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Suisse Romande

Facture sociale: nouvelle fronde contre le Canton avec 37 recours

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Le dossier des relations tendues entre les communes et le Canton de Vaud est entre les mains de la présidente du gouvernement Christelle Luisier (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La répartition de la facture sociale entre les communes et le Canton de Vaud essuie une nouvelle fronde. Au moins 37 d'entre elles vont faire recours auprès du Tribunal cantonal contre le décompte 2021, soit environ une sur dix, essentiellement situées sur l'Arc lémanique et surtout sur la Côte.

"Jusqu'ici 37 communes ont rejoint le mouvement de contestation. Il n'est pas impossible qu'il y en ait quelques-unes de plus", a indiqué vendredi à Keystone-ATS Michel Buttin, président de l'Association de communes vaudoises (AdCV), qui représente quelque 70 communes parfois qualifiées de "riches", confirmant une information de 24 Heures. "Les recours seront déposés ces prochaines semaines auprès de la Cour de droit administratif et public (CDAP)", précise-t-il.

Ce n'est pas la première fois que des communes se rebellent contre la facture sociale. Le décompte de 2019 avait été attaqué par treize localités et celui de 2020 par onze. Elles avaient aussi déposé leur recours auprès de la CDAP.

Dans son jugement du 10 décembre dernier, le Tribunal cantonal avait donné raison à l'Etat dans le premier cas. Il avait toutefois relevé "des dysfonctionnements du système péréquatif cantonal".

"Le système légal actuel n'est pas adéquat et entraîne des résultats qui ne sont conformes ni à l'autonomie communale ni au principe de proportionnalité", avait en effet reconnu la Cour. En clair: les juges cantonaux suggéraient un changement de loi pour une "question qui est politique", affirmant donc ne pas pouvoir trancher eux-mêmes sur ce dossier.

Recours pendant au TF

Les treize communes - Pully, Crans, Founex, Chéserex, Rolle, Gingins, Echandens, Arzier-Le Muids, Borex, Mies, Paudex, Coppet et Vaux-sur-Morges - avaient ensuite déposé fin janvier un recours auprès du Tribunal fédéral (TF). La décision est toujours attendue. Dans la deuxième affaire, le verdict du Tribunal cantonal n'a, lui, pas encore été rendu.

M. Buttin explique le triplement de communes faisant recours cette année par le succès des deuxièmes Assises de la facture sociale en mai dernier, incitant de nouvelles localités à rejoindre la démarche d'une action en justice. Une centaine de communes y avaient pris part.

C'est l'AdCV qui avait quitté à l'époque la table des négociations Canton-communes ayant débouché en été 2020 sur un accord avec la principale faîtière de l'Union des communes vaudoises (UCV). "Nous sommes la seule faîtière à se battre encore sur ce dossier. On n'est pas muselé", relève M. Buttin.

Selon l'accord, la part communale doit descendre au plus tard en 2028 à 36,7% de la facture sociale, contre environ 50% aujourd'hui. Pour les communes contestataires, principalement de l'AdCV, ce rééquilibrage avait été jugé trop tardif. Quant au montant annuel de 150 millions de francs que versera le canton aux communes, il est jugé insuffisant par ces mêmes communes.

Votation populaire ou contre-projet?

Interrogée dans le 24 Heures, la conseillère d'Etat en charge de ce dossier, Christelle Luisier, affirme qu'il y a "une nécessité à agir. Il s'agit d'une priorité de la nouvelle législature".

La présidente du gouvernement constate "qu'il existe des divergences entre les communes et que nous devons trouver un consensus qui soit satisfaisant pour toutes. Nous espérons arriver à un accord avec les associations de communes d'ici à l'été 2023".

La contestation est aussi venue de deux députés PLR qui avaient lancé mi-septembre 2020 l'initiative populaire "SOS Communes", déposée et validée en juin 2021. Celle-ci demande que le canton reprenne à sa charge l'entier de la facture sociale, qui comprend notamment le revenu d'insertion, les subsides maladie, les bourses ou les aides à l'hébergement. En contrepartie, les communes basculeraient quinze points d'impôts au canton.

Le Conseil d'Etat a deux ans pour soumettre le texte à votation populaire ou alors pour proposer un contre-projet législatif. Un éventuel scrutin n'est pas envisagé avant 2023.

A noter qu'une réforme de la péréquation intercommunale (mécanisme de solidarité entre les communes, calculé notamment sur leur potentiel fiscal) est aussi parallèlement en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Deal: les Vert'libéraux vaudois veulent s'inspirer du Portugal

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C'est en 2001 que le Portugal a décriminalisé le cannabis et les drogues dures, devenant ainsi le premier pays européen à adopter une approche de santé publique à l'égard de leur consommation (photo symbolique). (© Keystone/AP/ARMANDO FRANCA)

Pour sortir du cercle vicieux du deal de rue, les Vert'libéraux vaudois veulent s'inspirer du modèle portugais, qui a décriminalisé toutes les drogues en 2001. L'idée de la motion déposée cette semaine au Grand Conseil par le député David Vogel est de considérer les consommateurs non plus comme des criminels à envoyer en prison, mais comme des malades qu'il faut prendre en charge.

"Face à une situation qui déborde dans nos rues vaudoises, il est temps d'oser une politique du courage: la motion 'Du bad trip au bon plan' propose de compléter et moderniser la politique des quatre piliers en plaçant l'accompagnement personnalisé au coeur de l'action", ont indiqué les Vert'libéraux dans un communiqué.

"Au Portugal, la création de commissions de dissuasion a permis de coordonner les acteurs sociaux, médicaux et policiers, pour réduire efficacement la consommation à moyen terme, réinsérer les personnes touchées, faire baisser la mortalité chez les toxicomanes et faire des économies substantielles dans la gestion publique", explique le parti vaudois.

"La politique de la drogue doit, si possible, éviter une approche idéologique stérile. Il faut s'inspirer de ce qui fonctionne chez nos voisins et l'appliquer. S'ils y arrivent, pourquoi n'y arriverions-nous pas?", affirme le motionnaire David Vogel.

Portés par "des recherches solides" et le constat "d'une urgence sociale", les Vert'libéraux vaudois proposent via cette motion la mise en place d'un projet pilote inédit en Suisse romande. "Il ne faut pas uniquement nous baser sur la répression sans accompagnement individualisé. En complément de la répression, il nous faut améliorer la prévention et la prise en charge individualisée afin d'essayer de maîtriser concrètement la situation sur le terrain".

Résultats probants

C'est en 2001 que le Portugal a décriminalisé le cannabis et les drogues dures, devenant ainsi le premier pays européen à adopter une approche de santé publique à l'égard de leur consommation. Si ni l'usage ni la possession pour un usage personnel sont illégaux, le trafic et le commerce de stupéfiants restent, eux, interdits.

La loi datant de 25 ans n'abroge pas les sanctions pour possession de stupéfiants, mais les reclasse comme infractions administratives plutôt que pénales. Elle a surtout marqué une rupture avec les politiques punitives traditionnelles. Au lieu d'être condamnés donc, les consommateurs sont dirigés vers un traitement thérapeutique et peuvent bénéficier d'un soutien à long terme.

Concrètement, la peine privative a été remplacée par la participation obligatoire à une formation encadrée par des "Commissions pour la dissuasion de la toxicomanie". Celles-ci sont organisées au niveau régional et composées d'un avocat, d'un travailleur social et d'un professionnel de santé. Leur principe est basé sur la prévention, les soins et la réinsertion sociale.

Selon plusieurs rapports et études, le taux de décès liés à la drogue a chuté depuis 2001 au Portrugal. Il était en 2024 cinq fois plus faible que la moyenne de l'Union Européenne (UE).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les dessins naturalistes s'invitent aux Naturéum à Lausanne

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L'exposition "Natura picta" est à voir jusqu'au 19 avril au Jardin botanique cantonal de Lausanne (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Les dessins naturalistes s'invitent au Naturéum (Muséum cantonal des sciences naturelles) à Lausanne. Jusqu'au 19 avril 2026, à travers l'exposition "Natura picta", le public peut venir (re)découvrir la nature au Jardin botanique grâce au regard sensible et précis du dessinateur Philippe Marle.

L'exposition met à l'honneur le dessin naturaliste, pratique à la croisée de l'art et de la science, célébrant la beauté et la complexité du monde vivant. Animaux, plantes et minéraux s'y dévoilent sous le trait délicat du crayon, la légèreté de l'aquarelle et la finesse de la gravure. Ce voyage graphique nous rappelle que dessiner la nature, c’est d’abord apprendre à la regarder, indique les responsables dans un communiqué.

"Natura picta" met en dialogue les oeuvres lumineuses de Philippe Marle - planches originales, carnets d'esquisses et compositions inédites - avec les collections historiques du Naturéum. "Le parcours met en évidence l'évolution d'un art de l'observation minutieux, autrefois essentiel à la classification du vivant, et aujourd'hui redécouvert pour sa puissance poétique et sa capacité à relier l'humain à son environnement", notent les responsables.

Des ateliers de dessin naturaliste, des visites commentées et des rencontres avec le peintre-illustrateur, installé près de Besançon en Franche-Comté, complèteront l'exposition.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Le rythme infernal du LS va encore s'accélérer

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Peter Zeidler (au centre) va bien devoir gérer son effectif d'ici Noël. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Lausanne-Sport enchaîne les rencontres à un rythme effréné depuis le début de la saison. Et ce n'est pas près de s'arrêter, car le programme du LS va vite devenir "encore plus fou".

Le match nul contre l'Omonia Nicosie, jeudi en Conference League, à peine digéré, Peter Zeidler et ses joueurs avaient déjà le regard tourné vers le FC Sion, qu'ils accueillent dimanche en championnat. Un duel tout aussi important, qui ne fait qu'annoncer un calendrier délirant.

Neuf matches en l'espace de quatre semaines, entre le 23 novembre (à Saint-Gall) et le 21 décembre (réception de Lucerne), voilà ce qui attend les Vaudois après la dernière trêve internationale de l'année. Avec cinq affiches de Super League, un 8e de finale de Coupe de Suisse à Yverdon (le 3 décembre) et trois duels européens au programme, les supporters du LS peuvent se réjouir: le menu ne pourrait pas être plus copieux.

"Le rythme était déjà un peu fou, il va devenir encore plus fou", a lâché Peter Zeidler jeudi peu avant minuit, en conférence de presse d'après-match. L'entraîneur allemand n'a même pas eu le temps d'être frustré par le penalty raté d'Olivier Custodio, qui aurait pu permettre au LS d'arracher la victoire contre les Chypriotes. Il ne pensait déjà qu'aux hommes qu'il allait aligner dimanche lors du derby romand.

Quel bilan à Noël ?

Mais où en seront les Lausannois au moment de mettre les crampons au chaud pour profiter des fêtes et recharger les batteries ? En championnat, difficile à dire, tant Lausanne (8e, à six points du podium) alterne le bon - des récitals contre Young Boys (5-0) et Bâle (5-1) - et le moins bon - un sabordage à Lucerne (2-2) et une défaite dans le derby lémanique contre Servette (3-1) - ces derniers temps.

En revanche, l'escouade de Peter Zeidler semble avoir davantage de certitudes sur la scène européenne, où elle n'a plus perdu depuis son entrée en lice à Skopje le 24 juillet. A mi-parcours de la phase de ligue, les Lausannois figurent ainsi toujours dans le top 8, synonyme de qualification directe pour les 8es de finale.

Il sera difficile d'y rester jusqu'au bout, car l'adversité va monter d'un cran pour Lausanne, qui doit encore se déplacer sur la pelouse du Lech Poznan et accueillir la Fiorentina. Mais avec un 7e point récolté jeudi contre l'Omonia, actuel leader du championnat chypriote, le LS peut sereinement envisager un printemps européen.

"Ce n'est pas encore fait"

"Avec une troisième victoire, on aurait déjà pu planifier le voyage pour les barrages", a quand même regretté Zeidler, pas entièrement convaincu que les 7 points feront l'affaire pour rallier la phase à élimination directe: "Il faudra sans doute plus cette année, mais pourquoi pas aller faire quelque chose en Pologne, il y aura une belle ambiance."

Le mentor de la Tuilière, qui a succédé à Ludovic Magnin en juin, est toutefois persuadé que l'aventure européenne du LS va se poursuivre. "Avec cette équipe et notre public, on va vivre ce printemps européen. Ce n'est pas encore fait, mais j'y crois", a-t-il assuré.

Le club vaudois possède en tout cas un effectif suffisamment fourni pour survivre à son calendrier infernal. Avec un buteur, Theo Bair, qui semble avoir trouvé son rythme de croisière (8 buts en 12 matches depuis son arrivée), les artistes Gaoussou Diakité et Beyatt Lekoueiry en soutien, et une défense suffisamment concurrentielle pour reléguer Bryan Okoh, une des recrues phares du mercato estival, sur le banc, Peter Zeidler peut compter sur des joueurs de qualité à chaque poste.

Sa gestion du temps de jeu de chacun et sa capacité à motiver ses joueurs, que ce soit face à Yverdon ou contre la Viola, sera décisive ces prochaines semaines. Pour que le LS puisse passer la trêve hivernale en chaussons et avec l'assurance de continuer à jouer sur tous les tableaux en 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Baukultur Festival: célébrer la transformation du bâti à Lausanne

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Un nouveau festival tout public dédié à la culture du bâti, le Baukultur Festival, va présenter différents projets de transformation du 12 au 16 novembre à Plateforme 10. (© Baukultur)

A l'occasion de ses 150 ans, la revue Tracés - espazium lance un nouveau festival tout public dédié à la culture du bâti. Intitulé Baukultur Festival - "Tout se transforme!", l'événement investira Plateforme 10 à Lausanne du 12 au 16 novembre. Sept installations et sept expositions y exploreront la transformation de la matière et du patrimoine avec des techniques innovantes ou traditionnelles.

En Suisse, environ 5000 bâtiments sont démolis chaque année et 80% des déchets proviennent du secteur de la construction. Face à ce constat et en partenariat avec le Mudac, le Baukultur Festival met en lumière des pistes concrètes pour construire autrement et transformer l'existant au lieu de démolir et reconstruire.

Le 12 novembre, le public pourra assister à des démonstrations de construction utilisant des techniques anciennes (pisé, chaux) et innovantes (terre compactée, mycélium). Il pourra observer et participer à certaines étapes, telles qu'extinction de la chaux vive, pisé, pressage de blocs de terre crue.

Un pavillon en dalles de béton recomposées, conçu par le laboratoire SXL de l’EPFL, sera monté en direct. Le 15 novembre dans l'après-midi, place sera faite aux visites guidées et démonstrations.

Transformations et reconversions

Dans la galerie Signal-L, sept expositions présenteront des projets de transformation développés par des architectes, chercheurs et étudiants de la HES Fribourg et de l'EPFL: rivières remises à ciel ouvert, bureaux convertis en logements, infrastructures routières devenues parcs urbains.

La revue Tracés elle présentera une dizaine de reconversions exemplaires récemment réalisées en Suisse: une usine transformée en crèche, un silo en hôtel ou encore un entrepôt de vin en logements. "La preuve que rien ne se perd, tout se transforme", concluent les organisateurs.

Issu de la Déclaration de Davos (2018), le concept de Baukultur/Culture du bâti réunit l'ensemble des acteurs de l'environnement construit: architectes, ingénieurs, urbanistes, paysagistes, entreprises, chercheurs et spécialistes du patrimoine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Lausanne: stationnements vélo abrités et sécurisés dès 2026

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Dès 2026 à Lausanne, il sera possible de bénéficier sur abonnement d'une place abritée, fermée et sécurisée pour son vélo, dans des Vélobox à travers toute la ville (archives). (© Keystone/SIGI TISCHLER)

Dès janvier 2026, Lausanne sera la première ville de Suisse à déployer le service de Vélobox pour sa population. Sur souscription d'un abonnement, il sera possible de profiter de places de stationnement vélo protégées des intempéries et du vol à proximité du domicile. Ces abris seront fermés et sécurisés.

"Ce déploiement dans toute la ville fait suite au succès du projet pilote débuté en 2024 dans le quartier France-Maupas. Il a pour objectif de lever un frein à l'adoption du vélo: le manque de places de stationnement sécurisées à domicile", écrit vendredi la Ville dans un communiqué. Ce projet s'inscrit dans sa politique volontariste en faveur de la mobilité active et contribue aux objectifs de son Plan climat, ajoute-t-elle.

"L'offre Vélobox répond à un besoin croissant de la population. Trop de Lausannoises et Lausannois renoncent ou sont freinés dans leur envie de pratiquer le vélo faute de solution de stationnement sécurisé près de chez eux. Avec les Vélobox, nous levons cet obstacle", explique Florence Germond, municipale en charge de la mobilité, citée dans le communiqué.

Accessible aux habitants vivant à moins de 200 mètres d'un Vélobox, deux formules d'abonnement seront proposées, semestrielle à 50 francs ou annuelle à 100 francs, est-il détaillé.

L'installation des Vélobox se fera en plusieurs étapes. La première série sera mise en service en janvier 2026 avec environ 200 places à disposition. Au total, 1048 places de stationnement vélo seront ensuite déployées d'ici fin 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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