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Culture

Fresque géante de l'artiste franco-suisse Saype à Villars (VD)

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La nouvelle fresque géante de l'artiste franco-suisse Saype se situe sur le site vaudois du Grand Chamossaire, à Villars. (© Keystone/VALENTIN FLAURAUD)

L'artiste franco-suisse Saype, connu pour ses fresques géantes peintes à même le sol, a dévoilé vendredi une nouvelle oeuvre à Villars (VD). Peinte à même l'herbe sur 2500 m2, "Vers l'équilibre" représente une petite fille formant un cairn sur une pile de livres.

Au coeur des Alpes vaudoises, l'½uvre monumentale est visible depuis le sommet du Grand Chamossaire et partiellement du Lac de Bretaye, précise le service de presse de Saype dans un communiqué. Le site est accessible aux randonneurs qui peuvent voir la fresque jusqu'à la fin du mois avant que la nature reprenne d'elle-même ses droits.

"Le cairn est un point de repère pour guider les randonneurs en montagne", explique Saype. "C'est une création avec des éléments naturels qui font écho à mon travail de land art. J'aime la poésie de ces lieux perchés dans la montagne, où l'½uvre vient complètement interagir avec son environnement", dit-il. Le projet a été parrainé par l'Office du Tourisme de Villars.

Artiste réputé du street et land art, inventeur de la peinture biodégradable, Saype, de son vrai nom Guillaume Legros, est né à Belfort (F) en 1989. Il est déjà à l'origine d'½uvres poétiques et éphémères au Champ-de-Mars à Paris, au Cap en Afrique du Sud, au Bénin ou encore à Istanbul.

Il a aussi déjà oeuvré plusieurs fois en Suisse, notamment à Genève, au Moléson, à Leysin ou à Château d'Oex. Il réalise ses fresques sur l'herbe, la terre, le sable et la neige.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le jeu "Des chiffres et des lettres" va quitter le petit écran

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Après 50 ans, le plus ancien jeu télévisé de France, "Des chiffres et des lettres", va disparaître des grilles à la rentrée. Photo : L'animateur de l'émission Patrice Laffont dans les années 80. (© AFP)

"Le compte est bon" pour le plus ancien jeu télévisé de France: "Des chiffres et des lettres" va disparaître des grilles de France Télévisions à la rentrée, après plus d'un demi-siècle de bons et loyaux services.

"Des chiffres et des lettres", rendez-vous quotidien réunissant des générations de téléspectateurs à l'heure du goûter depuis 1972, n'était déjà plus diffusé que le week-end depuis la rentrée 2022.

Mais cette programmation le samedi et le dimanche "n'a pas été couronnée de succès", a acté le directeur des antennes et des programmes de France Télévisions, Stéphane Sitbon-Gomez, dans une interview à la Tribune Dimanche.

"Après cinquante ans d'existence, c'est un rendez-vous emblématique", reconnaît-il. "C'est une décision difficile, mais nous avons fait le choix d'arrêter ce programme".

La fin d'une ère

Si arrêter des émissions fait "partie de la vie normale de toutes les chaînes", selon lui, la déprogrammation de "Des chiffres et des lettres" marque la fin d'une ère.

D'abord appelée "Le mot le plus long", l'émission devient vite culte sur Antenne 2. Après Patrice Laffont ou Laurent Cabrol, Laurent Romejko tient la barre de la plus vieille émission de PAF, après "Le jour du seigneur", depuis trente ans.

Tout y est culte: l'épreuve de calcul mental, "le compte est bon", celle de vocabulaire avec son tirage alternatif de consonnes et de voyelles, la musique du générique ("Western Patrol") apparue dès 1972.

"Des chiffres et des lettres", qui est également l'une des plus anciennes émissions d'Europe, s'est exportée dans de nombreux pays, de la Belgique à l'Australie.

Plusieurs dizaines de milliers de candidats y ont participé et des centaines de clubs existent, en dehors de la télé, avec leurs tournois ou leurs champions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Culture

Madonna enchante Rio lors d'un concert "historique"

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Madonna sur scène à la plage de Copacabana à Rio de Janeiro (© KEYSTONE/EPA/ANDRE COELHO)

Une star planétaire, une ville de rêve, une plage mythique. Madonna a retrouvé samedi soir ses fans à Rio de Janeiro lors d'un concert monumental et gratuit sur la plage de Copacabana.

Peu avant 23H00 (04H00 Heure suisse dimanche), la "reine de la pop", toute de noir vêtue, est apparue sur la scène, faisant chavirer de bonheur la foule en interprétant "Nothing Really Matters", un hymne à la résilience.

Quelque 1,5 million de personnes étaient attendues pour le plus grand concert de la carrière de la star. Un public installé sur le sable, mais aussi en mer à bord de dizaines de bateaux pour profiter d'une vue imprenable.

Avec ce show annoncé depuis des jours comme "historique", la popstar américaine de 65 ans clôture en beauté "The Celebration Tour", tournée à la gloire de ses 40 ans de carrière, d'inventions, de coups d'éclat et de scandales.

Par une journée splendide d'automne aux températures estivales, les fans, souvent en maillot de bain, n'ont cessé d'affluer pour vibrer au plus près de la scène, un plateau gigantesque de plus de 800 m2.

Alba et Roxy Rueda, deux soeurs argentines de 48 et 46 ans, ont acheté leurs billets d'avion dès que la rumeur du concert a émergé il y a quelques mois. "Quand j'ai eu neuf ans, ma soeur aînée, qui est décédée l'an dernier, m'a offert mon premier walkman avec la cassette de +Like a Virgin+", le tube qui a lancé Madonna. "Depuis lors on n'a pas arrêté de l'écouter. Pour cette raison, venir ici est lié pour nous à notre relation entre soeurs", dit Alba.

Pour faire monter la pression, plusieurs DJ, dont Diplo, un as américain des platines, se sont succédé à la tombée de la nuit pour faire exulter "la plus grande piste de danse du monde".

Puis est venu le moment pour la reine de quitter son palais, ou plutôt son palace: le légendaire Copacabana Palace, havre de paix et de luxe pour stars de Hollywood et de la pop depuis des décennies, où elle a établi ses quartiers en famille depuis le début de la semaine.

Madonna a parcouru une passerelle installée pour l'occasion, qui l'a menée directement à la scène. La police est présente en force, presque dans chaque rue d'un quartier habitué à la délinquance.

Souvenirs et "Material Girl"

"Are you ready?" ("Etes-vous prêts?"), avait-elle lancé sur son compte Instagram quelques heures plus tôt. Elle a partagé trois images, deux où elle brandit le drapeau brésilien et une autre où elle porte le maillot de l'équipe nationale de foot, frappé du numéro 10 et des lettres "Ciccone", son nom à l'état-civil.

Après 80 concerts en Europe, en Amérique du Nord et au Mexique, le show de Rio fait figure de bouquet final, mais aussi de pied de nez au destin, alors qu'une grave infection bactérienne avait conduit en juin 2023 la chanteuse en soins intensifs et affolé les fans du monde entier.

Face au Copacabana Palace et le long de la plage où vendeurs de souvenirs se sont mis à l'heure Madonna et ont grossi leurs stocks et leurs prix, l'ambiance a été festive ces derniers jours et rappelait la légèreté du carnaval de Rio, pourtant achevé depuis près de trois mois. "Papa Don't Preach", "La Isla Bonita", "Material Girl"... Impossible d'échapper aux classiques de la reine de la pop, repris partout.

La drag queen Pabllo Vittar, une étoile de la pop brésilienne, et une troupe de jeunes jouant des percussions de funk carioca - la bande-son des favelas de Rio - doivent aussi monter sur scène samedi soir. Est confirmée également la présence de la chanteuse brésilienne Anitta, celle qui a fait découvrir le funk de Rio au reste du monde.

Trois avions et 270 tonnes de matériel ont débarqué dans la "Cité merveilleuse" avec la star américaine, rompue aux spectacles pyrotechniques de haute précision.

Le show est un événement de taille pour la ville de Rio. Le concert générera 293 millions de réais (53 millions d'euros) pour l'économie locale, a calculé la mairie, qui a participé à hauteur de 20 millions de réais à une production d'un coût évalué à 60 millions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Mort à 87 ans de l'Américain Frank Stella, figure du minimalisme

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Frank Stella (à gauche) et le président Barack Obama (à droite) en 2009. (© KEYSTONE/AP/Charles Dharapak)

Frank Stella, peintre américain devenu une figure de l'art américain d'après-guerre, notamment avec ses premières oeuvres minimalistes, est décédé à l'âge de 87 ans, ont rapporté samedi des médias américains.

Frank Stella s'est éteint dans sa maison de Manhattan, victime d'un lymphome, a rapporté le New York Times. Il avait lancé sa carrière en réalisant des peintures contrastant avec l'expressionnisme abstrait de l'époque, avec peu de couleurs.

Ses premiers travaux comprenaient une série de peintures "à rayures", de grandes oeuvres aux lignes noires précises sur une toile vierge, qui ont fait fureur dans le monde de l'art américain, et au-delà.

Frank Stella a été reconnu comme un artiste américain majeur avant d'avoir 25 ans et a poursuivi sa carrière pendant plus de six décennies.

Il a exploré par la suite la couleur et la forme, réalisant occasionnellement des peintures de forme irrégulière avec des motifs géométriques. Dans les années 1970 et 1980, Stella se tourne de plus en plus vers les oeuvres tridimensionnelles, incorporant de l'aluminium et de la fibre de verre dans ses oeuvres, avant d'exécuter des sculptures monumentales. Le musée d'Art moderne de New York lui a consacré deux rétrospectives en 1970 et 1987.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La société des Vieux-Grenadiers fête ses 275 ans

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Les troupes des Vieux-Grenadiers défilent dans les rues à l'occasion des 275 ans de la société. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La société des Vieux-Grenadiers, une des plus anciennes sociétés patriotiques genevoises, est née il y a 275 ans. L'anniversaire a été célébré samedi, avec, comme point d'orgue, un grand défilé fort de plus de 800 participants et de 70 chevaux à travers les rues de Genève, avec la présence des cavaliers croates de l'Alka.

Le Cercle des Vieux-Grenadiers, de son côté, a organisé une journée portes ouvertes afin de se présenter au public genevois, de lui faire découvrir l'arsenal de la compagnie et lui faire visiter le bâtiment qui lui sert de quartier général.

Des activités pour tous les âges ont été organisées, avec notamment un coup de projecteur sur la plus petite vigne du canton de Genève.

La société des Vieux-Grenadiers a été fondée en 1749. Elle est née de la volonté de quelques miliciens de créer une amicale de loisirs et d'entraide. Outre sa célèbre compagnie, elle compte aujourd'hui de nombreuses sections et recense environ 1000 membres.

La société des Vieux-Grenadiers est parfois présente lors de réceptions organisées par les autorités. Ses uniformes et son cérémonial apportent une touche de solennité militaire à ces événements.

La devise de la société des Vieux-Grenadiers est patrie, famille et amitié. L'égalité aussi compte au nombre de ses valeurs, précise dans un communiqué son président Pierre-Yves Vendramin. Les membres de la confrérie sont issus de toutes les strates de la société.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Papier découpé: le Japon, la Suisse et le Portugal à l'honneur

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Markus Blum est l'un des trois artistes exposés par le Musée du Pays - d’Enhaut & Centre suisse du Papier découpé à Château-d’Oex jusqu'au 28 juillet. (© )

Le Musée du Pays-d’Enhaut & Centre suisse du papier découpé à Château-d’Oex (VD) accueille une nouvelle exposition temporaire. Jusqu’au 28 juillet, elle fait la place à trois artistes au style de découpage totalement différent, Claude Yersin et le couple Markus et Toshiko Blum.

"Ces ½uvres proposent au public de poser un regard sur trois cultures: celle du Japon, de la Suisse et du Portugal", explique Corinne Karnstädt, responsable des expositions temporaires au Centre suisse du papier découpé dans un communiqué.

Toshiko Blum, habitant Saint-Gingolph (VS), découvre l’art du découpage avec son mari en 1990. Il fait naître en elle une véritable passion, notamment lors de visites au musée de Château-d'Oex. En 2019, le couple commence à créer ses propres ½uvres.

Alpes et soleil levant

L’artiste, de nationalité suisse et japonaise, n’hésite pas, dans ses découpages, à mélanger les cultures. Elle y intègre des tissus traditionnels japonais, en particulier celui des kimonos, qu’elle revisite à sa manière. Passionnée de calligraphie, elle y incorpore également des caractères japonais, choisis avec soin pour leur signification profonde ou leur symbolique.

Pour son mari Markus Blum, le découpage est une manière de raconter des histoires, en particulier celles liées à sa jeunesse passée dans la ferme de son oncle en Suisse alémanique, entouré de vaches, de nature et de pâturages. À noter qu’il s’agit de la première et la dernière exposition du couple en Suisse, ce dernier ayant décidé de s’installer définitivement au Japon après cet événement.

Alentejo

Originaire de Rougemont, Claude Yersin a accepté l’invitation du Centre suisse du papier découpé à venir exposer en ses murs. L’artiste a débuté le découpage alors qu’il était médecin-coopérant aux Seychelles, représentant alors des sujets seychellois.

En 2015, une fois à la retraite, il s'installe au Portugal. Celui qui est également artiste peintre, reprend le découpage en 2018. Il s’inspire principalement de son environnement et de sa région d’Alentejo pour créer représentations de paysages, d’animaux et d’art de vivre de la région.

https://musee-chateau-doex.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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