Chaque année, les secteurs d’activités se livrent une compétition qui ne dit pas son nom dans le seul but de tailler la part du lion dans l’économie mondiale. Et au terme de chaque année, l’issue de cette lutte acharnée fait toujours l’objet d’un grand intérêt parce qu’un nombre important de personnes attendent afin de connaître les secteurs qui ont fini au sommet du système économique et financier. En effet, cette information revêt une importance capitale pour certains acteurs de l’économie (hommes d’affaires, start-ups, PME et grandes entreprises) qui, sur la base des résultats dévoilés par les prestigieux magazines d’actualités économiques, de bourse et finances prennent la décision d’investir ou de se lancer dans les secteurs qui ont le vent en poupe. En ce qui concerne 2019, on a vécu une année particulièrement passionnante et riche en surprises. Et vous comprendrez pourquoi en découvrant l’actualité du Top 3 des industries qui ont fait sensation en générant un chiffre d’affaires colossal et en captivant le monde entier.
La technologie
L’importance de la technologie à notre époque n’est plus à démontrer. Grâce à ce secteur, le quotidien et la vie des Hommes sont devenus beaucoup plus faciles et l’humanité a fait un énorme bon en avant. Par exemple, la recherche peut accomplir bien plus désormais, la médecine a davantage de marges de manœuvre pour sauver des vies, les étudiants sont dotés de meilleurs outils d’apprentissage et la communication est devenue beaucoup plus facile et rapide, pour ne citer que quelques réalités parmi tant d’autres. La place de la technologie dans l’histoire de l’humanité est de ce fait incontestable, et nier cet état de choses n’est rien de plus que se fourvoyer. Par ailleurs, l’évolution humaine est intrinsèquement liée à celle de la technologie. Autrement dit, il s’agit d’un secteur qui ne peut accommoder le statuquo, et dans cette optique, il faut constamment y investir de l’argent afin que les créations et les inventions permettent de continuer à faciliter davantage la vie des Hommes.
La technologie étant présente dans tous les secteurs notamment la médecine, les finances, la communication, l’alimentation, etc., elle requiert des sommes colossales d’argent en termes d’investissements. Ainsi chaque année depuis des décennies, des milliers de milliards de dollars sont injectés dans cette industrie. À l’époque actuelle, le progrès technologique repose plus sur l’informatique de pointe. C’est donc dans ce sens que va désormais la quasi-totalité des investissements pour faire voir le jour à des équipements de plus en plus sophistiqués et permettant chaque fois de repousser un peu plus les limites de la science. Les tendances technologiques s'enchaînent sans cesse, et en un clin d’œil, sans véritablement nous rendre compte de quoique ce soit pour la grande majorité, nous sommes passés de la démocratisation de l’intelligence artificielle à un accroissement de l’utilisation de la réalité virtuelle ou augmentée qui sont des technologies qui se sont imposées aux Hommes pour une gestion plus efficace des entreprises.
En termes de rentabilité et flux financier générés par la technologie, les investissements dans ce secteur prouvent d’autre part qu’il s’agit d’une industrie vache à lait. L’exemple le plus palpable pour illustrer cette réalité est l’investisseur et homme d’affaires américain Jeff Bezos. Cet homme très influant dont la fortune en 2019 est estimée à 154 milliards de dollars US a pris il y a quelques années la décision de diversifier ses revenus en investissant énormément dans la technologie notamment dans la société Blue Origin dont l’objectif est de développer de nouvelles technologies pouvant aider à réduire le coût des voyages dans l’espace. Les nombreux investissements du fondateur et actionnaire majoritaire de la prestigieuse entreprise de e-commerce Amazon ont permis à ce dernier d'accroître considérablement sa fortune, devenant pour la toute première fois en novembre 2017, l’homme le plus riche au monde devant les Américains Bill Gates et Warren Buffet eux-mêmes des mastodontes dans le domaine des investissements technologiques.
Les paris en ligne
Ce secteur a été pour beaucoup la surprise de l’année 2019. Mais, il ne fait aucun doute que c’est une réalité : les paris en ligne se portent comme un charme, et les plateformes virtuelles de paris prospèrent comme jamais auparavant. Le premier indicateur permettant de savoir que cette industrie a effectivement le vent en poupe est la quantité de sites de paris qui existent. Il y a en effet des milliers de plateformes de paris en activité à l’heure actuelle et de nombreuses autres continuent à apparaître au jour le jour. Les casinos en ligne du monde et leur sélection suisse tout à fait remarquable sont aussi un secteur très prolifique derrière celui de la technologie. La prospérité de cette industrie se jauge principalement à deux niveaux ; le premier étant les investissements colossaux faits par les opérateurs de jeux d’argent en ligne et le second se rapportant à la quantité de mises placées sur les sites de paris par les passionnés de cette activité.
Les investissements des opérateurs de plateformes de paris en ligne sont réalisés à plusieurs niveaux. Certains établissements virtuels de jeux d’argent ne font pas les choses à moitié quand il en vient à proposer aux joueurs une plateforme sur laquelle parier. Les meilleurs bookmakers et casinotiers se distinguent des opérateurs de classe secondaire par les importantes ressources qu’ils mobilisent et consacrent à la conception de leur site, optant pour la meilleure qualité graphique qui soit et un rendu visuel impeccable. Pour faire bref, ils s’attachent les services des meilleurs développeurs et designers web pour faire une bonne première impression aux parieurs et les placer dans un cadre de jeu convivial.
D’autre part, les casinos en ligne les plus prestigieux déboursent de grosses sommes d’argent dans le but de conclure des partenariats avec les marques de conception de jeux les plus éminentes pour offrir à leur clientèle un divertissement exquis. Un autre domaine dans lequel les sites de paris injectent beaucoup d’argent est la publicité notamment en devenant des sponsors de club, de championnat, etc. Par exemple, le site de paris en ligne 1xBet qui est considéré comme le bookmaker enregistrant la plus grosse quantité de mises a décidé cette année 2019 de conquérir de nouveaux territoires, devenant le sponsor principal de la CAF pour gagner le marché africain, l’un des sponsors du FC Barcelone pour s’imposer en Espagne et le sponsor principal du championnat Serie A afin d’attirer sur sa plateforme les parieurs italiens.
Pour ce qui est des revenus générés par l’industrie du pari en ligne, les chiffres sont également conséquents et surtout en constante augmentation. D’après une étude menée par le site Modor Intelligence sur une période allant de 2016 à 2024 avec 2018 comme année de base, le marché du pari notamment avec les jeux de casino, le bingo et la loterie principalement a connu une fulgurante croissance entre 2016 et 2019 et devrait encore augmenter d’environ 8,77% durant une période de prévision qui s’étend de 2019 à 2024. La même étude réalisée sur le marché du pari sportif montre aussi une augmentation de plus de 10% entre 2016 et 2019. Les disciplines sportives ayant connu un fort taux de croissance sont le football et l’hippisme. En termes de flux financiers, le site statista.com affirme que le marché mondial du jeu en ligne devrait être évalué à plus de 94 milliards de dollars US en 2024. La taille actuelle du marché est de près de 46 milliards de dollars américains, ce qui signifie qu’elle devrait plus que doubler dans les années à venir.
Le sport
Ce n’est une surprise pour personne que l’industrie du sport figure parmi les secteurs les plus prospères et ayant un fort impact sur l’économie mondiale. En effet, l’économie du sport s’est beaucoup développée durant les deux dernières décennies avec un pourcentage annuel de croissance deux fois plus grand que celui du PIB mondial. Ce secteur talonne celui de la technologie et est estimé selon de grands analystes à plus de 800 milliards d’euros dans le monde. Pascal Aymar, Directeur du Développement INSEEC Sport affirme que l’économie du sport est structurée par 3 grands secteurs que sont le marketing sportif, le marché des articles de sport et les organisations sportives.
Lorsqu’on parle de marketing sportif, il s’agit des activités événementielles ayant une envergure mondiale ou même celles qui sont organisées à l’échelle locale. Cela inclut aussi les activités de sponsoring dont se servent les marques pour accroître leur notoriété, et ce secteur occupe 20% de la part du marché global. Quant au marché des articles de sport, il comprend les équipements spécifiques, les textiles et accessoires divers, de même que les chaussures. Les principaux acteurs de ce marché sont les équipementiers et aussi bien les grands distributeurs généralistes que les distributeurs spécialisés. Cette industrie subit actuellement de grands changements, notamment avec les plateformes digitales spécialisées qui voient le jour. Elle représente quant à elle à peu près 30% du marché.
Pour finir, il y a les organisations de sport et tout ce qui se rapporte à la gouvernance du sport. Ce secteur taille à lui seul la part du lion en ce qui concerne l’économie du sport, ce qui correspond à un pourcentage de 50%. Il englobe tous les acteurs qui organisent et gouvernent le sport notamment les ligues, les fédérations, les syndicats, les clubs, les structures en charge du tourisme sportif et les pouvoirs publics intervenant dans cette industrie. Pour faire court, le sport est un véritable business. Il change constamment, et dans 5 ans, il n’aura plus rien à voir avec ce qu’il est actuellement. Cela dit, il faut remarquer que contrairement aux secteurs de la technologie et des paris en ligne qui sont en constante progression depuis plusieurs années, cette industrie a une croissance qui fluctue aussi bien à la hausse qu’à la baisse.
Les sociétés de gestion d'actifs française Lazard Frères Gestion et américaine Pimco ont essuyé des pertes de 141 millions et 314 millions de francs dans le rachat de Credit Suisse par UBS. L'opération a provoqué l'effacement de certains titres de dette.
L'opération a en effet conduit à l'annulation de 17 milliards de dollars (15,7 milliards de francs) de titres de dette dits "CoCo" (pour "Contingent Convertible"), aussi appelés "Additional Tier 1" ou "AT1", détenus par des investisseurs professionnels (banques, fonds).
Au 14 mars, au début de la débâcle et des fortes craintes de faillite de Credit Suisse, Lazard Frères Gestion détenait un total de 142 millions d'euros de ces titres, selon une déclaration transmise mardi à l'AFP par l'entreprise. Cela ne représente que 0,4% du total des actifs gérés par la filiale de la banque d'affaires franco-américaine Lazard.
Dernière position
La société américaine Pimco, filiale de l'assureur allemand Allianz, a de son côté perdu environ 340 millions de dollars dans cette affaire, a indiqué mardi une source proche de la société.
Pimco détenait initialement des obligations AT1 de Credit Suisse, qui valaient 807 millions de dollars quand elles ont été émises, mais leur valeur avait fondu ces derniers mois, a précisé cette source. Cela en faisait le plus gros détenteur d'obligations AT1 de Credit Suisse selon des données de l'agence d'informations financières Bloomberg. C'est toutefois une part minime au milieu des 1740 milliards de dollars gérés par Pimco.
Créée après la crise financière de 2008, cette catégorie de dette, qui arrive en dernière position dans l'ordre de priorité pour le remboursement en cas de difficultés financières, visait à renforcer le niveau de solvabilité sans émettre de nouvelles actions et, ainsi, éviter que le contribuable ne finisse par payer l'addition en cas de sauvetage.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 1, 9, 20, 29 et 32, ainsi que les étoiles 2 et 3.
Lors du prochain tirage vendredi, 66 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le Parlement se penchera mi-avril sur le rachat de Credit Suisse par UBS. Plus d’un quart des membres du Conseil National a demandé la convocation d’une session extraordinaire de l'Assemblée fédérale, qui aura lieu entre le 11 et le 14 avril.
Les bureaux siégeront le 27 mars pour fixer le détail des travaux qui débuteront au Conseil des Etats, ont annoncé mardi soir les services du Parlement via Twitter. Le quorum ne semblait pas difficile à atteindre car lundi, les politiques de gauche comme de droite ont affirmé vouloir une session urgente.
La Délégation des finances (DélFin) des Chambres fédérales a approuvé dimanche les crédits d'engagement proposés par le Conseil fédéral, soit 100 milliards de francs pour la BNS et 9 milliards pour UBS, au titre de garanties.
Selon la loi sur le Parlement, si un engagement urgent est supérieur à 500 millions de francs, il suffit d'un quart des membres d'un Conseil pour demander la convocation de l'Assemblée fédérale en session extraordinaire, dans un délai d'une semaine à partir du feu vert de la DélFin.
Cette session extraordinaire doit impérativement avoir lieu au cours de la troisième semaine qui suit le dépôt de la demande de convocation.
Revendications
Le Parlement doit avoir son mot à dire sur des affaires d'une telle portée, ont estimé de nombreux députés après l'annonce dimanche soir du rachat de Credit Suisse par UBS, cautionné par le Conseil fédéral, la BNS et la FINMA. Les partis ont l'intention d'utiliser la session urgente pour faire valoir leurs revendications par le biais d'interventions parlementaires.
Pour le PLR, la session extraordinaire devrait notamment déterminer l'éventuelle nécessité d'une commission d'enquête parlementaire (CEP) sur les responsabilités dans la débâcle du numéro deux bancaire helvétique. La gauche rose-verte soutient ouvertement une telle enquête, qui reste néanmoins un instrument complexe à mettre sur pied.
Tous les parlementaires n'étaient pas favorables à une session extraordinaire. Le président de la puissante commission de l'économie du National, Leo Müller (Centre/LU) plaidait plutôt pour un travail en cercle restreint, au sein d'une commission. Pour lui, seule la question du crédit d'engagement urgent plaidait en faveur d'une session extraordinaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Credit Suisse doit suspendre le versement de certains boni à ses collaborateurs. Le Conseil fédéral a pris cette décision mardi pour les rémunérations déjà approuvées pour les exercices antérieurs à 2022 et qui ont été différées.
Le Département fédéral des finances (DFF) a signifié à Credit Suisse que l'établissement devait suspendre le versement de certaines rémunérations variables à ses collaborateurs, indique mardi un communiqué du gouvernement.
Cette décision concerne les rémunérations déjà approuvées pour les exercices antérieurs à 2022, mais dont le versement est différé. Cette décision ne porte pas sur les versements différés qui sont déjà en cours, précise le gouvernement. Par rémunérations variables différées, l'Administration fédérale des finances entend des composantes de salaire variables, tels des droits à des actions.
Marge de manoeuvre
Pour des raisons de sécurité juridique, le Conseil fédéral a décidé de ne pas interdire avec effet rétroactif le versement aux collaborateurs de Credit Suisse des rémunérations variables déjà approuvées pour l'exercice 2022. Il entend éviter que sa décision ne touche des personnes qui n'ont pas elles-mêmes causé la crise, précise-t-il.
La direction de Credit Suisse a elle renoncé volontairement aux rémunérations variables de 2022. La loi sur les banques prévoit que le Conseil fédéral puisse agir en matière de rémunération s'il accorde à une banque d'importance systémique une aide financière directe ou indirecte puisée dans les moyens de la Confédération.
Se fondant sur ses décisions de la semaine dernière, le Conseil fédéral a aussi chargé le DFF de lui soumettre d'autres mesures concernant les rémunérations variables pour les exercices antérieurs à 2022 et les exercices suivants.
Controverses
La question des boni versés à des cadres de la banque a fait parler d'elle dès l'annonce, dimanche soir, du rachat de Credit Suisse par UBS pour 3 milliards de francs, rachat soutenu et souhaité par le Conseil fédéral.
Interrogée durant la conférence de presse, la ministre des finances Karin Keller-Sutter avait répondu dans un premier temps que le versement de boni, contrairement aux dividendes, ne pouvait pas être interdit, puisqu'il s'agissait d'une reprise commerciale et non d'un sauvetage étatique.
Des parlementaires de son propre camp, comme le conseiller national Olivier Feller (PLR/VD) et le sénateur Andrea Caroni (PLR/GR) ont fait part de leur courroux et de leur désaccord sur ce point précis, s'appuyant sur l'article 10a la loi sur les banques.
Mme Keller-Sutter a ensuite rectifié le tir. Lundi, tous les partis ont fait part de leurs doléances. Ils s'accordent pour demander une session extraordinaire des Chambres fédérales sur la débâcle du CS.
Le PLR, pointé du doigt par la gauche et l'UDC pour sa proximité avec la banque, a expressément ciblé les boni des ex-dirigeants du Credit Suisse en vertu de l'article 10a de la loi sur les banques.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Indochine, Adé, Jain, Rosalia ou encore Aliose seront présents sur la plaine de l'Asse du 18 au 23 juillet prochain. Des artistes que l'on écoute régulièrement sur Radio Lac et analysés par les têtes pensantes de Paléo. Pour retrouver l'intégralité de la programmation, rendez-vous ici.
Tête d'affiche rompue à l'exercice des festivals, et du Paléo en particulier, Nikola Sirkis et son groupe Indochine clôtureront cette nouvelle édition.
Pour le fondateur de l'évènement Daniel Rossellat
C'est une légende française. On a la chance d'être un festival incontournable dans l'espace francophone, si bien que les artistes ont vraiment envie de passer à Paléo. En l'occurrence Indochine, ça fait partie du patrimoine musical de tous les gens qui s'expriment en français.
Jacques Monnier, programmateur historique abonde dans ce sens.
Indochine fait partie de l'histoire du festival, la première fois qu'ils sont venus c'était encore sur le terrain de Colovray en 1986 avec Nina Hagen. Ils ont fait une tournée dans les stades en France l'an dernier qui était incroyable et attiré plus de 100 000 personnes au stade de France. C'est l'un des groupes les plus attendus cet été quand on voit les commentaires sur nos réseaux sociaux.
Fraichement lancée en solo, Adé, ex-chanteuse du groupe Thérapie Taxi a enregistrée son album à Nashville, Tenessee, capitale de la country. Jacques Monnier souligne que
Dans son disque on retrouve des influences de country et de folk. Elle était la chanteuse de Thérapie Taxi, un groupe un peu maudit pour nous parce qu'on les avait programmés deux fois et les deux fois ont été annulées pour des raisons différentes. C'est donc Adé qui vient toute seule cette fois et c'est une nouvelle artiste qui devrait aussi percer ses prochaines années.
Paléo 2023 marque le retour de Jain en tête d'affiche, après plusieurs passages remarqués.
Elle avait démarré sur une petite scène qui s'appelait Le Détour à l'époque, qui faisait 2000 places, il y avait un buzz énorme, donc le chapiteau débordait. Et puis là, elle revient en tête d'affiche après 4 ou 5 ans de pause. C'est une artiste merveilleuse. C'était un des concerts les plus appréciés la dernière fois qu'elle est venue en 2018. On est très content et ça fait vraiment partie de ce qu'on souhaite par rapport aux artistes, les accompagner dans leur carrière. Et si leur carrière effectivement explose, qu'on puisse leur proposer des lieux de plus en plus importants et un public de plus en plus grand.
Autre tête d'affiche, l'espagnole Rosalia, que tous les festivals de l'été veulent avoir. Daniel Rossellat estime que
C'est une pépite, elle est vraiment intrigante, ça fait un moment déjà qu'on en parlait. Son style est quand même assez particulier, on n'est pas dans les standards habituels de la pop anglo-saxonne. Et puis ça fait plaisir de voir qu'une artiste qui ne chante pas en anglais, en tout cas, qui n'a pas fait son fond de commerce, a un succès pareil dans le monde entier. Elle va être dans un nombre incroyable de festivals et c'est une chance pour Paléo d'accueillir.
Naturellement le Paléo est à Nyon, tout comme le groupe Aliose qui sera là dimanche.
Des amis de la région. C'est la troisième fois qu'ils viennent. Ils ont commencé sur une petite scène aussi au Club Tent devant 2000 personnes. Et là, ils reviennent sur la scène Vegas, une grande scène qui peut accueillir 20 000 personnes. Ca nous fait plaisir de les inviter à nouveau. C'est LE groupe Nyonais, donc il y a vraiment une attache au groupe comme eux sont très attachés à notre festival. Ils viennent chaque année, même s'ils ne jouent pas, ils viennent en festivalier et font aussi partie de la grande famille Paléo.
Entretiens réalisés par Benjamin Smadja ou Solène Revillard