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Culture

La Bibliothèque de Genève raconte l'histoire des éditions Zoé

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Pour les 50 ans des éditions Zoé, la Bibliothèque de Genève retrace l'histoire de cette maison genevoise qui s'est fait une place dans le paysage francophone et qui a notamment révélé l'autrice suisse Elisa Shua Dusapin, ici au Livre sur les Quais, à Morges (VD) en 2023 (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Pour les 50 ans des éditions Zoé, la Bibliothèque de Genève retrace l'histoire de cette maison genevoise. De ses débuts dans un garage à sa place dans le milieu littéraire, l'exposition "Zoé ou l'aventure" raconte ce parcours dès lundi et jusqu'au 4 octobre.

En publiant le travail de près de 400 auteurs et autrices, la maison d'édition Zoé a su s'imposer dans le paysage francophone, souligne la Bibliothèque de Genève qui conserve ses archives. De Nicolas Bouvier à Elisa Shua Dusapin, les choix de cette ambassadrice de la littérature suisse ont donné lieu à de grands prix littéraires.

Le premier ouvrage publié par Zoé en 1975 est un texte annonciateur de mai 68 qui circulait sous le manteau: "De la misère en milieu étudiant". Son premier grand succès de librairie vient trois ans plus tard avec "Pipes de terre et pipes de porcelaine", les souvenirs de Madeleine Lamouille, femme de chambre dans une famille de l'artistocratie vaudoise, recueillis par Luc Weibel.

Auteurs suisses

Dès 1983, quand elle se met à diriger seule la maison, Marlyse Pietri lui donne une direction plus littéraire, avec les Suisses Jean-Marc Lovay, Nicolas Bouvier, Robert Walser, Catherine Safonoff et Agota Kristof. Caroline Coutau, qui reprend la direction en 2011, poursuit la publication de textes du patrimoine, les traductions de l'allemand et de l'anglais, tout en découvrant de nouveaux talents, comme Elisa Shua Dusapin.

L'exposition s'accompagne de visites guidées par ses commissaires et par des auteurs de Zoé. Elle est aussi visible en version virtuelle sur le blog de la Bibliothèque de Genève.

www.bge-geneve.ch/agenda/zoe-ou-laventure

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Sarkozy sort son "Journal d'un prisonnier" et le dédicace à Paris

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L'ancien président français Nicolas Sarkozy a dédicacé son livre "Journal d'un prisonnier" mercredi à Paris. (© KEYSTONE/AP/Michel Euler)

Bain de foule et longue file d'attente: Nicolas Sarkozy a dédicacé mercredi dans une librairie parisienne son "Journal d'un prisonnier", qui raconte ses trois semaines de détention après sa condamnation dans le procès libyen, un livre publié le matin même chez Fayard.

L'ancien président de la République est arrivé vers 15h30 à la librairie Lamartine, dans le huppé XVIe arrondissement, prenant un rapide bain de foule avant d'entrer à l'intérieur de l'établissement, protégé par un important cordon policier, ont constaté des journalistes de l'AFP.

"Nicolas, Nicolas !", ont scandé des admirateurs. "Ta place est en prison" ont a contrario crié deux militantes Femen, rapidement interpellées par la police, selon des images diffusées par plusieurs journalistes sur les réseaux sociaux.

L'ouvrage de 216 pages, édité par une maison d'édition contrôlée par l'homme d'affaires conservateur Vincent Bolloré, est paru exactement un mois après la remise en liberté sous contrôle judiciaire le 10 novembre de l'ex-chef de l'Etat, qui avait été écroué le 21 octobre à la prison parisienne de la Santé.

"Si heureux de reprendre le chemin des routes de France pour aller à la rencontre de mes lecteurs", a écrit Nicolas Sarkozy la semaine dernière sur son compte X, ajoutant: "Cela me réjouit tant!" Le contenu du livre a été dévoilé dès le week-end dernier dans plusieurs médias et consulté par l'AFP.

Évoquant l'"enfer" carcéral, Nicolas Sarkozy raconte s'être agenouillé pour prier au premier jour de son incarcération, après sa condamnation le 25 septembre à cinq ans de prison avec mandat de dépôt assorti d'une exécution provisoire pour association de malfaiteurs.

"Je priais pour avoir la force de porter la croix de cette injustice", poursuit-il en se disant de nouveau "innocent" de toute infraction, et en décrivant ses discussions dominicales avec l'aumônier de la prison.

Bons et mauvais points

Nicolas Sarkozy distribue bons points et piques acerbes à des personnalités politiques. Il rapporte un échange téléphonique avec Marine Le Pen après sa condamnation. À la chef de file des députés RN, qui lui demande s'il s'associerait à un éventuel "front républicain", il répond: "Non, et de surcroît je l'assumerai en prenant le moment venu une position publique sur le sujet."

Il salue la fidélité de Sébastien Chenu, ancien élu UMP devenu député RN, notant qu'"il était résolu à m'adresser un courrier de soutien chaque semaine".

A l'inverse, il égratigne sa propre famille politique, pointant le manque d'engagement public du président du parti LR Bruno Retailleau, qui l'"appela régulièrement, mais n'en fit publiquement pas davantage".

Emmanuel Macron n'est pas épargné, sa dissolution étant jugée comme un "caprice qui faisait autant de mal à la France qu'à son auteur". Il étrille encore l'ancienne candidate PS à l'Elysée Ségolène Royal, qui selon lui ne comprend pas toujours "le sens de ce qu'elle dit. Cela la sauve de la honte".

Sur le plan judiciaire, il livre une analyse critique inhabituelle de sa défense historique. "Mon amitié avec Thierry Herzog (son ancien conseil, NDLR) m'avait aveuglé sur la possibilité qui était la sienne d'embrasser un dossier qui avait pris une telle ampleur", écrit l'auteur, des propos très critiqués par des avocats pénalistes sur les réseaux sociaux.

"Affligées"

Nicolas Sarkozy a été condamné pour avoir laissé ses deux plus proches collaborateurs, Brice Hortefeux et Claude Guéant, démarcher en vue d'un financement de sa campagne présidentielle de 2007 un haut dignitaire libyen, Abdallah Senoussi, alors que celui-ci était sous le coup d'une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'attentat du DC-10 (170 personnes tuées le 19 septembre 1989). En contrepartie, ils lui auraient laissé miroiter un examen de sa situation judiciaire.

Un passage du livre est d'ailleurs consacré à l'audition des proches de victimes de l'attentat du DC-10, parties civiles au procès libyen, qu'il qualifie de "moments les plus émouvants" tout en se disant "affecté par la violence de certains propos à (son) endroit".

Ces lignes ont provoqué l'indignation du collectif "Les Filles du DC-10". "Une fois encore, Nicolas Sarkozy inverse les rôles, faisant croire qu'il serait la véritable victime", a réagi dans un communiqué ce groupe de filles, mères et soeurs de morts dans l'attentat, "affligées". L'ancien chef de l'État sera jugé à nouveau dans ce dossier du 16 mars au 3 juin par la cour d'appel de Paris.

Tous les prévenus y comparaîtront libres, la cour d'appel ayant libéré mercredi sous contrôle judiciaire Alexandre Djouhri, dernier incarcéré dans ce dossier. Nicolas Sarkozy est par ailleurs définitivement condamné dans deux autres affaires, celle dite des écoutes de l'Elysée et Bygmalion.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Arts

"Elles" exposent au Musée Rath les oeuvres des aborigènes

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(KEYSTONE/Martial Trezzini)

Au Musée Rath à Genève, l'exposition "Elles. Artistes aborigènes contemporaines" présente les oeuvres de femmes autochtones reconnues, en collaboration avec la Fondation Opale. A travers leurs peintures colorées, elles rendent hommage à leurs racines et livrent quelques secrets de leurs mythologies, à voir dès jeudi, jusqu'au 19 avril.

Au centre de l'exposition, une immense toile aux motifs symboliques et vibrants a été réalisée par un collectif de femmes aborigènes en Australie. Chacune, assise sur la toile posée au sol, y a peint une histoire liée à leur mythologie, à une dimension parallèle. Car si "pour nous ces peintures sont abstraites, il n'en est rien pour les artistes", glisse Georges Petitjean, curateur de l'exposition, lors de l'inauguration mercredi.

Dans les croyances de ces communautés très diverses, cette dimension parallèle a un nom intraduisible, selon le curateur, qui propose de l'appeler "rêve". Ce monde englobe toute la création de l'univers, y compris les esprits de leurs ancêtres qui leur soufflent des histoires. Chaque artiste est alors responsable de les transmettre, par des poèmes racontés mais aussi par la peinture, qu'elles pratiquent d'ailleurs souvent en chantant, glisse Georges Petitjean.

Lien à la terre

Emily Kam Kngwarray raconte ses histoires dans des tons doux et ronds, exposés au rez-de-chaussée. L'artiste, aussi exposée à la Tate Modern à Londres cette année, a commencé à peindre vers la fin des années 80 au crépuscule de sa vie, comme plusieurs artistes de l'exposition. Elle produira près de 5000 oeuvres avant sa mort en 1996. Cette "coloriste naturelle", selon Georges Petitjean, exprime à travers ses couleurs son lien primordial à la terre.

Ses toiles contrastent avec les couleurs vives, presque fluorescentes, de l'artiste Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori, juste à côté. Cette artiste a aussi commencé à peindre tard, vers ses 80 ans, juste après être retournée sur son île natale qu'elle avait dû fuir très jeune. La peintre contemporaine, amatrice de grandes toiles et à la renommée internationale, est décédée en 2015.

Laissant de côté l'acrylique sur toile, l'exposition présente au sous-sol de la peinture sur écorces. Sous forme de tableaux d'abord, qui représentent notamment les sensations de la pluie, en tous cas toujours des "mouvements perpétuels". Au centre se dressent des poteaux funéraires creusés par les termites, sur lesquels des serpents, symboles puissants de création parmi le monde du "rêve", glissent sur des tapis de nénuphars.

Voix politique

"La date de naissance des artistes exposées est souvent inconnue, ce qui souligne le côté politique de leur art et de leur existence", appuie Samuel Gross, deuxième curateur de l'exposition. En Australie, les Aborigènes n'étaient pas considérés comme des citoyens avant 1967, ce qui leur rend encore aujourd'hui très difficile d'obtenir un passeport, selon le curateur.

"L'art leur a donné une voix", ajoute Georges Petitjean. Leurs peintures, comme les peintures collectives, ont même été utilisées pour prouver devant les juges australiens leur lien avec leur terre, étant donné que ces cultures n'avaient pas de trace écrite. La transmission de leurs connaissances passait d'abord par les poèmes oraux, rappelle le curateur.

Les peintures exposées au Musée Rath sont aujourd'hui créées spécialement pour être présentées au grand public, souligne Georges Petitjean. Avant d'ajouter que ces oeuvres ne permettent que d'effleurer la surface du "noyau de leurs connaissances, réservé aux initiés".

Avec Keystone-ATS

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Culture

La cuisine italienne rejoint le patrimoine immatériel de l'Unesco

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La cuisine italienne a été inscrite mercredi au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. (photo symbolique) (© KEYSTONE/FR41490 AP/Larry Crowe)

Pâtes fraîches, sauces savoureuses, huile d'olive artisanale... La cuisine italienne a été inscrite mercredi au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco, une première mondiale pour un pays qui devrait encore accroître l'attractivité touristique de la péninsule.

La candidature italienne, soumise en 2023, figurait parmi les 68 dossiers examinés de mardi à jeudi par un comité de l'organisation onusienne réuni à New Delhi, qui a aussi reconnu la fête indienne des lumières, Diwali.

Cette reconnaissance "honore qui nous sommes et notre identité", s'est réjouie la Première ministre Giorgia Meloni, dont le gouvernement d'extrême droite promeut les produits "Made in Italy" dans le cadre de son programme nationaliste.

"Car pour nous, Italiens, la cuisine n'est pas seulement de la nourriture ou un recueil de recettes. C'est bien plus : c'est la culture, la tradition, le travail, la richesse", a-t-elle réagi dans un communiqué.

L'Italie est mondialement célèbre pour sa gastronomie, notamment ses pâtes, ses pizzas et ses glaces, mais aussi pour la grande variété de ses spécialités régionales élaborées à partir d'ingrédients simples et locaux.

La fabrication de la pizza à Naples figure déjà sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'Unesco, tout comme le café expresso, mais cette inscription a une portée plus large, concernant la cuisine dans son ensemble.

Elle diffère aussi de celle de la France, sa rivale culinaire, qui a obtenu en 2010 la reconnaissance de l'Unesco pour "le repas gastronomique des Français", composé de quatre plats.

Un héritage

Pour Leonora Saltalippi, copropriétaire de la petite trattoria "Da Gildo" dans le pittoresque quartier romain du Trastevere, la cuisine italienne est le fruit d'une transmission de plusieurs siècles.

"C'est un héritage né de la vision des femmes en cuisine", a confié mardi à l'AFP cette restauratrice de 43 ans.

"Elles cuisinent depuis des siècles et ont su trouver, dans les petites choses de la terre et la pauvreté d'antan, une saveur qui prend racine dans l'huile et se retrouve dans tout ce qu'elles touchent", a-t-elle expliqué.

Versant un filet d'huile d'olive sur une assiette de fettuccine aux artichauts, elle fait remarquer que partout en Italie, chaque famille a sa propre recette, "sans aucune trace écrite".

"Ce qui fait toute la différence, c'est le soin et l'amour avec lesquels les choses sont préparées en général, et pas seulement en cuisine", a souligné Tiziana Acanfora, une cliente de 51 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Soleure 2026: un cinéma qui bouscule les récits dominants

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Le directeur artistique Niccolo Castelli a concocté un programme pour les 61es Journées de Soleure, qui invite le spectateur à l'empathie plutôt qu'au jugement. (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les 61es Journées de Soleure, qui se tiendront du 21 au 28 janvier 2026, transformeront une nouvelle fois la cité baroque en capitale du cinéma suisse. La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider participera pour la deuxième fois à la soirée d’ouverture.

Au total, 164 longs et courts métrages seront présentés, sélectionnés parmi 478 ½uvres soumises, a indiqué le directeur artistique Niccolò Castelli mercredi devant la presse à Berne. Cette édition met en lumière une production nationale toujours plus diverse, avec 68% de documentaires et 32% de fictions, et un équilibre marqué entre régions linguistiques: 9 films romands, 11 alémaniques et 2 tessinois figurent dans les trois sections compétitives.

L’invitée d’honneur de la rétrospective est la cinéaste genevoise Edna Politi, dont l’½uvre, nourrie d’influences arabes, juives et européennes, est saluée pour son regard nuancé sur le Proche-Orient. "Ses films constituent une véritable invitation au dialogue interculturel", souligne le festival.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Diwali intègre le patrimoine culturel immatériel de l'Unesco

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Lors de Diwali, l'Inde est illuminée de feux d'artifice, lampes, bougies et pétards (archives). (© KEYSTONE/EPA/DIVYAKANT SOLANKI)

La fête indienne des lumières, Diwali, a rejoint mercredi la liste du patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. Cette annonce a été saluée par New Delhi, qui y voit la reconnaissance de "l'âme de (sa) civilisation".

Diwali, aussi connue sous le nom de Deepavali, est une des fêtes les plus importantes de l'hindouisme, mais aussi du sikhisme et du jaïnisme. Elle est célébrée par des millions de personnes à travers le monde et symbolise le triomphe du bien sur le mal et a lieu pendant cinq jours autour de la nouvelle lune en octobre ou novembre.

L'Inde est alors illuminée de feux d'artifice, lampes, bougies et pétards, au prix, en général, d'une pollution atmosphérique particulièrement toxique.

L'Unesco a annoncé son inscription au patrimoine culturel immatériel mercredi sur les réseaux sociaux. Le Premier ministre indien Narendra Modi a salué la reconnaissance de cette fête "fortement liée à notre culture et notre philosophie", qui constitue "l'âme de notre civilisation", selon un communiqué partagé sur les réseaux sociaux.

Cette inscription au patrimoine culturel immatériel "contribuera à renforcer encore davantage la popularité de cette fête à travers le monde", a-t-il ajouté.

Le Comité intergouvernemental de l'Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est réuni à New Delhi de mardi à jeudi et examine des dizaines de candidatures provenant de 78 pays. L'objectif est de "mettre en avant la diversité des traditions et (d'encourager) les pays et les communautés à prendre des mesures pour les sauvegarder et les pérenniser", explique l'Unesco sur son site internet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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