Le Genève-Servette Hockey Club et son nouvel entraîneur Patrick Emond ont parfaitement lancé leur saison 2019-2020. Sur la glace d'un probable adversaire direct pour une place en playoffs, les Grenat s'imposent 3-1 face aux SCL Tigers de Langnau.
Pourtant tout avait mal commencé. Après 4'09'', le capitaine (et Top Scorer pour le premier match) Noah Rod était renvoyé au vestiaire pour une obstruction sur Loïc In-Albon. Une pénalité suivi par deux minutes contre Arnaud Jacquemet offrant une situation de 5 vs 3 aux Bernois, qui ne se firent pas prier, Yannick Blaser d'un maître tir dans la lucarne venait ouvrir le score.
Puis, comme si la préparation n'avait pas permis de tout clairement établir, ce fut quelques approximations que nous offrit le GSHC. Des pertes de puck évitables, à l'image de Tim Bozon qui permis à Robbie Earl d'aller affronter seul Robert Mayer, sauvé par son poteau. Mais dès la fin du premier tiers et 30 secondes de folie autour de la cage des Tigres, les Aigles ont ensuite réagi de la plus belle de manière. Une satisfaction pour le nouvel entraîneur Patrick Emond.
Patrick Emond
Entraîneur du GSHC
Patrick EmondEntraîneur du GSHC
Patrick EmondEntraîneur du GSHC
Ce succès porte également la patte des étrangers du GSHC puisque deux buts sur 3 sont marqués par des imports. Mais ce sont aussi les jeunes qui se sont démarqués, notamment Deniss Smirnovs, 20 ans, auteur d’un but et d’un assist. Ces jeunes qui ont répondu présent, exactement comme Patrick Emond l’attendait
Patrick Emond
Entraîneur du GSHC
Patrick EmondEntraîneur du GSHC
Patrick EmondEntraîneur du GSHC
Le jeune attaquant de 20 ans Deniss Smirnovs pouvait difficilement revêr pour son premier match dans l’élite. Mais c'est pourtant la performance d'équipe qu'il a tenu à souligner.
Deniss Smirnovs
Attaquant du GSHC
Deniss SmirnovsAttaquant du GSHC
Deniss SmirnovsAttaquant du GSHC
Prochain match pour les Grenat, samedi soir face au HC Bienne, à suivre sur Radio Lac dès 19h30.
Réecouter le match de ce soir, commenté par Geff Scarantino et Sébastien Telley
L'Espagnole Teresa Ribera, ministre de l'Ecologie, obtient la transition écologique dans la nouvelle Commission européenne, a annoncé Ursula von der Leyen mardi. Le chef de la diplomatie française Stéphane Séjourné reçoit la stratégie industrielle
Mme Ribera, socialiste de 55 ans, proche du Premier ministre Pedro Sanchez, sera vice-présidence exécutive dans la nouvelle équipe, a précisé la dirigeante allemande.
Stéphane Séjourné, choisi à la dernière minute au détriment du sortant Thierry Breton, sera chargé du redressement de l'industrie européenne, grande priorité des prochaines années. Il héritera du titre de vice-président exécutif.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
La Suisse ne doit pas accepter le Pacte mondial de l'ONU sur les migrations, a décidé mardi le Conseil des Etats par 26 voix contre 7 et 11 abstentions. Le Parlement traite à nouveau ce dossier après l'avoir suspendu en 2021.
Ce Pacte, adopté par l'Assemblée générale de l'ONU en décembre 2018, est un cadre d'action global destiné à améliorer la coopération internationale dans le domaine des migrations transnationales. La Suisse ne retirerait pas d'avantages concrets en le ratifiant. Il convient donc de maintenir le statu quo, a indiqué Benedikt Würth (Centre/SG) pour la commission.
Les sénateurs ont toutefois ajouté leur soutien pour la coopération internationale en matière de migration. Cette dernière est importante pour la Suisse et sa politique extérieure, a précisé M. Würth.
Relevant les conséquences négatives sur la souveraineté du pays, Marco Chiesa (UDC/TI) a lui plaidé pour rejeter aussi bien le pacte que ses principes directeurs, en vain.
La gauche et le PVL a au contraire défendu une acceptation du pacte. Aucun pays ne peut régler seul la question des flux migratoires. Ce pacte est une tentative de trouver une coopération au niveau mondial et il est non contraignant, a plaidé Daniel Jositsch (PS/ZH), également en vain.
Le dossier retourne au Conseil national.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le principal accusé du procès retentissant sur des viols en série organisés par un mari sur sa femme dans le sud de la France a reconnu mardi être "un violeur", tout en déclarant que son ex-femme ne méritait pas ce qu'elle a subi pendant dix ans.
"Je suis un violeur comme ceux qui sont dans cette salle. Il savaient tous, ils ne peuvent pas dire le contraire", a assuré Dominique Pelicot faisant allusion aux 50 coaccusés du procès.
Son ex-femme, Gisèle Pelicot, qu'il a droguée pour la soumettre à des viols, "ne méritait pas ça", a ajouté le septuagénaire, s'exprimant pour la première fois devant la cour criminelle de Vaucluse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
L’incendie s’est déclaré avant 20h au 1er étage de l’habitation, au chemin du Fort-de-l’Ecluse.
Une personne bloquée sur un balcon a été secourue par les sapeurs-pompiers du SIS. Trois autres personnes avaient évacué le bâtiment avant l’arrivée des secours.
Les quatre personnes ont été prises en charge par les ambulanciers, puis transportées en ambulances aux HUG. Les flammes ont été maîtrisées peu après 22h à l'aide de deux lances à eau.
Une trentaine de pompiers ont été engagés sur place. Les occupants ont été relogés par la commune de Lancy.
Malgré une révision de la loi en 2019, les appels indésirables restent fréquents et toujours aussi irritants. Le Conseil des Etats a donc accepté mardi un postulat demandant des mesures plus efficaces. Dans sa réponse, le Conseil fédéral a annoncé un projet pour 2025.
Le flux d’appels publicitaires garde des proportions inquiétantes, constate Marianne Maret (Centre/VS), à l'origine de cette demande. Les filtres proposés par les opérateurs ne sont pas activés par défaut et les démarcheurs rivalisent d’ingéniosité pour contourner cette protection.
Ainsi, de nombreux call centers agissent de manière illicite pour vendre services et produits, alors que les arnaques téléphoniques bénéficient des avancées des technologies de l’information et de la communication pour être de plus en plus ciblées.
Pour éviter d’être poursuivis pénalement, ces centres opèrent depuis l’étranger et changent fréquemment de numéro de téléphone. Peu de poursuites aboutissent donc à un jugement en Suisse.
Son postulat, largement co-signé par des élus tous partis confondus, demande au gouvernement d'agir. Le rapport devra évaluer l'efficacité des outils mis en place et proposer des solutions adaptées aux évolutions technologiques récentes.
Le chef du Département fédéral des télécoms (DETEC), Albert Rösti, a admis que les problèmes subsistaient. Ces questions seront traitées dans le cadre de la prochaine révision de la loi sur les télécommunications. Un projet sera mis en consultation d'ici fin 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats