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Votation du 13 juin: Les opposants à la Loi Covid manifesteront samedi à Genève

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Ce samedi 29 mai les opposants à la Loi Covid, en votation le 13 juin, appellent à la manifestation à Genève. Pour eux, la délégation de compétences au Conseil fédéral est trop importante et dure trop longtemps. Autre grief: la loi introduit le certificat sanitaire qui mettrait en péril le principe d'égalité de traitement prévu par la Constitution. 

Les opposants à la Loi Covid appellent à la manifestation ce samedi 29 mai. Ils estiment que la loi soumise à la votation le 13 juin est liberticide et qu’elle mélange tout. Elle délègue nombre de compétences au Conseil fédéral mais contient aussi des dispositions de procédure, sanitaires ou encore économiques. Les mesures prises par le gouvernement suisse durant cette crise ont restreint les libertés des citoyens de manière excessive, selon Michelle Cailler, porte-parole des Amis de la Constitution, également juriste à l’association «Le virus des libertés».

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

Selon les opposants, la loi Covid entérine ce régime de transfert du pouvoir du parlement vers le gouvernement pour les 10 prochaines années.

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

Un durée dans le temps contestée par les partisans de la loi, les milieux économiques notamment. Pour eux, seuls les remboursements des prêts accordés aux clubs sportifs sont prévus jusqu'en 2032.

Pouvoirs similaires durant la guerre

La loi Covid donnerait un pouvoir démesuré au Conseil fédéral d’agir dans le domaine économique et social, notamment. Des pouvoirs qui rappellent de mauvais souvenirs selon Michelle Cailler, ceux de la dernière guerre mondiale.

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

Un certain nombre de dispositions vont durer dans le temps et d’autres dispositions pourront être rajoutées comme cela a déjà été fait depuis la création de la loi Covid, selon Michelle Cailler.

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

Inégalité de traitement

La loi introduit la notion de certificat sanitaire, qui va conduire à une société à deux vitesses, inacceptable du point de vue du respect des droits fondamentaux.

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

Pour les amis de la Constitution comme pour l’association « Le virus des libertés », la Suisse, avec son système de démocratie directe, doit être un exemple pour le reste du monde.

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

Motion de remplacement

La Loi Covid entérine toutes les aides accordées aux entreprises. Mesures de chômage partiel, comme les RHT mais aussi le dédommagement des cas de rigueur. Ces aides tomberont si la loi est refusée selon les partisans. Pour les opposants, la Motion de l’UDC Pirmin Schwander devrait remédier à ce problème et inscrire les aides dans une nouvelle loi.

Michelle CaillerPorte-parole des Amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

La motion pourrait être traitée dès le 14 juin déjà, lors de la session d'été du parlement fédéral qui débute la semaine prochaine. Le parlement pourrait également tenir une session extraordinaire. Notez que le Conseil fédéral recommande le rejet de cette motion.

Consentement éclairé

Le vaccin est un acte médical qui requiert le consentement éclairé du patient. Actuellement, les raisons de se faire vacciner ne seraient pas les bonnes.

Michelle CaillerPorte-parole des amis de la Constitution et juriste à l'association Le virus des libertés

La manifestation anti-loi Covid est prévue sur la plaine de Plainpalais avec une Flash mob dès 14 heures, sur la chanson Danser encore, très populaire sur les réseaux sociaux.

1 commentaire

1 commentaire

  1. Noa68

    26 mai 2021 à 12 h 51 min

    Le fait que les aides accordées aux entreprises durant la crise soient incluses dans cette loi, et qu’on laisse entendre qu’elles ne seront pas entérinées en cas de refus, constitue une forme de chantage inacceptable.
    En faisant peser cette menace sur les bénéficiaires de ces aides, déjà gravement impactés par les confinements et fermetures qui ont émaillé l’année, et qui vont au surplus devoir faire face à l’inévitable crise économique qui se profile, on force la main de toute une partie de la population, employeurs comme employés, qui voteraient peut-être différemment sans cette épée de Damoclès qu’on suspend au dessus de leur avenir.

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Genève

Des Genevois participent à “la France a un incroyable talent”

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Adrien Laplana, Nina Cachelin et Eric Lecoultre sur la scène de “la France a un incroyable talent”. Photo: Julien Thueil/M6

Ce sont des pros de l’improvisation. Nina Cachelin, Adrien Laplana et Eric Lecoultre, comédiens et co-fondateurs d’Alliance créative, une compagnie productrice de spectacle d'improvisation théâtrale et d’humour, participent mardi soir à “la France a un incroyable talent” sur M6.

Des Genevois participent à l’émission “la France a un incroyable talent”.

Trois humoristes et comédiens: Nina Cachelin, Adrien Laplana et Eric Lecoultre seront sur M6 mardi soir.

Ils sont les co-fondateurs d’Alliance créative, une compagnie productrice de spectacle d'improvisation théâtrale et d’humour. Leur spécialité: des doublages improvisés de films ou de séries. 

Les Genevois ont été contactés par la production de l'émission il y a plusieurs mois. Il faut dire que leurs vidéos sur Instagram sont devenues virales, certaines ont dépassé les deux millions de vues. Le tournage s’est déroulé en juillet dernier en région parisienne, ils ont alors découvert les coulisses d’une telle émission, faite de beaucoup d'attente et de stress.

Eric Lecoultre:

Eric LecoultreComédien et co-fondateur d'Alliance créative
"La grosse part de stress est venue vraiment juste avant de monter sur scène (...) mais heureusement au moment de rentrer, on a pris de l'adrénaline grâce aux spectateurs, il y en avait 800 et on a passé un très bon moment et le stress a disparu à ce moment là."

Les trois comédiens n’ont pas eu le choix, ils ont eu un thème imposé, Eric Lecoultre:

Eric LecoultreComédien et co-fondateur d'Alliance créative
"On nous a demandé de refaire des émissions de M6, l'Amour est dans le pré et une émission d'Incroyable Talent, en redoublant le jury, qui était était en train de nous juger. Il y avait une sorte de mise en abyme un peu spéciale."

Vont-ils regarder l’émission ensemble mardi soir? Eric Lecoultre:

Eric LecoultreComédien et co-fondateur d'Alliance créative
"On sera en petit groupe pour regarder avec les gens qui participent au projet. On dit que c'est environ 2 millions de personnes qui regardent cette émission. J'ai de la peine à imaginer. Et puis, au final, je préfère ne pas trop y penser".

“La France a un incroyable talent” est à voir ce mardi à 21h10 sur M6. On saura donc si le jury a décidé de les envoyer en quart de finale ou pas. 

Sachez que vous pouvez retrouvez la compagnie Alliance créative également sur scène, notamment une fois par mois à Genève. 

 

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International

Colombie: 15 mineurs tués dans des frappes militaires

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Le Brésilien Gustavo Petro a admis le décès d'une quinzaine d'ados lors de raids opérés par les militaires. (© KEYSTONE/EPA/Carlos Ortega)

Les frappes militaires colombiennes contre des guérilléros ont tué 15 mineurs dans le pays depuis octobre, a annoncé lundi le président Gustavo Petro. Ce dernier a été vivement critiqué pour ces opérations ayant tué des adolescents victimes de recrutement forcé.

Sous la pression des Etats-Unis qui exigent plus d'actions contre le trafic de drogue, le président de gauche a intensifié son offensive contre les groupes armés avec des bombardements qui ont fait au total au moins 28 morts la semaine dernière.

Le Bureau du Défenseur du peuple colombien avait fait état samedi de la mort de sept mineurs lors de bombardements de l'armée visant une guérilla, dans le département amazonien du Guaviare (sud), le 10 octobre. Une opération qui a conduit le parquet général militaire et policier à annoncer l'ouverture d'une enquête.

Le chef de l'Etat a ensuite signalé lundi cinq autres mineurs décédés: quatre lors d'un bombardement le 1er octobre dans le département de Caqueta (sud) et un autre jeudi à Arauca (nord-est), à la frontière avec le Venezuela. "Tous sont des victimes du recrutement forcé par des criminels qui les ont entraînés dans les hostilités", a écrit M. Petro sur X.

L'autorité médico-légale a enfin assuré que trois autres mineurs avaient trouvé la mort dans un bombardement le 24 août à Guaviare.

La Défenseure du peuple, Iris Marin, a appelé samedi les forces militaires à "prendre toutes les précautions possibles pour protéger les enfants".

Le recrutement forcé d'enfants est l'une des graves violations des droits humains observées en Colombie au cours des six décennies de conflit entre armée, guérillas, paramilitaires et cartels.

Les groupes armés actifs dans le pays enrôlent des jeunes par la force ou la ruse afin de grossir leurs rangs, n'hésitant pas à les envoyer au combat, a souligné Mme Marin lors d'un entretien avec l'AFP en octobre.

Selon la Juridiction spéciale pour la paix créée dans le cadre de l'accord de paix signé en 2016 avec l'ex-guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), les groupes armés enlèvent en moyenne un mineur tous les deux jours depuis la signature de l'accord.

A moins d'un an de la fin de son mandat, le gouvernement de gauche de Gustavo Petro est confronté à l'échec de sa stratégie visant à négocier la paix avec les différents groupes armés du pays, et à la pire crise sécuritaire de la dernière décennie en Colombie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ONU vote pour une force internationale à Gaza

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Une force internationale sera déployée à Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté lundi pour le plan de paix de Donald Trump à Gaza, prévoyant en particulier le déploiement d'une force internationale, sous la pression des Etats-Unis qui mettaient en garde contre le risque d'une reprise de la guerre.

Treize membres du Conseil se sont prononcés en faveur du texte, que l'ambassadeur américain aux Nations unies Mike Waltz a qualifié d'"historique et constructif". La Russie et la Chine se sont abstenues.

Soutien suisse

La Suisse s'est réjouie de cette décision et a réaffirmé son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats. "La #Suisse salue l’engagement du Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur de la mise en ½uvre du plan de paix pour #Gaza, à travers l’adoption de la résolution d’aujourd’hui, y compris l’établissement d'une #ForceInternationaledeStabilisation.

Le respect du droit international, l’accès humanitaire et la protection des civils doivent rester au c½ur de tous les efforts sur le terrain. La Suisse réaffirme son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats, seul cadre durable pour la paix", peut-on lire sur le compte X du Département fédéral des affaires étrangères.

Pour Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, son adoption est "une étape importante dans la consolidation du cessez-le-feu" à Gaza, ravagée par deux années de guerre provoquée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien du 7 octobre 2023.

Une résolution qui "endosse" le plan Trump

La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.

Le texte "autorise" aussi une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de la sécurisation des frontières avec Israël et l'Egypte, de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques", de la protection des civils et de la formation d'une police palestinienne. La composition de cette force n'est pas évoquée.

Contrairement aux premières versions, l'éventualité d'un Etat palestinien est mentionnée. Après la réforme de l'Autorité palestinienne, "les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'Etat", dit le texte.La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.

Trump content, le Hamas pas du tout

Donald Trump a salué lundi l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de cette résolution. Elle entraînera selon lui "davantage de paix dans le monde".

"Cela restera comme l'une des approbations les plus importantes de l'histoire des Nations Unies", a réagi le président américain sur Truth Social, remerciant les pays siégeant au Conseil de sécurité, y compris la Russie et la Chine, qui se sont abstenues.

Pour sa part, le Hamas a déploré l'adoption d'une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.

"La résolution impose un mécanisme de tutelle internationale sur la bande de Gaza, ce que notre peuple, ses forces et ses composantes rejettent, et elle impose un mécanisme visant à atteindre les objectifs" d'Israël, écrit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué, déplorant notamment la mise sur pied d'une force internationale dont "la mission (...) inclut le désarmement" des groupes palestiniens à Gaza.

Un avenir clairement rejeté par Israël. "Notre opposition à un Etat palestinien sur quelque territoire que ce soit n'a pas changé", a insisté dimanche le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

L'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, a insisté de son côté sur le retour des corps des trois derniers otages encore à Gaza et la "démilitarisation du Hamas".

Objections russes

Pour la France, qui a voté en faveur de cette résolution, elle "répond aux besoins les plus urgents des populations et permet de soutenir les efforts de paix en cours".

"Nous nous sommes assurés que le texte (...) inclue des éléments importants pour nous, et notamment des références à la perspective d'un État palestinien", a ajouté une source diplomatique.

Louis Charbonneau, de l'ONG Human Rights Watch, a insisté sur le fait que la résolution ne diminue en rien "l'obligation qu'ont Israël et ses alliés de se conformer au droit international humanitaire et aux droits humains".

La Russie, qui a fait circuler un texte concurrent, avait justifié cette initiative par le fait que la résolution américaine n'allait pas assez loin sur la perspective d'un Etat palestinien, affirmant un "engagement indéfectible" en faveur de la solution à deux Etats.

L'ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a regretté que "le Conseil donne son aval à une initiative américaine sur la base de promesses de Washington, accordant le contrôle total de la bande de Gaza au Comité de la paix".

D'autres Etats membres ont exprimé des réticences, s'inquiétant d'un manque de clarté dans les mandats du Comité de la paix et de l'ISF.

Face à ce qu'ils ont qualifié de "tentatives de semer la discorde", les Etats-Unis avaient redoublé d'efforts ces derniers jours pour obtenir un feu vert.

"Voter contre cette résolution, c'est voter pour un retour à la guerre", a notamment lancé Mike Waltz avant le scrutin.

Les Américains ont également mis en avant le soutien des pays arabes et musulmans (Qatar, Egypte, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Indonésie, Pakistan, Jordanie, Turquie).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Dossier contre l'ex-directeur du FBI potentiellement "compromis"

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L'ancien directeur du FBI James Comey a été inculpé fin septembre (archives). (© KEYSTONE/AP/Charles Rex Arbogast)

La procédure pénale contre l'ancien directeur du FBI James Comey, désigné par Donald Trump à son ministère de la Justice comme une cible prioritaire, apparait lundi mal embarquée, après une nouvelle décision d'un juge très sévère pour l'accusation.

Donald Trump a maintes fois exprimé pendant sa campagne électorale sa volonté de se venger de tous ceux qu'il considère comme des ennemis personnels. James Comey, 64 ans, est devenu fin septembre la première de ces personnalités à être inculpée depuis le retour au pouvoir du milliardaire.

Un juge a relevé dans une décision rendue lundi "une série troublante de faux pas dans la conduite des investigations", susceptible selon lui de motiver une annulation de l'inculpation si la défense en faisait la demande.

"Formulations fondamentalement erronées"

En cause, la présentation par Lindsey Halligan, la procureure choisie par Donald Trump, des éléments du dossier au grand jury - commission de citoyens investie de pouvoirs d'enquête.

"Le tribunal a identifié deux déclarations de la procureure au grand jury qui de prime abord apparaissent comme des formulations fondamentalement erronées de la loi qui pourraient compromettre l'intégrité du processus", explique le juge William Fitzpatrick.

La procureure a ainsi notamment laissé entendre au grand jury que James Comey ne pourrait pas se prévaloir du 5e Amendement de la Constitution américaine, autorisant tout justiciable à ne pas témoigner à son propre procès, relève-t-il.

En conséquence, le juge donne satisfaction à la défense, ordonnant à l'accusation de fournir à celle-ci d'ici lundi soir tous les documents présentés au grand jury pour obtenir l'acte d'accusation contre M. Comey.

"Rancune personnelle"

Les avocats de l'ex-directeur du FBI ont introduit une série de recours en annulation des poursuites, faisant notamment valoir qu'elles étaient motivées par la seule "rancune personnelle" de Donald Trump et que la nomination de la procureure était "illégale".

La procureure générale de l'Etat de New York, Letitia James, elle aussi inculpée à la suite de pressions publiques de Donald Trump, a également exercé des recours sur ces mêmes motifs.

Lors d'une audience la semaine dernière, une autre juge s'est montrée très sceptique sur la légalité de la désignation de la procureure, promettant de rendre une décision à ce sujet d'ici Thanksgiving, le 27 novembre.

Après avoir poussé à la démission le procureur du district est de Virginie en charge de ces dossiers, Donald Trump l'avait aussitôt remplacé à ce poste stratégique par Lindsey Halligan, conseillère à la Maison Blanche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Allemands et Néerlandais qualifiés pour la Coupe du monde

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Gnabry et Woltemade ont chacun marqué pour l'Allemagne (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

L'Allemagne sera au rendez-vous de la Coupe du monde 2026. La Mannschaft a composé son billet lors de la dernière journée du groupe A des qualifications en écrasant la Slovaquie 6-0 à Leipzig.

Appliquée et inspirée, la sélection de Julian Nagelsmann a dominé la partie dès les premières minutes. Son emprise a rapidement payé avec des réussites de Woltemade (19e), Gnabry (29e) et Sané (36e/41e). Les Allemands n'ont pas ralenti après le repos, ce qui a permis à Baku (67e) et Ouadraogo (79e) de marquer tous deux leur premier but avec la Mannschaft.

Les Slovaques, qui s'étaient imposé 2-0 à Bratislava, n'ont cette fois pas eu voix au chapitre. Ils ont été copieusement dominés et n'ont jamais semblé en mesure de créer une nouvelle surprise. Ils pourront toutefois encore se qualifier via les barrages.

Les Pays-Bas ont aussi assuré sans problème leur billet pour la phase finale. A Amsterdam, ils ont battu la Lituanie 4-0 pour conserver jusqu'au bout la tête du groupe G. Les Oranje ont fait la décision grâce à des buts inscrits par Reijnders (16e), Gakpo (58e/pen), Simons (60e) et Malen (62e).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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