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Economie

Les magasins Landi ont vu leurs ventes reculer en 2022

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Les 270 magasins Landi ont enregistré un chiffre d'affaires en baisse de 1,2% en 2022. (archives) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les 270 magasins Landi, aux mains de la société coopérative bernoise Fenaco, ont enregistré un chiffre d'affaires en baisse de 1,2% sur un an à 1,528 milliard de francs en 2022. Les clients doivent s'attendre à "une légère augmentation des prix" en 2023.

Les produits destinés à l'irrigation du jardin ont été très demandés l'an dernier. Davantage d'aliments pour chiens et chats ont été achetés par la clientèle. Face au risque de pénurie d'électricité, les ventes de combustibles de type pellets, bois de chauffage et briquettes ont crû.

Alors que le commerce de détail continue de "souffrir des problèmes logistiques causés par la pandémie de Covid", le déclenchement de la guerre en Ukraine a entraîné une augmentation des prix des matières premières, de l'énergie et du transport. "Une situation qui s'est inévitablement traduite par des hausses de prix dans l'assortiment des magasins Landi", selon le communiqué paru mardi.

Ernst Hunkeler, le directeur général cité dans le document, souligne que "pour ce premier exercice de l'après-pandémie et face à une conjoncture délicate, nous pouvons être très satisfaits de nos résultats."

Pour 2023, la chaîne de magasins devra à nouveau faire face à des défis en matière d'approvisionnement, "avec à la clé une légère augmentation des prix". Le patron se dit bien armé "pour poursuivre sur la lancée des bons exercices précédents", mettant en avant "le développement du modèle commercial Landi et la forte interaction entre les canaux stationnaire et virtuel".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Plusieurs Vallotton vendus pour 946'000 francs à Bâle

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La "Nature morte à l'assiette bleue" (1922) de Félix Vallotton a été vendue mercredi à Bâle pour 216'500 francs. Il s'agit d'une huile sur toile (53,5 x 72,5 cm). (© Beurret & Bailly)

Quatorze ½uvres du peintre vaudois Félix Vallotton (1865-1925) ont été mises en vente mercredi chez Beurret & Bailly à Bâle. Albert Anker a également suscité un vif intérêt.

L'ensemble Félix Vallotton a attiré les amateurs, que ce soit en salle, en ligne ou en salle et a atteint le résultat global de 946'000 francs, a indiqué jeudi la maison Beurret & Bailly dans un communiqué. La "Nature morte à l'assiette bleue" a été achetée pour 216'500 francs par un collectionneur suisse, dépassant ainsi son estimation haute de 150'000 francs.

Quant à "Maisons au soleil, cailloux bleus", réalisés dans le Sud de la France où l'artiste a séjourné lors des dernières années de sa vie, elle a été acquise pour 185'500 francs. Certaines oeuvres ont toutefois été retirées de la vente car elles ont laissé les acheteurs indifférents.

Emballement pour un Anker

Les enchères se sont également emballées pour un dessin signé Albert Anker, représentant une jeune paysanne qui tient dans ses mains un pot rempli de fraises. Estimé entre 80'000 et 120'000 francs, ce portrait a été acheté pour 334'000 francs par un collectionneur suisse.

Le tableau "Leçon d'écriture III" a lui été vendu pour 394'000 francs. Des oeuvres d'Ernest Biéler ont de Gustave Buchet ont également trouvé preneurs.

La première vente de printemps de la maison Beurret & Bailly, consacrée à l'art suisse et à l'art international avant 1900 a atteint les 4,2 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Finma se justifie au sujet des emprunts AT1 de Credit Suisse

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Le gendarme des marchés financiers en Suisse rappelle que l'éventualité d'un amortissement complet de la valeur de ces outils destinés au renforcement des fonds propres des grandes banques était inscrit noir sur blanc dans le prospectus afférent. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le régulateur Finma s'explique jeudi sur la décision controversée d'ordonner l'amortissement des emprunts AT1 de Credit Suisse, qui a valu à l'autorité de surveillance de vives critiques.

Les "conditions contractuelles" étaient réunies, assure le gendarme financier dans un communiqué.

L'amortissement des instruments de capital AT1 a visiblement valu des sollicitations répétées à la Finma, qui évoque les "nombreuses questions" posées sur le sujet depuis l'annonce dimanche du sauvetage de Credit Suisse et son rachat par UBS. Dans son communiqué, l'autorité invite les créanciers à adresser leurs doléances aux "émetteurs des instruments de capital", soit - dans ce cas précis - Credit Suisse.

Contractuellement, l'amortissement des emprunts AT1 de Credit Suisse est conditionné à "certains événements déclencheurs", comme une "aide publique exceptionnelle", souligne l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, qui souligne avoir respecté ce cadre.

Des prêts extraordinaires sous forme de liquidités couverts par une garantie du risque de défaillance fournie par la Confédération ont été accordés le 19 mars au numéro deux bancaire helvétique, rappelle le communiqué.

L'amortissement de ces 13 instruments, dont la valeur nominale avoisine 16 milliards de francs, équivaut pour les créanciers à perdre l'intégralité de leur mise. Les emprunts AT1 (Additional Tier 1) sont rémunérés à hauteur de leur risque élevé (jusqu'à 9,75% dans le cas présent). Ils sont conçus en larges tranches, ce qui en fait un instrument principalement détenu par des investisseurs institutionnels.

L'amortissement de ces emprunts AT1 a permis à Credit Suisse d'augmenter ses fonds propres de première catégorie, dans un contexte de crise de confiance et d'hémorragie des liquidités qui frappait le géant bancaire helvétique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Salt a connu des problèmes: connexion difficile pour des clients

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Le résesau de Salt a connu des problèmes jeudi matin (Photo prétexte). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le réseau de téléphonie mobile de l'opérateur de télécommunications Salt a connu des problèmes généralisés jeudi matin. Toutes les équipes traitent la situation en priorité, a indiqué l'entreprise.

Certains clients pourraient avoir des difficultés à se connecter au réseau de téléphonie mobile, a-t-on indiqué chez Salt. L'entreprise n'a pas donné d'indications sur la raison de la perturbation ou sur une éventuelle durée de la panne. Elle a demandé de la patience.

Auparavant, plusieurs milliers de personnes avaient signalé des problèmes avec le réseau Salt sur le site de surveillance du réseau Allestoerungen.ch. L'ampleur exacte de la panne n'était pas claire dans un premier temps.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les lacs de barrage en Suisse remplis à 35,1%

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Les lacs de barrage sont remplis au-dessus de la moyenne (Photo prétexte). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Les lacs des barrages suisses sont actuellement remplis à hauteur de 35,1%, selon les dernières données de l'Office fédéral de l'énergie. Leur niveau se situe ainsi 16 points de pourcentage au-dessus de la moyenne de la même période de ces 20 dernières années.

Les installations de stockage de gaz, essentielles pour l'approvisionnement énergétique de la Suisse, sont remplies à 63,9% en Allemagne, d'après les statistiques quotidiennes de la fédération Gas Infrastructure Europe. Le taux de remplissage se situe au-dessus de la moyenne pluriannuelle, qui se situait ces dix dernières années à la même période à 39,4%.

Les réservoirs de gaz en France sont remplis à 28,5% et ceux en Italie à 56,9%.

Selon l'Office fédéral de la statistique (OFS), la Suisse a consommé l'an dernier 58'113 gigawattheures (GWh) d'électricité. Si tous les barrages sont pleins, le pays dispose d'une réserve totale de 8865 GWh, soit environ 15% de ses besoins annuels en électricité.

Les chiffres concernant les lacs d'accumulation des barrages se réfèrent au 20 mars, ceux concernant le stockage de gaz au 21 mars.

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Dernière mise à jour: lacs de barrage 20.03.23, stockage de gaz 21.03.23

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

BNS: les mesures prises pour CS ont permis de "juguler la crise"

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Les liquidités mises à disposition dans le cadre de la reprise de Credit Suisse par son rival UBS "ne sont pas un cadeau", mais des prêts qui donneront lieu à la perception d'intérêts, a affirmé le président de la BNS Thomas Jordan. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Les mesures prises par la Banque nationale suisse (BNS), la Confédération et l'Autorité de surveillance des marchés financiers (Finma) dans le cadre de la reprise forcée de Credit Suisse (CS) par UBS ont permis de "juguler la crise", selon l'institut d'émission.

"La semaine dernière, le Credit Suisse a perdu la confiance du marché" dans le sillage des turbulences , a rappelé jeudi dans son intervention le président du directoire de la BNS Thomas Jordan, soulignant que les "mesures de grande ampleur" ont été prises "afin de garantir la stabilité financière et d'éviter que la Suisse ne subisse des préjudices".

Suite aux retraits massifs qu'avait subis la banque aux deux voiles en milieu de semaine avec à la clé un effondrement du titre, la BNS avait dans l'urgence mis à disposition des liquidités pour un volume de 50 milliards de francs, ce qui a permis de "disposer du temps nécessaire pour trouver une solution permettant de garantir la stabilité financière".

La reprise par UBS annoncée dimanche soir devait être prête avant l'ouverture des marchés asiatiques, car "une faillite du Credit Suisse aurait eu des conséquences graves sur la stabilité financière en Suisse et dans le monde, et sur l'économie suisse", a assuré M. Jordan. A cette occasion, la BNS a mis sur la table 100 milliards de francs supplémentaire de garantie.

Et la banquier central de souligner que "les liquidités que nous mettons à disposition sont des prêts, qui sont couverts et donnent lieu à la perception d'intérêts", et que "ce ne sont pas des cadeaux".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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