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Culture

Deux créations et un classique au programme d'été du Béjart Ballet

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Giorgio Madia (à gauche) et Valentina Turcu (au centre) entourent le directeur artistique a.i. du Béjart Ballet Lausanne (BBL) Julien Favreau. En arrière-plan, les assistants, Tamas Darai et Adriana Mortelliti et les danseurs Oscar Chacon, Jasmine Cammarota, Federico Matetich et Antoine Le Moal. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Pour son programme d'été au Théâtre de Beaulieu (14-20 juin), le Béjart Ballet Lausanne (BBL) propose "Hamlet" et "Rhapsody in Blue", deux créations en première mondiale. Il y présentera aussi le célèbre "Boléro", le ballet signature de Maurice Béjart.

"J'avais à coeur de présenter ces deux créations et le Boléro dans le studio 4 du BBL, notre espace de travail au quotidien, pour ouvrir la compagnie vers une vraie communication", a déclaré jeudi aux médias Julien Favreau, directeur artistique ad intérim après le licenciement en février dernier de Gil Roman. Il était pour l'occasion entouré des chorégraphes, de leurs assistants et de quatre danseuses et danseurs.

Ancienne du BBL, la Slovène Valentina Turcu signe le ballet "Hamlet", inspiré de la célébrissime pièce de William Shakespeare, portant sur la folie humaine, la passion et "la famille qui vit un enfer". "Ces thèmes nous obsèdent depuis 400 ans déjà, j'ai voulu en faire une version actualisée", explique-t-elle, tout en observant que l'oeuvre "va comme un gant aux danseuses et danseurs du BBL".

"L'art de la danse permet d'atteindre un niveau métaphysique inaccessible au théâtre classique", ajoute la chorégraphe, également active dans le théâtre. Ancienne élève de l'Ecole-atelier Rudra Béjart, elle se réjouit de ce "retour aux sources" et dédie sa création à son "père artistique Maurice Béjart", encore "tellement présent".

Liberté et plaisir de danser

Comme Valentina Turcu, l'Italien Giorgio Madia a également dansé au BBL avant de passer à la chorégraphie. Pour le programme d'été, il a imaginé le ballet "Rhapsody in Blue" sur la musique de George Gershwin. Selon ses termes, il s'agit d'un ballet abstrait, "même si Maurice dirait que ce n'est pas possible, vu qu'il y a des corps sur scène".

"Comme Gershwin, qui a décidé il y a 100 ans qu'il ne voulait pas suivre de règles pour composer son oeuvre, j'ai eu envie de créer une chorégraphie sans règles. Je voulais voir la compagnie danser et se défoncer avec le plaisir de danser", commente-t-il.

Ambiance améliorée

Interrogés sur l'atmosphère au sein du BBL depuis le licenciement de Gil Roman, les danseurs présents font état d'une "très bonne ambiance générale". "Les choses sont plus claires, on se sent mieux, plus soutenus", témoigne Jasmine Cammarota. "On a vécu une forme de choc qui nous menés à plus nous responsabiliser dans notre rôle de danseurs. Pendant les tournées, on se regarde et on se corrige les uns les autres", renchérit Antoine Le Moal.

De son côté, Julien Favreau tire un bilan "plutôt positif" de ses débuts à la direction artistique ad intérim qu'il occupe depuis le 28 février. Les spectacles et les tournées se sont poursuivis avec succès, note-t-il. "Depuis deux mois, je suis sur scène mais aussi beaucoup dans la salle. Quand je fais une correction et que je vois que les danseurs l'appliquent, je suis très touché", sourit-il.

Défi qui tombe à pic

Le Français, danseur depuis 30 ans au sein du BBL, se dit "ravi, enchanté et motivé par ce challenge" qui lui donne envie de s'"investir encore plus". Qui plus est "cette mission tombe à pic" à ce stade de sa carrière. Il ne cache pas sa volonté de poursuivre à la direction artistique. "Je danse encore le Boléro, mais ce sera bientôt mon dernier, il faut laisser la place aux jeunes."

Julien Favreau précise que si le BBL ne collabore plus avec Gil Roman, la collaboration avec la Fondation Maurice Béjart, détentrice des droits de l'oeuvre du chorégraphe et présidée par Gil Roman, est "très bonne". Il souligne encore que la mise sur pied des soirées de juin, initiées par l'ancien directeur artistique, est sa façon et celle du BBL de lui "rendre hommage" en tant qu'artiste.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Au procès de Christophe Ruggia: le "ta gueule!" d'Adèle Haenel

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"Mais ferme ta gueule !", a hurlé l'actrice Adèle Haenel contre le réalisateur Christophe Ruggia. Le verdict pour abus sexuels sera prononcé le 3 février. (archives) (© KEYSTONE/EPA/JULIEN DE ROSA)

Le cri a figé la salle d'audience à Paris. "Mais ferme ta gueule!, a hurlé mardi Adèle Haenel au réalisateur français Christophe Ruggia, contre qui cinq ans de prison dont deux ferme ont été requis, pour agressions sexuelles sur l'actrice quand elle était adolescente.

La procureure a demandé que la partie ferme de cette peine soit directement aménagée sous bracelet électronique, ce qui veut dire que Christophe Ruggia, 59 ans, n'irait pas en prison.

Elle a aussi requis une inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles, une interdiction d'entrée en contact avec la victime et une obligation de l'indemniser.

Le tribunal rendra son jugement le 3 février.

Adèle Haenel, 35 ans, a reparlé mardi, au deuxième jour du procès, du tournage du film "Les Diables" en 2001. Un tournage particulièrement difficile de l'avis des professionnels adultes, qui diront plus tard avoir été mal à l'aise face au comportement "déplacé" du réalisateur vis-à-vis de l'actrice française, alors âgé de 12 ans.

"C'est de la normalité qui bascule par degré", a tenté d'expliquer Adèle Haenel, en costume noir. Et "la seule protection que j'avais vis-à-vis de cette honte, de la violence qu'il m'a fait subir, la seule protection c'est les mots qu'il me donnait".

Et "je me retrouve à faire des choses dans cette nouvelle normalité", a poursuivi l'actrice. Comme "retourner" tous les samedis après-midi pendant deux ans chez le réalisateur (âgé de 36 à 39 ans à l'époque).

C'est là que se déroulaient les agressions, sur le canapé où il trouvait toujours un prétexte pour se serrer contre elle, passer sa main sous son t-shirt ou dans son pantalon, en l'embrassant dans le cou, en "respirant fort".

"Manipulation"

"Qui était là, autour de cette enfant, pour lui dire: 'Ce n'est pas de ta faute. C'est de la manipulation. C'est de la violence'?", implorait presque Adèle Haenel.

"Tout le monde me demande de pleurer sur le sort de M. Ruggia. Mais qui s'est soucié de l'enfant? Agresser des enfants comme ça, ça ne se fait pas. Ça a des conséquences. Personne n'a aidé cette enfant".

"Cette audience doit rappeler l'interdit, qui était l'adulte, qui était l'enfant", a souligné la procureure Camille Poch lors de ses réquisitions, en disant n'avoir "aucun doute" sur la réalité des agressions, décrites de manière "constante" par Adèle Haenel et dont elle a parlé à son entourage "dès 2006".

"Adèle Haenel a dit qu'elle se sentait responsable de cette saleté", alors "il faut replacer la culpabilité au bon endroit, dire à Adèle Haenel que ce n'est pas elle le coupable", a affirmé la magistrate.

Le "temps a passé" mais n'a pas effacé les séquelles dont a souffert Adèle Haenel, toujours visibles, a-t-elle noté. Plusieurs fois à l'audience, l'actrice a été prise de spasmes nerveux à l'évocation des agressions.

"Défense improbable"

La magistrate a ainsi balayé la "défense improbable" de Christophe Ruggia qui a parlé d'une "vengeance" car il n'aurait pas voulu faire un deuxième film avec elle.

Plus tôt à l'audience, l'actrice qui contenait jusque là sa rage, se contentant depuis le début du procès de fixer le réalisateur d'un regard noir qu'il évitait, l'a laissée exploser.

"Mais ferme ta gueule !", a hurlé l'actrice, debout, furieuse, ses mains tapant à plat sur la table devant elle.

Le réalisateur qui qualifie les agressions de "pur mensonge" venait de redire à la barre sa "conscience" de la "complexité" du tournage des "Diables", expliquait qu'il avait tenté de protéger Adèle Haenel qui aurait pu être "moquée" au collège à cause des scènes de sexe.

"J'ai suggéré qu'elle prenne un nom d'emprunt...", avançait-il, avant d'être interrompu par le cri d'Adèle Haenel.

L'actrice a alors quitté précipitamment la salle, comme un écho à son départ de la cérémonie des César (prix les plus prestigieux du cinéma français) en 2020 pour dénoncer le sacre du Franco-polonais Roman Polanski, accusé d'agressions sexuelles et de viols par plusieurs femmes. Un geste qui avait fait d'elle un symbole pour les féministes.

Une demi-heure plus tard, elle est revenue et s'est rassise, loin du réalisateur, cette fois sans un regard pour lui.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Plus de vacances mais moins de perspectives salariales pour les RRR

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Les radios comme RTN, du groupe BNJ, sont comprises dans les Radios régionales romandes (image prétexte/archives). (© KEYSTONE/SANDRO CAMPARDO)

Les employés des radios romandes auront droit à plus de vacances et à une meilleure compensation du travail de nuit, mais verront leurs salaires stagner. Impressum et les Radios régionales romandes (RRR) se sont mis d'accord sur une nouvelle CCT.

Le syndicat et les RRR ont actualisé la convention collective de travail du groupe qui date de 2008. Cette mise à jour s'imposait, indiquent les deux parties mardi dans un communiqué commun.

Les employés bénéficieront dès 2025 de cinq semaines de vacances, contre quatre auparavant. Les 50 ans et plus auront six semaines. Et le travail de nuit sera compensé à hauteur de 15% en temps de travail

Les perspectives salariales, elles, se détériorent. Le barème des salaires minimaux a été rééchelonné sur 25 années au lieu de 15. Et l'indexation automatique annuelle passe de 2% à 1%. "L'impact sur l'évolution des salaires reste regrettable", écrit le directeur d'Impressum, Urs Thalmann. Le syndicat assure qu'il veillera à négocier l'indexation à la hausse si l'inflation devait dépasser ce seuil.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Recherches Google: championnat d'Europe de foot et Nemo en tête

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Le championnat d'Europe de football et Nemo ont été les termes les plus recherchés par les internautes suisses sur Google en 2024 (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/LUKAS SCHULZE)

L'Euro de football en Allemagne et le chanteur non-binaire Nemo, vainqueur de l'Eurovision, ont été les termes les plus recherchés par les internautes suisses sur Google en 2024. Une des questions le plus fréquemment posée a été: "Pourquoi Shaqiri ne joue-t-il pas ?"

Pour sa rétrospective, le moteur de recherche a analysé les termes pour lesquels les requêtes ont enregistré cette année une hausse particulièrement forte par rapport à l'année précédente, et ce de manière continue.

Les décès de l'ancien chanteur de boys band Liam Payne, de l'acteur franco-suisse Alain Delon ou de la jeune cycliste Muriel Furrer ont aussi suscité un intérêt particulièrement fort parmi la population sur Google en Suisse. Tout comme le jeune footballeur espagnol Lamine Yamal, qui s'est illustré lors de l'Euro 2024, ou la réélection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis.

Parmi les personnalités les plus recherchées figurent également le footballeur vaudois Dan Ndoye dans la catégorie sport, l'acteur français Michel Blanc (décès) ou le chanteur français Kendji Girac (personnalités internationales).

D'autres questions sont revenues souvent comme: "Combien de communes compte la Suisse ?", "Qu'est-ce qu'un non-binaire ?", "Combien de districts compte le canton de Fribourg ?" ou "Qu'est-ce qu'un talahon ?"

Ce dernier mot désigne en Allemagne de jeunes hommes, pour la plupart issus de la migration, obsédés par les symboles matériels du statut social et qui se veulent forts et intrépides - équivalent approximatif du français "caillera". Ce terme était utilisé par les jeunes gens eux-mêmes pour se définir, mais a été repris par l'extrême droite.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Une pièce romaine à l'effigie de Brutus vendue 1,84 million

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Cet aureus, la monnaie d'or romaine, est "un morceau d'histoire" lié aux derniers chapitres de la République romaine. (© NGSA)

Une rarissime pièce romaine à l'effigie de Brutus, le plus célèbre des assassins de Jules César, a été vendue aux enchères lundi à Genève pour 1,84 million de francs, a annoncé Numismatica Genevensis, responsable de la vente.

La pièce en or a été vendue pour plus de 1,84 million de francs, commission de vente comprise, "à un collectionneur européen", a indiqué la société dans un communiqué.

Sa mise à prix était de plus de 742'000 euros.

La vente a donné lieu à "une intense bataille entre huit enchérisseurs en ligne", a détaillé la maison d'enchères.

Cet aureus, la monnaie d'or romaine, est "un morceau d'histoire" lié aux derniers chapitres de la République romaine, avait expliqué à l'AFP Frank Baldacci, le directeur de Numismatica Genevensis, il y a quelques jours.

La pièce - pesant 8 grammes et d'une dimension similaire à celle d'un euro - a été frappée en 43-42 avant JC par "Brutus et ses amis qui ont assassiné Jules César" en mars 44 avant JC, détaille-t-il.

Dix-sept spécimens

Cet aureus particulier arbore côté face le profil de la tête de Brutus entouré de feuilles de laurier et célèbre au revers ses récentes victoires militaires avec des symboles guerriers. C'est l'un des 17 spécimens connus, selon la maison d'enchères.

Cette pièce, "frappée non pas à Rome mais dans un atelier qui bougeait avec Brutus et ses armées, alors qu'il tentait de s'octroyer le pouvoir après avoir assassiné Jules César", avait aussi une "valeur de propagande", selon M. Baldacci.

La couronne de lauriers est vraiment le signe de "quelqu'un qui veut se promouvoir empereur" qui veut être "calife à la place du calife", avait-il relevé, soulignant l'inscription "IMP" - pour Imperator, chef des armées, titre qui deviendra héréditaire sous l'Empire.

La pièce a été frappée peu de temps avant la bataille très célèbre de Philippes, que Brutus a perdu contre Marc-Antoine et Octave et à l'issue de laquelle il s'est "donné la mort", avait expliqué M. Baldacci.

L'aureus a voyagé à travers les siècles, passant de main en main, à l'abri des regards.

La pièce n'a refait surface que dans les années 1950 lorsqu'elle a été publiée dans le catalogue d'un collectionneur privé. Elle est réapparue par la suite lors d'une vente aux enchères en 2006 à Zurich, où elle a été vendue à un autre collectionneur privé pour 360'000 francs.

La pièce est conservée dans une boîte hermétique pour empêcher toute altération, et pour "garantir son authenticité", avait indiqué M. Baldacci, expliquant que la certification par des sociétés spécialisées se fait notamment en comparant avec d'autres monnaies anciennes, ainsi qu'en examinant l'or utilisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Vivendi: feu vert des actionnaires à la scission du groupe

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Les actionnaires de Vivendi ont approuvé à la quasi unanimité le projet de scission en quatre entités du géant français des médias et de l'édition. (archive) (© KEYSTONE/AP/JACQUES BRINON)

Les actionnaires de Vivendi ont approuvé lundi à la quasi unanimité le projet de scission en quatre entités du géant français des médias et de l'édition, contrôlé par le milliardaire Vincent Bolloré.

Les trois résolutions mises aux voix en assemblée générale des actionnaires à Paris ont été validées chacune à plus de 97%.

Cette étape était nécessaire avant la scission effective du conglomérat et à partir du 16 décembre les nouvelles cotations des entités: Canal+ à la Bourse de Londres, Havas (communication) à Amsterdam et Louis Hachette Group à Paris. La holding Vivendi restera en Bourse à Paris.

Selon le président du directoire de Vivendi, Arnaud de Puyfontaine, c'est "un nouveau chapitre de son histoire" qui s'ouvre pour le groupe, "tout en restant fidèle à ce qu'il est".

"Le point de départ" de l'opération, annoncée il y a un an, était "le cours de bourse de Vivendi", qui "ne reflétait pas la véritable valeur de ses actifs", a rappelé Yannick Bolloré, fils de Vincent Bolloré et président du conseil de surveillance de Vivendi.

La décote de conglomérat atteignait 44%, ce qui constituait "un handicap pour nous actionnaires et pour le développement de nos activités", a-t-il ajouté.

"Ce projet est dans l'intérêt de tous les actionnaires. Il n'y a pas d'autre alternative à part le statu quo", a aussi insisté le dirigeant.

La scission fait bondir certains petits actionnaires, très minoritaires, qui craignent d'y perdre et de voir Vincent Bolloré renforcer son contrôle.

Yannick Bolloré a assuré que la scission est "la voie qui permet de créer de la valeur pour l'ensemble des actionnaires". Et s'il s'agissait pour le groupe Bolloré, actionnaire de référence à hauteur de 29,9% de Vivendi, de prendre son contrôle, "ce n'est pas cette stratégie qu'il choisirait".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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