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Suisse

Une collision est à l'origine de l'accident d'avion à Bivio (GR)

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Les équipes de secours n'ont pu se rendre sur place que le lendemain de l'accident (archives). (© Kapo GR)

L'origine de l'accident d'avion survenu mi-juin à Bivio (GR) a été établie. Le planeur et l'avion à moteur se sont rentrés dedans à une hauteur de 3200 mètres, indique mardi le Service suisse d'enquête de sécurité (SESE).

Les deux appareils se sont écrasés au sol proche du point de collision, précise le SESE dans un rapport préliminaire. Une enquête est désormais ouverte.

Cinq personnes sont décédées dans l'accident survenu le 12 juin: le pilote du planeur, un Zurichois de 51 ans, ainsi que les deux pilotes de l'avion à moteur, deux Neuchatelois de 44 et 72 ans, et leurs passagers, à savoir une femme de 41 ans et son fils de 6 ans. Tous deux étaient des Français, domiciliés dans le canton de Vaud.

Le planeur avait décollé d'Amlikon (TG). L'avion de tourisme de type Robin DR400 était parti de Colombier (NE). Ils s'étaient écrasés au-dessus de Bivio à environ un kilomètre l'un de l'autre. Pour des raisons météorologiques, les équipes de secours n'avaient pu se rendre sur le lieu de l'accident que le lendemain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Süssli veut des exercices entre les troupes au sol et l'OTAN

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Thomas Suessli veut que les troupes au sol suisses puissent s'entraîner avec l'OTAN (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le chef de l'armée suisse Thomas Süssli a demandé une intensification de la collaboration avec l'OTAN, a-t-il indiqué jeudi. Il souhaite notamment que les troupes au sol puissent s'entraîner avec l'alliance militaire comme les forces aériennes et les forces spéciales.

M. Süssli s'exprimait au téléjournal de SRF. Il n'a pas exclu de participer à des exercices de l'article 5 du traité de l'OTAN, celui dit "d'assistance", qui stipule que si un pays de l'alliance est attaqué, les autres membres promettent de lui prêter assistance. Il est important de comprendre les procédures d'engagement, les structures et les processus, a expliqué le chef de l'armée suisse.

La ministre suisse de la défense Viola Amherd a rencontré mercredi à Bruxelles le secrétaire général de l'OTAN Jens Stoltenberg. Elle lui a notamment présenté ses souhaits de renforcer la collaboration entre la Suisse et l'alliance atlantique.

Bémol de l'OTAN

Concrètement, la Suisse souhaite participer davantage aux exercices de l'OTAN, développer l'interopérabilité entre l'armée suisse et l'alliance, renforcer sa participation aux centres de compétences certifiés par l'alliance atlantique, ainsi que collaborer plus étroitement dans les domaines de l'informatique, de la résilience et de l'innovation.

La conseillère fédérale avait laissé ouverte la question de savoir si elle pouvait aussi imaginer une participation de la Suisse aux exercices de l'article 5.

Le secrétaire général de l'OTAN a cependant exprimé son scepticisme quant aux souhaits de la Suisse de participer à davantage d'exercices communs. "Plusieurs alliés ont des réserves parce que la Suisse ne leur a pas permis de transmettre des munitions à l'Ukraine", a-t-il déclaré mercredi aux journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Présence possible et intrigante de blindés Mowag en Ukraine

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Ein Mowag Eagle de l'armée suisse aurait été vu en Ukraine. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Des photos publiées sur internet montrent la présence sur le front en Ukraine d'un ou deux véhicules blindés du constructeur suisse Mowag. Le Seco évalue si des infractions à la législation sur l'exportation du matériel de guerre ont été commises.

Un des véhicules en question a été identifié par l'ancien officier de l'armée suisse Jacques Baud comme un "Mowag Eagle I de fabrication suisse", indiquent jeudi La Liberté, Le Courrier, ArcInfo et Le Nouvelliste. M. Baud avait aussi été chef de projet pour l'acquisition de ce véhicule chez armasuisse dans les années 1990.

"L'image prise sur un site ukrainien et rapportée par les médias ne permet guère de tirer des enseignements accablants sur le type de véhicule et le lieu de sa présence", a indiqué le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) à Keystone-ATS.

Une reconstruction claire de l'origine du modèle n'est possible qu'à l'aide du numéro de châssis, qui n'est pas disponible en l'occurrence, précise le Seco.

Soumis à autorisation

Les journaux romands ainsi que la NZZ avaient indiqué qu'un des véhicules en question, photographié par l'AFP, circulait au milieu des décombres d'Adviivka, près de Bakhmout, le 18 mars. L'autre image a été prise par un photographe de guerre espagnol devant le centre culturel de la ville de Chasiv Yar, près de Bakhmout également. Il n'est pas clair s'il s'agit ou non des même types de véhicule.

Ce type de blindés Mowag est soumis à une autorisation de réexportation de la Suisse, qui les interdit pour l'Ukraine. Il pourrait provenir d'une société allemande, qui avait racheté des Mowag Eagle I au Danemark en 2013.

L'entreprise allemande en question s'était engagée, tout comme le Danemark, à ne pas réexporter ces véhicules. Interpellées par le Seco et le DFAE, les autorités danoises ont confirmé ne pas avoir réexporté de blindés de reconnaissance Eagle sans l'accord de la Suisse. La Confédération reste en contact avec l'Allemagne, a précisé le Seco.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les voitures électriques moins chères que les autres sur la durée

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Les voitures électriques sont les moins chères sur la durée. (© KEYSTONE/AP/Pavel Golovkin)

Sur la durée, les voitures électriques coûtent moins cher que celles à moteur thermique et que les hybrides. L'étude qui parvient à ce résultat, publiée par l'Office fédéral de l'énergie (Ofen), montre que le prix d'achat des électriques ne doit pas être dissuasif.

"Les voitures électriques ont un prix d'achat plus élevé que les voitures avec un moteur à combustion, mais elles sont moins coûteuses sur toute la durée de possession", indique jeudi l'Ofen au terme de l'évaluation confiée à son programme SuisseEnergie.

Le constat est valable pour toutes les classes de voitures: les petites, les moyennes comme celles de la classe supérieure ou les SUV.

Les calculs se fondent sur un "Total Cost of Ownership" (TCO), qui répertorie l'ensemble des frais à charge de l'automobiliste sur toute la durée de possession du véhicule. Les auteurs ont basé leurs calculs sur une durée de détention de huit ans, pour un véhicule acheté neuf et un kilométrage annuel de 15'000 km.

Les coûts énergétiques pris en compte sont de deux francs le litre de carburant (voitures thermiques) et 23 centimes le kWh pour l'électrique (moyennes 2022).

Jusqu'à 13'000 francs d'écart

Si les véhicules électriques restent les moins chers dans tous les cas, les coûts des voitures hybrides rechargables et ceux des modèles à moteur thermique sont dans l'ensemble comparables, montre l'étude.

Par exemple, dans le scénario de base considéré, les coûts totaux d'une petite voiture électrique, sur huit ans, se montent à 49'616 francs. Contre 52'385 francs pour une petite voiture tournant à l'essence.

Pour les classes moyennes (genre VW Golf 1.5), la différence atteint plus de 13'000 francs: 72'647 francs pour la voiture thermique et 59'638 pour l'électrique. Pour un modèle hybrique, il en coûte 72'098 francs.

Dans les classes supérieures (style BMW 530i), l'électrique occasionne une facture totale de 115'351 francs, tandis que la voiture avec moteur à combustion revient à 131'948 francs. Le modèle hybride est ici le plus cher: 135'697 francs.

Pour les SUV, l'électrique reste marginalement moins cher: 77'469 francs, contre 83'543 pour le modèle "classique" et 81'800 pour l'hybride rechargeable.

Moins cher à l'entretien

L'électrique fait la différence grâce notamment à des frais de maintenance moins élevés, de l'ordre de 20% dans le segment de la classe supérieure et des SUV et de 40% dans les catégories des petites voitures et de classe moyenne.

L'hybride peine à se démarquer car il affiche les coûts de maintenance les plus hauts, vu qu'ils font entrer en jeu deux technologies.

Les calculs sont basés sur les données d'Eurotax (données des constructeurs automobiles) pour le marché suisse et validés avec les informations du leader suisse du leasing (ARVAL), d'une enquête auprès des garagistes (UPSA), des données d'un fabricant de pneus (Continental) et celles de la flotte de véhicules de l'entreprise énergétique Axpo.

Outre l'acquisition, les frais ayant servi de base de calcul sont ceux pour l'énergie/essence, la maintenance, les pneus, l'impôt sur les véhicules à moteur, les primes d'assurance, le nettoyage, notamment.

La hiérarchie des coûts suivant le type de propulsion reste la même dans tous les cas de figure, sauf un: pour les petites voitures, les véhicules thermiques se révèlent un peu moins chers que les voitures électriques en cas d'une durée de possession de 6 ans (et non 8) et d'un kilométrage de 10'000 km au lieu de 15'000.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Des wildcards pour Tudor et Q36.5

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Tudor sera sur le Tour de Suisse (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les organisateurs du Tour de Suisse ont attribué les deux wildcards pour la 86e boucle nationale aux deux équipes suisses Q36.5 et Tudor. Comme on pouvait s'y attendre.

Outre les deux formations helvétiques de deuxième niveau, les 18 équipes du World Tour seront au départ le 11 juin à Einsiedeln. S'y ajoutent - outre Q36.5 et Tudor - trois autres équipes Pro. L'équipe TotalEnergies, avec le Slovaque Peter Sagan, en fait partie. Le recordman d'étapes sur le Tour de Suisse dispute sa dernière saison en tant que cycliste professionnel.

L'équipe nationale ne sera pas au départ. Swiss Cycling a décidé de ne pas s'aligner en raison de la nouvelle limite d'âge qui n'autorise plus que les coureurs âgés de 25 ans au maximum à participer au sein des sélections nationales. En outre, il y aura certainement plusieurs Suisses, surtout chez Tudor, qui accorde beaucoup d'importance à la promotion des athlètes locaux et qui a huit coureurs d'élite suisses et sept coureurs de la relève sous contrat.

L'UCI ne décidera que plus tard au printemps si une équipe nationale pourra prendre le départ du Tour de Suisse féminin, qui aura lieu du 17 au 20 juin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Plusieurs Vallotton vendus pour 946'000 francs à Bâle

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La "Nature morte à l'assiette bleue" (1922) de Félix Vallotton a été vendue mercredi à Bâle pour 216'500 francs. Il s'agit d'une huile sur toile (53,5 x 72,5 cm). (© Beurret & Bailly)

Quatorze ½uvres du peintre vaudois Félix Vallotton (1865-1925) ont été mises en vente mercredi chez Beurret & Bailly à Bâle. Albert Anker a également suscité un vif intérêt.

L'ensemble Félix Vallotton a attiré les amateurs, que ce soit en salle, en ligne ou en salle et a atteint le résultat global de 946'000 francs, a indiqué jeudi la maison Beurret & Bailly dans un communiqué. La "Nature morte à l'assiette bleue" a été achetée pour 216'500 francs par un collectionneur suisse, dépassant ainsi son estimation haute de 150'000 francs.

Quant à "Maisons au soleil, cailloux bleus", réalisés dans le Sud de la France où l'artiste a séjourné lors des dernières années de sa vie, elle a été acquise pour 185'500 francs. Certaines oeuvres ont toutefois été retirées de la vente car elles ont laissé les acheteurs indifférents.

Emballement pour un Anker

Les enchères se sont également emballées pour un dessin signé Albert Anker, représentant une jeune paysanne qui tient dans ses mains un pot rempli de fraises. Estimé entre 80'000 et 120'000 francs, ce portrait a été acheté pour 334'000 francs par un collectionneur suisse.

Le tableau "Leçon d'écriture III" a lui été vendu pour 394'000 francs. Des oeuvres d'Ernest Biéler ont de Gustave Buchet ont également trouvé preneurs.

La première vente de printemps de la maison Beurret & Bailly, consacrée à l'art suisse et à l'art international avant 1900 a atteint les 4,2 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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