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Economie

Logitech voit ses recettes et sa rentabilité chuter au 3e trimestre

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Les perspectives se troublent pour le géant des périphériques et acessoires informatiques. (archive) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le spécialiste des périphériques informatiques Logitech a dévoilé jeudi les résultats provisoires d'un troisième trimestre en recul. Pour l'ensemble de l'année en cours, la direction a revu ses perspectives à la baisse.

Au troisième trimestre, le groupe vaudois a enregistré un chiffre d'affaires compris entre 1,26 et 1,27 milliard de dollars, selon un communiqué.

L'entreprise a dû faire face à une chute de sa rentabilité. Le résultat d'exploitation non-GAAP s'est situé entre 198 et 203 millions, soit un recul de 33 à 34% par rapport à la même période l'exercice précédent. La marge opérationnelle est attendue dans une fourchette entre 15,7 et 16,0%.

"En raison des résultats plus faibles que prévu pour le troisième trimestre et de l'incertitude quant à la capacité de livraison liée à l'épidémie actuelle de Covid en Chine, nous réduisons nos perspectives pour l'ensemble de l'année", explique le directeur général de Logitech, Bracken Darrell, cité dans le communiqué.

Pour l'ensemble de l'exercice en cours, la direction prévoit une baisse de 13 à 15% du chiffre d'affaires et un résultat d'exploitation non-GAAP abaissé à 550 et 600 millions de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Swiss Life: rentabilité en recul dans la prévoyance professionnelle

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Pour le reste de l'exercice en cours et le groupe dans son ensemble, la direction se disait "en bonne voie" pour son programme Swiss Life 2024. (KEYSTONE/DPA/Andreas Gebert) (© KEYSTONE/DPA/ANDREAS GEBERT)

L'assureur Swiss Life a vu son résultat d'exploitation (Ebit) dans la prévoyance professionnelle (LPP) chuter de 33% à 93 millions de francs en 2023. La direction souligne un contexte difficile, marqué par des taux d'intérêt bas et de faibles rendements des capitaux.

"En raison de la volatilité persistante des marchés, le produit net des placements est souvent soumis à des fluctuations plus importantes", rapporte un communiqué mercredi. "Le produit de 1,03 milliard, inférieur à celui de l'année précédente, se reflète dans le résultat d'exploitation."

Près de 546 millions ont tout de même été attribués au fonds d'excédents l'année dernière, permettant à l'entreprise de distribuer 262 millions provenant du fonds d'excédents aux assurés, indique un communiqué chiffrant à 1,8% la rémunération totale des avoirs de vieillesse dans l'assurance complète.

Au total, le groupe a encaissé des primes LPP en recul de 5% à environ 7,6 milliards de francs l'année dernière, indique le compte d'exploitation 2023.

"L'environnement commercial instable suscite un intérêt accru non seulement pour l'assurance complète, mais aussi pour les solutions semi-autonomes, qui font l'objet d'une demande soutenue", étoffe l'entreprise.

Pour ses activités de LPP, Swiss Life compte plus de 49'000 contrats au total. Le nombre de salariés assurés activement chez Swiss Life s'élevait à près de 500'000 à fin 2023, dont environ 310'000 étaient affiliés à une assurance complète.

Pour le reste de l'exercice en cours et le groupe dans son ensemble, la direction se disait "en bonne voie" pour son programme Swiss Life 2024 lors de la publication des résultats du premier trimestre mercredi dernier, malgré un fléchissement de ses primes brutes de 0,2% à 7,52 milliards.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Allemagne: le moral des consommateurs poursuit sa remontée en juin

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La baisse attendue des taux d'intérêt de la Banque centrale européenne (BCE) en juin devrait aussi soutenir la consommation. (AP Photo/Markus Schreiber) (© KEYSTONE/AP/MARKUS SCHREIBER)

Le moral des consommateurs en Allemagne devrait poursuivre sa remontée en juin, pour la quatrième fois d'affilée, sur fond d'inflation maîtrisée et de revenus réels en hausse dans le pays, selon le baromètre GfK, publié mercredi.

L'institut prévoit un indice à -20,9 points en juin, en hausse de 3,1 points par rapport à sa valeur du mois de mai, révisée 0,2 point à la hausse, a détaillé l'institut GfK dans un communiqué.

"La baisse du taux d'inflation, associée à une hausse considérable des salaires, renforcent le pouvoir d'achat des consommateurs", observe Rolf Bürkl, expert du GfK.

L'inflation a plongé ces derniers mois en Allemagne, n'atteignant plus que 2,2% en avril, une valeur stable par rapport au mois de mars.

Dans le même temps, les revenus réels des salariés et fonctionnaires ont augmenté, après des hausses obtenues lors des négociations par les syndicats dans de nombreuses branches, tandis que le chômage reste à un niveau bas.

La baisse attendue des taux d'intérêt de la Banque centrale européenne (BCE) en juin devrait aussi soutenir la consommation.

Reste que la propension à ouvrir le porte-monnaie va rester freinée par "une forte incertitude en raison du manque de perspectives claires d'avenir pour le pays", selon le baromètre GfK.

L'industrie, pilier de la première économie européenne, a souffert pendant plusieurs mois d'une crise multiforme, entre coûts élevés de l'énergie, faible demande domestique et difficultés du commerce international.

Le renchérissement du crédit et l'incertitude politique, sur fond de divisions internes au gouvernement entre Verts, libéraux et sociaux-démocrates sur la politique budgétaire, ont freiné les investissements et la demande faible a handicapé les exportations.

Toutefois, l'économie bénéficie désormais d'une reprise, sur fonds d'augmentation de la consommation, des exportations et de coûts de l'énergie beaucoup moins élevés.

Les attentes des consommateurs en matière de conjoncture ont d'ailleurs considérablement grimpé en mai à 9,8 points, contre 0,7 point en avril, selon le baromètre GfK.

Mais le rebond économique pour cette année s'annonce très faible. Le gouvernement allemand a récemment annoncé un léger relèvement de sa prévision de croissance pour l'année en cours, qu'il a portée de 0,2% à seulement 0,3%.

C'est bien moins que les prévisions de Bruxelles pour la zone euro, à 0,8% cette année puis 1,4% l'an prochain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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La Poste va fermer 170 de ses filiales en Suisse

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La Poste va fermer près de 170 offices. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La Poste suisse va fermer dans les quatre prochaines années quelque 170 filiales qu'elle exploite elle-même. Il ne restera plus à l'avenir que 600 offices de poste et 2000 sites desservis, a annoncé mercredi le géant jaune dans un communiqué.

Les opérations usuelles au guichet, comme les versements, ont une nouvelle fois enregistré un net recul au cours des quatre dernières années, constate La Poste. Pour faire face à cette évolution, la Poste réduit son réseau de filiales.

Il n'y aura pas de licenciements, a précisé l'entreprise à l'agence de presse Keystone-ATS. Car malgré la réduction de postes liée à la fermeture des filiales, la Poste s'attend à court et à moyen terme à une augmentation des besoins en personnel. Elle compte aussi sur les fluctuations naturelles et les départs à la retraite. Certains employés devront toutefois changer de poste.

La Poste veut transformer ses 600 filiales restantes en centres de services dans le cadre de partenariats conclus avec différentes banques, caisses-maladie, assurances et autorités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Le prix des propriétés alpines au sommet en début d'année (UBS)

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Pour s'offrir une résidence secondaire à Verbier, il faut débourser 21'500 francs au mètre carré (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les prix des logements de vacances en Suisse ont augmenté au premier trimestre mais devraient stagner au cours de l'année, indique mardi une étude d'UBS, qui place Verbier en pole position des destinations touristiques les plus onéreuses des Alpes.

Au premier trimestre, les prix des biens immobiliers de vacances dans toutes les régions suisses évaluées par UBS ont augmenté de 4% sur un an, avec un bond de 18% pour Arosa, révèle l'étude "UBS Alpine Property Focus 2024".

Une résidence secondaire verbiéraine coûte 21'500 francs par mètre carré, plaçant la station en première position du classement des destinations de vacances alpines les plus prisées comptant aussi celles de France, d'Italie, d'Allemagne et d'Autriche. Viennent ensuite Saint-Moritz et l'Engadine à la deuxième place avec 21'200 francs et Zermatt sur la troisième marche pour 19'900 francs. Gstaad et Andermatt les suivent de près.

Les tarifs "des nuitées hôtelières ont eu une évolution similaire", note l'économiste spécialiste en immobilier Thomas Veraguth en visioconférence. "Les hôtels complets en haute saison soutiennent les valeurs des logements de vacances et encouragent à payer pour son propre logement afin d'en profiter à tout moment."

La location de logements à but commercial en a aussi bénéficié, selon l'expert qui estime qu'une résidence secondaire sur dix - dans les destinations analysées - est proposée sur une plateforme en ligne telle que Airbnb.

Marché congelé

Malgré l'attrait pour ces résidences secondaires alpines et une hausse de leur prix de 30% depuis 2019, l'analyste immobilier UBS et auteur principal de l'étude Maciej Skoczek s'attend à "une stagnation sur le marché cette année".

Transformer des résidences principales en secondaires pourrait être une alternative, car "un logement soumis à l'ancien droit peut être vendu à un prix supérieur d'environ 20% s'il est plutôt mis sur le marché comme résidence secondaire".

Concernant la forte demande immobilière de ces dernières années, les offres restent cependant faibles en 2024, selon l'expert qui note une normalisation de la demande provenant de l'étranger notamment. Aussi, il ne faut guère s'attendre à une impulsion de la part du secteur de la construction, prévient le rapport.

Cependant, disposant de suffisamment de capital et de revenus, "les babyboomers pourraient soutenir la demande dans les régions de montagnes pour quelques années encore."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La filiale de fonds d'UBS omniprésente dans les sociétés suisses

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Au 20 mai, UBS Fund Management détenait une part d'au moins 3% ou plus dans 119 des 221 sociétés cotées, selon le décompte réalisé par l'agence AWP. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La filiale dédiée à la gestion de fonds d'UBS est devenue, après sa fusion avec son homologue de Credit Suisse, la plus grande actrice du marché actions helvétique. UBS détient ainsi une participation de plus de 3% dans une centaine de sociétés du marché élargi (SPI).

Dans la foulée de la fusion d'UBS Fund Management (Switzerland) et de Credit Suisse Funds, la banque aux trois clés a dévoilé à l'opérateur de la Bourse suisse SIX ses participations d'au moins 3%. Au 20 mai, UBS Fund Management détenait une part d'au moins 3% ou plus dans 119 des 221 sociétés cotées, selon le décompte réalisé par l'agence AWP.

La filiale pèse donc fortement sur le marché suisse et même davantage que le gestionnaire de fonds américain Blackrock, qui possède 3% ou plus des parts de 46 entreprises cotées sur SIX. Les autres acteurs clés sont la filiale de la Banque cantonale de Zurich (ZKB), Swisscanto (17 sociétés), l'américain Capital Group (14), le bâlois J. Safra Sarasin Investmentfonds (13) et le norvégien Zentralbank Norges (8).

Parmi les actionnaires individuels se démarquent l'ancien président de Straumann, Rudolf Maag, (7, dont le fabricant d'implants dentaires bâlois et l'entreprise spécialisée dans la construction Implenia), Michael Pieper (5, dont le groupe Franke/Artemis) et Peter Spuhler (5, dont le fabricant de matériel roulant Stadler et le constructeur de machines textile Rieter).

Nombreux secteurs

La super-filiale d'UBS est aussi souvent la plus grande actionnaire des sociétés dont elle détient des parts. Elle est ainsi numéro une dans 28 entreprises tandis qu'elle a acquis plus de 10% de 14 autres. Elle est particulièrement présente chez le fournisseur de solutions de communication Ascom (18,6%) et le producteur d'aliments Orior (18,2%), mais aussi dans les sociétés immobilières PSP (14,9%) et Allreal (+14,1%) ainsi que le spécialiste du crédit à la consommation Cembra (14,0%). En moyenne, une participation atteint 6%.

UBS Fund Management est également représentée dans 18 des 20 sociétés de l'indice phare de la Bourse Suisse, le SMI, comme l'assureur Swiss Life (7,3%) et le logisticien Kühne+Nagel (3,2%). En revanche, sa participation n'est pas connue pour le géant du luxe Richemont et le géant pharmaceutique Roche.

La filiale est aussi présente au sein de l'actionnariat de sa maison-mère UBS à hauteur de 5,3%, en deuxième place derrière la banque aux trois clés elle-même. Selon des courtiers, c'est la première fois qu'elle détient plus de 3% d'UBS. Cette participation a récemment fait parler d'elle, car il est mal vu de "charger" le portefeuille de ses clients avec des titres de sa propre entreprise, soulignait récemment le portail Cash Insider.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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