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Anouk et Zoé Vergé-Dépré enfin réunies

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Los Angeles 2028: tel est l'objectif d'Anouk et Zoé Vergé-Dépéré. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Anouk et Zoé Vergé-Dépré entament leur première saison ensemble en tant que joueuses de beachvolley. Le début d'une aventure qui comporte quelques défis pour les deux soeurs bernoises.

Jean-Charles Vergé-Dépré n'attendait que ça! Un sourire se dessine sur son visage quand il observe ses deux filles raconter les raisons derrière leur réunion. "Je rêvais depuis longtemps que mes filles jouent ensemble", avoue le Français de 69 ans.

Lorsque Joana Mäder, partenaire d'Anouk, et Esmée Böbner, coéquipière de Zoé, ont décidé d'arrêter, temporairement ou définitivement, leur activité de beachvolleyeuse, il s'est rapidement murmuré que le moment était le bon pour que les deux soeurs forment enfin un duo.

Le sujet était d'ailleurs abordé de temps en temps lors des dîners de famille. "On connaît deux joueuses qui n'ont pas encore de partenaire", glissaient les parents.

Le petit mot

Mais leurs filles ne se sont pas laissé influencer par l'extérieur. Elles ont pesé les avantages et les inconvénients, discuté de la forme concrète que pourrait prendre une collaboration sportive et réfléchi aux mesures concrètes qu'elles devraient prendre pour protéger leur étroite relation.

La décision prise, Zoé a déposé un message dans la boîte aux lettres de sa soeur où figurait la question: "Veux-tu être ma partenaire de beach? Oui, non, peut-être." Anouk a coché la case du "oui" avant de remettre la missive dans la boîte aux lettres, avec du chocolat.

Voici comment est née l'équipe "Zouk", nom né de la combinaison de leurs deux prénoms mais qui s'inspire aussi de leurs racines guadeloupéennes. En créole, "zouk" signifie joie et désigne aussi ce style de musique typiquement caribéen qui résonne souvent dans les enceintes des soeurs Vergé-Dépré.

"Le bon moment"

"C'est le bon moment pour se mettre ensemble", déclare Anouk, de six ans l'aînée de Zoé (33 et 27). Les deux n'ont jamais vraiment eu la chance de jouer ensemble, Anouk étant déjà sur le World Tour à une époque où sa soeur ne savait pas encore si elle allait faire du beachvolley son métier.

Ces dernières années, Anouk a remarqué que Zoé était tout aussi passionnée qu'elle par ce sport et a pu constater les progrès réalisés par sa soeur. Particulièrement lorsqu'elles se sont soudainement retrouvées en concurrence pour le deuxième billet pour les Jeux olympiques de Paris 2024.

Zoé a finalement eu le dernier mot avec Esmée Böbner, et le duo a pris la 5e place du tournoi disputé au pied de la Tour Eiffel. La médaille de bronze décrochée aux championnats d'Europe aux Pays-Bas a été une autre preuve que la cadette faisait désormais partie de l'élite mondiale.

Pas la première fois

"Je pense que si nous avions fait équipe plus tôt, il nous aurait manqué encore la maturité", suppose Anouk Vergé-Dépré, qui se souvient des Européens de 2018. Les deux soeurs s'étaient retrouvées sur le sable de manière imprévue lorsque Joana Mäder (alors Heidrich) avait déclaré forfait au dernier moment et avaient été éliminées en huitièmes de finale.

"Il y avait une tout autre dynamique à l'époque", explique Zoé, qui vivait à cette occasion-là son baptême du feu à ce niveau. "A l'époque, j'étais la petite junior inexpérimentée. Maintenant, j'ai beaucoup plus de bagage."

Leur préparation a toutefois été ternie par la blessure à un orteil d'Anouk lors d'un entraînement à Rio. Les deux soeurs ont dû donc faire l'impasse sur les premiers tournois disputés au Mexique.

LA 2028 comme but ultime

La médaillée de bronze olympique de Tokyo doit en outre s'adapter à sa nouvelle coéquipière. Alors qu'elle jouait en défense aux côtés de Joana Mäder, elle retrouve désormais le bloc. "Je vais devoir sprinter vers l'avant à chaque service. C'est déjà un changement sur le plan physique, mais je m'en réjouis", explique-t-elle.

Le tout jeune team "Zouk" ne s'attend donc pas à tout rafler dès sa première compétition, dès jeudi au tournoi Elite16 de Saquarema au Brésil. Le plus important est bien la perspective à long terme avec une éventuelle participation aux Jeux olympiques de Los Angeles 2028, un autre rêve pour leur père Jean-Charles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Equipe de Suisse: Michel Aebischer veut retrouver son ancien statut

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Michel Aebischer pourrait remplacer Remo Freuler samedi à Bâle. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Michel Aebischer a changé d'air, mais pas de cap. Le Fribourgeois, qui s'épanouit désormais à Pise, veut retrouver le statut qui lui avait permis de se révéler au grand public lors de l'Euro 2024.

Il ne faut pas l'oublier, Michel Aebischer a été l'un des grands artisans de la parenthèse enchantée de l'été 2024. En Allemagne, où l'équipe de Suisse avait atteint les quarts de finale, le Singinois avait été l'un des hommes les plus utilisés par Murat Yakin.

Alors qu'il ne comptait jusqu'alors qu'une poignée de titularisations sous le maillot helvétique, il s'était approprié le poste de piston gauche que lui avait confié l'industrieux sélectionneur. Buteur et passeur décisif contre la Hongrie en ouverture, auteur d'un autre assist face à l'Italie, Michel Aebischer n'avait manqué que la funeste séance de tirs au but contre l'Angleterre.

Deux trajectoires opposées

Le joueur formé au FC Heitenried était devenu le visage fribourgeois de la séduisante équipe de Suisse de Murat Yakin. Il n'a toutefois pas suivi la même trajectoire ascendante que son homologue vaudois et coéquipier à Bologne, Dan Ndoye.

Un an plus tard, ce dernier a profité d'une saison pleine, ponctuée d'un but victorieux en finale de la Coupe d'Italie, pour filer en Premier League, à Nottingham, devenant au passage le deuxième joueur Suisse le plus cher de l'histoire. Michel Aebischer, lui, a perdu sa place de titulaire chez les Rossoblù après une blessure aux adducteurs, et a dû se résoudre à rejoindre un club moins concurrentiel.

"Mon rôle à Bologne ne me convenait plus", explique-t-il depuis Lausanne, où la Suisse se prépare avant d'affronter la Suède dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde 2026. "Je voulais retrouver un statut plus important et accumuler les minutes. C'est pour ça que j'ai changé d'air."

Leader en Toscane

Ce nouveau rôle, Michel Aebischer l'a obtenu au Pise Sporting Club, promu cet été en Serie A. "Il y a beaucoup de jeunes autour de moi, à qui je peux apprendre des choses", apprécie le milieu de terrain de 28 ans, l'un des joueurs les plus expérimentés de sa nouvelle équipe.

Lorsqu'un journaliste lui demande si Bologne, qui jouait la Ligue des champions la saison dernière, n'était tout simplement pas devenu "trop grand pour lui", le Fribourgeois répond avec sérénité: "Je ne pense pas. Je vous rappelle que j'ai été capitaine. (réd: plusieurs matches lors de la saison 2023/24). Et puis il y a eu un nouvel entraîneur, Vincenzo Italiano, qui changeait les titulaires à chaque match."

A Pise, où son prêt pourrait devenir définitif si le club venait à se maintenir en Serie A, il regoûte à une certaine forme de stabilité. La formation toscane, qui a connu plusieurs faillites dans son histoire centenaire, a retrouvé l'élite du calcio pour la première fois depuis 1991.

Le remplaçant de Freuler ?

Michel Aebischer veut désormais aussi renouer avec son ancien statut en équipe de Suisse, et tout faire pour vivre un deuxième Mondial. "Il n'y a rien de plus gros que la Coupe du monde pour un footballeur. Tous les meilleurs y seront. C'était un rêve d'y aller la première fois. Désormais, c'est un objectif", assure-t-il.

Avec les nombreux forfaits qui ont miné le milieu de terrain helvétique, l'homme aux 34 sélections (2 buts) devrait avoir l'occasion de s'illustrer samedi à Genève. Il connaît mieux que quiconque le rôle de l'ombre du grand absent Remo Freuler, qu'il a longtemps côtoyé à Bologne.

Murat Yakin le tient en tout cas toujours en haute estime. La preuve, Michel Aebischer a été l'un des premiers remplaçants à entrer en jeu lors des deux victoires de la Suisse en septembre, contre le Kosovo et la Slovénie. Et son absence du cadre en octobre n'était due qu'à une légère blessure sans gravité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La France peut décrocher son ticket en battant l'Ukraine

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La France de Didier Deschamps peut valider son ticket pour le Mondial dès jeudi soir (© KEYSTONE/EPA PAP/MACIEJ KULCZYNSKI)

La dernière fenêtre réservée aux éliminatoires de la Coupe du monde démarre jeudi.

Trois équipes pourraient décrocher leur ticket pour la phase finale et rejoindre ainsi l'Angleterre, seule nation européenne déjà qualifiée, dès jeudi soir.

Leader du groupe D, la France doit battre l'Ukraine à Paris pour se mettre définitivement à l'abri. Les joueurs de Didier Deschamps abordent cette partie avec 3 points d'avance sur leurs adversaires du jour et dauphins dans cette poule.

Les Bleus peuvent donc se permettre un match nul face aux Ukrainiens. Mais une défaite pourrait en revanche s'avérer rédhibitoire: ils se rendront en Azerbaïdjan dimanche lors de l'ultime journée, alors que l'Ukraine affrontera l'Islande.

Le Portugal validera aussi sa qualification en cas de victoire face à l'Irlande dans la poule F, voire en cas de nul si la Hongrie ne bat pas l'Arménie. Et les Lusitaniens peuvent voir venir: Cristiano Ronaldo et Cie accueilleront l'Arménie trois jours plus tard.

La situation est un peu plus complexe dans le groupe I pour la Norvège, qui doit battre l'Estonie tout en espérant que l'Italie ne gagne pas en Moldavie. Un nul suffirait aux Norvégiens en cas de défaite italienne. La Squadra Azzurra espère elle que tout se jouera dimanche à Milan, dans le choc face à la Norvège.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Luis Rubiales crie au complot de "l'extrême gauche"

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Luis Rubiales crie au complot de l'extrême gauche (© KEYSTONE/AP POOL EFE/CHEMA MOYA)

L'ex-président de la Fédération espagnole Luis Rubiales, condamné pour agression sexuelle pour un baiser imposé à la joueuse Jenni Hermoso, a de nouveau minimisé les faits dans un entretien télévisé.

Rubiales estime avoir été victime d'un complot "de l'extrême gauche".

Condamné en première instance puis en appel à une amende de 10'800 euros pour avoir embrassé de force la joueuse après la finale du Mondial féminin à Sydney le 20 août 2023, Rubiales a de nouveau martelé jeudi soir sur le plateau de l'émission El Chiringuito que ce baiser était "consenti". Ce qu'avait démenti Jenni Hermoso, suivie en cela par la justice espagnole.

"Comme président, j'aurais dû me comporter plus froidement, de manière plus institutionnelle. Mais non, je ne demande pas pardon à Jenni Hermoso, parce que je lui ai demandé si je pouvais l'embrasser et elle m'a dit +d'accord+", a répété l'ex-homme fort du football espagnol, qui a écrit un livre pour dénoncer l'"assassinat public" dont il aurait été victime.

"Quand il y a un jugement, nous avons tous l'obligation de le respecter, mais l'Etat de droit nous permet de le contester si nous ne sommes pas d'accord et pensons effectivement que ce n'est pas une agression sexuelle", a poursuivi Rubiales, dont l'avocate avait affirmé à l'AFP qu'elle allait se pourvoir en cassation.

"Ecran de fumée"

Interrogé sur le propos de son livre, intitulé "Tuer Rubiales", l'ancien dirigeant de la RFEF a assuré, sans preuve, qu'il avait été victime d'un "mouvement soudain de l'extrême gauche" ayant créé une "réalité parallèle" pour s'emparer de cette affaire, dénonçant un "écran de fumée" supposément créé pour protéger le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez.

Depuis une réforme du Code pénal espagnol, un baiser non consenti peut être considéré comme une agression sexuelle, catégorie pénale regroupant tous les types de violence sexuelle.

Luis Rubiales est par ailleurs poursuivi dans une autre affaire, de corruption cette fois-ci, autour du contrat de délocalisation de la Supercoupe d'Espagne en Arabie saoudite. L'enquête porte sur une série de contrats irréguliers conclus par la Fédération espagnole (RFEF) pendant son mandat de président, entre 2018 et 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Nouveau format pour le All-Star Game

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Adam Silver et la NBA modifient le format du All-Star Game (© KEYSTONE/FR171660 AP/NATE BILLINGS)

Le 75e All-Star Game, qui se tiendra en février prochain, adoptera un nouveau format de tournoi à trois équipes.

Deux formations composées de joueurs américains et une équipe mondiale regroupant des talents internationaux se mesureront, a annoncé mardi la NBA.

Le tournoi, composé de quatre matches de 12 minutes, sera organisé le 15 février à l'Intuit Dome, antre des Los Angeles Clippers, qui a ouvert ses portes l'année dernière à Inglewood en Californie.

Deux équipes s'affronteront lors du premier match, la troisième équipe rencontrant ensuite le vainqueur du match d'ouverture, puis le perdant du match d'ouverture. La finale opposera les deux meilleures équipes en fonction de leurs résultats ou de leur différence de points, en cas d'égalité.

Pour ce All-Star Game 2026, la NBA maintiendra une sélection d'au moins 24 joueurs - douze par conférence -, mais le choix des participants ne tiendra plus compte de leur poste. Tous les joueurs seront désormais choisis uniquement sur leur mérite, chaque équipe comptant au moins huit représentants.

Silver pourrait trancher

Cinq joueurs seront désignés comme "titulaires" et sélectionnés parmi les Conférences Est et Ouest. Les fans auront 50% des voix, les joueurs 25% et un panel de journalistes les 25% restants. Sept joueurs par Conférence seront retenus comme "remplaçants" et sélectionnés par les entraîneurs.

Le processus d'affectation des joueurs américains à l'une ou l'autre équipe sera déterminé à une date ultérieure, a précisé la ligue.

Si le processus de vote ne permet pas de sélectionner 16 joueurs américains et huit joueurs internationaux, le commissaire de la NBA, Adam Silver, choisira des joueurs supplémentaires pour rejoindre l'un ou l'autre groupe afin d'atteindre ce minimum.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Johan Manzambi, de joker à titulaire?

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Johan Manzambi pourrait passer de joker à titulaire (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Indispensable en club, Johan Manzambi est encore un remplaçant avec la Suisse. Il pourrait toutefois profiter des nombreuses absences au milieu pour débuter samedi contre la Suède, chez lui, à Genève.

L'impressionnant vivier helvétique dans l'entrejeu avait confiné Johan Manzambi à un rôle d'ailier qui n'est pas vraiment le sien en club. Cela ne l'avait pas empêché de faire étalage de son talent dès ses premiers pas sous le maillot suisse, lors de la tournée américaine de juin. Et de confirmer les promesses de l'été à chacune de ses entrées lors des quatre premiers matches de qualification pour la Coupe du monde 2026.

"Prêt" à être titulaire

Les absences combinées de Denis Zakaria (adducteurs) et Ardon Jashari (péroné), auxquelles se sont récemment ajoutées celles de Remo Freuler (clavicule) et Vincent Sierro (mollet), pourraient toutefois donner envie au sélectionneur Murat Yakin de faire débuter Johan Manzambi au poste qu'il occupe en Bundesliga, celui de milieu défensif.

Le principal intéressé, qui a répondu aux questions des journalistes mardi à Lausanne, se dit "prêt" à endosser un statut de titulaire. "Mais les choix de l'entraîneur ont été bons dernièrement, a-t-il insisté. Je suis encore le jeune de l'équipe de Suisse. Alors s'il me voit comme un joker, je serai un joker."

C'est pourtant Pierluigi Tami, le directeur des équipes nationales, qui a suggéré lundi devant la presse que le Genevois de 20 ans était une option crédible pour remplacer Remo Freuler au côté de Granit Xhaka. Les autres candidats se nomment Djibril Sow, Michel Aebischer et Simon Sohm.

Inamovible à Fribourg

Au pied de la Forêt-Noire, où il évolue depuis ses 17 ans et son départ du Servette FC, Johan Manzambi est déjà indispensable à son entraîneur Julian Schuster. Le technicien allemand était d'ailleurs bien embêté lorsque son protégé a dû purger deux matches de suspension en septembre pour un carton rouge. Les deux seuls matches qu'il a manqués depuis le 4 avril, date de son premier but en Bundesliga, et première étape de sa fulgurante ascension.

Sur les pelouses allemandes, Manzambi brille comme milieu de terrain "box-to-box", capable de faire remonter le ballon de son propre camp jusqu'à la surface adverse. Mais il est aussi capable d'évoluer comme no 10 ou sur l'aile, où ses qualités de dribbleur et son sens de but semblent particulièrement plaire à Murat Yakin.

Cette polyvalence a toujours été l'une de ses forces. "J'ai joué à tous les postes quand j'étais jeune", raconte le Genevois, qui a même chauffé les gants de gardien durant sa formation. Mais sa technique balle au pied l'a vite replacé au milieu du pré. "Je n'ai pas vraiment de préférence. Franchement, tant que je joue, je suis content", assure-t-il, sourire sincère.

Une première à Genève

C'est aussi pour son humeur toujours positive et sa maîtrise de l'allemand que Johan Manzambi est désormais l'un des premiers noms que le sélectionneur couche sur ses listes. Il est déjà possible d'affirmer que si la Suisse venait à se qualifier pour la Coupe du monde, seule une blessure l'empêcherait d'être de la partie en Amérique du Nord, l'un "des grands objectifs" de sa carrière.

Avant de songer à retourner aux Etats-Unis, là où son histoire avec la sélection a débuté, Johan Manzambi s'apprête à fouler pour la première fois un stade qu'il connaît bien, mais dans lequel il n'a encore jamais joué. A Genève, devant le public romand, il aura l'occasion de fêter une qualification qui tend les bras à la Suisse. Que ce soit comme titulaire ou comme joker.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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