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Actualité

Ville de Genève: les Verts lancent Frédérique Perler et Alfonso Gomez

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(photo Facebook)

Ils étaient huit. Ils ne sont plus que deux. Jeudi soir, les Verts ont désigné Frédérique Perler et Alfonso Gomez comme candidats au Conseil administratif de la Ville de Genève. La section s'est d'abord exprimé en faveur d'un ticket à deux. Puis, Frédérique Perler a été élue au 2ème tour avec 62 voix et Alfonso Gomez au 4ème tour avec 56 voix.

Leur mission: conserver le siège laissé vacant suite au départ de la magistrate Esther Alder. Voire remporter un siège supplémentaire en profitant de la vague verte. Mais aussi de l'ouverture qu’entraîne le départ de quatre membres sur cinq de l’exécutif actuel.

Assistante sociale de métier, Frédérique Perler est députée au Grand Conseil. Elle a été auparavant conseillère municipale en Ville de Genève. Elle assure la vice-présidence du parti cantonal depuis 2016.

Alfonso Gomez est, quant à lui, directeur adjoint au Conservatoire populaire de musique, danse et théâtre à Genève. Conseiller municipal depuis 2013, il est le président de PRO VELO depuis 2017.

@marie_prieur

Suisse

La Suisse au top dans le classement QS par matières

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L'EPF de Zurich se classe au premier rang mondial pour l'étude de trois disciplines, à savoir les sciences de la terre et de la mer, la géophysique et la géologie (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Suisse possède le meilleur système d'enseignement supérieur au monde, selon un nouveau classement publié mercredi. Elle a la plus forte proportion d'universités classées dans le top 10 à l'échelle mondiale, avec 15% de ses hautes écoles dans cette catégorie.

Selon ce 13e classement par matières de Quacquarelli Symonds, la Suisse peut se vanter d'avoir le meilleur système d'enseignement supérieur au monde parmi les pays ayant au moins dix universités classées. De plus, la Suisse possède la plus forte concentration de matières classées au niveau mondial, avec 2% de ses programmes.

L'édition 2023 de ce "QS World University Rankings by Subject" fournit des données sur les performances de 217 programmes dans 28 universités suisses. Sur le nombre total d'entrées classées, 45 ont progressé, 68 ont reculé et 95 sont restées inchangées. Neuf programmes sont classés pour la première fois.

En outre, la Suisse compte 32 entrées dans les cinq grands domaines d'études (arts et sciences humaines, ingénierie et technologie, sciences de la vie, sciences naturelles et sciences sociales). Parmi celles-ci, une s'améliore, 28 régressent et trois restent inchangées.

L'EPFZ première d'Europe continentale

L'EPF de Zurich se classe au premier rang mondial pour l'étude de trois disciplines, à savoir les sciences de la terre et de la mer, la géophysique et la géologie. Elle occupe ainsi la première place plus souvent que toute autre université d'Europe continentale et pointe troisième au monde, avec les universités d'Oxford et de Cambridge au Royaume-Uni.

Les universités de Zurich et de Genève abritent les matières les mieux classées, avec respectivement 36 et 35 entrées. Par ailleurs, la Suisse héberge sept des dix meilleures écoles de gestion hôtelière et de loisirs au monde.

Avec 32 programmes classés parmi les 10 premiers, la Suisse accueille 6% de tous les sujets classés dans le top 10 mondial, tous tableaux confondus. Cette part de programmes de classe mondiale n'est dépassée que par les États-Unis (47%) et le Royaume-Uni (27%), qui comptent tous deux beaucoup plus d'inscriptions.

Réputation et citations par articles

Les facultés Vetsuisse de Berne et de Zurich se hissent dans le top 5 mondial des sciences vétérinaires, tandis que l'EPFZ se classe dans le top 5 pour le génie civil et structurel. Cette progression s'appuie sur une amélioration significative de sa réputation auprès des employeurs internationaux, selon les enquêtes de QS, et sur une augmentation du nombre de citations par article.

L'EPF de Lausanne se classe quant à elle dans le top 10 mondial pour les disciplines nouvellement ajoutées Science des données (9e) et Génie civil (10e). Enfin, la Suisse peut se vanter de deux des dix meilleurs programmes de médecine dentaire au monde, offerts à l'Université de Berne (7e) et à l'Université de Zurich (8e).

L'Université de Genève est la plus grande bénéficiaire de la progression en Suisse, gagnant 18 places pour se classer 62e en Sciences biologiques. Les mathématiques à l'EPFL se sont également hissées dans le top 20.

Domination américaine

Selon QS, ce classement par sujet est le plus important jamais réalisé, offrant une meilleure compréhension des critères de réussite. Il fournit une analyse comparative indépendante des performances de plus de 15'700 programmes universitaires individuels, suivis par les étudiants de 1594 universités réparties dans 93 pays.

Les investissements ciblés et soutenus ainsi que la collaboration internationale sont des facteurs clés pour progresser, selon QS. De plus, l'amélioration des relations avec l'industrie est corrélée à de meilleurs résultats en matière d'emploi, de recherche et d'innovation.

Les universités américaines dominent dans 32 disciplines. Harvard est l'institution la plus performante, se classant première dans 14 disciplines, soit deux de plus que l'année dernière. Les universités britanniques sont en tête de 15 disciplines, Oxford et Cambridge arrivant en tête dans quatre et deux disciplines respectivement.

https://www.TopUniversities.com/subject-rankings/2023

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Viola Amherd rencontre le chef de l'Otan Jens Stoltenberg

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Viola Amherd avait déjà rencontré Jens Stoltenberg l'an dernier, à l'occasion du Forum économique de Davos (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La conseillère fédérale Viola Amherd rencontre mercredi le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg à Bruxelles. Elle s'entretiendra ensuite avec des représentants du Conseil de l'Atlantique nord.

L'entretien avec Jens Stoltenberg portera essentiellement sur les possibilités de renforcer la coopération en matière de politique de sécurité entre la Suisse et l'Otan, indique mercredi un communiqué du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS).

La sécurité en Europe et la promotion militaire de la paix seront également abordées. Le Conseil fédéral a par exemple proposé au Parlement de prolonger au-delà de 2023 l'engagement de la Swisscoy au sein de la mission KFOR au Kosovo, dirigée par l'Otan.

La cheffe du DDPS abordera ensuite la situation actuelle en matière de politique de sécurité et de défense avec les représentants permanents des Etats membres au sein du Conseil de l'Atlantique nord, le principal organe décisionnel de l'Otan.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Swiss Re: les catastrophes naturelles ont pénalisé les assureurs

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L'an dernier, les dommages des catastrophes naturelles couverts par les assureurs ont augmenté de 3,3% à 125 milliards de dollars, en partie sous l'effet de "l'inflation exceptionnelle", selon Swiss Re (archives). (© KEYSTONE/AP/Jorge Sanchez)

Les catastrophes naturelles ont fait gonfler les frais des assureurs en 2022, l'inflation faisant monter la facture, indique mercredi Swiss Re. En hausse depuis 30 ans, les coûts risquent d'augmenter encore avec le changement climatique, note le réassureur.

L'an passé, les pertes économiques engendrées par la catastrophes naturelles se sont chiffrées à 275 milliards de dollars, en baisse de 5,8% par rapport aux 303 milliards de 2021, indique le groupe suisse dans un communiqué.

Mais les dommages couverts par les assureurs ont augmenté de 3,3% à 125 milliards de dollars, en partie sous l'effet de "l'inflation exceptionnelle", explique Martin Bertogg, le directeur de la couverture des catastrophes, cité dans le communiqué.

L'inflation a fait grimper les frais de dédommagements notamment pour les bâtiments, habitations et véhicules endommagés par les catastrophes naturelles.

Entre la hausse des coûts des matériaux et la pénurie de main d'oeuvre, les coûts des réparations dans le bâtiment ont augmenté de 40% aux Etats-Unis, soit davantage que l'inflation.

"Si l'inflation redescendra peut-être, la concentration accrue de valeur dans des endroits vulnérables aux catastrophes naturelles reste un facteur clé d'augmentation des pertes", prévient M. Bertogg.

Plutôt que la force destructrice de la nature, c'est la concentration et l'accumulation de richesses dans des endroits exposés avec l'urbanisation croissante qui conduit à une hausse des pertes, souligne Swiss Re dans une étude annuelle sur le secteur de l'assurance.

Le groupe qui sert d'assureur aux assureurs réalise chaque année depuis 1970 une évaluation des pertes économiques et frais.

L'année 2022 est la quatrième année la plus coûteuse enregistrée depuis pour les assureurs, les frais de dédommagements augmentant en moyenne 5 et 7% par an depuis 30 ans.

"Nous nous attendons à ce que cette tendance continue", prévient le réassureur, en raison de "la sévérité grandissante des pertes avec la hausse des propriétés et actifs exposés au risque, l'expansion urbaine continue, la croissance économique et l'intensification des risques dus aux effets du changement climatique en toile de fond".

L'ouragan Ian est la catastrophe naturelle la plus coûteuse de 2022, avec des frais estimés entre 50 et 65 milliards de dollars, ce qui en fait le deuxième ouragan le plus couteux après l'ouragan Katrina en 2005.

Mais "toutes les régions du monde ont souffert d'un événement majeur", relève le réassureur.

Les tempêtes hivernales dans le Nord-Ouest de l'Europe en février ont coûté 4 milliards de dollars aux assureurs, suivies en mai et juin en France par des coûts record pour des tempêtes de grêle, de 5 milliards de dollars.

Les frais de dédommagements pour les inondations en Australie se sont montés à 4,3 milliards de dollars tandis que la sécheresse au Brésil a coûté 1 milliard de dollars avec les pertes agricoles dans le soja et le maïs.

Les inondations en Afrique du Sud ont elles coûté 1,5 milliard de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

La Suisse entre dans le top 10 des pays importateurs de champagne

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Les importations cde champagne ont augmenté de près de 4% ern Suisse en 2022 par rapport à l'année précdente (Photo prétexte). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le champagne a toujours plus la cote en Suisse. Avec plus de 6,3 millions de bouteilles importées en 2022, la hausse a atteint 3,9% par rapport à l'année précédente. La Suisse entre ainsi dans le top 10 des pays importateurs du breuvage champenois.

Le chiffre d'affaires réalisé sur le marché suisse avec le champagne a même grimpé de 15,7% pour cent par rapport à 2021 et a atteint 145,3 millions d'euros, a indiqué le Bureau du Champagne Suisse.

La Suisse s'est ainsi hissée à la 8e place du classement mondial des importateurs de champagne. La première place des pays importateurs de champagne est occupée par les Etats-Unis, suivis du Royaume-Uni et du Japon. Le marché suisse est certes relativement petit, mais la demande soutenue fait de ce pays un marché important pour l'industrie du champagne, poursuit le communiqué.

À titre de comparaison, la quantité totale de champagne exportée de France en 2022 s'élevait à 325,5 millions de bouteilles (+1,5%), selon les données. Et la valeur de toutes les exportations a en outre dépassé pour la première fois la barre des 6 milliards d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Rebond surprise de l'inflation au Royaume-Uni à 10,4% en février

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Les prix de l'alcool en hausse dans les pubs et restaurants ont largement contribué à ce rebond surprise tout comme "l'alimentation et les boissons non alcoolisées, qui ont grimpé au rythme le plus rapide depuis plus de 45 ans (archives). (© KEYSTONE/AP/ALBERTO PEZZALI)

L'inflation est repartie à la hausse à 10,4% sur un an en février au Royaume-Uni contre 10,1% en janvier. Le renchérissement a été tirée notamment par les prix de l'alimentation et des vêtements, a indiqué mercredi l'Office national des statistiques (ONS).

"Les prix de l'alcool en hausse dans les pubs et restaurants" ont largement contribué à ce rebond surprise tout comme "l'alimentation et les boissons non alcoolisées, qui ont grimpé au rythme le plus rapide depuis plus de 45 ans", souligne Grant Fitzner, économiste de l'ONS.

"Le recul de l'inflation n'est pas inévitable, nous devons donc nous en tenir à notre plan de diviser par deux l'inflation cette année", a insisté le ministre des Finances Jeremy Hunt dans un communiqué, à la veille d'une décision de la Banque d'Angleterre sur les taux d'intérêt.

Celle-ci doit à la fois agir pour calmer l'envolée des prix en pleine crise du coût de la vie au Royaume-Uni, mais aussi ménager la croissance dans un pays au bord de la récession.

Un contexte économique qui pourrait encore être obscurci par les turbulences financières dans la foulée d'une série de banques régionales américaines et du rachat précipité du géant suisse Credit Suisse par UBS.

"Si l'inflation a grimpé en février, les perspectives pour les mois à venir ont l'air moins sombres grâce à la baisse des prix de gros de l'énergie", tempère toutefois Alpesh Paleja, économiste de la CBI, la principale organisation patronale britannique.

Il note cependant que cette année va rester "un environnement d'inflation élevée pour les ménages comme les entreprises" et se félicite de la décision du Chancelier de l'Echiquier - titre officiel de Jeremy Hunt - de prolonger un plafond des prix de l'énergie.

M. Paleja invite toutefois pour le long terme le gouvernement à "renforcer la résilience énergétique" du pays en investissant dans les énergies renouvelables produites localement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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