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Les Suisses boivent plus d'alcool que la moyenne de l'OCDE

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En Suisse, 4,3% des adultes sont dépendants à l'alcool (image symbolique). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La consommation excessive d'alcool fait perdre en moyenne près d'un an d'espérance de vie aux populations de 52 pays, selon un rapport de l'OCDE. La consommation des Suisses est supérieure à la moyenne de l'OCDE.

Dans son rapport publié mercredi, l'organisation internationale encourage donc les pays à "redoubler d'efforts pour lutter contre" ce phénomène, notamment en limitant la promotion de l'alcool auprès des enfants et en favorisant des prix plus élevés.

"L'espérance de vie sera inférieure de près d'un an (0,9) au cours des 30 prochaines années en raison des maladies et des blessures" causées par la "consommation nocive d'alcool", calcule l'Organisation de coopération et de développement économiques dans ce rapport, qui porte sur 52 pays de l'OCDE, de l'Union européenne et du Groupe des 20 (G20).

Les Suisses boivent plus que la moyenne

Les huit pays les plus affectés se situent tous en Europe centrale et orientale, avec 1,4 à 1,8 année d'espérance de vie en moins, Lituanie, Russie et Pologne figurant en tête du classement. La France se situe juste au-dessus de la moyenne, tandis que la Turquie et Israël apparaissent comme les moins concernés.

En termes de consommation, la République tchèque arrive en tête de liste. Avec 11,5 litres d'alcool pur bus par habitant et par an, la Suisse a une consommation d'alcool élevée, supérieure à la moyenne des pays de l'OCDE, note le rapport. Cela correspond à environ 2,4 bouteilles de vin ou 4,4 litres de bière par semaine par personne de 15 ans et plus.

En outre, 35,6% des adultes ont une consommation épisodique excessive d'alcool au moins une fois par mois. Cela correspond à boire plus de 80% d'une bouteille de vin ou 1,5 litre de bière par occasion.

En Suisse, 4,3% des adultes sont dépendants à l'alcool. Chez les jeunes de 15 ans, 10% des filles et 17% des garçons ont été ivres au moins deux fois dans leur vie, indique encore l'OCDE.

Pas de niveau reconnu scientifiquement

Il n'y a pas de niveau de consommation d'alcool reconnu scientifiquement comme sans risque pour la santé. Dans le cadre de ce rapport, l'OCDE définit la "consommation nocive d'alcool" comme excédent "un seuil à moindre risque" fixé à "plus d'un verre d'alcool par jour chez les femmes et 1,5 verre chez les hommes".

Les résultats sont obtenus en comparant l'espérance de vie en 2050 si les habitudes de consommation actuelles persistent avec un scénario où la consommation ne dépasserait pas ce "seuil à moindre risque".

L'OCDE chiffre aussi le fardeau à 2,4% du total des dépenses de santé et estime que le PIB sera inférieur de 1,6% en moyenne chaque année dans les pays de l'OCDE au cours des 30 prochaines années si les choses ne changent pas. Les données de ce rapport datent d'avant la pandémie de Covid-19.

Impact de la pandémie

Selon une enquête menée en mai et juin 2020 dans 11 pays, si 42% des personnes interrogées déclarent n'avoir pas modifié leur consommation d'alcool, 36% estiment l'avoir augmentée quand seulement 22% disent l'avoir diminuée.

"Les femmes, les parents de jeunes enfants, les personnes à revenu élevé et celles présentant des symptômes de dépression et d'anxiété" sont ceux qui "ont fait état des plus fortes hausses de consommation d'alcool".

Selon l'organisation, "la stratégie la plus efficace" pour lutter contre la consommation nocive d'alcool passe par "limiter la promotion de l'alcool auprès des enfants", "renforcer les contrôles de police pour prévenir les accidents de la route dus à l'alcool", "développer l'offre de consultations pour les patients à risque" et "fixer des politiques de prix pour limiter l'accessibilité financière de l'alcool".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Deux trains déraillent dans le canton de Berne, 15 blessés

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Les vents tempétueux sont probablement à l'origine du déraillement, indique la compagnie RBS (Regionalverkehr Berne-Soleure). (© KEYSTONE/Manuel Lopez)

Quinze personnes ont été blessées, dont une grièvement, vendredi après-midi dans le déraillement de trains à Lüscherz (BE) et Büren zum Hof (BE). Les fortes rafales de vent pourraient être à l'origine des accidents, au moment desquels une tempête faisait rage.

Le premier déraillement s'est produit vers 16h30 peu avant la gare de Lüscherz. Selon un communiqué de la police cantonale bernoise, alors qu'un fort vent soufflait, le wagon de tête du train s'est renversé sur la droite de la voie et a dévalé sur petit talus sur quelques mètres.

Trois personnes qui se trouvaient dans le wagon qui s'est renversé, dont le chauffeur, ont été blessées. Elles ont été transportées à l'hôpital en ambulance. En tout, seize personnes se trouvaient dans le train au moment de l'accident. L'exploitant ferroviaire Aare Seeland Mobil (Asm) a parlé sur son site Internet d'un déraillement dû à un phénomène naturel. La police enquête sur les causes.

A environ 40 kilomètres de là, vers 16h50, un train de la compagnie RBS (Regionalverkehr Berne-Soleure) a déraillé à Büren zum Hof (commune de Fraubrunnen). Selon la police cantonale, douze personnes ont été blessées, dont une grièvement. Selon la porte-parole de la police Magdalena Rast, plus de 50 personnes se trouvaient dans le train.

Au moment précis du déraillement, une station de mesure située dans la ville voisine de Koppigen (BE) a enregistré une rafale de 136 km/h, selon Meteonews. C'est la force d'un ouragan. La compagnie RBS a évoqué les fortes rafales comme cause possible de l'accident. Les deux trains ont déraillé sur des lignes à voie étroite.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Fenaco s'empare de la plateforme de vente Wine & Gourmet Digital

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Rutishauser-DiVino reprend l'équipe de Wine & Gourmet Digital, tandis que le site weinclub.ch continuera à être exploité en tant que canal de distribution (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Rutishauser-DiVino, l'une des entreprises viticoles de Fenaco, reprend ce vendredi Wine & Gourmet Digital, dont fait partie la plateforme de vente de vin en ligne weinclub.ch. Le grossiste de Winterthour renforce ainsi sa présence dans la vente sur internet.

L'entreprise zurichoise Wine & Gourmet Digital, fondée en 2014, propose environ 500 vins à sa clientèle, en plus d'informations et de recommandations personnalisées sur les crus, selon le communiqué de la société coopérative agricole bernoise.

Noel Blessing, directeur général de Wine & Gourmet Digital, a ajouté que l'entreprise bénéficiera "des synergies et économies d'échelle ainsi réalisées."

Rutishauser-DiVino reprend également l'ensemble de l'équipe de Wine & Gourmet Digital. Le site weinclub.ch continuera à être exploité en tant que canal de distribution.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Initiative populaire pour améliorer l'approvisionnement médical

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L'initiative populaire veut garantir l'approvisionnement médical (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/WALTRAUD GRUBITZSCH)

L'approvisionnement médical doit être garanti en Suisse. Un comité citoyen formé notamment de médecins, de pharmaciens et de droguistes a donné vendredi le coup d'envoi à une initiative populaire. Selon lui, il est urgent d'agir pour la sécurité de la population.

L'initiative "Oui à la sécurité de l'approvisionnement médical" entend agir contre la pénurie de médicaments importants et de matériel médical. Actuellement, environ 1000 différents produits font défaut en Suisse. La pandémie de Covid-19 a aussi révélé que du matériel important n'était parfois plus livrable pour les laboratoires.

Ces problèmes s'expliquent principalement par la pression massive exercée durant des années sur les prix des médicaments, selon le comité d'initiative. Ces produits ne pouvaient plus être fabriqués en Suisse ou dans les pays européens. La production de produits courants comme les antibiotiques s'est déplacée en Asie, notamment en Inde et en Chine.

Mais même en période normale, les entreprises concernées ne sont pas des fournisseurs fiables. Il est donc urgent d'agir, car la sécurité de la population est menacée. La Confédération a pris des mesures, mais cela ne suffit pas. "Nous attendons depuis trois ans des décisions concrètes", a rappelé Nicolas Lutz, président de l'Association des groupements de pharmacies indépendantes.

Responsabilité de la Confédération

Pour améliorer l'approvisionnement, le texte vise à créer une compétence fédérale en lieu et place des 26 autorités cantonales. Il veut aussi renforcer la place économique suisse, qu'il s'agisse de la recherche, du développement et de la production. Il demande enfin d'établir des chaînes logistiques fiables avec l'étranger.

Pour les initiants, le secteur des biens médicaux doit être réglé à l'échelon de la Confédération, car il en va de la sécurité des patients. La recherche et la production en Suisse doivent bénéficier de conditions-cadre favorables afin que ce domaine redevienne intéressant.

Il s'agit en outre d'améliorer le stockage de produits médicaux afin d'éviter des goulets d'étranglement dans l'approvisionnement. Et la Suisse doit aussi pouvoir compter sur des producteurs étrangers fiables non seulement en période de crise mais aussi en temps normal.

"L'initiative vise à lancer la discussion publique, sensibiliser au risque de pénurie et montrer que la situation devient vraiment sérieuse", selon Nicolas Lutz. Il est clair que la solution doit venir d'un partenariat public-privé. Les pouvoirs publics doivent travailler avec les acteurs du domaine. "Il ne s'agit pas du tout d'une initiative de la pharma."

A l'origine de cette initiative se trouve une large alliance de 16 associations et organisations du corps médical, des pharmaciens, des droguistes, des laboratoires médicaux, des organisations de l'industrie et de la logistique pharmaceutique, des organisations de protection des consommateurs et des milieux de la recherche scientifique. La récolte de signatures commencera formellement le 4 avril.

Task Force

La pénurie de médicaments ne date pas d'aujourd'hui. Mais la situation s'est clairement aggravée à la suite du Covid-19. En Suisse, les entreprises peinent à répondre à la demande d'antibiotiques.

Cette situation a poussé il y a un mois l'Approvisionnement économique du pays à libérer complètement les réserves obligatoires pour les produits oraux. La mesure visait à permettre un meilleur approvisionnement du marché. Mais la Confédération avertissait que le marché resterait tendu.

L'AEP juge depuis février la situation "problématique" sur le front des produits thérapeutiques. Une task force a été mise en place pour évaluer des solutions à court terme. Des mesures à plus long terme sont aussi à l'étude. Elles visent avant tout à détecter les perturbations plus rapidement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Vents tempétueux, deux déraillements et des blessés

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Toute la journée vendredi, des vents tempétueux ont balayé plusieurs régions du nord des Alpes en Suisse. (© Keystone/ALEXANDRA WEY)

Deux trains régionaux ont déraillé presque simultanément en deux endroits du canton de Berne vendredi en fin d'après-midi, alors que les vents étaient tempétueux. Ces accidents ont fait plusieurs blessés, dont un grave.

Un train de la compagnie RBS a déraillé peu avant 17h00 près de la gare de Büren zum Hof (BE), sur la commune de Fraubrunnen. Selon Magdalena Rast, porte-parole de la police cantonale qui s'exprimait au journal télévisé de SRF, neuf adultes et trois enfants, ont été blessés dans cet accident. Un serait grièvement atteint.

Les bourrasques de vent sont probablement à l'origine de l'accident, a précisé la compagnie RBS (Regionalverkehr Berne-Soleure). Une partie du convoi s'est renversée, et d'autres trains sur le tronçon entre Jegenstorf (BE) et Soleure ont dû être arrêtés.

Peu auparavant, à Lüscherz (BE), sur la rive Sud du lac de Bienne, un train de la compagnie Aare Seeland mobil (Asm) circulant entre Anet et Bienne a également déraillé.

La partie arrière du convoi a déraillé, et les wagons concernés sont tombés sur le flanc. Les pompiers ainsi qu'une ambulance sont intervenus.

Vents tempétueux

Toute la journée vendredi, des vents tempétueux ont balayé plusieurs régions du nord des Alpes en Suisse. En plaine, des rafales jusqu'à 122 km/h ont été mesurées en fin d'après-midi, dans la région du lac de Constance.

Les vents ont atteint une vitesse de 107 km/h à Zurich, 108 km/h à Alpnach (OW) et 105 à Fahy (JU), a indiqué Météosuisse. En altitude, les bourrasques ont soufflé à 143 km/h au Säntis en Suisse orientale et à 133 km/h au Pilatus, au-dessus de Lucerne. Les experts ont mis en garde face aux risques potentiellement mortels lors de balades en forêt.

Entre la matinée et le milieu d'après-midi, Météosuisse a enregistré plus de 5000 éclairs en Suisse et dans les territoires voisins. Une telle activité est plutôt étonnante pour un mois de mars.

Ce sont les effets de la tempête Mathis, une dépression partie des Iles britanniques qui apporte des averses et des orages, indiquent les services météorologiques.

Les rafales ont été en maints endroits les plus fortes enregistrées depuis le début de l'hiver, a précisé Meteonews. De nouvelles intempéries avec des averses de grésil étaient encore attendues en soirée.

Arbres et branchages couchés

Plusieurs tronçons ferroviaires ont été interrompus en raison des intempéries, comme en fin de journée la ligne Berne-Neuchâtel entre Kerzers et Ins.

Des arbres sont tombés sur des tronçons autoroutiers, comme sur l'A1 entre Genève et Coppet (VD), ou entre Meggenhus et Rheineck (SG). Idem sur l'A3, près de l'aire de repos Fuchsberg dans le canton de Schwytz. A Uster (ZH), des marchés ont été annulés.

Le nord-est et le centre du pays ont été les plus touchés par les bourrasques. La police bernoise a fait état auprès de Keystone-ATS de perturbations suite à des chutes d'arbres et de branchages sur des routes et sur des voitures. Certaines entreprises de transports comme le funiculaire de Beatenbucht-Beatenberg (BE) et la compagnie de navigation du lac de Constance ont dû interrompre leur service.

La limite des chutes de neige est annoncée à 1500 m en soirée. Le week-end s'annonce pluvieux et assez froid, avec de la neige dès 1000 m mais moins de vent.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Quel budget prévoir pour un voyage en Suisse?

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La Suisse peut être un pays coûteux à visiter, mais tout dépend de l'endroit où vous allez et de ce que vous faites.

Si vous prévoyez de séjourner dans l'une des stations les plus populaires, comme Davos ou Saint-Moritz, alors oui, vous risquez de dépenser pas mal d'argent pendant votre voyage. Cependant, il existe également de nombreux endroits où séjourner qui sont moins chers que les stations susmentionnées.

L'hébergement

Les prix des hôtels en Suisse peuvent varier considérablement en fonction de l'endroit où vous vous rendez, mais dans l'ensemble, ils sont assez élevés. Si vous avez l'intention de vous rendre dans l'une des stations les plus populaires, comme Davos ou St Moritz, vous pouvez vous attendre à payer plus de 400 CHF par nuit pour une chambre. Vous pouvez également envisager de louer un appartement par l'intermédiaire de rentola.ch, cela peut vous permettre d'économiser de l'argent si vous voyagez à plusieurs, aussi bien sur le plan de l’hébergement que de l’alimentation puisque dans une location, vous pourrez cuisiner vous-même au lieu de vous rendre au restaurant plusieurs fois par jour.

La Suisse peut être un pays coûteux à visiter sans préparation

La Suisse est un pays où le coût de la vie est élevé. Le coût de la vie en Suisse est l'un des plus élevés d'Europe, et ce n'est pas seulement parce que vous devez payer votre voyage en francs suisses! La nourriture, le logement et les transports sont tous plus chers qu'ailleurs.

Si vous avez l'intention de vous déplacer en Suisse en train ou en bus, assurez-vous que votre programme prévoit de bonnes affaires pour les billets. Vous pouvez les obtenir en ligne sur le site des CFF (Chemins de fer fédéraux suisses). Vous pouvez également réserver le plus tôt possible auprès d'une agence pour des excursions à prix réduit dans certaines destinations touristiques populaires comme Lucerne ou Interlaken. Bien que ces coûts soient plus élevés que ce à quoi s'attendent la plupart des gens lorsqu'ils visitent la Suisse, il existe des moyens de les contourner si vous le voulez bien et si vous vous y prenez à l'avance!

Bogdan Lazar, Canva.com

Visites et activités

Si vous avez l'intention de participer à des excursions et à des activités, le coût peut varier de 100 à 300 francs suisses. Comme indiqué plus haut, le budget à prévoir pour un voyage en Suisse dépend de la durée de votre séjour et du lieu de vos vacances: un séjour à Finhaut Émosson vous coûtera moins cher qu’à St Moritz Si vous visitez plusieurs villes en une semaine ou moins, les frais de transport seront inclus dans cette catégorie. Si ce n'est pas le cas, pensez à ajouter 200 CHF par jour (ou plus) à votre budget total si le transport est requis.

Si vous passez plus d'une semaine en Suisse, prévoyez un budget de 100 à 300 francs suisses par jour. Si vous ne visitez qu'une seule ville, ce chiffre sera moins élevé car les frais de transport et les activités seront moindres.

Et l’alimentation?

On peut dire sans risque de se tromper que la nourriture est chère en Suisse. Lorsque vous avez un budget et que vous essayez d'économiser de l'argent, il est logique que vous n'alliez pas au restaurant. Cependant, si ce n'est pas quelque chose que vous voulez ou pouvez faire (peut-être en raison de restrictions alimentaires), votre seule option est de cuisiner vos propres repas à la maison.

Heureusement pour ceux qui aiment leur indépendance et veulent contrôler ce qu'ils mangent, il existe de nombreux supermarchés où l'on peut acheter tout, des fruits et légumes aux produits carnés, à des prix raisonnables et ils sont aussi ouverts tard!

Les coûts annexes de votre voyage en Suisse

Le transport est l'un des coûts les plus importants de votre voyage. Vous devrez vous rendre d'un point A à un point B, et il existe de nombreuses options pour le faire. Voici ce que vous devez savoir:

  • Offres de vols: assurez-vous que l'offre de vol, si vous prenez l’avion, ne contient pas de frais cachés tels que des taxes ou des suppléments qui pourraient s'accumuler rapidement! Il est également important de ne pas réserver n'importe quel vol; regardez combien de temps il s'écoule entre l'atterrissage et l'embarquement avant de vous engager.
  • Bus et trains: combien prévoyez-vous de dépenser pour les transports publics pour vous rendre en Suisse? Selon votre destination, vous trouverez facilement des compagnies de bus qui assurent des liaisons régulières à moindres frais. Les trains sont également nombreux, mais prennent plus de temps, et sont souvent plus chers.
  • Assurance voyage: En cas de problème lors d'un voyage à l'étranger, l'assurance voyage peut vous aider à vous protéger contre les frais médicaux imprévus ou les coûts liés à la perte de bagages. Mieux vaut ne pas s'en priver!

La Suisse est un pays magnifique et il est facile de comprendre pourquoi tant de gens veulent la visiter. Si vous avez l'intention de passer du temps en Suisse, nous espérons que cet article vous a donné un aperçu du type de budget qu'il convient de prévoir.

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