Uni l'an dernier.

Londres ajoute que les droits de douane sur l'acier et l'aluminium sont "ramenés à zéro".

Dans sa communication, Washington mentionne seulement "une nouvelle union commerciale" concernant ces métaux.

Sollicitée par l'AFP pour des précisions à ce sujet, la Maison Blanche n'a pas donné suite.

Agriculture: des quotas réciproques

Selon Londres, les deux pays sont convenus d'ouvrir réciproquement leur marché à davantage de boeuf produit des deux côtés de l'Atlantique. Les éleveurs britanniques disposeront ainsi d'un quota sans droits de douane de 13'000 tonnes.

Les Etats-Unis ne précisent pas le volume concerné de leur côté mais, selon la ministre américaine de l'Agriculture, Brooke Rollins, cela va "augmenter de manière exponentielle" les exportations de boeuf américain.

Washington a aussi obtenu un quota d'exportation d'éthanol sans droits de douane.

Le gouvernement britannique insiste sur le fait qu'il ne fera pas de concession en matière de normes sanitaires sur les aliments importés, fermant ainsi ses portes au boeuf aux hormones et au poulet lavé au chlore.

Londres n'est pas non plus revenu sur sa taxe sur les services numériques - une attente des géants américains de la tech - qui rapporte 800 millions de livres par an.

La question des produits pharmaceutiques

Le gouvernement américain n'a pas encore imposé de nouveaux droits de douane sur les produits pharmaceutiques, mais prévoit de le faire à l'avenir.

Le secteur est particulièrement important pour le Royaume-Uni, où sont basés deux géants du secteur, AstraZeneca et GSK.

Selon le gouvernement britannique, "les États-Unis ont accepté d'accorder un traitement préférentiel au Royaume-Uni en cas de nouveaux droits de douane" sectoriels.

Les limites de l'accord

Une source du gouvernement britannique a précisé à l'AFP qu'il ne s'agissait pas d'un accord de libre-échange à part entière entre les deux alliés historiques, plutôt d'un "document de conditions générales" établissant des compromis, ainsi qu'un cadre pour des discussions approfondies plus tard.

Le déficit commercial des Etats-Unis est une obsession pour Donald Trump, mais son pays vend un peu plus de biens au Royaume-Uni que l'inverse, selon les données officielles américaines.

Un accord avec Londres était "la moisson la plus facile" pour le gouvernement américain, a déclaré à l'AFP Josh Lipsky, directeur du département de géoéconomie du groupe de réflexion américain Atlantic Council.

"C'est un accord positif mais très limité dans son périmètre", ajoute-t-il. "S'il a fallu 40 jours pour en arriver là [avec le Royaume-Uni], ce sera beaucoup plus difficile pour les pays avec lesquels les Etats-Unis ont un déficit commercial significatif, comme le Japon et l'Inde."

Selon Paul Ashworth, spécialiste de l'Amérique du Nord pour Capital Economics, ce que à quoi les pays ont abouti "dans la précipitation" n'a rien de l'accord "complet et exhaustif" vanté par Donald Trump.

Alors que des discussions sont prévues en Suisse ce week-end entre hauts responsables chinois et américains, "cet empressement à afficher des progrès sur les 'deals' révèle une volonté de plus en plus désespérée (du gouvernement Trump) de revenir sur les droits de douane avant qu'ils n'affectent la croissance et l'inflation", écrit l'économiste dans une note.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Trump vante un accord commercial "historique" avec le Royaume-Uni

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Le président Trump a vanté depuis la Maison Blanche un accord "historique" avec la Grande-Bretagne. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le président américain Donald Trump s'est dit jeudi "ravi" d'annoncer un accord commercial "historique" avec le Royaume-Uni qui ouvrira notamment davantage ses portes au boeuf et à l'éthanol américains.

Le président a vanté depuis la Maison Blanche un accord "historique", une "percée majeure", qu'il est "ravi" d'annoncer le jour anniversaire de la victoire des Alliés en 1945.

Il a aussi affirmé que l'accord prévoyait notamment que le Royaume-Uni s'ouvre davantage aux produits américains, pour "plusieurs milliards de dollars", "en particulier pour le boeuf américain, l'éthanol et quasiment tous les produits que produisent nos chers agriculteurs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Les Suisses invités à compter les oiseaux jusqu'à dimanche

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Les Suisses invités à compter les oiseaux jusqu'à dimanche (KEYSTONE/Martial Trezzini)

Comment se portent les espèces d’oiseaux en Suisse? Vous êtes incités par BirdLife Suisse à participer à un grand comptage national. L'opération l’"Oiseaux de nos jardins" vole jusqu’à dimanche. 

Ouvrez bien les yeux et les oreilles ces prochains jours, car vous êtes invités à compter les oiseaux.

Cette année encore, BirdLife Suisse enjoint la population à répertorier les volatiles qui se trouvent dans les jardins ou les espaces verts des agglomérations. L’objectif de cette opération, qui s’appelle l’"Oiseaux de nos jardins", est de sensibiliser le public à la biodiversité mais aussi de mesurer l’évolution des différentes espèces. Car les chiffres ne sont pas bons, 40% des oiseaux suisses sont menacés de disparition. 

Si vous voulez participer au comptage, le procédé est simple. Explications de François Turrian, le directeur romand de BirdLife Suisse:

François TurrianLe directeur romand de BirdLife Suisse

Même si vous êtes débutants, vous pouvez vous lancer, voici quelques conseils:

François TurrianLe directeur romand de BirdLife Suisse

Depuis une douzaine d’année que cette opération existe, l’association Birdlife a constaté certains changements, François Turrian:

François TurrianLe directeur romand de BirdLife Suisse

L'opération se déroule jusqu’au dimanche 11 mai.

Pour reconnaître les chants d'oiseaux, vous pouvez vous rendre sur bird-song.ch.

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Environnement

Pas de réglementation en matière d'euthanasie des animaux sains

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L'euthanasie d'animaux en bonne santé ne doit pas être interdite, selon le National (image d'illustration). (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Le National ne veut pas plus réglementer l'euthanasie des animaux. Il a rejeté mercredi, par 121 voix contre 55, une motion de Lorenzo Quadri (Lega/TI) demandant d'interdire l'euthanasie des animaux en bonne santé. Il n'a été entendu qu'à gauche.

La loi actuelle ne prévoit pas d'interdiction en ce sens, a regretté le motionnaire. Il arrive donc que des propriétaires choisissent ce système pour se débarrasser d'animaux devenus "gênants" pour des raisons logistiques ou économiques.

La demande est cohérente avec l'interdiction d'abandonner un animal, a ajouté M. Quadri. Et de relever que l'euthanasie doit être une pratique exceptionnelle et réservée à des cas de souffrance durable. Il s'agit aussi de protéger les vétérinaires dans leur pratique, selon lui.

Il est difficile de dire si un animal est en bonne forme, surtout lorsqu'il est âgé, a contré la ministre de l'intérieur Elisabeth Baume-Schneider. De plus, un vétérinaire peut, voire doit déjà s'opposer à l'euthanasie d'un animal s'il le considère en bonne santé, a-t-elle dit, parlant d'éthique.

Et de souligner que les professionnels ont plus souvent affaire à une situation inverse, quand ils doivent dire à un propriétaire d'euthanasier un animal malade. La ministre a encore rappelé que le droit pénal punit déjà la mise à mort d'animaux de manière cruelle ou par malice. De plus, seules les personnes compétentes sont déjà autorisées à mettre à mort des animaux.

Au vote, des élus du PVL et des Vert-e-s se sont abstenus.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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