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Les restos d’Edouard

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Cette semaine Edouard Amoiel nous fait découvrir le restaurant de l'hôtel royal,l’aparté.

C’est donc installé au cœur de l’Hôtel Royal sur la rue de Lausanne que se cache ce restaurant ultra intimiste, presque secret, pouvant accueillir une petite vingtaine de couverts. Les réservations sont  conseillées ! Il est temps de prendre place dans cet écrin gastronomique à l'abri des regards où le directeur des lieux, Landry Tissot, vous accueillera avec professionnalisme et efficacité. 

Armel Bedouet, un chef discret

Le chef,Armel Bedouet a précédemment navigué dans de prestigieuses maisons comme le Château de Divonne sous la houlette de Guy Martin, la triplement étoilée Maison Lameloise à Chagny en Bourgogne, le Mandarin Oriental, le Beau-Rivage, avant de poser ses couteaux de cuisine à l’Hôtel Royal.Lors du service, le chef vient à chaque table présenter  ses plats aux convives.Vous pourrez,comme Edouard apprécier le dôme topinambour, gel café sur un sablé noisette tacos au sarrasin et sarrasin grillé ou encore l'huître servie tiède, mousseline de zeste de citron, voile de radis imprimé d’herbes fraîches, pickles de radis et émulsion à l'huître.

Vous l’aurez donc compris, Armel Bedouet est un chef qui est réellement dans son restaurant, pour le bonheur de ses clients.

Retrouvez les restos d'Edouard chaque jeudi à 11h20 dans il suffit de demander.

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Les restos d’Edouard: Le lexique

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A quelques mètres de la gare Cornavin,se trouve la rue de la faucille.Et c’est précisément là que le bonheur commence ,selon Eduard Amoiel….Entrons nous attabler au lexique.

C’est un personnage qui nous attend derrière ses fourneaux,le chef  Cyrille Montanier.Le Baudelaire des cuissons, le Rimbaud des sauces ou encore le Molière des associations. Ce cuisinier est un poète (presque disparu) tant sa cuisine nécessite un savoir et une connaissance clairement en voie de disparition.Alors oui,ses propositions peuvent être considérées comme classiques, mais c’est justement ce que nous venons chercher en cette période automnale si riche en émotion culinaire.Ce chef a du métier et de l’expérience mais reste,hélas bien trop discret en matière de communication.

Qu’est-ce-qu’on mange?

Laissons nous tenter par un menu court et poétique: Ravioles de foie gras et céleri caramel,sésame torréfié ou le merveilleux soufflé de Saint-Jacques et Tourteaux rehaussé d’une mousse de champagne rosé. Onctueux, généreux, élégant, aérien... On se délecte encore plus avec un morceau de pain (excellent lui aussi, en provenance de la Boulangerie des Grottes) que nous plongeons délicatement,et avec délectation afin de récupérer la sauce qui reste au fond de l’assiette.Enfin,Impossible de ne pas succomber au Lièvre à La Royale préparée dans les règles de l’art accompagné de späetzle et marrons, chaque bouchée électrise les sens.L’aventure se termine sur une tarte Tatin et compotée. Sans aucun doute,le bonheur culinaire se trouve au lexique

Retrouvez les restos d’Edouard chaque jeudi à 11h20 dans l’émission Il suffit de demander.

 

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Les restos d’Edouard: Le relais du chasseur

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Dépaysement garanti!!! Direction le relais du Chasseur à Chiboz, village perché à 1350 mètres et accroché au flanc du Chavalard, sur la commune de Fully.

C’est une histoire de famille qui a débuté avec Émile et Rachel Ançay, qui regalaient les clients de passage sur les hauts de Fully. En 1969, Michel et Yolande ont transformé ce qui n’était qu’une petite bergerie en un véritable restaurant. Aujourd’hui c’est Émilie, Florine et Marie, leurs enfants, qui perpétuent la tradition familiale, toujours avec l’aide de leur parents, de leurs familles et d'inestimables collaborateurs. Le relais du chasseur est un restaurant au charme fou, à la décoration typique et à l’atmosphère bienveillante.

Qu’est-ce qu’on mange?

Commençons par une planchette de viande séchée de gibiers, succombons au gratin d’escargots et sot-l’y-laisse et sa sauce onctueuse en persillade. Un plaisir canaille où les morceaux de pain se trempent bien évidemment avec délectation. Et vient le moment de la chasse,en deux services avec l’entrecôte de cerf servie avec des nouilles, pommes, choux de Bruxelles et sauce forestière.Ensuite arrive le médaillon de chevreuil accompagné de rösti, choux rouge et choux rave de Chiboz, châtaignes, poire et sauce aux myrtilles. Une petite ombre au tableau, les sauces manquent de relief et sont bien trop liquides. Et pour le dessert,ne manquez pas la Coupe Chiboz composée de glace vanille, poire William, confiture de myrtilles et amandes grillées. Si vous succombez,,ne tardez pas! Le restaurant est tellement pris d’assaut que les réservations se font d’année en année.

Retrouvez les restos d’Edouard chaque jeudi à 11h20 dans l’émission Il suffit de demander.

 

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Les restos d’Edouard: Au coin du bar

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Edouard Amoiel nous offre un voyage en terre connue mais qui réserve néanmoins de nouvelles surprises.Aux portes des eaux- vives se trouve….Le coin du bar

 Cette escapade nous fait une nouvelle fois naviguer aux grés des marées d’ouvertures et de changements à la recherche de sensations gastronomiques sans cesses différentes. Genève est une ville exceptionnelle qui propose une offre en matière de restauration des plus incroyables. Situé sur la bruyante et surchargée rue François Versonnex, ce restaurant est un refuge pour épicurien une fois attablé à l’intérieur.

Qu’est-ce qu’on mange?

En cuisine,un duo de chefs! Nathan Cavadini et Filiberto Bresciani, deux anciens cuisiniers du restaurant italien étoilé Tosca. Du côté des mets, attendez-vous à retrouver des pâtes faites maison comme les mezzi rigatoni cacio e pepe, gambero rosso ou les fettuccine au ragoût de sanglier et olives Taggiasche. Les classiques bistrotiers hexagonaux sont bien évidemment de à la carte comme le pâté en croûte maison ou le tartare de bœuf. Vous succomberez peut-être à l’exceptionnel turbot poêlé au beurre,ragoût de chanterelles et émulsion à la moelle. Les douceurs sont aussi à la carte pour ravir vos papilles,une note sucrée pour terminer en beauté.

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Les restos d’Edouard: Indian rasoï

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Cette semaine,Edouard Amoiel nous fait voyager vers l’Inde tout en restant dans le canton,à Carouge.Entrons et prenons place à la table d’Indian rasoï pour un dépaysement garanti.

Et c’est le chef Kuldeep Rawat qui est aux commandes.Né à New Delhi, il a grandi au sein d’une famille où la nourriture indienne faite maison était un rituel et une tradition qui se passe de génération en génération.Depuis l’enfance,il déguste les plats quotidiennement préparés par sa mère et la vaste gamme d’épices et de légumes utilisés dans cette exceptionnelle cuisine. En 2008,il débarque à Genève à l’hôtel Mandarin Oriental où il participe à l’ouverture du restaurant indien Rasoi by Vineet avant de passer vers les Eaux-Vives en tant que chef de l’India-Bar.

Qu’est-ce qu’on mange?

L’Indian rasoï propose une cuisine indienne subtilement revisitée. On se laisse tenter,pour commencer,par un paneer Tikka : Fromage frais mariné à la menthe et aux herbes,un Kachumber Raita:Yaourt aromatisé, dés de concombres et tomates / Sabj Nauratan: Légumes de saison au curry ou encore l’Agneau au curry traditionnel de Madras. Pour les plats,on succombe à l’indétrônable poulet Makhani,butter chicken, des blancs de poulet grillés à la sauce de noix de cajou et épices douces. Accompagné d’un riz safrané.Et comment déguster un si bon repas sans le fameux naan au fromage,ce pain moelleux cuit dans un four tandoor. On vous souhaite un bon voyage à l’Indian rasoï.

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Les restos d’Edouard: Le boeuf rouge

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Direction les Pâquis dans un établissement où il fait bon vivre et où les traditions bistrotières sont plus que jamais au beau fixe,le bœuf rouge. 

Le Bistrot du Bœuf Rouge est une institution genevoise dans la  tradition gastronomique lyonnaise. Tenu par Carlos Farina et son épouse.Place aux tables  collées-serrées (mais pas trop quand même), les clients sont ici heureux de festoyer le temps d’un instant, entre amis ou à deux .Ils apprécient une carte des mets qui offre un large choix de plats.

Qu’est-ce-qu’on mange?

Pourquoi ne pas se laisser séduire par une salade lyonnaise (composée de lardons, croûtons et d’un œuf dur émietté) ou d’une assortiment de pâtés, ou d’une gratinée lyonnaise (vous savez ces soupes à l’oignon bouillantes et réconfortantes). Les amateurs se régaleront d’une cassolette d’escargots ou dû saucisson de Lyon à la pistache.Du côté des plats, il y a l’andouillette grillée, à la sauce beaujolaise ou à la sauce moutarde. Et l’exceptionnel Châteaubriand et sa sauce béarnaise. Enfin,impossible de ne pas fondre pour la star de la carte:La quenelle de brochet! Si vous avez un bon appétit,passez donc au bœuf rouge!

Retrouvez les restos d’Edouard chaque jeudi à 11h20 dans l’émission Il suffit de demander.

 

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